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Donnie Darko


Ice-Q
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Messages recommandés

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Réalisé par Richard Kelly

Avec Jake Gyllenhaal, Maggie Gyllenhaal, Drew Barrymore,

Long-métrage américain .

Genre : Drame , Thriller

Durée : 01h44min

Année de production : 2001

 

Histoire :

 

Donnie Darko est un adolescent de seize ans pas comme les autres. Intelligent et doté d'une grande imagination, il a pour ami Frank, une créature que lui seul peut voir et entendre.

Lorsque Donnie survit par miracle à un accident, Frank lui propose un étrange marché. La fin du monde approche et ce dernier doit accomplir sa destinée. Des événements bizarres surviennent dans la petite ville tranquille, mais Donnie sait que derrière tout cela se cachent d'inavouables secrets. Frank l'aidera à les mettre à jour, semant ainsi le trouble au sein de la communauté.

 

 

 

 

 

 

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Réalisé par Chris Fisher (III)

Avec Daveigh Chase, Elizabeth Berkley, Briana Evigan, Ed Westwick, James Lafferty

Genre : Divers

Durée : 01h41min Année de production : 2009

 

Histoire :

 

Samantha, la soeur de Donnie Darko, fuit la ville avec son meilleur ami, lorsqu'elle est prise de visions étranges...

 

 

 

Avis d'un membre :

 

Donnie Darko, de Richard Kelly

Je suis vraiment restée scotchée devant ce film, j'ai adoré.

Le personnage de Donnie est inquiétant et... fascinant.

Le scénario est complexe, d'ailleurs ça fait 2 jours que j'échafaude des tonnes de théories pour comprendre certains détails.

La bande son est juste géniale.

C'est le genre de film qui ne laisse pas indifférent.

 

 

Mon Avis :

 

Tout d'abord MERCIIIIIIIIII YUZYUZ de m'avoir fait découvrir ce film :)

 

Bon maintenant le film.

On va commencer par le premier

Wahou, c'est vraiment un film très particulier.

C'est un peu long à se mettre en place, çà n'avance pas toujours, mais tout cela est fait exprès.

En effet l'ambiance créé met le doute, le suspens.

Le tout accompagné d'une bande son très saisissante.

J'ai adoré le masque de lapin et j'en veux un!!!

Pour ceux qui n'aurait pas tout compris au film, je vous laisse lire l'article sur wikipédia qui est très détaillé.

Sinon après en acteur principale on a Jake Gyllenhaal (Brothers, Prince of Persia,..) est vraiment jeune. Certes il a la vingtaine, mais çà fait bizare de le voir comme çà. Bin il joue bien son rôle de "parano"..

bon jvais pas en dire plus pour ne pas gâcher l'intrigue :o

 

 

Quant au 2 c'est la suite 7ans après.

Mais bon voila, j'ai préféré de loin le premier.

Dans cette suite j'ai été étonné de voir Ed Westwick de "gossip girl" et James Lafferty des frères scott.

Le premier a un peu le rôle du beau gosse (on se demande pourquoi XD, le chuck bass est en forme ahahahaha), et le 2e joue le rôle d'un ancien soldat dont la folie l'aurait pris.

On a droit a plus d'effet spéciaux, mais bon, on n'a pas trop le même suspens que dans le 1.

 

Enfin voila, je vous laisse découvrir cette saga, qui est je le répète, trèèès particulière!

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Donnie Darko, c'est juste mon film préféré, je l'ai vu la 1ère fois il y 1 ou 2 ans à la télé et depuis, j'ai pas autant apprécié un film.

L'ambiance, la musique, l'histoire, j'ai tout aimé.

Jake Gyllenhaal joue vraiment bien son rôle.

Il est vrai que le scénario est assez tordu et complexe, et laisse libre cours à notre imagination, mais beaucoup de réponses sont disponibles sur le site officiel ( il y a par exemple des pages du livre que lit Donnie )

Il y a des scènes qui m'ont vraiment marquées ( le passage sur les Schtroumpfs est vraiment interessant je trouve, mais mon préféré reste la discussion avec Franck au cinéma)

La bande son est géniale aussi, il y a des musiques vraiment belles ( la reprise de Mad world des Tears for fears par Gary Jules par exemple..)

Enfin je pourrai passer des heures à complimenter ce film.

Je le recommande vraiment à ceux qui ne l'ont pas vus, mais soyez avertis qui comme l'a déjà dit Ice-Q est très particulier.

 

Par contre j'ai pas accroché à la suite, je trouve qu'elle est vraiment moyenne comparée au 1er.

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Tu vois Ice que je regarde des films bien des fois v_v

Je vais essayer de voir le 2ème film mais ça sera jamais aussi bien qu'avec Donnie.

Le débat sur les Schtroumpf m'a bien marqué aussi mais j'ai surtout adoré la conversation entre Donnie et son professeur.

C'est le genre de film qui pour moi devrait durer des heures.

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Juste un coup de gueule : comment t'as osé réunir les deux films en un même topic? Donnie Darko premier du nom, et sa "suite"? Non non non non je ne suis pas d'accord xD

C'est comme l'effet papillon 2, qui a osé regarder plus de 10 minutes après un début pareil?

 

 

Enfin bon, Donnie Darko est un film à voir, avec un excellent casting, ceci dit c'est un film qui ne plaît pas à tout le monde, il faut arriver à suivre le personnage principal dans son délire limite schizophrène et ses visions. En tout cas, que du bon, acteurs, scénario, musique (MAD WORLD, une chanson merveilleuse *O*).

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çà fait plaisir de voir autant de réactions :)

 

yuzyuz ==> au fait j't'ai dit merci ? hahaha :) oui c'est vrai pour UNE fois :) tu regardes des bons films ^^

 

rin ==> comment j'ai osé ? bin parce que mine de rien c'est une saga! çà plait pas forcément les suites, et celle ci est ratée c'est sur mais bon!

Quant à l'effet papillon j'ai vu le 2 et 3 en entier ! Ok c'est pas top surtout le 2, mais le 3 rattrape un peu.

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Bof pour moi une saga c'est une suite de films qui l'était dès le départ, comme star wars, le seigneur des anneaux, et bien d'autres encore..... c'est pas une "série" de films dont les suites sont plus nulles à chier les unes que les autres tout ça parce que le premier est un succès et que les producteurs revendent les droits histoire de s'en mettre plein les poches (et la liste est atrocement longue).

 

A noter que Jake Gyllenhaal a joué dans prince of persia...... arf.... quelqu'un l'a vu? Si oui, performance?

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je suis bien d'accord avec toi sur le fait qu'une saga c'est un truc de prévu et tout.

Mais n'empêche qu'ici c'est une "saga" ou 2 films se faisant "suite" !

 

 

Quant à jake, non j'ai pas vu, prince of persia, mais si tu veux regarde là c'est le topic avec les réactions des autres membres :)

 

sinon avec le même acteur je te conseille brothers, et c'est une belle performance du trio d'acteurs :)

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  • 1 month later...

*double poste après presque 2 mois*

 

 

voila, je viens de revoir ce film avec un ami, et c'est vraiment une TUERIE!

 

Je suis tout simplement un gros fan de Frank (regardez mon avatar)

 

 

Puis mon passage préféré reste sans doute :

 

 

 

Je ne peux que vous conseiller de le voir, et même le revoir si vous avez pas tout compris!

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  • 2 weeks later...

Rien que tel que cette musique pour nous rappelle a quel point le film est bien.

Mais vraiment flou. Vraiment plein d'interpetation.

Et c'est ce qui fait sa force.

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  • 1 year later...
Spécial Halloween : Donnie Darko, dix ans déjà !

 

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Séquence nostalgie : cela fait maintenant dix ans que Donnie Darko est sorti en salles. Retour sur un film culte qui s'impose plus que jamais comme le film parfait pour une soirée Halloween...

 

RICHARD KELLY A DIT : "Le film n'est pas nostalgique, il regarde en arrière à la fin d'une décennie définie par l'avidité, l'extravagance, la psychologie de bazar, la médicalisation des enfants. C'est un environnement propice pour précipiter l'instabilité du personnage principal."

 

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vant Donnie Darko, Richard Kelly n'était qu'un jeune diplômé en production cinéma de l'University of Southern California (USC), auteur de deux courts-métrages, The Goodbye place récompensé au Virginia Film Festival et Visceral matter, qui préfiguraient sa prédilection pour les atmosphères étranges. A 26 ans, il a réalisé un premier long-métrage exceptionnel qui a connu un succès tardif - plus affirmé en DVD que dans les salles. Autre particularité : il est sorti aux Etats-Unis juste après les attentats du 11 Septembre: "Le film a été perçu différemment après le 11 septembre, d'une façon plus profane. Mais je crois que c'est le cas de tout film qui traite d'émotions profondes, de religion, de destin ou de fatalité. Le film est né de cette idée d'un réacteur qui tombe de nulle part. De là, le conte sur le passage à l'âge adulte. En surface, le résultat évoque un mélange de la noirceur d'Alan Ball et de la séduction plastique de David Lynch. Mais ce ne sont que les apparences.

 

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Cette histoire de super-héros qui s'ignore (Jake Gyllenhaal, alors inconnu), persuadé que la fin du monde a lieu dans vingt-huit jours, devient une plongée dans le quotidien de personnages qui tentent de véhiculer une image rassurante alors qu'en réalité, ce sont des monstres. Le plus bel exemple, c'est le prédicateur Jim Cunningham (incarné par feu Patrick Swayze) qui donne l'image d'un moralisateur exemplaire alors qu'il possède dans sa cave des vidéos à caractère pédophile: "Patrick était une icone des années 80. Quand on lui a proposé le rôle (celui d'un prédicateur bidon), il n'a pas hésité une seconde à casser son image. Ça en dit long sur son sens de l'humour et sa volonté de prendre des risques."

 

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Ce qui est impressionnant dans Donnie Darko, outre la capacité de Kelly à maîtriser la densité du script, c'est la maturité du propos : "J'ai écrit le script de Donnie Darko avant d'avoir vu Magnolia , mais je ne peux pas nier l'influence majeure qu'il a exercée sur moi. À mon avis, c'est un des films les plus importants des années 90. La dextérité avec laquelle Paul Thomas Anderson raconte une histoire aussi épique avec des moments aussi intimes est monumentale." Il y a d'emblée un mal-être, une ambiance morose, déprimante, surlignée par la bande-son magique de Michael Andrews. Il y a aussi une dimension fantastique discrète qui lorgne vers la science-fiction, qui triture les codes des paradoxes spatio-temporels (le réacteur d'avion dans lequel sont la mère et la fille qui se retrouve, vingt-huit jours plus tôt, dans la chambre du héros).

 

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Très proche de Ghost World, de Terry Zwigoff (le vieil homme énigmatique assis sur un banc attendant un bus qui ne vient pas ressemble au personnage de "Grand-mère-la-mort"), Donnie Darko est un film faussement doux et léger sur le sacrifice d'un adolescent trop intelligent qui n'arrive pas à trouver sa voie dans une société rongée par l'uniformité. L'action se déroule à la fin des années 80 et à l'époque, Richard Kelly n'était qu'un Donnie Darko : les étudiants portaient les mêmes uniformes, les lapins géants venaient hanter les nuits, les enfants créaient des groupes de danse, les ados se déguisaient pendant les fêtes d'Halloween, les vieilles femmes attendaient du courrier dans leurs boîtes aux lettres vides, les prédicateurs tentaient d'inculquer des valeurs patraques, les Duran Duran et autres Tears for Fears cartonnaient au hit-parade, les cinémas proposaient en double-programme La dernière tentation du Christ et Evil Dead, et le spleen des doux rêveurs désabusés, ceux qui avaient peur de mourir le lendemain, se propageait comme un incendie.

 

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Après Donnie Darko, Richard Kelly réalise Southland Tales, qui a beaucoup déçu. Comme dans Donnie Darko, l'énigme, c'est de savoir ce qu'il s'est passé à l'intérieur de cette faille. Elle a provoqué le dédoublement de deux personnages (The Rock et Seann William Scott donc) qui sont deux figures christiques. Dans Southland Tales, tout est placé sous le signe du double et de la dualité : certains ont des doubles physiques, d'autres des doubles personnalités. C'est le principe même des routes divergentes. Pour Richard Kelly, c'est une métaphore de la bipolarisation des Etats-Unis (les notions du Bien et du Mal dans Donnie Darko). Les deux personnages joués par Seann William Scott ne sont pas des jumeaux mais des doubles, des calques du même être humain : l'un inconscient, l'autre amnésique. Boxer, celui interprété par The Rock, devient Jericho Cane, son double, mais ce n'est que de la schizophrénie. Pour plus de précisions, il faut se procurer les bandes-dessinées : il existe une quarantaine de pages sur le scénario déterminant l'identité de Jericho Cane. Ces deux personnages ont traversé la quatrième dimension. Comme pour un atome, ils ont été coupés en deux. Le salut de l'humanité, c'est juste un homme qui se serre les deux mains.

 

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Né à Richmond (Virginie) dans une banlieue qui ressemble à celle de Donnie Darko, Richard Kelly a grandi en regardant les films de Steven Spielberg, Robert Zemeckis et James Cameron. Etudiant, il vénérait Quentin Tarantino à cause du scénario de Pulp Fiction. Dans une scène, Ving Rhames porte un sparadrap sur la nuque, après avoir perdu son âme. Le " A " tatoué sur la nuque de The Rock reprend une idée l'ayant marqué selon laquelle " la nuque abriterait l'âme ". A la fin de Southland Tales, le tatouage sur le cou de Boxer se mettra à saigner et Krysta (Sarah Michelle Gellar) y verra les stigmates du Christ. Kelly joue les prophètes et il a raison : le monde poubelle est à portée de main. L'écran de télé devient un pop-up interactif, la publicité bouffe tous les espaces, les cris d'émeutes sont noyés sous les feux d'artifice, les traumatismes remontent, les espoirs coulent, les faits sont têtus, jusqu'à l'écoeurement. C'est fini, c'est le vrai bang, le raz de marée de la crise. L'immense cirque grotesque de ce Southland Tales, travaillé par Kafka (l'illogisme), Orwell (le communisme selon La ferme des animaux) et K. Dick (dimensions parallèles, flics louches, contre-culture souterraine, hallucinogènes) perd dans des détails et des anecdotes pour provoquer un chaos prophétique. Après cet échec, il revient avec The Box, un film adapté d'une nouvelle culte mais qui ne connaîtra pas le même succès d'estime de Donnie Darko.

 

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  • 10 months later...

Allez hop, une 1ère réponse à ce Topic pour l'année 2012 :coucou : "j'achète" Donnie Darko, 1er du nom, pour le mater une 2ème fois histoire de bien tout comprendre à ce film et voir si il est aussi "mythique" que tu le dit Ice-Q.

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Je me suis permis de modifier ton message pour éviter de parler de choses illégal haha

 

En tout cas pour moi ce film reste un chef d'oeuvre.

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Je me suis permis de modifier ton message pour éviter de parler de choses illégal haha

 

En tout cas pour moi ce film reste un chef d'oeuvre.

Oups, merci Ice-Q.

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  • 1 year later...

Vu le 1, j'ai été impressionné à l'époque. Comment faire un film fantastique sans trop d'effets spéciaux tout en ayant une ambiance bien spéciale ? La réponse est dans Donnie Darko. Tous les personnages amènent une certaine réflexion (cf Patrick à contre emploi ici) et l'intensité monte crescendo. Je le recommande chaudement !

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