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Juste


Naali
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Les guerres se succédaient mais le peuple Helios ne perdait jamais, l'arbre sacré était derrière eux. Cet arbre au pouvoir extraordinaire que personne n'avait jamais réussi à couper. Cet arbre qui les guidait et leur donnait de la force dans le désespoir, qui rendait leur cité prospère et qui protégeait leur peuple, Grace à cet arbre, le peuple d'hélios était devenue le plus influent des contrées de l'époque. Les pouvoirs de l'arbre étaient si grands que tous les autres clans en avaient entendu parler et ne rêvaient que d'anéantir Helios pour prendre possession de l'arbre et bénéficier de ses bonnes grâces.

Je suis Gani, jeune guerrier du peuple Helios. La rumeur qui s'était répandue des semaines plus tôt était maintenant confirmée, le peuple nordique des Huitzxo se dirigeait vers notre cité, dans le but de nous anéantir et de construire une annexe à leur cité autour de l'arbre sacré. Mais ni moi, ni aucun des membres de notre tribu ne tremblions, ils étaient plus nombreux, plus barbares et plus sauvages, mais nous, nous avions l'arbre sacré. Nous savions qu'ils arriveraient à la tombée de la nuit et nous étions prêts, Nous partîmes faire une dernière prière devant l'arbre, et comme toujours, après la prière je me sentais plus confiant et plus fort. Je rejoignis mes frères d'armes dans les rangs. Nous étions prêts à accueillir l'adversaire.

Dès la tombée de la nuit, les Huitzxo débarquèrent. Ils étaient tellement nombreux, peut-être deux ou trois fois plus nombreux que nous.  Je regardais mes compagnons et constatais qu'ils ils avaient tous le sourire. Nous savions que ce combat était gagné d'avance. Quelque minute plus tard, la bataille était à son apogée.Mes frères comme les ennemies tombaient un à un, le sol étaient ensanglanté et l'on entendait plus que des cris et le bruit des métaux qui s'entrechoquait. Je regardais autour de moi, notre armée était en train de se faire décimer.

Les doutes se mirent à parcourir mon esprit, l'arbre sacré nous aurait-il abandonné? A-t'il donné sa bénédiction à ce peuple d'étrangers? Allons nous perdre? Vais je mourir ici?

Pendant que je réfléchissais ainsi, une flèche se planta dans mon épaule gauche. Je me mis à hurler, mais  n'entendais pas mes propres cris à cause du brouhaha ambiant,  j'avais peur,  je tremblais, je... Quand soudain, le chef de notre armée cria:

– Pourquoi avez-vous peur? l'arbre sacré est avec nous!

À ce moment, je sentis le pouvoir de l'arbre sacré parcourir tout mon corps. D'un geste sec, je retirai la flèche plantée dans mon épaule et la fichais dans la tête d'un nordiste qui passait devant moi. Je regardais autour de moi, l'arbre sacré avait agi sur mes camarades tout autour de moi,  ils étaient tous revigorés et massacraient les étrangers comme si ils étaient des fourmis. Notre armée, avec la force que l'arbre sacré venait de nous confier, ne faisait qu'une bouchée de nos adversaires. Quelques minutes plus tard, la guerre était terminée,  nos guerriers était encore une fois victorieux. Les survivant de notre armée partirent un à un remercier l'arbre pour son aide pendant la bataille, alors que je me dirigeais aussi  vers l'arbre, je me mis à regretter les doutes que j’avais eus durant la bataille, Je pensais que l'arbre nous avait abandonné, mais c'était juste dans ma tête. 

Je suis un arbre. Je vivais dans une forêt peuplée d'arbre comme moi, mais un jour, des hommes sont arrivés et ont coupé tous mes congénères. Ils avaient pratiquement coupé tous les arbres de la zone quand mon tour arriva. L' homme s'avança au niveau de mon tronc: mon heure était venue. Mais au premier coup, la hache se brisa.  C'était assez normal. À force de se relayer avec la même hache pour raser une forêt, elle allait finir tôt ou tard par se casser. Soudain, les hommes se mirent à crier. J'entendais juste des mots comme: ''Arbre sacré'', ''impossible à abattre'','' bénédiction''... c'est ainsi que je devint l'arbre sacré du peuple Helios. Le temps passa et je devins une divinité pour ces hommes, Ils étaient convaincue que j'avais des pouvoirs. Tellement convaincue, que j'étais devenue le centre de leur vie. Mais tous sa, c'était juste dans leurs têtes.

Je suis l'auteur de cette histoire, j'écris des récits sur des arbres qui parlent, est ce que je deviens fou? tout ça c'est juste dans ma tête.

Quelque millier d'année plus tard, un bûcheron se baladait dans la forêt avec son équipe et sa tronçonneuse, Il aperçut un arbre avec des marques et des signes gravés sur son écorce, il demanda à son collègue:

– doit on aussi coupé celui ci?

– Oh, il doit avoir des millier d'année, celui-ci, répondit son collègue. Mais oui, ont doit le couper aussi.

L'homme approcha sa tronçonneuse de l'arbre pour le couper...

 

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Et une fois de plus l’écrivain d"oa est plus motivé que jamais pour nous sortir une merveilleuse histoire ! Elle est sublime !! T'as énormément de talent en écriture !! Bravoooo :mo4:

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Merci, c'est gentil  :cries:

Cette histoire à beaucoup de message caché et je sais pas si tu les a tous compris, en tout cas c'est cool de toujours prendre le temps de lire, j'apprécie.:\o/:

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Bon, j'ai longtemps hésité à poster un commentaire constructif sur cette section, de peur de mal faire. Car, était écrivain amateur, mais sans aucune formation littéraire (bonjour les études scientifiques), je ne me sens pas la légitimité de bien critiquer d'autres écrits amateurs (comme les miens). Mais après avoir discuté avec toi sur la Shoutbox (merveilleuse invention), je me dis que ça pourrait être utile. J'aurais aimé que quelqu'un me guide un peu plus au moment où j'ai commencé à écrire au lycée pour ma part.

Pour commencer, ton récit est relativement clair et va quelque part. J'ai pu le lire sans trop de difficulté et ai compris le message qu'il fait passer (la force de l'auto-persuasion et l'attachement à l’irrationnel en avant). Et vu la facilité avec laquelle tu arrive à créer de petites histoires comme ça, je pense que tu n'aura de cesse de progresser. Le tout sera d'arriver à trouver les bons outils pour servir ton imagination.

D'autre part, je t'admire vraiment car tu arrive à faire ce dont je suis incapable : créer de courtes histoires. J'ai essayé à plusieurs reprises. A chaque fois ça se transforme en pseudo-roman d'anthologie xD donc respect pour ça.

Pour finir tu trouvera à la fin de mon post ton texte avec certaines annotations. Ne te laisse pas impressionner par leur nombre, c'est bien souvent toujours les mêmes remarques qui reviennent. Des choses qui se corrigent très facilement une fois qu'on a mis le doigt dessus.

En substance, dans la structure de ton texte, pense à plus souvent couper tes phrases. Un point permet au lecteur de souffler et de ne pas perdre le fil du récit. Dès que ta phrase s’étend, et si la tournure s'y prête :  met un point. L'autre chose, c'est les répétitions. Je ne suis pas un extrémiste de ce coté là, mais parfois tu as trois occurrences du même mot dans deux phrases accolées. Ça il faut à tout prix l'éviter. La dernière chose étant le temps. Tu change de narration au bon moment en créent un bon effet, mais attention à quand même au moins aller à la ligne quand c'est comme ça. Tu l'a très bien fait pour le changement de narrateur à la fin.

Bref, continue ! Même si je ne commente pas tes prochain écrits (à moins que je juge cela nécessaire), je les lirait pour voir l'évolution de ta prose. Sois-en certain ;)

 

P.S. : nul prétention de ma part. Comme je l'ai dis et le répète : je n'ai aucune formation littéraire, n'ai jamais été publié et n'ai comme expérience que mes lectures et mes écrits personnels ! Que ce soit dit, et bien dit ! Et je fais plein de fautes d'orthographe !

 

 

 

Les guerres se succédaient mais le peuple

Helios (comme tu l'écris avec une seule majuscule ensuite, il faudrait faire de même ici) ne perdait jamais (un point ici permet une meilleur lisibilité du reste de la phrase [subjectif]). L'arbre sacré était derrière eux . Cet arbre au pouvoir extraordinaire que personne n'avait jamais réussi à couper. Cet arbre qui les guidait et leur donnait de la force dans le désespoir, qui rendait leur cité prospère et qui protégeait leur peuple. Grace à cet arbre, le peuple Hélios ("le peuple Hélios du coup c'est un peu long. Le peuple d'Hélios ou les Héliens ?.... suggestion de confort) était devenue le peuple (répétition de "peuple" en un très cours laps de temps) le plus influent des contrées de l'époque. Les pouvoirs de l'arbre étaient si grands que tous les autres clans en avaient entendu parler et ne rêvaient que d'anéantir Helios pour prendre possession de l'arbre et bénéficier de ses bonnes grâces.

Je suis Gani, jeune guerrier du peuple Helios. La rumeur qui s'était répandue des semaines plus tôt était maintenant confirmée, le peuple nordique des Huitzxo se dirigeait vers notre cité, dans le but de nous anéantir et de construire une annexe à leur cité autour de l'arbre sacré. Mais ni moi, ni aucun des membres de notre tribu ne tremblions. Ils étaient plus nombreux, plus barbares et plus sauvages, mais nous, nous avions l'arbre sacré. Nous savions qu'ils arriveraient à la tombée de la nuit et nous étions prêts. Nous partîmes faire une dernière prière devant l'arbre et, comme toujours, après la prière je me sentais plus confiant et plus fort. Je rejoignis mes frères d'armes dans les rangs. Nous étions prêts à accueillir l'adversaire.

Dès la tombée de la nuit, les Huitzxo débarquèrent. Ils étaient tellement nombreux, peut-être deux ou trois fois plus nombreux que nous. Je regardais mes compagnons et (constatais qu'ils/aperçu qu'ils/visqu'ils....  il manque un mot ?) ils avaient tous le sourire. Nous savions que ce combat était gagné d'avance. Quelque minute plus tard, la bataille était à son apogée. Mes frères comme les ennemies tombaient un à un. Les sols étaient ensanglantés et l'on entendait plus que des cris et le bruit des métaux qui s'entrechoquait. Je regardais autour de moi et (tu utilises un peu trop le "et" qui peut souvent être remplacé par un mot plus descriptif, ou une tournure de phrase qui l'évite) notre armée était en train de se faire décimer. Les doutes se mirent à parcourir mon esprit (là tu passes au présent donc il faudrait au moins faire un retour à la ligne, voir mettre les phrase en italique pour bien signifié qu'on passe à une narration sur le présent) :

L'arbre sacré nous aurait-il abandonné (espace avant un point d'interrogation)? A t-il donné sa bénédiction à ce peuple d'étrangers ? Allons nous perdre ? Vais je mourir ici ?

(idem qu'avant pour le changement de temps de narration, retour à la ligne au minimum) Pendant que je réfléchissais ainsi, une flèche se planta dans mon épaule gauche. Je me mis à hurler, mais (le "je" n'est pas nécessaire ici, à enlever pour éviter la répétition) n'entendais pas mes propres cris à cause du brouhaha ambiant. J'avais peur.  Je tremblais. Je... Quand soudain, le chef de notre armée cria:

(marque de dialogue)– Pourquoi avez-vous peur ? L'arbre sacré est avec nous !

À ce moment, je sentis le pouvoir de l'arbre sacré parcourir tout mon corps. D'un geste sec, je retirai la flèche plantée dans mon épaule et la fichais (pour éviter la répétition directe) dans la tête d'un nordiste qui passait devant moi. Je regardais aux alentours (pour éviter la répétion de "moi"); l'arbre sacré avait agit sur mes camarades tout autour de moi. Ils étaient tous revigorés et massacraient les étrangers comme s'ils étaient (tournure maladroite) des fourmis. Notre armée, avec la force que l'arbre sacré venait de nous confier, (comme un second souffle -> coupe trop la phrase déjà coupée), ne faisait qu'une bouchée de nos adversaires. Quelques minutes plus tard, la guerre était terminée. Notre armée (trops d'"armée", à remplacé par "nos guerriers" par exemple) était encore une fois victorieuse. Les survivant de notre armée partirent un à un remercier l'arbre pour son aide pendant la bataille. Alors que je me dirigeais aussi vers lui (pour éviter la répétition), je me mis à regretter les doutes que j'avais eus durant la bataille. Je pensais que l'arbre nous avait abandonné, mais c'était juste dans ma tête. 

Je suis un arbre. Je vivais dans une forêt peuplée d'arbre comme moi, mais un jour, des hommes sont arrivés et ont coupé tous mes congénères. Ils avaient pratiquement coupé tous les arbres de la zone quand mon tour arriva. L' homme s'avança(pour éviter la répétition directe) au niveau de mon tronc : mon heure était venue. Mais au premier coup  (de hache -> à suprimer), la hache se brisa. C'était assez normal. À force de se relayer avec la même hache pour raser une forêt, elle allait finir tôt ou tard par se casser. Soudain, les hommes se mirent à crier. J'entendais juste des mots comme : "Arbre sacré", "impossible à abattre", "bénédiction" (ajout de guillemet pour la citation)... c'est ainsi que je devint l'arbre sacré du peuple Helios. Le temps passa et je devins une divinité pour ces hommes. Ils étaient convaincue que j'avais des pouvoirs. Tellement convaincue, que j'étais devenue le centre de leur vie. Mais tous sa, c'était juste dans leurs têtes.

Je suis l'auteur de cette histoire, j'écris des récits sur des arbres qui parlent, est ce que je deviens fou ? Tout ça, c'est juste dans ma tête.

Quelque millier d'année plus tard, un bûcheron se baladait dans la forêt avec son équipe et sa tronçonneuse. Il aperçut un arbre avec des marques et des signes gravés sur son écorce, demanda à son collègue :

(dialogue restructuré)– Doit on aussi coupé celui ci ?

– Oh, il doit avoir des millier d'année, celui-ci, répondit son collègue. Mais oui, ont doit le couper aussi.

L'homme approcha sa tronçonneuse de l'arbre pour le couper.

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Ton avis est assez constructif, Désolé pour les fautes, c'est assez normal parce que je ne me relie pas (ouais, je suis un gros flemmard).

c'est cool d'avoir ce genre de commentaire, c'est dur de ce juger soi même.

Je pense que je pourrais être capable d'arriver à un résultat semblable à ta correction en fesant vraiment attention au style d'écriture, en fait pour le moment je me concentre plus sur ce que je raconte que de la façon dont je le raconte. 

 

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Ohhhhhhh quel belle histoire on ressent les émotions de c'est personnes j'etait a 2 doigts de pleuré alors la naali-Kun victoire c'ette histoire m'a fait comprendre quel que chose que je ne ressentais pas avant mais que je n'arrive pas à d'écrire 

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Salut, bien que ton histoire a été corrigé, il subsiste encore quelques fautes, je dirais pas que c'est gênant mais c'est toujours mieux sans ^^

Ensuite pour moi survient quelques points importants, par la longueur de ton récit et par ton style tu écris une nouvelle, mais ta chute n'est vraiment pas assez mise en exergue (au beau milieu du premier paragraphe, le final était déjà prévisible), tu fais également énormément de repétition, et les enchaînements de phrases courtes, ça devient rapidement agaçant.

Personnellement, je suis pas réellement fan de ton style d'écriture, j'avais trouvé tes histoires précédentes belle par la morale multiple qu'on peut interpréter, mais je pense que si tu prenais plus le temps ta plume n'en serait que meilleur.

Enfin, l'intrusion de l'auteur m'a dérangé, planté là au beau milieu du récit, c'était intéressant de tenter une mise en abyme, mais ici elle n'amène rien, elle fait presque tâche au récit, et du coup ta dernière partie, coupée du texte, n'est pas aussi bien intégré qu'à ton oeuvre. Tu as peut être voulu la mettre en avant, mais pour moi la morale n'est pas ici, par conséquent j'aurai jugé cette partie de décorative pour embellir le texte.

Voilà, j'ai fait ma petite critique, je t'encourage vraiment à continuer à écrire pour te perfectionner, tu as mon avis personnel :3

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Alors:

1. 

Il y a 19 heures, Naali a dit :

(ouais, je suis un gros flemmard)

Ça, Nala, on le savait déjà mais je te pardonne, tu es un garçon après tout ^^ #sexisme-assumé

2. Ton histoire est super (surtout pour un flemmard), il faut du courage pour aboutir un écrit et du talent pour la présenter comme ça.

3. Je te suggère d'écrire une suite et/ou développer l'histoire pour tenter ta chance à un concours ou soumettre le titre à un éditeur

Bref, continue à écrire Nala!

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Il y a 3 heures, Asuka-Hime a dit :

Alors:

1. 

Ça, Nala, on le savait déjà mais je te pardonne, tu es un garçon après tout ^^ #sexisme-assumé

2. Ton histoire est super (surtout pour un flemmard), il faut du courage pour aboutir un écrit et du talent pour la présenter comme ça.

3. Je te suggère d'écrire une suite et/ou développer l'histoire pour tenter ta chance à un concours ou soumettre le titre à un éditeur

Bref, continue à écrire Nala!

C'est gentil :al015: et tu ne sais pas à quel point c'est encourageant quand quelqu'un commente ce que tu écris. Il y'a les commentaires négatifs, les commentaires positifs mais rien n'est pire que l'indifférence.

Je vais continuer à poster des histoires sur le forum pour le moment... ont vera ce que la vie me réserve

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