#jenesaispascommentnommercettehistoire; #Unknown

Bonjour à tous,

 

Je suis ravie de vous retrouver dans un nouveau Topic. Il n'a bien sûr rien à voir avec les dessins puisqu'il est dédié à un de mes écrits incomplet. Oui, oui, après avoir massacré le dessin, je reviens à la charge pour massacrer la littérature :XD: Par mesur de sécurité, je vous demanderai de bien vous accrocher pour supporter mon récit.

 

C'est un récit que je voulais écrire pour donner une vision "comique" d'un après-midi à l'école. De base, il devait me servir d'introduction pour le premier chapitre d'une longue histoire mais je ne me souvenais plus de l'histoire ni même du contenu du premier chapitre. Du coup, on peut appeler cela une introduction sans fin :XD: Le premier jet a été rédigé en juillet 2014 à 3h00 du matin et depuis, je façonne le récit de temps à autre. Je vous laisse découvrir :

 

 

 

Introduction du chapitre 1 jamais fini: Un après-midi interminable

 

 

"C'était un vendredi après-midi en septembre. Il faisait chaud, les oiseaux faisaient leur sieste, le soleil brillait dans le ciel bleu et dégagé tandis que les étudiants suivaient péniblement avec nonchalance le dernier cours de la journée avant le week-end. Chacun des élèves de la classe de sciences naturelles espérait de tout cœur que la cloche sonne. Non pas parce que le cours ne les intéressait pas, enfin peut-être pour certains, mais parce qu'ils étaient fatigués et exténués à cause de l'atmosphère étouffante malgré les fenêtres ouvertes.

 

 

Ouvertes ou non, cela ne changeait pas grand chose après tout. Alors que les élèves sombraient peu à peu dans le monde des merveilles en compagnie d'Alice et rêvaient de leur week-end, le professeur continuait son cours sans prêter attention à ses invités affalés sur leur bureau implorant intérieurement la cloche de sonner et l'enseignant d'arrêter de monologuer.

 

 

Un silence assourdissant régnait en maitre sur la salle de cours, c'était à se demander si ce n'étaient pas des morts qui suivaient la séance à ce moment-là. Hormis le tic-tac incessant de l'horloge et le discours du professeur sur la cellule végétale, aucun bruit ne résonnait. D'ailleurs, les cancres du fond en profitaient pour dormir emmitouflés dans leur sweater. Certains, parmi les autres élèves préféraient gribouiller avec mollesse sur leurs feuilles ou leurs cahiers, d'autres regardaient par la fenêtre (dans ces moments pareils, tout ce qui est à l'extérieur est toujours plus intéressant que ce qui se passe à l'intérieur) et se laissaient émerveiller et distraire par les oiseaux, les feuilles des arbres, les nuages qui se déplaçaient aussi lentement que l'heure de sciences naturelles, les avions...Et quelques uns, surtout les plus impatients, regardaient frénétiquement l'horloge rustique de la classe, leur montre et leur portable avec des yeux remplis d'intérêt pour ces aiguilles et ces chiffres qui défilaient. On pouvait voir, par moments, dans leurs yeux, une illumination lorsqu'une minute s'était écoulée; et de la contrariété si leur montre s'avérait être déréglée par rapport à l'horloge. Horloge à laquelle ils jetaient un regard meurtrier si elle avait le malheur d'être lente à leur goût. Après tout, une minute en moins c'est un pas de plus vers le week-end tant convoité, le repos tant espéré et les activités tant attendues.

 

 

Vous allez sans aucun doute vous demandez ce que moi je faisais à cet instant...C'est très simple, je ne vous cache rien si je vous dis que je suivais le cours avec attention et concentration dignes d'un étudiant modèle et m'imprégnais corps et âme dans l'histoire de la cellule végétale que le professeur essayait tant bien que mal de nous inculquer. Je m'émerveillais devant la beauté de chaque phrase, chaque mot, chaque syllabe, chaque lettre et chaque virgule qui sortaient de sa bouche. J'admirais le vocabulaire utilisé, je me rendais compte ainsi, avec stupéfaction, de la richesse des connaissances de mon enseignant...et aussi de la manière avec laquelle il facilitait et stimulait l'ennui, le sommeil et le désintérêt chez son public. C'étaient à des occasions pareilles que je m'apercevais à quel point notre professeur pouvait être un génie. Stimuler trois réactions chez ses élèves...si ça ce n'est pas avoir du génie. Bien que les réactions soient péjoratives, elles sont quand même diverses.

 

 

Si nous revenions à nos moutons, pendant que toute la classe usait de moyens impossibles dignes d'une opération commando pour tuer le temps (je me demande des fois si ce n'est pas lui qui nous tuait), moi, je m'amusais, non pas à suivre le cours tel un élève modèle, mais à observer avec le plus grand intérêt et amusement mes camarades de classe dépérir et le prof parler aux murs. Au moment où le désespoir faisait son apparition sur le visage des étudiants, une mélodie familière et inattendue se fit entendre: l'alarme incendie.

 

 

Avant que le l'enseignant n'ait eu le temps de nous demander de nous diriger vers la porte, tous les élèves avaient déjà quitté le local en compagnie de leur sacs, préalablement préparés, à la vitesse de la lumière. Seulement voilà, étant donné que j'étais toujours la dernière à quitter le local, j'avais eu le temps de remarquer le désarroi sur le visage de notre instituteur. Je ne saurais exprimer la désolation et l'empathie que j'avais ressenties pour lui. Je sortais de la classe calmement, la tête baissée. "

 

 

 

 

Bon eh bien, c'était juste un avant-goût de ce qui vous attendra plus tard :knifeevil: Je n'espère rien de ce récit :pourquoi: Jetez moi des pierres...J'ai honte T__T

 

C'est assez inégal. Il y a bien quelques passages intéressants / bonnes idées dans le tas toutefois. Mais certaines de tes phrases ne sont pas très bien formulées ou trop longues. On a un peu de mal à s'immerger dans l'histoire alors qu'on l'a tous vécu. C'est marrant j'imaginais en même temps que je lisais ce que j'aurais pu faire sur ce thème.^^

C'est assez inégal. Il y a bien quelques passages intéressants / bonnes idées dans le tas toutefois. Mais certaines de tes phrases ne sont pas très bien formulées ou trop longues. On a un peu de mal à s'immerger dans l'histoire alors qu'on l'a tous vécu. C'est marrant j'imaginais en même temps que je lisais ce que j'aurais pu faire sur ce thème.^^

 

 

Je trouve aussi que paR moment c'est inégal et que certaines phrases sonnent mal ou bien TROP longues...Ca fait quand même 2 ans que je me relis et je n'ai fait que des amélioration au niveau de l'orthographe :XD:

O_O ah bon?! Mon texte t'aurait donc inspiré?! => je plaisante...CECI ETAIT UNE PLAISANTERIE PAS DROLE.

Ma critique rejoint celle de Shaft : une bonne base mais quelques phrases trop longues ou alambiquées cassent un peu le rythme.

Mais globalement ça passe bien, hate de voir la suite, il y a du potentiel :d