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[Fanfiction] Petit scénario


xellos82
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J'ai décidé de réécrire une histoire que je voulais écrire pour le fun il y a deux trois ans.

Comme d'habitude je n'ai fait qu'effacer, recommencer, effacer, recommencer... dernièrement j'ai retrouvé le début que j'avais re-re-re-re-re-recommencer et je me suis souvenues de l'histoire, même si je pense l'avoir pas mal modifié sans m'en rendre compte.

 

Ce n'est pas une histoire que j'ai fait avec tout mon sérieux et donc il y a pas mal de plagiat.

Je vais essayer de faire un petit synopsis/résumer. Cependant, je ne suis pas très douer pour cela - -'.

 

Bon l'histoire se déroule dans un monde factice, toutes ressemblances avec des lieux existants ou des choses qui se soient vraiment passés ne seraient qu'une pure coïncidence...

 

Synopsis/résumé/prologue :

Tout commença par l'apparition de personne aux étranges pouvoirs. Les gens étaient habitués à la magie mais celle-ci sortait de toute chose connue. Le pays fut divisé en plusieurs partis. Chaque de personne possédant se pouvoir en prirent une partie. Combien étaient-ils ? Personne ne savait s'ils étaient deux, cinq, ou cent. Chaque territoire était fermé par des champs de bataille opposant les hommes de ses « seigneurs ».

Des armées qui ne dormaient pas, ne buvaient pas et ne mangeaient pas. Il eut de nombreuses disparitions dans les villes de tout le pays. Chaque disparition renforcée l'armée du « seigneur des lieux ».

Une jeune femme d'une vingtaine d'années apparus dans la capitale d'un de ces territoires. Elle connaissait tout de cette magie, beaucoup mieux que ceux qui la possède.

 

En allant tuer l'un de ces « seigneurs » elle sauva une autre jeune femme du même âge. Celle-ci décida de l'accompagner dans sa quête en espérant pouvoir répondre aux questions qu'elle se pose sur elle :

Qui est-elle ? que sait-elle ? pourquoi fait-elle cela ? et qu'est-elle ?

 

Chapitre I

La plus belle des combattantes

 

 

 

 

Lilith était une jeune libraire n’ayant même pas dix-neuf ans. Derrière son comptoir elle lisait un livre, le plus épais de la boutique. Sur la couverture du livre, qui était relié en cuire, était d’écris, « Le fonctionnement des magies de puissance moyenne ».

La jeune fille avait des cheveux frisés couleurs châtains tombant sur ses épaules. Ses yeux bleus azur fixés les pages du livre avec de rare battement de cils. Elle avait un beau visage, plutôt enfantin mais l’air qu’elle prenait en général ressemblé plus à celui d’une grande femme d’affaire.

La porte de la boutique s’ouvrit et un bruit de clochette résonna dans tout le magasin, mais Lilith plongé dans sa lecture n’y fit pas attention. Une personne rentra avec un « Bonjour », destiné à la libraire et aux autres clients, si clients il y avait. Lilith n’y fit pas attention. Le personnage fouilla dans les étagères de livre en lisant les noms des ouvrages.

La personne s’approcha du comptoir et posa un petit livre dessus.

-Excusez-moi, dit la personne avec une voix douce, agréable et sombre.

La jeune fille ne remarqua rien.

-Excusez-moi, répéta la personne sans changer de ton.

Lilith tourna une page de son livre comme si de rien n’était. La personne baissa le livre que tenait la jeune fille. Celle-ci mit un marque-page dans son livre et la ferma.

Elle leva lentement la tête en déclarant :

-Bonjour, que puis… commença-t-elle.

Elle fut coupée en contemplant le visage du client, ou plutôt de la cliente. C’était une jeune femme d’environ vingt-cinq, la plus belle femme qu’ait vu la libraire.

De longs et lisses cheveux noires corbeaux, dont l’une des mèches cachait son œil droit. Son œil gauche, était noire. Plus sombre que la nuit et plus doux que le clair de Lune. Son tain était pale et ses trais fins.

-Je voudrais vous achetez un livre, déclara-t-elle.

-Euh… je…je… bégaya Lilith.

La jeune ne trouva pas ses mots devant cette beauté rayonnante. Même si rayonnante ne serait pas le mot, car sa splendeur était fantomatique.

-Vous ne vous sentez pas bien ? s’inquiéta la jeune femme.

Elle posa l’une de ses mains sur le front de Lilith et l’autre sur le siens.

Elle avait de longs doigts fins, la peau douce et froide.

-Vous ne semblez pas avoir de fièvres.

Lilith reprit ses esprits.

-Oui ! Je vais très bien, affirma-t-elle.

Elle observa le livre : « Vivre en société », était écrit sur la couverture.

La splendide jeune femme posa une pièce argenté sur le comptoir et pris le livre. Elle se dirigea directement vers la porte, dit « Aure voir » en se retournant un instant avant d’ouvrir la porte et de partir sous le bruit de la clochette de porte.

Lilith était sans réaction, comme si elle était pétrifiée. Elle venait de voir une vue d’ensemble de la jeune femme.

Elle était mince, bien proportionnée, de longues jambes et portait une sorte de robe d’été noir et des talons bas et épais à ses pieds.

Elle reprit de nouveau ses esprits et replongea dans sa lecture.

 

Quand elle arrêta de lire il était tard et elle décida de rentrer. Elle ferma la porte de la boutique à double tours et se mit à marcher, son livre dans ses bras. Il faissait nuit, mais la Lune était pleine et toutes les ruelles de la ville étaient éclairées.

Lilith était fatigué, elle somnolait en marchant. Malheureusement pour elle, à cause de la Lune et de la fatigue, elle ne remarqua même pas que la nuit était tombée.

Elle allait tourner à droite au croisement. Elle se réveilla d’un coup quand elle remarqua ce qui s’est trouvait dans cette direction.

La charrette à prisonniers du seigneur de la ville. Deux grandes silhouettes à environ cent mètres, vérifiaient s’il n’y avait pas d’imprudent osant sortir la nuit. Toutes personnes attrapées et emmenées au seigneur, disparaissaient à jamais.

Si elle n’avait pas été dans les nuages, elle aurait remarqué qu’il faissait déjà nuit et elle serait restée dormir dans le magasin. Elle rebroussa chemin de quelques pas. Que faire ? Retourner dans la boutique ? Non, son appartement était plus près, de plus il n’y avait pas qu’un seul groupe qui fouillait la ville.

Elle passa entre deux battisses. La ruelle était étroite et parallèle à la grande rue qu’elle voulait prendre. Elle y resta sur deux ou trois-cents mètres, puis elle passa entre deux bâtiments pour retourner sur la grande rue.

Elle regarda vers la gauche. Les deux silhouettes agrippaient une autre plus frêle et la fit rentrer dans la charrette à prisonnier. Elle en profita pour presser le pas vers la droite.

Un dernier regard derrière. Les deux hommes n’étaient plus visibles. Elle regarda de nouveau devant.

Une ombre se dressa devant elle. Levant les bras, les mains croisées, il les fracassa sur le crâne de la jeune fille. Elle fut évanouie en un instant.

Elle se réveilla dans la charrette pour prisonnier avec un mal au crane dû à une bosse et son livre avait disparu. Un homme tirait la charrette. C’était le plus grand et le plus large des trois et sûrement celui qui l’avait assommé. Elle ne le voyait que de dos, alors que ses deux collègues étaient l’un et l’autre des côtés de la charrette.

Ils étaient pales, voir même blancs. Ils marchaient avec nonchalance, leurs yeux étaient ceux de cadavres qui seraient morts par la peur.

Ils ne clignaient pas des yeux et ne tournèrent même pas, ne serais-ce qu’un peu la tête.

Lilith remarqua qu’elle n’était pas seule dans la cage. La jeune femme qui était venue à sa boutique la même journée avait aussi été emprisonnée.

-Vous allez bien ? demanda Lilith en se posant devant elle.

Elle ne lui répondit pas et la regarda de son œil gauche, l’œil droit étant toujours caché par ses cheveux.

-Où nous amène-t-on ? demanda la jeune femme après quelques minutes de silence.

-Au château évidemment, soupira Lilith. Je crois bien que nous sommes condamnés.

-Au château ? Pourquoi serions-nous condamnés ? demanda la jeune femme intriguée.

-Jamais personne n’est revenu après avoir été embarqué.

-Qui est le seigneur de ce château ?

Lilith la regarda d’un air niai.

-Vous vous fichez de moi ? commença-t-elle. Tout le monde dans cette ville connaît le nom du seigneur Rakta.

-Disons que je ne viens pas d’ici. Ceci explique cela.

Lilith resta silencieuse un instant.

-Tout le monde sait que les frontières du pays et même de cette ville sont infranchissables ! affirma-t-elle.

-Il suffit de rentrer sans les franchir, ironisa la jeune femme.

-Je ne comprends pas ce que vous voulez dire, de toute façon. Pourquoi vouloir venir ici ?

-J’ai déjà trop parlé. Ne vous inquiétez pas il sera mort avant la prochaine nuit.

Lilith resta muette tout le reste du voyage.

 

Très vite ils arrivèrent au château. Un vieux château fort situé sur une colline, avec des douves des remparts et des cachots.

Plusieurs autres véhicules arrivèrent, la plupart étaient vides, les autres emmenaient des sans abris ou des jeunes couples. Tous étaient effrayés, entourés d’hommes aux tains blancs et aux yeux vides. Ils savaient tous ce qui arrivés aux personnes enlevés par le seigneur Rakta. En tout cas ils savaient qu’ils ne reverraient pas leur famille.

On commença par séparer les femmes et les filles de vingt à trente ans des autres personnes. Un homme apparut. Contrairement aux gardes il n’était pas pales. Il était même bronzé, athlétique et ses yeux montraient de la détermination.

Il se plaça devant les deux groupes et déclara :

-Toutes les jeunes femmes seront conduites au seigneur Rakta. Les personnes âgées, les femmes sortant de leur jeunesse et les enfants, seront tués. Et pour les hommes de moins de quarante ans, (il ricana en les regardant) dite adieu à votre raison et à votre âme. Je vous préviens cependant : inutile de résister. Si vous résistez, nous vous tuerons après vous avoir torturé et nous feront de même à toutes votre famille.

 

Personne ne fit de résistance. Les hommes furent amenés au sous-sol. Il n’y avait heureusement pas de personnes âgés ou d’enfant dans le lot.

Lilith regarda autour d’elle. Elles étaient cinq. Cinq jeunes femmes ayant tous entre dix-huit et trente ans. Elles furent amenées par la plus grande porte, entouré d’une dizaine de gardes. L’homme ayant fait son discours ouvra la marche.

Le dos droit, une rapière et un glaive en or à sa ceinture. De large épaulette avec une cape bleue dans le dos et une côte de maille qui se terminait au poignet.

Lilith de l’avait pas remarquée, mais les gardes aussi, étaient armés. Tous portaient une lance à la main ou une épée à la ceinture.

En rentra dans la salle, tous le monde compris que l’homme assit sur un trône devant eux était le seigneur Rakta.

L’homme à la cape se mit à droite de Rakta. Était-il son bras droit ?

Il était très vieux, mais avait le corps d’un garçon de vingt-cinq ans. Des cheveux blonds, les yeux verts, portant des bagues en diamant à chacun de ses doigts. Il posa un regard sur chaque jeune femme dans la salle.

Sans même un regard ou un signe, chacun des gardes sortirent leurs armes et tuèrent trois des jeunes femmes. Seul la femme aux cheveux noir et Lilith, restèrent en vie avec à leurs pieds des cadavres ensanglanté.

En voyant ça, Lilith hurla d’épouvante, mais la jeune femme n’eut aucune réaction.

Rakta se leva et déclara :

-Bonjour Mesdemoiselles. Je crois que vous me connaissez déjà sous le nom de seigneur Rakta. Vous vous demandez sûrement : pourquoi les avoir fait abattre ? C’est simple. Elles n’étaient pas assez belles à mon goût.

Il toussa puis reprit.

-Je vais vous offrir l’honneur de faire partie du harem de l’homme le plus puissant de la planète.

-Si on refuse vous allez nous zombifier comme vous l'avez fait avec vos hommes ? demanda la jeune femme.

Rakta ricana lugubrement.

-Oh non ! protesta-t-il. Vous êtes à mes yeux des bijoux. Le summum de ma collection.

-Votre collection ? Vous parlez de votre harem ?

-Oui mais sache que c’est bien plus que ça ! Vous allez me donner assez d’énergie vitale pour rester jeune à jamais !

-Et de quelle manière ?

Le sourire de l’homme s’agrandit. Il lécha ses lèvres comme devant un savoureux repas.

-Grâce à votre sang bien sûr ! Le sang des jeunes femmes, est le plus délicieux et celui qui contient le plus d’énergie.

La jeune femme se mit à réfléchir pendant environ une minute.

-Pourrais-je vous poser une question ?

-Bien sûr ! Ce que vous voulez demoiselle.

-Êtes-vous un vampire ?

-Non. Je n’ai pas un centilitre de sang vampire dans mes veines.

-J’en ai assez entendu ! grommela-t-elle, de telle sorte que personne n’entendit.

Elle se mit à genoux devant Lilith. Elle était couverte du sang des trois jeunes femmes. Elle tremblait en se tenant les épaules. La jeune femme lui mit une main sur son l’épaule.

-Ça va aller, commença-t-elle. Ne t’inquiète pas. (Elle baissa le son de sa voix au minimum pour que seul Lilith puisse entendre.) Je vais nous sortir de là, mais mets-toi à plat ventre et ferme les yeux s’il-te-plait.

Elle se releva. Les dix gardes ne bougèrent même pas d’un cil. D’un seul coup elle attrapa l’un d’eux avec la main droite et le lança sur un autre. Un des hommes lui sauta dessus l’épée à la main. Elle agrippa la lame, frappa l’homme dans les côtes. Il lâcha le poignée de l’épée et il fut propulsé sur deux mètres.

Elle lança l’arme comme une fléchette dans la direction de Rakta. Elle était à deux centimètres de son crane quand elle s’arrêta. L’homme à sa droite l’avait arrêté et une perle de sang coula de sa main jusqu’au sol. Il posa l’arme à ses pieds.

-Bravo ! ricana l’homme en léchant le sang sur sa main. On dirait que nous vous avons sous-estimée. Monsieur dois-je m’en occuper ?

-Inutile de vous salir pour ça, affirma Rakta.

Un garde donna un coup de lance que la jeune femme esquiva d’un bond en arrière. Les dix hommes étaient de nouveau tous debout.

La jeune femme recula pas à pas jusqu’à sentir le mur derrière elle. Les gardes l’entouraient en demi-cercle. Tous avaient sorti leur arme et la pointait vers sa direction. Elle tenta une attaque frontale contre l’un des lanciers. Celui-ci lui planta son arme dans l’estomac. Ses jambes tremblées, du sang coula sur le sol.

Un épéiste lui sauta dessus, elle avait réussi à se déplaçait, mais la lame lui trancha le bras gauche. Elle serra les dents en essayant de ne pas donnée à Rakta le bonheur de la voir hurlée souffrance. Elle cracha du sang, puis les attaques s’enchainèrent, on lui planta une épée dans le cœur, une lance dans la tempe, une épée et une lance dans le dos, trois nouvelles lames dans l’estomac et pour finir une lance lui transperça la gorge.

 

Le corps de la jeune femme se posa sur le mur, les armes restèrent dans sa chair et la marre de sang à ses pieds grandissait à chaque seconde. Les deux hommes esclaffèrent de rire, les gardes avaient toujours le regard vide et Lilith leva la tête, se tourna lentement dans la direction de la jeune femme. En voyant le massacre elle hurla, trembla, pleura.

-Assez joué ! s’écria Rakta. Maintenant goûtons le sang de cette jeune fille.

L’un des gardes attrapa la main de Lilith, celle-ci hurla de nouveau. L’homme mit sa main devant sa bouche pour la faire taire. Il l’emmena lentement de son pas nonchalant, tel celui d’un mort-vivant. Quand il fut assez près, Rakta lui arracha la jeune fille des mains en posant fermement sa main sur la bouche de la libraire. On entendait encore ses hurlements même si s’étaient estompé.

-Arrête de bouger. Je te promets que ça ne fera pas mal.

Il approcha ses dents de son cou comme le ferait un vampire. Il fut stoppé par un bruit sourd. Les deux hommes tournèrent leur regard dans la direction du cadavre embroché. La lance, qui était enfoncé dans gorge était désormais par terre.

-Monsieur ! commença son bras droit. C’est étrange !

-Ce n’est rien. Juste la lance qui est tombée.

-Mais Monsieur elle était enfoncée entièrement.

Les deux hommes furent paralysés. L’épée enfoncée dans le torse sortait centimètre par centimètre du corps. Suivi de la lance dans la tempe, les lames enfoncées dans l’estomac. Le corps tomba ensuite à plat ventre et les armes plantées dans le dos sortirent elles aussi.

Le fleuve de sang dans lequel elle se trouvait disparut, les plait se refermèrent à vue d’œil. Même les habits se reformèrent. Elle s’appuya sur le bras qui lui resté, tandis que celui qui se trouvait sur le sol disparaissait. Se levant, sans aucunes taches de sang, elle plaça la mèche qui cachait son œil derrière son oreille.

Son œil brillait !

Une lumière rouge provenant de son œil éclairait toute la salle.

Un bout d’os sortait à l’endroit de son bras amputé. Peu à peu cela formait les os d’un bras jusqu’à la main, mais sans articulation ni autre. De la chair commença à pousser sur ces os, alors que ceux-ci commençaient à prendre une vraie forme.

Cela se termina par la couche de peau. Les os changeaient encore de forme dessous, des craquements provenaient de tous son bras.

Puis se fut terminé, elle serra son poing avec un puissant craquement d’os. A ce geste les deux hommes se mirent à trembler, les gardes ne réagirent pas. Rakta, son bras droit et Lilith ne comprenaient pas ce qui arrivait.

Son œil arrêta de briller et un pentacle se forma à l’intérieur. Elle eut le sourire aux lèvres, puis elle fronça les sourcils, tous les gardes explosèrent dans une giclé de sang !

Rakta se mit à trembler, son bras droit eut un sourire au coin de la bouche et Lilith était à la fois soulagée et terrifiée.

-Vous venez danser ! lança la jeune femme.

Le seigneur serra les dents.

-Assez ! hurla-t-il. Tue-la !

-Avec plaisir Monsieur.

Il commença à s’approcher et la jeune femme fit de même. Au moment où elle allait mettre le pied dans la marre de sang, il se déplaça comme s’il ne voulait pas la salir. L’homme quant à lui avait les pieds peint par le sang et en passant devant une tête d’un des gardes, - la seule chose qu’il restait en tout -, il l’écrasa avec un coup de talon avec un sourire en croisant de lune.

-Meurs ! s’écria-t-il.

Il sortit sa rapière et frappa d’une estocade. Elle esquiva d’un pas sur le côté et donnant un coup dans l’estomac avec la pointe de la main. La main semblait coincée dans le corps du chevalier. Un liquide rouge coula à l’endroit frappé et imprégna de rouge toute sa jambe. Elle tira sa main d’un geste brusque dans une effusion sanglante.

-Qu… qu’est-ce ? bégaya-t-il.

Des doigts de la jeune femme, sortaient des pointes d’os ensanglanté.

-Marrant n’est-ce pas ? ricana-t-elle. Je peux faire pousser mes os à l’infinie et les tailler comme bon me semble.

Les os rentrèrent dans ses doigts. Il n’y avait aucune cicatrice ni même de blessure, - et aucune trace de sang -.

-Autant votre cher maitre contrôle le sang, autant moi je contrôle les os ! expliqua-t-elle.

Elle posa une main sur le crane du guerrier.

-Mais je peux faire une chose qu’il ne peut pas faire.

Elle ferma sa main en broyant le crane de son adversaire. Ses doigts étaient devenus pourpre, mais cette couleur disparue rapidement.

-Bordel ! hurla Rakta. Qui es-tu à la fin !

Il balança Lilith sur le côté et s’approcha à son tour de la jeune femme. Lilith se releva en observant la scène.

- Comment t’appelles-tu ?

-Rikastel.

-Que me veux-tu ?

-T’annihiler, vous et ceux de ton espèce.

-Que sais-tu ?

-Je sais que c’est très impoli de tutoyer une inconnue.

- Ne te fous pas de moi !

-Je sais ce que vous n’êtes pas, mais je ne sais pas qu’est-ce que vous êtes.

-Je suis un nécromancien du sang et je sais que toi, tu es une nécromancienne d’os !

-On ne peut pas dire que j’en sois une, et vous, vous n’en êtes pas un.

-Comment ?!

Rikastel ricana.

-Un nécromancien est un humain ayant fait un pacte avec un Psychopompe ou Shinigami, or vous n’en avez pas fait, donc vous en êtes pas un.

Rakta recula, il commença à trembler.

-Si j’ai bien compris, vous injectez un peu de votre sang dans le corps de chacun des hommes que vous enlevez pour les contrôler, cependant, ils perdent toute envie à la vie et toutes motivations. En bref cela devient des guerriers infatigables, mais sans rage. C’est pour cela que vous n’avez pas injecté de sang dans votre Bras Droit, pour qu’il raisonne et réagisse en conséquence.

-Pourquoi n’as-tu pas tué celui-là comme les autres ?

-Car vous n’avez pas injecté de sang en lui. Cet œil à certain pouvoir. Par exemple, je peux faire exploser le sang s’il n’a rien à faire dans un corps. Grace à votre magie vous pouvez boire du sang et il copie le votre. Pas pour eux, sinon vous seriez en bouillie comme vos hommes.

L’homme éclata de rire.

-Il y a une chose que tu ne sais pas.

-Quoi ?

-Ça !

Il lui sauta dessus en donnant un coup de poing. Elle esquiva, le coup fracassa le sol. L’attaque fut si puissante, que le sol se fissura et des morceaux de roche volèrent dans tous les sens.

Les muscles de Rakta avaient gonflé et gonflé encore. Ses hauts se déchirèrent sous la pression des pectoraux.

-Ce que tu ne sais pas, c’est que je peux aussi me servir de la nécromancie pour augmenter ma force, encore et encore !

Il frappa de nouveau, Rikastel esquiva attrapa son autre bras (le gauche) et le tordit avec une telle force qu’elle mit à terre son adversaire.

-Vous êtes idiot ! s’éclaffa Rikastel. Vous croyez vraiment que je ne le savais pas ?

Elle éclata d’un rire sinistre et tourna le bras de quatre-cents degrés. Il bruit des os se brisant résonnèrent dans toutes la pièce.

-Je crois que je vous ai cassé le bras ! Veuillez m’excuser.

Elle se remit à rire, tourna son bras de cinq tours de plus et le lâcha.

-Désolé, mais je crois que votre bras ne vous servira plus à rien désormais.

Rakta hurla, hurla et hurla de plus en plus fort. Il se releva et tenta de fuir vers la sortie. Rikastel le rattrapa et lui brisa la jambe droite par un coup de pied sauté. Après un hurlement il tenta de fuir en rampant.

Rikastel lui frappa le dos de ses talons épais.

-Vous me voulez quoi à la fin ? s’écria le blessé, tuez-moi ou laissez moi partir.

-Non, ça serait beaucoup trop facile. Vous avez détruit beaucoup trop de vies. Vous ne le savez peut-être pas, mais dès que je vous tuerai, toutes les personnes sous votre contrôle mourront. Il en est de même pour ceux à qui vous avez pris le sang. Donc je vais vous souffrir, len-te-ment et du-re-ment !

Elle agrippa son deuxième bras, posa son pied gauche sur son omoplate et le pied droit sur le sol.

-Vous n’aurez plus besoin de ça je pense !

Elle lui arracha le bras d’un coup sec. Il poussa un hurlement à briser une vitre et un torrent de sang coula.

Elle le mit sur le dos et s’éloigna. L’homme jubilait en crachant du sang. Il se baignait dans un liquide rouge qui était le siens. Deux minutes plus tard, Rikastel revenait avec une pierre dans sa main droite. « Elle va m’achevait en brisant le crane avec ce caillou ! » pensa-t-il terrorisé. Devant ses yeux la jeune femme commença à serrer entre ses doigts la pierre. Avec une facilité étrange elle la broya. Il ne restait plus que de la poussière.

-Voici un pouvoir intéressant qu’ont les nécromants. Les nécromanciens ne l’ont pas, bien évidemment, mais comme je te l’ai dit, je n’en suis pas un. (Elle s’asseyait sur le torse de Rakta.) Si vous voulez savoir, un nécromant est un homme qui a fait un pacte avec un Shinigami. Cependant, il n’avait pas la moindre énergie magique dans le corps, donc après cela il obtient une force de troll et un pouvoir de régénération égale à celui d’un vampire de sang pur. Il obtient aussi ce magnifique pouvoir. Voyez-vous, sa main possède après une puissance de pression proche de l’infinie. Bref, il peut tous broyer, rien qu’en serrant un peu la main. C’est ainsi que j’ai tué votre compagnon. (Elle posa sa main gauche sur sa tête.) Je vais faire de même avec vous. (Elle eut un grand sourire.) Mais je vais le faire, beaucoup, beaucoup plus lentement. Vous allez entendre tout vaut os se briser lentement et sentir votre cervelle se compressait.

Elle commença à augmenter l’étreinte de sa main. Un peu plus, un peu plus. Les os commencèrent à craquer. Le crane commença à se fissurer dans un bruit de craquement. Un peu plus, un peu plus. Le plat des doigts s’enfoncèrent dans les os, les craquements étaient de plus en plus forts. Un peu, un peu plus. Le haut de sa tête était désormais deux fois plus étroit. Un peu, un peu plus. Les yeux sortaient peu à peu de leur orbite. Un peu plus, un peu plus. Le cerveau était en bouillie, tous les os du crane broyés. Inutile de demander le sort de l’ex seigneur Rakta.

 

 

 

 

Chapitre II

Les plus belles exilées

 

 

 

Rikastel, la main couverte de sang, assis sur le corps du seigneur Rakta. Elle se leva, le sang disparut de sa main. Elle cacha son œil droit derrière ses cheveux et regarda en direction du trône. Lilith la regardait sans bouger, ses tremblements de peur avaient cessé, désormais elle était paralysé de terreur.

La femme s’approcha à pas lents. Elle s’accroupit devant la jeune fille.

-Ça va aller ? s’inquiéta-t-elle.

Lilith ne répondit pas, elle était encore en état de choc après se qu’elle avait vu.

-Il n’avait pas encore bu ton sang finalement.

Elle tourna la tête vers celle de la femme au cheveux noir.

-Je croyais que tu étais évanouie. Désolé de t’avoir fait voir ce spectacle.

Lilith se leva, Rikastel fut surpris de ce mouvement soudain.

-Ils sont tousse mort ? Toutes les personnes enlevaient ?

-Oui, affirma la jeune femme d’un ton sec. Mais c’est mieux ainsi. (Elle se leva elle aussi.) Les personnes sous son contrôle voyaient tout, ressentaient tout. Au moins maintenant ils sont en paix.

-Si la paix existe vraiment.

-Ni réfléchie pas trop, ça serait inutile. Elle n’existe pas. Cependant, si on peut si approché, autant le faire, non ?

Lilith resta silencieuse le regard dans le vide.

-Il est temps d’y allé, déclara Lilith juste après en s’avançant vers la sortie.

-Où compte tu allais ? demanda Rikastel.

-Je crois que le mieux serait allé voir le maire de la ville pour lui dire se qui c’est passé. Vous voulez m’accompagné ?

-Bien sûr. Après tout je suis au centre de l’histoire moi aussi.

Elle rigola d’un rire sonore.

Rikastel suivit Lilith jusqu’en ville, le soleil commençait déjà à se levait, accompagné d’une lumière orange colorant toute la ville. En regardant le lever du soleil, Rikastel eut un petit fou rire.

- Que se passe-t-il ? s’inquiéta Lilith.

-Je t’avais dit qu’il serait mort avant la prochaine nuit, finalement il est mort avant le lever du soleil.

-Vous ne pensiez pas qu’on vous emmèneriez devant lui, n’est-ce pas ?

-Oui. Je pensais que sa propre protection serait bien plus importante à ses yeux.

-Je vois. Bon on y va ? Suis moi, on y sera vers midi normalement

-Midi ?!

-Cette ville est grande. Il faudrait environ deux jour pour la traversé à pied.

Rikastel souffla. La jeune fille commença à avancer, Rikastel lui emboitant le pas.

Au début, elles étaient entourées de maison plutôt espacé, mais plus elle avancé, plus les bâtiments se serrèrent. Après avoir traversé un petit pont, permettant de passer de l’autre coté de la ville - divisé en deux par une rivière-, il n’y avait plus que des appartements de quatre étages minimum, tousse fait en brique rouge surement par le même architecte.

Près du centre de la ville il y avait de grand escalier que les deux jeunes personnes montèrent. Au bout il y avait la mairie, un grand bâtiment, commençant à êtres délabré et fait des mêmes briques rouge que les appartements.

Juste avant de rentrés Rikastel stoppa Lilith.

-Je peux te posé une question ?

-Bien sûr.

-Si le seigneur Rakta dirigeait cette ville, à quoi servait le maire ?

-Rakta ne s’occupé ni des finance ni du peuples, expliqua-t-elle, donc le poste de maire a continué d’exister pour l’entretien de la ville, les fonds accordé à chacun et le reste.

-Ce gars n’était vraiment qu’un feignant ! cracha-t-elle.

Elles rentrèrent, une femme dit le bonjour à Lilith en l’appelant par son prénom, se qui étonna Rikastel.

-Tu connais personnellement le maire ? demanda Rikastel.

-Il s’agit de mon parrain et de mon tuteur, enfin plus maintenant que je suis majeur, mais c’est lui qui m’a élevé.

-Depuis combien de temps est-il maire ?

-Cela fait environs quinze ans. Peut de personne désire êtres maire, cela oblige à voir personnellement Rakta, se qui terrifie grand nombres de citoyens.

Elles montèrent l’escalier jusqu’au première étage. Lilith frappa trois fois la seule porte de l’étage.

-Entrez ! s’écria une voix rauque.

Elles pénétrèrent dans une grande salle, les murs étaient cachés par des étagères remplis de dossier. Aux milieux du mur en face de la porte, il n’y avait qu’un bureau caché par plusieurs piles de fiches.

L’homme poussa deux tas de feuilles sur son bureau pour voir qui lui rendait visite. Il avait environ quarante ans, des rides, des cernes dû au stresse et à la fatigue le vieillissait d’une quinzaine d’années.

-Lilith ! exclama-t-il en se levant. Ça fait combien de temps qu’on ne c’est pas vu ?

-Environ six mois Monsieur, répondit Lilith d’un ton formel.

-Arrête de m’appeler comme ça. Ça me donne l’impression de parlé à une inconnu. Mais plus important, dit moi pourquoi tu es dans cet état ?

Sa robe était couvert de poussière et avait une bosse sur son front qu’elle s’était faite quand Rakta l’avait poussé.

-Il c’est passé beaucoup de choses…

-Je vois ! Aller, asseyez-vous, toi et ton ami. Comment vous nommez-vous Mademoiselle ?

-Appelez-moi Rikastel, Monsieur, et inutile de me vouvoyer, après tout, vous êtes le maire.

Elles s’asseyaient sur les deux chaises en face du bureau et le maire fit de même sur son fauteuil. Lilith commença à raconter leur mésaventure, le maire fronça les sourcils très rapidement. Au moment où elle expliqua la mort de toutes les autres jeunes femmes, l’homme la coupa.

-Vous avez réussis à vous évadez du château de Rakta ?

-Pas tout à fait, dit Rikastel qui n’avait pas pris la parole pendant toute l’histoire. Cependant, cela ne vous inquiète pas de savoir que votre belle-fille a été enlevée ?

-Des personnes se font enlever toutes les nuits, se qui me marque le plus dans cette histoire et le fait que vous ne veniez pas de cette ville, et surtout de ce pays.

-Je ne vois pas en quoi cela est si étrange…

-Un mur entoure tout le pays, expliqua le maire. Depuis vingt-deux ans, aucun humain n’est rentré ou sortie de ce pays, je ne connais personne qui soit même sortie de la ville en revenant en un seul morceau.

-Comment es-tu venu ici sans savoir pour le mur ?

-C’est une longue histoire, mais continue la tienne.

-Oui, bien sûr, dit Lilith.

Lilith expliqua la suite, en ne racontant pas le fait que Rikastel se fit transperçait. Lilith dit juste qu’elle avait réussis à tuer le seigneur Rakta. Elle raconta aussi le fait que toutes les personnes enlevées étaient mortes. L’homme se leva en fracassant ses mains sur le bureau.

-Qu’avez-vous fait ? exclama-t-il ses yeux remplis de fureur.

-J’ai tué un homme totalement tyrannique, affirma Rikastel, rien d’autre.

-Vous n’auriez pas dû faire ça ! aboya-t-il.

-Mais pourquoi ? trembla Lilith.

-Des choses biens plus horribles vont arriver !

-Expliquez-vous, dit Rikastel.

L’homme prit une grande respiration, souffla et se mit à faire les cents pas.

-C’est mauvais… Très mauvais… marmonnait-il.

-Que voulez-vous dire ?

-Il n’y a pas qu’un seul homme comme Rakta, commença-t-il. Je ne connais pas leur nombre, se que je sais, c’est que tous contrôle des territoires et se batte pour les avoir. Ils ont tous leur méthode, celle de Rakta était de contrôlé des hommes avec une magie inconnue.

-Vous étiez au courant de ça ?!

-Bien évidemment. Il enlève quelques personnes et en contre partie il protège la ville. Sans ça, notre ville serait surement déjà fait rasée.

-Personne ne le savait à par vous ? demanda Lilith.

-Non personne.

L’homme mit sa tête dans sa main. Il souffla bruyamment, se replaça dans son fauteuil et regarda les jeunes filles.

-Je suis désolé, mais je vais devoir vous punir pour ce que vous avez fait, reprit le maire. Votre acte va mettre un grand nombre de personnes en danger dans peux de temps. J’ai donc décidé, de vous exilé.

-Comment ?! s’écria Lilith. Je n’étais que spectatrice.

-Tu es le seul survivant de ce massacre, non ? Si quelqu’un apprend que tu y étais, on te tuera.

-Pourquoi les citadins la tueraient ? demanda Rikastel.

-Je serrais obligé de déclarais publiquement ce qui risque d’arrivé quand les villes alentours découvrirons que Rakta est mort. Ils penseront, que toi, jeune fille, (Il posa son regard sur Rikastel) tu as été envoyé pour le tué afin de prendre son territoire. De plus, sache que Lilith est une magicienne, ils penseront surement que tu la tué grâce à cela.

-Je vois ! s’exclama Rikastel. On ne va pas s’attarder ici alors.

Elle attrapa Lilith et la posa son épaule comme un sac de pomme de terre. Celle-ci se mit à gigoté et à gémir. Elle ouvrit la fenêtre derrière le bureau et posa un pied dessus.

-A la prochaine ! s’écria Rikastel.

-Faite attention à elle…

Elle sourit, puis sauta par la fenêtre. Elles étaient à l’étage et en plus le bâtiment était surélevé face à la rue. Les passants levèrent la tête en entendant les hurlements de Lilith.

L’atterrissage fut brusque, mais les deux jeunes filles nuèrent aucun problème. Rikastel regarda autour d’elle. Elle choisit une direction et la prise. Elle sauta sur les bâtiments pour ne pas avoir à les contourner. Elle courait vite malgré Lilith posée sur son épaule.

Les bâtiments changèrent autours d’eux, plus espacé, moins vieux et avec des chemins déserts. Elles arrivèrent très vite à la sortit de la ville.

Ce côté de la ville était entouré de forêt. Rikastel posa Lilith au sol et s’étira. La jeune fille avait arrêté d’hurlé et de gigoté.

-C’est dingue ! exclama Rikastel. Moi qui croyais que cette ville serait entourée de champs. Si j’avais parié, j’aurais perdu.

Elle ricana idiotement.

-Si cette ville est isolée, d’où vient la nourriture ?

-Ce côté de la ville est entouré de forêt, c’est la raison pour laquelle elle est isolée. Toutes les champs sont de l’autre côté, jusqu’aux murs de la frontière du pays.

-Je vois. Bon ! On se met en route ? La forêt n’a pas l’air très dense autant la traverser.

-Elle n’est pas très dense, mais de nombreuses bêtes vives à l’intérieur.

-C’est pas très grave. S’ils nous attaquent, je les tues.

-Mais… commença Lilith.

Rikastel pénétra dans la forêt.

-Je ne compte pas de suivre comme un petit caniche ! railla Lilith.

-Ta le choix, répliqua-t-elle en s’enfonçant de plus en plus entre les arbres. Tu me suis ou tu te fais massacrer par les gens de cette ville.

Lilith grogna, puis emboita le pas de Rikastel.

 

-Vous êtes quoi au juste ? demanda Lilith. Vous êtes se que vous appelez une nécromancienne ou je ne sais quoi, ou juste une femme très forte ?

-Je n’ais pas envie de répondre à des questions comme ça, répliqua Rikastel. Et toi ?

-Quoi, moi ?! Je suis juste une fille comme tant d’autre.

-Peu de personnes auraient pu supporter un spectacle comme celui que tu as vu, et s’en remettre quelques minutes après.

-Contrairement à ceux que pense la plupart des personnes en me voyant, je suis loin d’êtres une petite pleurnicharde !

Rikastel ne répondit pas tout de suite.

-Le vieille homme à dit que tu étais une magicienne, non ? Qu’est-ce que cela veut dire ?

-Le terme magicien est employé pour désigner les personnes pouvant utiliser « la magie noble ».

-Et la magie noble consiste à ?

Lilith eut un profond soupir.

-La magie noble est la capacité d’utilisé le pouvoir des Rois Esprits.

-Les Rois Esprits ? répéta Rikastel.

-Je vais te montrer ça sera plus simple.

Elle s’arrêta et Rikastel fit de même. Lilith regarda un arbre à quelques mètres d’elle, qui avait le tronc très épais et des branches hautes. Elle leva sa main.

-Eole, lame du vent ! rugit-elle, en mimant un sabre tranchant l’arbre horizontalement.

Une brise souffla dans la direction de l’arbre et des petites coupures c’était formé sur quelques troncs dans cette direction, comme si on avait essayé de les couper à coups de couteau.

-C’est tout ? demanda Rikastel d’un ton las.

L’arbre se mit à bouger, puis tomba en fracassant l’arbre voisin. Le plat de la souche d’arbre était lisse. En regardant Rikastel la complimenta.

-Pas mal. Je ne savais pas qu’un humain, ou plutôt une humaine, pouvait faire quelque chose de ce genre, avoua-t-elle.

-Cependant, les humains sont obligés de demandé aux Rois Esprits, commença-t-elle, sauf pour les sort les plus puissant où il faut se débrouillé seul.

-Je les avais oublié cela. Si je me rappelle, il y a cette idiot Eole, cette peste d’Ondine, cette bonne vieille Gaia et…

-Le quatrième s’appelle Fahren ! s’écria Lilith. Et comment osez-vous les nommer ainsi ?

-Ah oui ! Fahren ! Comme si je me soucié de cette hypocrite d’Esprit du feu.

Lilith grinça des dents, fit d’un grand geste du bras en hurlant une phrase d’un ton si rageur que Rikastel ne la compris pas.

Une lance de pierre sortit du sol juste sous Rikastel, celle-ci l’esquiva d’un pas sur le côté.

-Tu t’énerves rapidement, déclara Rikastel en ricanant. Sache cependant que ce n’est pas un manque de respect, je le dis car je le sais. Les quatre Rois Esprits sont juste là pour cacher les faiblesses d’Origin, leur créateur. Les Esprits obtienne l’énergie d’Origin, pour l’utiliser afin de contrôler la nature, car il ne peut le faire seul, comme le faiblard qu’il est.

Elle frappa la lance de pierre d’un coup de poing, et celle-ci se brisa. Elle s’approcha de Lilith et déclara :

-Ne pense pas que ce que tu sais est la vérité, car tu serais très vite déçu. Une chose que tu croyais vrais peut, le lendemain, devenir fausse. Tu n’es pas obligé de croire se que je dis, mais tout ceci est une vérité qui restera vrais à jamais. Maintenant nous ferions mieux de continuer notre route, autant arrivé à la prochaine ville le plus vite possible.

Elle marcha vers la direction qu’elle avait choisis, mais Lilith resta sans bougée.

-Tu viens ? demanda Rikastel en se retournant.

-Vous êtes quoi à la fin ?

-Dis-toi que tu le seras un jour.

Lilith souffla et rejoignit Rikastel, puis elles commencèrent leur marche dans le silence.

 

Elles continuaient leur route depuis bientôt deux heures quand l’estomac de Rikastel se mit à faire grand brouhaha.

-Qu’es-ce que j’ai faim ! s’exclama-t-elle. Je pourrais manger même dévorer des gobelins !

-Je ne suis pas sûr qu’ils aient bon gout, ricana Lilith.

-C’est justement se que je veux dire. J’ai tellement faim que je pourrais manger n’importe quoi. Vraiment n’importe quoi !

-La première fois que je t’ai vu, je vous voyez bien plus féminine.

-Comment ça ?

-A la première rencontre vous paressiez êtres une femme bien éduquée, mais en faites vous êtes presque une sauvage.

-C’est parce que la bonne éducation n’est qu’une façade, affirma-t-elle. La plupart des personnes qui ont l’air bien éduqué son en faite des rustres. Ça ma pris des siècles à le comprendre.

-Des siècles vous dites ? Vous avez quels âges au juste.

-Ce n’est qu’une façon de parler ! (Elle eut un rire gênée) Sinon tu devrais commencer à me tutoyer. Je trouve ça désagréable de discuter avec une personne qui vouvoie.

-Vous ou plutôt, tu n’essaierais pas de changer de sujet ?

-Comment dire… commença Rikastel sans trouver ses mots.

Elle s’arrêta de parler quand de puissants craquements et des bruits de pas ressemblant à ceux d’un éléphant résonnèrent entre les arbres. Très vite elles virent la créature devant.

-Un troll ! hurla Lilith.

La créature mesurait plus de trois mètres, ses épaules étaient séparés de deux mètres de muscle, sa tête était carré et ses canines du bas dépassés de sa bouche de plusieurs centimètre.

-Justement j’avais faim ! déclara Rikastel en se léchant les babines. Ça fessait longtemps que je n’en avais pas mangé !

-Tu compte vraiment le manger ? s’écria Lilith.

Le monstre grogna.

-Ça va encore finir en bain de sang ? demanda la jeune fille.

- Non, je n’aime pas la viande cachère.

Rikastel s’approcha du monstre avec un large sourire. Le troll donne un coup de poing, que la femme esquiva d’un pas sur le côté. Le poing s’enfonça dans le sol à cause de la force du coup. La créature grogna. Rikastel posa son pied sur l’avant bras du monstre. Elle s’appuya dessus pour sauter. Pendant le saut elle fit une pirouette et frappa de son genou dans la nuque du troll, qui suivit par un craquement sonore.

Le monstre s’effondra, il était mort.

-Tu vois ! s’exclama-t-elle en posant un pied sur le troll en signe de triomphe. Pas une goutte de sang n’a coulée dans ce combat.

-Tu compte encore me faire crois que tu es une femme normale ?

Rikastel l’ignora et se mit à ramasser des bouts de bois et à arracher des branches, puis les rassembla en un grand tas de bois.

-Tu peux allumer un grand feu avec ta magie ?

Lilith souffla, dirigea ça paume vers le tas de bois et marmonna quelques mots. Le bois changea de couleur puis s’enflamma.

-C’et vraiment pratique ton truc ! s’exclama Rikastel. Tu ne pourrais pas m’apprendre deux trois sorts de ce genre ?

-C’est un don, tout le monde ne peux le faire.

-C’est plutôt chiant ça, cracha-t-elle.

 

Rikastel cuisit le troll. Après quelques minute de cuisson elle donna une main à Lilith et pris pour elle une jambe entière qu’elle commença à dévoré à pleine dents.

Lilith la regardé manger d’un air écœuré.

-Tu ne mange pas ? demanda Rikastel qui avait déjà dévoré sa part et s’en resservait un autre. Pourtant c’est délicieux.

-T’es vraiment sûr que c’est mangeable ?

-Mais oui ! Goutte tu verras.

Elle ferma les yeux et pris une petite bouché qu’elle avala après l’avoir mâchée difficilement et sans entrain. Elle fut surprise du gout, mais fut surtout surpris du fait qu’elle avait apprécié.

-C’est délicieux ! s’exclama-t-elle.

-Je te l’avais dit, non ? Ça ne m’étonne pas que tu refusais d’en manger. Peux de personnes savent le gout que ça à.

-Comment as-tu sus que c’était bon ?

-C’est une longue histoire…

Elles se remirent à manger. Lilith ne mangeait pas beaucoup, tendit que Rikastel avait avalée ou plutôt dévorée presque tout le troll à elle toute seule.

-Rikastel, commença Lilith.

-Tu peux m’appeler Rika si tu veux.

-Euh… Rika, j’aurais une question ?

-Dit toujours.

-Tu as dit qu’il y avait plusieurs personnes comme Rakta, n’est-ce pas ?

Rika hocha la tête.

-Combien sont-ils à ton avis ?

-De base il devrait en avoir quatre, donc il en reste trois normalement.

-Pourquoi quatre ?

Rika bailla, elle n’avait visiblement pas envie d’expliquer ça.

-Comme les éléments de ta magie, les nécromanciens et les Shinigamis utilise quatre genres de pouvoir. D’abord le sang. Rakta en ait l’exemple. Ils obtiennent leur énergie en absorbant le sang, tels les vampires. Ils peuvent augmenter leur force de différente manière.

-Et comment Rakta contrôlait ces hommes ?

-Il les avait mordu, mais au lieu de simplement absorber le sang, il mit un peux du siens. Il peut contrôler son sang comme il le veut même dans le corps des autres.

-Je vois.

-Après il y a l’énergie. Ils absorbent directement l’énergie, soit en mettant des zones d’absorption soit en créant des maladies. Se sont des pompes à énergie si tu veux, mais un nécromancien ne peux rien en faire à par avoir la jeunesse éternel.

-Celui-là ne risque pas de poser problème.

Rikastel fronça les sourcils.

-Le troisième est l’esprit. Ils peuvent manipuler les esprits faibles et détruire les esprits forts. Il faudra se méfié de celui-là. Une seconde d’inattention et tu deviendras fou. Après le quatrième et dernier…

-Il s’agit des os, n’est-ce pas ? Comme toi.

-Oui, sauf qu’aucun nécromancien utilisera ma technique.

-Et pourquoi ça ?

-Tu pense qu’un humain normal peu supporter de sentir ses os pousser en une seconde, transpercer sa peau et frappait avec ? demanda Rika. Surtout que les nécromanciens n’ont pas autant de pourvoir de régénération que moi.

-Donc ils ont quoi comme pourvoir ?

-Tu vois ça ?

Elle pointa du doigt le tas d’os du troll.

Les os se mirent à trembler. Flottèrent dans les airs, et reprirent leurs place pour reformer le squelette du monstre. Il posa ses pieds sur le sol.

Lilith lâcha une exclamation.

-Impressionnant, hein ? Un nécromancien des os peut le faire avec des centaines, voir des milliers de squelettes, et ça ne leur prendrais presque pas d’énergie.

Lilith trembla de peur en voyant le squelette.

-Regarde ça plutôt, ricana Rika.

Les os du troll se mirent à dansé comme une majorette, levant les jambes et fessant des saltos arrières et autres pirouettes.

Lilith rigola d’un rire sonore et Rika ricana avec un petit sourire aux lèvres.

 

La nuit tomba bientôt, et elles dormirent paisiblement jusqu’aux lever du soleil sans se soucier de se qu’il les attendrait prochainement.

 

 

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En effet très bon résumer ! Dommage que t'est supprimer tes 200 pages TT_TT Puis Bonne continuation et surtous n'abandonne pas !

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Non en faite les 200 pages c'est une autres histoire. Cette histoire est un peu(ou beaucoup) plus sombres que l’autre ou plutôt que les autres.

 

Si ça intéresse quelques personnes, je commencerais à l’écrire lundi. Sur ce, je retourne à ma lecture^^

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  • 2 weeks later...

ça m'intéresse aussi! Le résumé semble prédire une bonne histoire, maintenant place à l'écriture, souvent c'est le déroulement qui est le plus intéressant je trouve

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Yosh!!!

Je l'ais un peu commencer.

J'ai tester plusieurs début. Endroit, moment... J'ai pris celui que je préférer. Je n’ai pas cours de la semaine donc je pense pouvoir faire un chapitre à coté des révision :mef:

 

Je vais essayer mardi pour le poster(ouai je sais c'est long mais j'ai truc à faire ^^")

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Alors ... J'attendrais mardi mon ptit et me déçois pas mouhahaha ... Mais non tkt j'ai confiance en ton écriture :mef: Et puis t'a de la chance de pas avoir cours toi TT_TT

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Ouai mais officiellement j'ai le droit à une semaine de revissions mais j'ai le droit d'en prendre une autres pour "revissé" :mef:

Cependant ne vous attendez pas à "the story", d’ailleurs j'ai pris celle-ci surtout car c'est la plus courte et parce que l'héroine est une fille totalement sadique c'est la plus sombres :o

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Je savais pas que t'aimer les filles sadique xellos :mef: Puis tkt j'ai quand même hâte de lire ton histoire ;D

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Bon j'ai décidé de la mettre un peu plus tôt que prévue. J'ai un peu réduit le texte(mais pas l'histoire :coucou )

 

Bon elle est même plus courte que prévue car en plus j'avais peur d'essayer de la supprimé au moindre problème :sarcasme:

 

A un moment je voulais la poster à 0h00, mai je me suis dit: "De toutes façon ils s'en foutent et il vont même pas lire les ligne que je vais écrire avant."

Je rééditerais le premier post à chaque fois je crois, ça évitera de cherché le texte comme des andouille

Par contre il y a des moment un peu trash.

 

 

 

 

1

 

Lilith était une jeune libraire n’ayant même pas dix-neuf ans. Derrière son contoir elle lisait un livre, le plus épais de la boutique. Sur la couverture du livre, qui était relié en cuire, était d’écris, « Le fonctionnement des magies de puissance moyenne ».

La jeune fille avait des cheveux frisés couleurs châtains tombant sur ses épaules. Ses yeux bleus azure fixé les pages du livre avec de rare battement de cils. Elle avait un beau visage, plutôt enfantin mais l’air qu’elle prenait en général ressemblé plus à celui d’une grande femme d’affaire.

La porte de la boutique s’ouvrit et un bruit de clochette résonna dans tout le magasin, mais Lilith plongé dans sa lecture n’y fit pas attention. Une personne rentra avec un « Bonjour », destiné à la libraire et aux autres clients, si clients il y avait. Lilith n’y fit pas attention. Le personnage fouilla dans les étagères de livre en lisant les noms des ouvrages.

La personne s’approcha du contoir et posa un petit livre dessus.

-Excusez-moi, dit la personne avec une voix douce, agréable et sombre.

La jeune fille ne remarqua rien.

-Excusez-moi, répéta la personne sans changer de ton.

Lilith tourna une page de son livre comme si de rien n’était. La personne baissa le livre que tenait la jeune fille. Celle-ci mit un marque-page dans son livre et la ferma.

Elle leva lentement la tête en déclarant :

-Bonjour, que puis… commença-t-elle.

Elle fut coupée en contemplant le visage du client, ou plutôt de la cliente. C’était une jeune femme d’environ vingt-cinq, la plus belle femme qu’ait vu la libraire.

De longs et lisses cheveux noires corbeaux, dont l’une des mèches cachait son œil droit. Son œil gauche, était noir. Plus sombre que la nuit et plus doux que le clair de Lune. Son tain était pale et ses trais fins.

-Je voudrais vous achetez un livre, déclara-t-elle.

-Euh… je…je… bégaya Lilith.

La jeune ne trouva pas ses mots devant cette beauté rayonnante. Même si rayonnante ne serait pas le mot, car sa splendeur était fantomatique.

-Vous ne vous sentez pas bien ? s’inquiéta la jeune femme.

Elle posa l’une de ses mains sur le front de Lilith et l’autre sur le siens.

Elle avait de longs doigts fins, la peau douce et froide.

-Vous ne semblez pas avoir de fièvres.

Lilith reprit ses esprits.

-Oui ! Je vais très bien, affirma-t-elle.

Elle observa le livre : « Vivre en société », était écrit sur la couverture.

La splendide jeune femme posa une pièce argenté sur le contoir et pris le livre. Elle se dirigea directement vers la porte, dit « Aure voir » en se retournant un instant avant d’ouvrir la porte et de partir sous le bruit de la clochette de porte.

Lilith était sans réaction, comme si elle était pétrifiée. Elle venait de voir une vue d’ensemble de la jeune femme.

Elle était mince, bien proportionnait, de longues jambes et portait une sorte de robe d’été noir avec des talons bas et épais.

Elle reprit de nouveau ses esprits et replongea dans sa lecture.

 

Quand elle arrêta de lire il était tard et elle décida de rentrer. Elle ferma la porte de la boutique à double tours et se mit à marcher, son livre dans ses bras. Il fessait nuit, mais la Lune était pleine et toutes les ruelles de la ville étaient éclairées.

Lilith était fatigué, elle somnolait en marchant. Malheureusement pour elle, à cause de la Lune et de la fatigue, elle ne remarqua même pas que la nuit était tombée.

Elle allait tourner à droite au croisement. Elle se réveilla d’un coup quand elle remarqua ce qui s’est trouvé dans cette direction.

La charrette à prisonnier du seigneur de la ville. Deux grandes silhouettes à environ cent mètres, vérifiaient s’il n’y avait pas d’imprudent osant sortir la nuit. Toutes personnes attrapé et emmener au seigneur, disparaissaient à jamais.

Si elle n’avait pas été dans les nuages, elle aurait remarqué qu’il fessait déjà nuit et elle serait restée dormir dans le magasin. Elle rebroussa chemin de quelques pas. Que faire ? Retourné dans la boutique ? Non, son appartement était plus près, de plus il n’y avait pas qu’un seul groupe qui fouillait la ville.

Elle passa entre deux battisse. La ruelle était serrée et parallèle à la grande rue qu’elle voulait prendre. Elle y resta sur deux ou trois-cents mètres, puis elle passa entre deux bâtiments pour retourner sur la grande rue.

Elle regarda vair la gauche. Les deux silhouettes agrippés une autre plus frêle et la fit rentrer dans la charrette à prisonnier. Elle en profita pour presser le pas vers la droite.

Un dernier regard derrière. Les deux hommes n’étaient plus visibles. Elle regarda de nouveau devant.

Une ombre se dressa devant elle. Levant les bras, les mains croisées, il les fracassa sur le crane de la jeune fille. Elle fut évanouie en un instant.

Elle se réveilla dans la charrette pour prisonnier avec un mal au crane dû à une bosse et son livre avait disparu. Un homme tirait la charrette. C’était le plus grand et le plus large des trois et surement celui qui l’avait assommé. Elle ne le voyait que de dos, alors que ses deux collègues étaient l’un et l’autre des côtés de la charrette.

Ils étaient pales, voir même blancs. Ils marchaient avec nonchalance, leurs yeux étaient ceux de cadavres qui seraient morts par la peur.

Ils ne clignaient pas des yeux et ne tournèrent même pas, ne serais-ce qu’un peu la tête.

Lilith remarqua qu’elle n’était pas seule dans la cage. La jeune femme qui était venue à sa boutique la même journée avait aussi été emprisonnée.

-Vous allez bien ? demanda Lilith en se posant devant elle.

Elle ne lui répondit pas et la regarda de son œil gauche, l’œil droit étant toujours caché par ses cheveux.

-Où nous amène-on ? demanda la jeune femme après quelques minutes de silence.

-Au château évidemment, soupira Lilith. Je crois bien que nous sommes condamnés.

-Au château ? Pourquoi serions-nous condamnés ? demanda la jeune femme intriguée.

-Jamais personne n’est revenu après avoir été embarqué.

-Qui est le seigneur de ce château ?

Lilith la regarda d’un air niai.

-Vous vous fichez de moi ? commença-t-elle. Tout le monde dans cette ville connaît le nom du seigneur Rakta.

-Disons que je ne viens pas d’ici. Ceci explique cela.

Lilith resta silencieuse un instant.

-Tout le monde sait que les frontières du pays et même de cette ville sont infranchissables ! affirma-t-elle.

-Il suffit de rentrer sans les franchir, ironisa la jeune femme.

-Je ne comprends pas ce que vous voulez dire, de toute façon. Pourquoi vouloir venir ici ?

-J’ai déjà trop parlé. Ne vous inquiétez pas il sera mort avant la prochaine nuit.

Lilith resta muette tout le reste du voyage.

 

Très vite ils arrivèrent au château. Un vieux château fort situé sur une colline, avec des douves des remparts et des cachots.

Plusieurs autres véhicules arrivèrent, la plupart étaient vides, les autres emmenaient des sans abris ou des jeunes couples. Tous étaient effrayés, entourés d’hommes aux tains blancs et aux yeux vide. Ils savaient tousse ce qui arrivés aux personnes enlever par le seigneur Rakta. En tout cas ils savaient qu’ils ne reverraient pas leur famille.

On commença par séparé les femmes et les filles de vingt à trente ans des autres personnes. Un homme apparut. Contrairement aux gardes il n’était pas pales. Il était même bronzé, athlétique et ses yeux montraient

de la détermination.

Il se plaça devant les deux groupes et déclara :

-Toutes les jeunes femmes seront conduites au seigneur Rakta. Les personnes âgées, les femmes sortant de leur jeunesse et les enfants, seront tués. Et pour les hommes de moins de quarante ans, (il ricana en les regardant) dite adieu à votre raison et à votre âme. Je vous préviens cependant : inutile de résister. Si vous résistez, nous vous tuerons après vous avoir torturé et nous feront de même à toutes votre famille.

 

Personne ne fit de résistance. Les hommes furent amenés au sous-sol. Il n’y avait heureusement pas de personnes âgés ou d’enfant dans le lot.

Lilith regarda autour d’elle. Elles étaient cinq. Cinq jeunes femmes ayant tous entre dix-huit et trente ans. Elles furent amenées par la plus grande porte, entouré d’une dizaine de gardes. L’homme ayant fait son discours ouvra la marche.

Le dos droit, une rapière et un glaive en or à sa ceinture. De large épaulette avec une cape bleue dans le dos et une côte de maille qui se terminait au poignet.

Lilith de l’avait pas remarquée, mais les gardes aussi, étaient armés. Tous portaient une lance à la main ou une épée à la ceinture.

En rentra dans la salle, tous le monde compris que l’homme assit sur un trône devant eux était le seigneur Rakta.

L’homme à la cape se mit à droite de Rakta. Était-il son bras droit ?

Il était très vieux, mais avait le corps d’un garçon de vingt-cinq ans. Des cheveux blonds, les yeux verts, des bagues en diamant à chacun de ses doigts. Il posa un regard sur chaque jeune femme dans la salle.

Sans même un regard ou un signe, chacun des gardes sortirent leurs armes et tuèrent trois des jeunes femmes. Seul la femme aux cheveux noir et Lilith, restèrent en vie avec à leurs pieds des cadavres ensanglanté.

En voyant ça, Lilith hurla d’épouvante, mais la jeune femme n’eut aucune réaction.

Rakta se leva et déclara :

-Bonjour Mesdemoiselles. Je crois que vous me connaissez déjà sous le nom de seigneur Rakta. Vous vous demandez surement : pourquoi les avoir fait abattre ? C’est simple. Elles n’étaient pas assez belles à mon gout.

Il toussa puis reprit.

-Je vais vous offrir l’honneur de faire partie du harem de l’homme le plus puissant de la planète.

-Si on refuse vous allez nous zombi fiait comme vous lavez fait avec vos hommes ? demanda la jeune femme.

Rakta ricana lugubrement.

-Oh non ! protesta-t-il. Vous êtes à mes yeux des bijoux. Le summum de ma collection.

-Votre collection ? Vous parlez de votre harem ?

-Oui mais sage que c’est bien plus que ça ! Vous allez me donner assez d’énergie vitale pour rester jeune à jamais !

-Et de quelle manière ?

Le sourire de l’homme s’agrandit. Il lécha ses lèvres comme devant un savoureux repas.

-Grace à votre sang bien sûr ! Le sang des jeunes femmes, est le plus délicieux et celui qui contient le plus d’énergie.

La jeune femme se mit à réfléchir pendant environ une minute.

-Pourrais-je vous posez une question ?

-Bien sûr ! Ce que vous voulez demoiselle.

-Êtes-vous un vampire ?

-Non. Je n’ai pas un centilitre de sang vampire dans mes veines.

-J’en ai assez entendu ! grommela-t-elle, de telle sorte que personne n’entendit.

Elle se mit à genoux devant Lilith. Elle était couverte du sang des trois jeunes femmes. Elle tremblait en se tenant les épaules. La jeune femme lui mit une main sur son l’épaule.

-Ça va aller, commença-t-elle. Ne t’inquiète pas. (Elle baissa le son de sa voix au minimum pour que seul Lilith puisse entendre.) Je vais nous sortir de là, mais met-toi à plat ventre et ferme les yeux s’il-te-plait.

Elle se releva. Les dix gardes ne bougèrent même pas d’un cil. D’un seul coup elle attrapa l’un d’eux avec la main droite et le lança sur un autre. Un des hommes lui sauta dessus l’épée à la main. Elle agrippa la lame, frappa l’homme dans les côtes. Il lâcha le poignet de l’épée et il fut propulsé sur deux mètres.

Elle lança l’arme comme une fléchette dans la direction de Rakta. Elle était à deux centimètres de son crane quand elle s’arrêta. L’homme à sa droite l’avait arrêté et une perle de sang coulé de sa main jusqu’au sol. Il posa l’arme à ses pieds.

-Bravo ! ricana l’homme en léchant le sang sur sa main. On dirait que nous vous avons sous-estimez. Monsieur dois-je m’en occuper ?

-Inutile de vous salir pour ça, affirma Rakta.

Un garde donna un coup de lance que la jeune femme esquiva d’un bond en arrière. Les dix hommes étaient de nouveau tous debout.

La jeune femme recula pas à pas jusqu’à sentir le mur derrière elle. Les gardes l’entouré en demi-cercle. Tousse avaient sorti leur arme et la pointait vair sa direction. Elle tenta une attaque frontale contre l’un des lanciers. Celui-ci lui planta son arme dans l’estomac. Ses jambes tremblées, du sang coulé sur le sol.

Un épéiste lui sauta dessus, elle avait réussi à se déplaçait, mais la lame lui trancha le bras gauche. Elle serra les dents en essayant de ne pas donnée à Rakta le bonheur de la voir hurlée souffrance. Elle cracha du sang, puis les attaques s’enchainèrent, on lui planta une épée dans le cœur, une lance dans la tempe, une épée et une lance dans le dos, trois nouvelles lames dans l’estomac et pour finir une lance lui transperça la gorge.

 

Le corps de la jeune femme se posa sur le mur, les armes restèrent dans sa chair et la marre de sang à ses pieds grandissait à chaque seconde. Les deux hommes s’éclaffèrent de rire, les gardes avaient toujours le regard vide et Lilith leva la tête, se tourna lentement dans la direction de la jeune femme. En voyant le massacre elle hurla, trembla, pleura.

-Assez joué ! s’écria Rakto. Maintenant goûtons le sang de cette jeune fille.

L’un des gardes attrapa la main de Lilith, celle-ci hurla de nouveau. L’homme mit sa main devant sa bouche pour la faire taire. Il l’emmena lentement de son pas nonchalant, tel celui d’un mort-vivant. Quand il fut assez près, Rakto lui arracha la jeune fille des mains en posant fermement sa main sur la bouche de la libraire. On entendait encore ses hurlements même si s’étaient estompé.

-Arrête de bouger. Je te promets que ça ne fera pas mal.

Il approcha ses dents de son cou comme le ferait un vampire. Il fut stoppé par un bruit sourd. Les deux hommes tournèrent leur regard dans la direction du cadavre embroché. La lance, qui était enfoncé dans gorge était désormais par terre.

-Monsieur ! commença son bras droit. C’est étrange !

-Ce n’est rien. Juste la lance qui est tombée.

-Mais Monsieur elle était enfoncée entièrement.

Les deux hommes furent paralysés. L’épée enfoncée dans le torse sortait centimètre par centimètre du corps. Suivi de la lance dans la tempe, les lames enfoncées dans l’estomac. Le corps tomba ensuite à plat ventre et les armes plantées dans le dos sortirent elles aussi.

Le fleuve de sang dans lequel elle se trouvait disparut, les plait se refermèrent à vue d’œil. Même les habits se reformèrent. Elle s’appuya sur le bras qui lui rester, tandis que celui qui se trouvait sur le sol disparaissait. Se levant, sans aucunes taches de sang, elle plaça la mèche qui cachait son œil derrière son oreille.

Son œil brillait !

Une lumière rouge provenant de son œil éclairait toute la salle.

Un bout d’os sortait à l’endroit de son bras amputé. Peu à peu cela formait les os d’un bras jusqu’à la main, mais sans articulation ni autre. De la chaire commença à poussait sur ces os, alors que ceci commencé à prendre une vraie forme.

Cela se termina par la couche de peau. Les os changés encore de forme dessous, des craquements provenaient de tous son bras.

Puis se fut terminé, elle serra son poing avec un puissant craquement d’os. A ce geste les deux hommes se mirent à trembler, les gardes ne réagirent pas. Rakta, son bras droit et Lilith ne comprenaient pas ce qui arrivait.

Son œil arrêta de brillait et un pentacle se forma à l’intérieur. Elle eut le sourire aux lèvres, puis elle fronça les sourcils, tous les gardes explosèrent dans une giclé de sang !

Rakto se mit à trembler, son bras droit eut un sourire au coin de la bouche et Lilith était à la fois soulagé et terrifier.

-Vous venez danser ! lança la jeune femme.

Le seigneur serra les dents.

-Assez ! hurla-t-il. Tue-la !

-Avec plaisir Monsieur.

Il commença à s’approché et la jeune femme fit de même. Au moment où elle allait mettre le pied dans la marre de sang, il se déplaça comme s’il ne voulait pas la salir. L’homme quant à lui avait les pieds peint par le sang et en passant devant une tête d’un des gardes, - la seule chose qu’il restait en tout -, il l’écrasa avec un coup de talon et un sourire en croisant de lune.

-Meurs ! s’écria-t-il.

Il sortit sa rapière et frappa d’une estocade. Elle esquiva d’un pas sur le côté et donnant un coup dans l’estomac avec la pointe de la main. La main semblait coincée dans le corps du chevalier. Un liquide rouge coula à l’endroit frappé et imprégna de rouge toute sa jambe. Elle tira sa main d’un geste brusque dans une effusion sanglante.

-Qu… qu’est-ce ? bégaya-t-il.

Des doigts de la jeune femme, sortaient des pointes d’os ensanglanté.

-Marrant n’est-ce pas ? ricana-t-elle. Je peux faire poussé mes os à l’infinie et les taillé comme bon me semble.

Les os rentrèrent dans ses doigts. Il n’y avait aucune cicatrice ni même de blessure, - et aucune trace de sang -.

-Autant votre chères maitre contrôle le sang, autant moi je contrôle les os ! expliqua-t-elle.

Elle posa une main sur le crane du guerrier.

-Mais je peux faire une chose qu’il ne peut pas faire.

Elle ferma sa main en broyant le crane de son adversaire. Ses doigts étaient devenus pourpre, mais cette couleur disparue rapidement.

-Bordel ! hurla Rakta. Qui es-tu à la fin !

Il balança Lilith sur le côté et s’approcha à son tour de la jeune femme. Lilith se releva en observant la scène.

- Comment t’appelles-tu ?

-Rikastel.

-Que me veux-tu ?

-T’annihilé, vous et ceux de ton espèce.

-Que sais-tu ?

-Je sais que c’est très impoli de tutoyé une inconnue.

- Ne te fous pas de moi !

-Je sais ce que vous n’êtes pas, mais je ne sais pas qu’est-ce que vous êtes.

-Je suis un nécromancien du sang et je sais que toi, tu es une nécromancienne d’os !

-On ne peut pas dire que j’en sois une, et vous, vous n’en êtes pas un.

-Comment ?!

Rikastel ricana.

-Un nécromancien est un humain ayant fait un pacte avec un Psychopompe ou Shinigami, or vous n’en avez pas fait, donc vous en êtes pas un.

Rakta recula, il commença à trembler.

-Si j’ai bien compris, vous injectez un peu de votre sang dans le corps de chacun des hommes que vous enlevez pour les contrôlés, cependant, ils perdent toutes envies à la vie et toutes motivations. En bref cela devient des guerriers infatigables, mais sans rage. C’est pour cela que vous n’avez pas injecté de sang dans votre Bras Droit, pour qu’il raisonne et réagisse en conséquence.

-Pourquoi n’as-tu pas tué celui-là comme les autres ?

-Car vous n’avez pas injecté de sang en lui. Cet œil à certain pouvoir. Par exemple, je peux faire exploser le sang s’il n’a rien à faire dans un corps. Grace à votre magie vous pouvez boire du sang et il copie le votre. Pas pour eux, sinon vous seriez en bouillie comme vos hommes.

L’homme éclata de rire.

-Il y a une chose que tu ne sais pas.

-Quoi ?

-Ça !

Il lui sauta dessus en donnant un coup de poing. Elle esquiva, le coup fracassa le sol. L’attaque fut si puissante, que le sol se fissura et des morceaux de roche volèrent dans tous les sens.

Les muscles de Rakta avaient gonflé et gonflé encore. Ses hauts se déchirèrent sous la pression des pectoraux.

-Ce que tu ne sais pas, c’est que je peux aussi me servir de la nécromancie pour augmenter ma force, encore et encore !

Il frappa de nouveau, Rikastel esquiva attrapa son autre bras (le gauche) et le tordit avec une telle force qu’elle mit à terre son adversaire.

-Vous êtes idiot ! s’éclaffa Rikastel. Vous croyez vraiment que je ne le savais pas ?

Elle éclata d’un rire sinistre et tourna le bras de quatre-cents degré. Il bruit des os se brisant résonnèrent dans toutes la pièce.

-Je crois que je vous ai cassé le bras ! Veuillez m’excusez.

Elle se remit à rire, tourna son bras de cinq tours de plus et le lâcha.

-Désolé, mais je crois que votre bras ne vous servira plus à rien désormais.

Rakta hurla, hurla et hurla de plus en plus fort. Il se releva et tenta de fuir vair la sortie. Rikastel le rattrapa et lui brisa la jambe droite par un coup de pied sauté. Après un hurlement il tenta de fuir en rampant.

Rikastel lui frappa le dos de ses talons épais.

-Vous me voulez quoi à la fin ? s’écria le blesser. Tuais-moi ou laisser moi partir.

-Non, ça serait beaucoup trop facile. Vous avez détruit beaucoup de vie. Vous ne le savez peut-être pas, mais dès que je vous tuerez, toutes les personnes sous votre contrôle mourront. Il en est de même pour ceux à qui vous avez pris le sang. Donc je vais vous souffrir, len-te-ment et du-re-ment !

Elle agrippa son deuxième bras, posa son pied gauche sur son omoplate et le pied droit sur le sol.

-Vous n’aurez plus besoin de ça je pense !

Elle lui arracha le bras d’un coup sec. Il lâcha un hurlement à brisait une vitre et un torrent de sang coulant.

Elle le mit sur le dos et s’éloigna. L’homme jubilait en cracha du sang. Il se baignait dans un liquide rouge qui était le siens. Deux minutes plus tard, Rikastel revenait avec une pierre dans sa main droite. « Elle va m’achevait en brisant le crane avec ce caillou ! » pensa-t-il terrorisé. Devant ses yeux la jeune femme commença à serrer entre ses doigts la pierre. Avec une facilité étrange elle la broya. Il ne restait plus que de la poussière.

-Voici un pouvoir intéressant qu’ont les nécromants. Les nécromanciens ne l’ont pas, bien évidemment, mais comme je te l’ai dit, je n’en suis pas un. (Elle s’asseyait sur le torse de Rakta.) Si vous voulez savoir, un nécromant est un homme qui a fait un pacte avec un Shinigami. Cependant, il n’avait pas la moindre énergie magie dans le corps, donc après cela il obtient une force de troll et un pouvoir de régénération égale à celui d’un vampire de sang pur. Il obtient aussi ce magnifique pouvoir. Voyez-vous, sa main possède après une puissance de pression proche de l’infinie. Bref, il peut tous broyés, rien qu’en serrant un peu la main. C’est ainsi que j’ai tué votre compagnon. (Elle posa sa main gauche sur sa tête.) Je vais faire de même avec vous. (Elle eut un grand sourire.) Mais je vais le faire, beaucoup, beaucoup plus lentement. Vous allez entendre tout vaut os ce brisés lentement et sentir votre cervelle se compressait.

Elle commença à augmentait l’étreinte de sa main. Un peu plus, un peu plus. Les os commencèrent à craquer. Le crane commença à se fissurait sous un bruit de craquement. Un peu plus, un peu plus. Le plat des doigts s’enfoncèrent dans les os, les craquements étaient de plus en plus forts. Un peu, un peu plus. Le haut de sa tête était désormais deux fois plus étroit. Un peu, un peu plus. Les yeux sortaient peu à peu de leur orbite. Un peu plus, un peu plus. Le cerveau était en bouillie, tous les os du crane broyé. Inutile de demander le sort de l’ex seigneur Rakta.

 

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j'ai tout lu sympa continue de développer ton histoire et fais la moi partagé. j'aimerai bien savoir la suite de cette dame qui contrôle les os et surtout de la libraire. je sais pas pourquoi mais elle doit avoir un petit quelque chose.

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J’essaierais de mettre un chapitre par semaine. Cependant, je pense que les autre chapitre auront moins souvent le mot sang(sanglant, ensanglanté).

Et pour la libraire tu verras au prochain chapitre si elle à quelque chose^^

Par contre:

 

Je l'aurais pas fait un peu trop sadique Rika?

 

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Par contre le chapitre 2 ne sera surement la que une semaine après le brevet. J'ai fait la bêtise de parié avec un gars que j'aurais la mansion bien, et c'est pas gagné --"

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merci pour cette histoire!! je te souhaite une bonne continuation et plein de patiente et courage!!

 

 

fais nous part de ton imagination et création le grec lol

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T'arrête de m'appeler le grec!!!

 

Sinon je suis content que ça plaise. Merci à mes fan :desp:

Je déconne, mes cheville ne son pas enfler(pour l'instant...)

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ça craint a se rythme là tu deviendra le nounours de ta bannière !! lol tellement tu gonflera XD le GREC !! et puis quoi encore arrêter de t'appeler le grec est de 0% !!

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J'aime ! J'aime ! J'aime :mwhaha: C'est vrais que Rika est un peu (beaucoup) sadique mais bon sa change des persos banales que l'on peux lire dans les autres histoire ;D Et puis j'espère voir apparaitre un beau garçons dans ton histoire ( qu'il finisse pas comme le seigneur Rakta :( ) Aller bonne change le GREC o:-)

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Merci Anju. MAIS NE M'APPELLE PAS LE GREC!!! o:-)

 

Pour les hommes... euh il n'y en aura pas grand caille... Il se font soit buté soit il ne resteront qu'un chapitre, mais aucun ne les accompagnera...

Mais on ne sait jamais. :mwhaha:

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Aller le GREC ( sympa le surnom 8D) sois gentil mais un beau jeune vampire avec elles :mwhaha: Mais sa me dérange pas de voir des hommes se faire tué sadiquement par une superbe femme o:-)

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Tais-toi! Le coup du vampire je l'avais déjà prévue! Alors tais-toi, s'il te plait! :mwhaha:

 

 

Il sera au chapitre 3 ou 4 normalement. Pour les lien avec les personnage je peu rien dire. o:-)

 

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Hahaha, je me tais promis, mais je suis contente :mwhaha: Sur ce dépêche toi d’écrire ton chapitre 2 !! Mais juste une ptite question : Il restera longtemps avec elles le beau vampire ? o:-)

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