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[Divers] Mes écrits fini et non fini


Aquana32
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Je passe beaucoup de temps à écrire et le plus souvent, bien que je trouve mes idées bonnes, je ne les achève pas! Il est plus facile pour moi de faire un poème dans un moment d'inspiration plutôt que de commencer une énième histoire. Car quand je suis à fond dans ces histoires, j'écris, j'écris et je pense la suite sans l'écrire une fois dans mon lit! Du coup, j'abandonne. :(

 

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Etre soi

 

Porter un masque,

Toujours qui sourit,

Les phrases fantasques,

Vivante d'euphorie,

Habituelles frasques,

De simples menteries.

 

Vie superficielle,

Pour rêver d'histoires,

Douces et si belles,

La nuit, le jour, le soir,

Artificielles,

Mais munies d'espoirs.

 

Seule sans attentes,

Juste inaperçue,

Les larmes tombantes,

D'un courage perdu,

Qui encore hante,

Cette joie qui n'est plus.

 

Faible, au coeur tremblant,

A l'écoute d'un son,

De tous ces sentiments,

De mon esprit poison,

Et du prince charmant,

Bercé d'illusions.

 

 

Rondeurs fripées

 

Je suis peut-être ronde comme un ballon,

Et avec le temps, je déchire tout mes pantalons.

Il est vrai que je n’ai pas cessé de manger,

Et si j’étais en boule, je pourrai rouler.

Pourtant, même si je m’habille rayon femme enceinte,

J’attire et charme les hommes comme une sainte.

Et même si après les tartes aux sucres,

Les biscuits, chocolats et carrés de sucre,

Je représente la demoiselle sucre,

Je serai toujours ronde et bouffie à plein temps.

Et même si c’est mauvais, la balance me ment,

Elle me fait moins quinze comme une petite enfant.

Je suis gourmande autant que mes mains sont en confettis,

Peau morte, peau sèche, mes empreintes se sont enfuient.

Un peu comme être une “mémé” mais à dix-neuf ans,

Pourtant, seuls mes doigts sont fripés, sans l’action du temps.

On m’aurait dit que je serai ronde et fripée,

J’aurai rit mais après un regard dans le miroir,

Je me serai dévisagée, arrêtée et vexée.

Finalement, je me sens bien plus belle dans le noir.

 

 

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Elles sont de ma propre inspiration, rien n'est copié d'ailleurs!

 

"Le vent peut frapper un mur, il ne gémira pas. Il peut frapper l'homme heureux, il ne l'affectera pas. Le vent pourra en revanche frapper le défaitiste, il s'envolera."

"On se dit tous que l'autre fera ce qu'il faut faire à notre place. Mais parce que tout le monde pense ainsi: rien ne bouge."

"Ma force n'est pas une arme mais un outil de survie."

"Le choix d'une femme n'est pas celui d'un homme."

"C'est parce qu'il ne me regarde pas, que je cherche son attention."

“Tout ce que tu peux faire c'est d'attendre que le temps passe et que le soleil se mette à briller vers toi.”

“C'est pas comme si tout était vrai.”

“Confondre rêves et réalité, c'est savoir se protéger tout en se blessant.”

“Il faut vivre la poésie de la vie pour en voir la rime.”

“Savoir faire la différence entre appréciation, admiration et amour parfois.”

“Changes tes mots, changes ton monde.”

“Donner, ça n’a pas de prix.”

“Faire naître un sourire ça vaut de l’or.”

“L’illusion d’un rêve est aussi amère qu’un mensonge.”

“C’est plus facile de détester que d’aimer.”

“Nourris ma soif, désaltère ma faim.”

“Je ne suis pas une poupée. Moi, j’ai des émotions et des sentiments.”

“Affiche mon “Game Over”. ”

“Je me suicide chaque nuit, dans mon coeur, dans mes envies.”

“Mes ténèbres sont aussi beau et grand que mon coeur.”

 

 

 

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The Game -non finie-

Inspiration: Minecraft + Hunger Games

 

« La sixième partie »

Tout a commencé le samedi 23 mars de cette année 2013. Julien, de pseudonyme Shoha était un joueur de minecraft depuis deux longues années. Il avait voyagé à travers plusieurs serveurs avant de s’arrêter sur l’un d’eux huit mois plus tôt. Il avait trouvé le jeu paisible sur un jeune serveur de quelques semaines à peine : Braveria.

Très vite, Shoha s’était fait une réputation de joueur PvP talentueux et surtout d’organisateur d’Hunger Games. De manière régulière, il organisait des soirées avec vingt-quatre autres joueurs autour d’une carte axée sur la survie et le combat. Tous les mois, Julien louait un serveur avec vingt-cinq entrées joueur pour une semaine. Ca ne lui coûtait pas grand-chose et c’était pour cette simple raison qu’il continuait à louer des serveurs et à relancer des parties. Les soirées Hunger Games à chaque fin de mois étaient devenues célèbre après seulement trois mois sur Braveria. Et les amoureux du combat cherchaient toujours à recevoir des invitations pour avoir accès au serveur. Des invitations qui étaient envoyées discrètement dans les boîtes à messages privés disponibles sur le forum. Et tous les vingt du mois, vingt-quatre invitations partaient prévenir les futurs participants. Le plus souvent, c’était des joueurs qui n’avaient pas demandé à participer mais qui avaient avoué vouloir essayer ou aimer le PvP. Ce qui à chaque fois faisait râler tous ceux qui avaient tout fait pour recevoir cette si précieuse invitation à survivre en milieu hostile.

Ce mois-là, Shoha avait dégoté une nouvelle carte d’Hunger Games ainsi que des participants prometteurs. Il voulait que cette partie soit parfaite pour son sixième mois d’organisation. Il avait vu la carte sous tous ses angles en solitaire avant de préparer le serveur de jeu. Il savait que cette rencontre serait mémorable et qu’elle relancerait encore plus l’engouement que faisaient ses parties. Il fallait que ça devienne encore mieux s’il voulait pouvoir trouver des participants à travers plusieurs serveurs. Après cette partie, Julien aurait commencé à organiser des parties encore plus folles avec toujours plus de découvertes. C’était un cap, c’est pourquoi tout devait être parfait. Mais tout ce qui est parfait se doit de rencontrer des problèmes.

 

L’heure et l’adresse du serveur vocal étaient données dans les invitations. L’adresse du serveur de jeu ne serait donnée qu’en à elle qu’une fois que tous les participants auraient été présents sur le salon vocal. Ce qui en ce samedi-là n’échappa pas à la règle. Après seulement une dizaine de minutes d’attente, Julien commença à énoncer toutes les règles ainsi que le but, plus que connu, qu’ils devraient atteindre : être le dernier survivant. C’est seulement après cela, qu’il partagea l’adresse du serveur. Il n’était pas encore lancé mais ce n’était à présent plus qu’une question de minutes.

Les dernières modifications apportées, le serveur fût lancé et chacun à leur tour, les joueurs se connectèrent sur ce nouveau monde cubique. Etrangement, aucun d’entre eux encore présent sur le serveur vocal n’avait remarqué qu’ils étaient de moins en moins nombreux à parler au fur et à mesure qu’ils entraient en jeu. Même le petit dernier, retardataire, n’avait pas fait attention à ce détail. Détail qui aurait pu le sauver. Ce qui l’attendait n’était compréhensible pour aucun d’entre eux.

 

A 20h17, vingt-cinq personnes étaient entrées dans Minecraft sur un serveur dont ils ne pourraient partir. La partie était programmée pour commencer trois minutes plus tard. C’était donc trois belles et grosses minutes pour s’inquiéter, paniquer et ne rien comprendre. Dans leur capsule, ils voyaient le compte à rebours s’approcher de zéro. Que se passerait-il une fois ce chiffre atteint ? Se réveilleraient-ils d’un mauvais rêve ? Retourneraient-ils chacun sur leur chaise devant leur écran d’ordinateur ? Ou commenceraient-ils une vraie partie d’Hunger Games ? Tout ça ne devait être qu’une grosse blague pas drôle. Pourtant… Le compte à rebours arriva à zéro, les capsules s’ouvrirent et la sixième partie d’Hunger Games commença.

 

 

 

La dernière équipe -non finie-

Inspiration: Killing Floor

 

Notre unité s'apelle Phénix et comporte cinq membres. Nous ne sommes appellés que quand les équipes Alpha et Beta échouent, de ce fait: rarement. Chacun de nos membres a suivi un entrainement très spécifique, dur et long. Il m'a été très difficile d'optenir cette place et cet entrainement. Quand on ne mesure qu'un petit metre soixante et que l'on est pas encore majeure, trouvé place dans ce métier relève du miracle. Heureusement pour moi, il s'est avèré que j'avais une bonne fléxibilité et que le corps à corps serait du gâteau. Mais comme je fais partie de la nouvelle armée, savoir manipuler arme blanche et arme à feu est important. Je me retrouve donc en tant que snipeur de longue distance et maitresse de kunaï au corps à corps. Car je suis une femme en plus, qui l'aurait imaginé? Certainement pas moi, j'étais partie pour devenir pianiste mais avec les circonstances de mon passé, seul cette voix s'ouvrait à moi. Etrangement, j'ai aussi commencé à désirer ce travail. Tu tues l'ennemi, protèges tes coéquipiers, ta peau et récuperes des informations. Un travail simple pour certain. Mais quand vous apprenez que les Alpha et Beta on échoué, vous vous dites que le défi et le danger frappent à votre porte mais aussi que vous avez enfin de quoi vous occuper. Du travail enfin, cette chose inhabituelle pour nous, Phénix.

 

En ce moment, je suis entre quatre murs blanc, dans un lit d'hopital. Notre mission est notée réussie bien que tout nos membres soit dans ce bâtiment que je trouve « mort ». Dans la chambre à ma droite, il y a Dante et Solo. Médecin à petite mitrailette et dieu du pistolet. Dante est grâvement blêssé; on ne sait toujours pas si il poura marcher. Solo, lui, a des plaies sur tout le corps et à perdu beaucoup de sang. Il s'en est sorti de justesse. Tout deux se rétablisse. Tandis que les deux autres membres: Clab et Wolf sont en quarantaine à attendre les médecins.

 

Notre mission, classée noire, le grade de danger ultimen, consistait à éliminer des créatures. Pas de banale monstrs, non!

Ils étaient ideux, à la peau brune, un peu grise, faible intélligence mais un instint animal très souvage et dévellopé. L'équipe Alpha parlait d'habitant infectés, la Beta de monstres vnu d'ailleurs mais sur le terrain, on avait pu réalisé qu'il sagissait sans doute d'expériences scientifiques ratées. Des humains avec un mélange de créatures inconnues avaient donné ce résultat. Quelle équipe avait raison au final?

Sur le rapport de mission, il était écrit que l'on nous envoyaient pour tuer quelques « bêtes ». Nous avions été trompés. Nous étions parti peu équipé; une trouse de soin sur chacun, un pistolet voir deux pour certain et une petite arme avec trois ou quatre chargeurs. Beaucoup trop inssuffisant lorsque vous découvrez une armée d'à peu près cinq cents horreurs sorties d'on ne sait où. Le corps à corps devint obligatoire au bout d'un moment, c'était à partir de là que nous commençions à être blêssés. Je ne me rapelle plus de ce qu'il s'est passé au final. J'ai du faiblir et tomber...

 

A mon réveil, les médecins m'entouraient et ma mémoire déraillait. Je n'avais plus d'équipe, juste un tas d'inconnu en blouse blanche. La semaine qui venait de s'écoulée tennait juste à un coma. Les détails de notre combat m'ont échapés, rien ne me revient.

 

A notre sortie, l'équipe n'était plus qu'un tas de blêssé avec un faible avenir. Je ne sais pas ce que nous allons devenir ni ce que nous allons faire une fois notre foyer retrouvé. Mais une chose est sûre, nous ne travaillerons plus pour l'armée. Dés à présent, nous serons une équipe solitaire qui travaillera pour certaines personnes sous une demande.

« Au fond, quand même, qu'allons nous devenir? ... »

 

FIN PARTIE 1

Info: J'ai les résumés de toutes mes parties et l'idée de comment faire la suite mais je n'ai pas la motivation!

 

 

Fils Rouge -non finie et en retravail-

Inspiration: shojo

 

Assise sur sa chaise de bureau, une demoiselle âgée de dix-sept automnes regardait par la fenêtre de sa classe. De là, elle pouvait distinguer la cour, la verte pelouse du mois de mai avec ses nombreuses fleurs et le portail du lycée menant à une grande rue emplie d’habitations et de voitures. Elle regardait souvent dans cette direction car elle savait pertinemment que la plupart de ses camarades de classe la dévisageaient ou se moquaient d’elle. A chaque pause, le bruit produit par les amas d’élèves était assommant. Assommant pour la jeune élève exclue du groupe. Car les vingt-trois autres jeunes gens ne se rendaient sûrement pas compte du brouhaha qu’ils produisaient. Si elle s’en était sentie le courage, elle aurait réclamé le silence. Au moins pour une pause, pour cinq courtes minutes; soulager sa pauvre tête.

tous avaient leurs avis concernant la jeune fille. Ils divergeaient mais au final, revenaient toujours au même point: sombre, associable, idiote. Pourtant, elle était en tout point différente. Gentille, douce et intélligente, c’est ce qui l’avait toujours caractérisée auprès des autres jusqu’à son entrée au lycée. C’est ce qui faisait d’elle, la personne qu’elle était: Ishikawa Chiaki. Malheureusement, depuis qu’elle était au lycée, on lui collait de nombreuses étiquettes. Chiaki n’était plus la personne qu’elle avait toujours été. Etait-elle encore Ishikawa Chiaki?

La demoiselle subissait des persécutions depuis son entrée. Sa timidité l’avait coincé, enfermé dans un cocon qu’elle n’aurait certainement jamais voulu. Elle qui avait toujours eu des amis s’était retrouvée incroyablement seule et irrémédiablement mal dans sa peau de lycéenne. C’était plus que des étiquettes ou un vol d’identité. C’était une prison immatérielle sur son propre coeur et sa joie de vivre. Depuis plus d’un mois, suite à quelques pas fait de travers, seaux d’eau, chaussures volées et autres problèmes venaient à sa rencontre régulièrement. Mais comme si ce n’était pas assez, Chiaki devait cacher son mal être et son état dépressif. Car c’était déjà bien suffisant actuellement pour rajouter de l’huile sur le feu avec sa longue dépression. Médicaments et autres astuces ne pouvaient venir à bout de ses souffrances quotidiennes. Se lever le matin pour aller en cours et subir les plaisanteries peu amusantes des élèves de sa classe, la 2B, était une véritable épreuve. Le cacher à ses parents était tout pareil. La jeune fille était dépressive et sans voie d’amélioration. L’école n’aidait en rien il fallait dire.

 

Chapitre 1: “Debout, saluez, assis.”

 

Agréable, identique à une mélodie d’annonce de magasin et très loin d’un son aigüe et désagréable, la sonnerie de l’école était un plaisir pour les oreilles. Chaque début et fin de cour était annoncé par cette mélodie délicate pour les typans. Mais les pauses n’étaient généralement pas données par ce son habituel. Et c’était sur cette sonnerie que le premier cour de la journée pû commencer.

Un homme d’une trentaine d’années entra dans le local, il s’avança vers le bureau installé devant le tableau et y déposa ses affaires. Installés à leur place depuis la sonnerie, les vingt-quatre élèves du groupe se levèrent aux ordres du délégué de classe et saluèrent le professeur avant de se rasseoir. Ces trois actions ditent par: “Debout, saluez, assis” étaient comme un rituel éffectué à chaque début de cour avec un nouvel enseignant. Une répétition qui pouvait être lassante par moment. Mais c’était surtoût une marque de respect pour les enseignants qui venaient tout les jours pour faire leurs leçons parfois dans des classes insupportables.

Le bruit des vingt-quatre chaises qui s’enfonçaient un peu plus sous les tables annonça au professeur qu’il pouvait commencer son cour.

 

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