Yamishana 116 Posté(e) le 23 octobre 2014 Excellent Miss Artyk !!! J'adore !!! Je me suis fait avoir à mon propre jeu =) Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Yamishana 116 Posté(e) le 2 décembre 2014 Proche Je tombe dans tes bras Noie-moi dans l'amour Raconte moi ce-qui arrivera prochainement Fait moi croire vivre et oublier Ce qui à pu blesser mon passé Aucun pourquoi ni de comment Supprimons le contre gardons que le pour Dans la chaleur de tes bras Tout peut exister Je peux enfin respirer Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Yamishana 116 Posté(e) le 31 décembre 2014 Un tendre baiser pour toi ma douce ton cœur qui bat signe ta santé Bonne année Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Yamishana 116 Posté(e) le 19 janvier 2015 Tarask ... Voilà un an que je t'ai fait un poème et se pose toujours le même dilemme Quand viens le 19 janvier Je me tue à fouloir associer: Tarask avec flasque Black avec claque Sakura avec diva Asula avec blabla Ramoo avec barjoo Et kazuya avec verglas Je sais que c'est futile et inutile Mais rien n'a plus de sens qu'une chose débile Alors de ce pas bon anniversaire J'espère qu'en cette année tout va te plaire !! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Yamishana 116 Posté(e) le 23 avril 2016 (modifié) Le temps d'or Automne 1780, Tôt le matin il drache déjà, Et comme a son habitude le dépanneur ce plaint. Mais à quoi bon ce rendre fada pour ça. Je continue ma route contre tout vent Et rentre dans l’antre d’or blanc. Je suis au chaud certes, à l’abri du temps, Mais ce n’est pas aussi plaisant Que la maison de ce patron Champagné Qui sirote sa ristrette sucrée. Je ne suis pas très vigousse, Pas plus que ma lumerotte du moins. Je mine seulement le temps, je tousse. L’ensemble des marteaux résonne comme un tap-tap de loin J’espère qu’un jour ce monde souterrain Sera immortalisé sur une toile en blanche comme le lin La fatigue me gagne de façon chafouine Tandis que la cloche sonne par-dessus les bourdonnements Je me relève avachi mais déterminé comme écrit par Darwin Mes mains sont blanches comme en dehors Car les précipitations qui elles sont incessantes Ce sont transformées en poudrerie, en or. Un petit écrit pour un concours avec 10 mots imposés =) Modifié le 26 avril 2016 par Yamishana Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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