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The Painter of the Wind


Saekun
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The Painter of the Wind

바람의 화원

 

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Genres

Historique - Action - Thriller - Drame

Année de diffusion

2008

Nombre d’épisodes

20

Casting

Moon Geun-Young : Shin Yoon Bok / Hyewon

Park Shin-Yang : Kim Hong Do / Danwon

Moon Chae-Won : Jeong Yang

Park Jin-Woo : Jang Hyo Won

Bae Soo-Bin : Jang Hyo-Won

Im Ji-Eun : Reine Jeong Soon

Park Hyuk-Kwon : Lee In-Moon

Ahn Suk-Hwan : Shin Han-Pyeong

Lee In : Shin Young-Bok

 

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Synopsis (nautiljon)

 

Painter Of The Wind est l'adaptation du roman de Lee Jung Myung. Le personnage principal interprété par Moon Geun Young est le célèbre peintre coréen Sin Yun Bok, plus connu sous le pseudonyme Hyewon (né vers 1758, mort après 1813) Bien qu'étant un homme, Sin Yun Bok est dans le drama une jeune femme qui se travesti pour pouvoir exercer son art.

 

http://www.youtube.com/watch?v=pglb2LwHetU

 

Les parents de Yun Bok ont été assassinés alors qu'elle était encore enfant. Dotée d'un don exceptionnel pour le dessin, Yun Bok est recueillie par Sin Hanpyeong, un peintre royal. Elle est élevée comme un garçon avec son frère adoptif Yeong Bok pour qu'ils continuent la profession de peintre royal, exercée de père en fils. Plus tard les souvenirs de la mort de ses parents lui reviennent progressivement et Yun Bok décide d'enquêter avec l'aide de son professeur Kim Hong Do. Lui-même ancien ami du père de Yun Bok, il recherche sa fille disparue depuis des années, mais il ignore la véritable identité de son élève. A mesure que le temps passe, la relation entre les deux peintres devient plus que de l'amitié.

 

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Sae’s critique

 

5609981673415781.gif Un point de vue 100% subjectif et totalement assumé

 

TPW c’est une intrigue politico-historique, penchant du coté dramatique avec toutefois quelques touches humoristiques. Le jeu des acteurs est convainquant et les scènes plutôt réalistes. Pour ce qui est des complots politiques on peut se sentir perdu en l’absence de connaissances sur l’histoire et les traditions de la Corée. Mais même si on n’a pas toujours toutes les clés pour comprendre on saisit l’essentiel.

 

TPW c’est aussi l’histoire d’une « fille qui se travesti », encore… On ne compte plus le nombre de drama de ce genre (Hana-Kimi, Sungkyunkwan Scandal, You're Beautiful , Coffee Prince…), mais là où TPW se différenci des autres, c’est que l’actrice est crédible, naturel et convaincante en « garçon » bien plus que Park Shin-hye (You're Beautiful) ou Park Min-Young (Sungkyunkwan Scandal).

 

Coté romance TPW se démarque aussi. Pas de cliché. Pas de classique triangle amoureux. Pas de « disputes - pleurs - réconciliation ». Mais plutôt une relation entre un peintre et son apprenti qui évolue doucement au fil des 20 épisodes. La première scène résume d’ailleurs assez bien toute l’histoire entre Yu-Bok et Hong-Do « cette personne était mon disciple, mon maître, mon ami et mon amant ». Dans TPW les sentiments des personnages se dévoilent tout en subtilité par les gestes, le contact physique (ex : lorsque Hong-Do et Yun-Bok peignent tous les deux, les mains sur un unique pinceau) et surtout par les regards. Pas besoin de mots. C’est beau, poétique, sensuel.

 

TPW c’est aussi et surtout un hymne à la peinture traditionnelle coréenne, on y voit en effet les « reconstitutions » de plusieurs tableaux de Hyewon et Danwon (juste pour rappel il s’agit bien de peintres qui ont vraiment existés). Les « scènes de peinture » sont parfois longues mais passe très bien. J’ai apprécié de voir chaque étape de l’élaboration : étude du modèle, réflexion, tracé de la trame, préparation des couleurs… Le moindre détail signifie quelque chose et révèle les sentiments du ou des personnages peints (le choix des couleurs, un regard, la façon de se tenir, les plis d’un vêtement…). Au final chaque tableau reflète le caractère du peintre, on en apprend sur ses intentions, sur le message qu’il a voulu faire passer (ce qui constitue le pivot de l’intrigue). Personnellement j’avais des connaissances plutôt superficielles sur le sujet donc ce drama fut pour moi très enrichissant. A vrai dire je ne pensais pas que cela m’intéresserais autant.

 

Je ne peux évidement pas parler de TPW sans évoquer la superbe bande son, dont plusieurs titres sont toujours dans mon mp3. Les morceaux choisi sont toujours adéquats et intensifient de ce fait les scènes et les émotions. On se laisse facilement emporter, à sourire ou pleurer à l’image des personnages.

 

Pour finir je dirais que l’un des points forts de TPW ce sont les paysages et les scènes de la vie courante (la scène de l’enfant qui danse, la scène de la balançoire…) qui nous transporte à l’époque Joseon.

 

Émouvant. Poétique. Esthétique. Envoutant.

 

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OST

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