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[Roman] La guerre des trois.


Marek the jester
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La guerre des trois est un roman fantastique que j'ai commencé à écrire il y a de cela environ un an, je n'ai pas eu des masses de commentaires utile sur un autre forum dont je fais partie aussi je vous serais reconnaissant si vous pouviez en faire.

 

Prologue : La planète Aldexia, paisible géante autour de laquelle tournaient ses trois lunes. Paisible, seulement en apparence. Depuis la nuit des temps, ses habitants se sont livrés à d'immenses conflits meurtriers.

En l'an 1000 de la quatrième aire, ce monde fut secoué par le plus grand cataclysme qu'il n'ait jamais connu, mettant ainsi fin au conflit le plus meurtrier de l'histoire, une guerre mondiale plus connue sous le nom de la guerre des trois. À présent, écoutez le récit de cette guerre de légende.

 

Chapitre 1 :

Chapitre 1 : Le premier jour.

 

Notre histoire commence dans la ville d'Almnesia, à la frontière entre l'empire Anastasien et le royaume Draconique.

Almnesia était une riche ville portuaire située au bord de la mer d'huile, surnommée ainsi car jamais une vague ne l'agitait. Mais comme toute ville, Almnesia comportait aussi son lot de pauvres. Parmi ces pauvres se trouvait Melycia, une jeune fille de dix-neuf ans aux cheveux noirs tombant sur ses épaules et aux yeux d'émeraudes. Melycia était orpheline depuis dix ans. Elle avait dû apprendre à gérer sa vie et à travailler pour survivre.

 

Aujourd'hui, elle vivait au jour le jour de petit boulots qu'elle dégotait grâce aux rumeurs et aux touristes. C'est dans cette optique qu'elle se rendait à l'Auberge du Rat Ivre à travers les rues crasseuse du quartier pauvre. Elle ouvrit la grosse porte en bois de la taverne qui s'ouvrit dans un grincement digne d'un animal agonisant. Aussitôt une odeur d'alcool et de sueur saisit Melycia au visage, manquant de la faire vomir. Elle s'avança vers le comptoir derrière lequel se tenait un homme obèse, vêtu d'une chemise crasseuse et d'un tablier tâché. Cet homme n'était autre que Rufus, le patron de l'auberge.

 

- Du boulot aujourd'hui pour moi Rufus ?, demanda Melycia.

- Ouaip, paraît que des étrangers cherchent un guide pour les ruines si ça t'intéresse, lui répondit le tenancier.

- Et où je peux les trouver ?

- Sont à l’hôtel de l'Etalon Blanc. Hé hé, je te parie que c'est des idiots au sang bleu qui sont pas foutus de trouver la sortie de leur chambre ! Rufus partit d'un rire gras faisant remuer la graisse qui lui servait de ventre, dégouttant Melycia qui ne traîna pas plus dans l'auberge.

 

L'Etalon Blanc était l'un des meilleurs hôtels de la ville. Situé sur la place centrale, ses chambres au dernier étage offraient une vue imprenable sur la campagne avoisinante d'une part et sur l'immensité bleutée de la mer de l'autre.

 

Melycia traversa la sombre rue délabrée qu'elle avait empruntée pour aller à l'auberge avant de déboucher sur la rue marchande. À peine eut-elle fait quelques pas que le soleil la frappa de sa chaleur et l'éblouit; Ce n'était pas pour rien que ce mois était dit « de la lumière éclatante ». Accusant le coup, elle reprit sa marche.

 

Ici, la rue était large et bien ensoleillé, était parcourue par d'innombrables passants qui contemplaient les étalages de produits exotiques. Outre le brouhaha, on pouvait entendre les cris des marchands vantant les mérites de leurs produits dans l'espoir d'attirer du monde :

« - Je vends les meilleures épices du marché ! Toutes droit importées des Terres de Feu !

- Fruits exotiques, venez acheter mes fruits !

- Épées, armes, armures, que de la qualité elfique !

- Mesdames approchez, venez découvrir ma crème de beauté. Elle vous rendra aussi belle qu'une elfe ! »

 

Melycia ne prêta pas attention à ces offres plus ou moins mensongères et prit la direction de l'hôtel à travers les rues blanches de la ville. Ces rues étaient le reflet de l'économie de la ville, pavées de pierres blanches éclatantes et bordées de façades faites des mêmes pierres.

 

Elle arriva finalement sur la place centrale sur laquelle trônait une énorme statue de l'empereur Anastasis III. L'homme sculpté était jeune, à la carrure guerrière et pointait fièrement son épée de pierre vers le ciel.

 

À la périphérie de la place se trouvait l'hôtel de l'Etalon Blanc. L’édifice s'élevait sur près de trente mètres de haut et sa façade immaculée n'était interrompue que par des fenêtres aux cadres d’ébène.

 

Elle ouvrit l'imposante porte de bois gravé de l'hôtel et pénétra dans l'établissement. Il y régnait une douce ambiance, chacun discutant calmement et musiciens jouant une musique apaisante. La salle était somptueuse, ses murs portaient des toiles de maître, les fenêtres des rideaux de velours et le sol était couvert d'un tapis de lin rouge. S'y trouvaient également de nombreuses tables de bois précieux autour desquelles se retrouvaient de riches aristocrates, des étrangers fortunés, des riches marchands plus ou moins malhonnêtes ainsi que quelques personnes au sang bleu. Melycia se dirigea vers le comptoir de bois derrière lequel se trouvait un majordome.

 

- Bonjour Mademoiselle. Que puis-je pour vous servir ?, lui demanda celui-ci.

- Bonjour, on m'a dit qu'il y avait ici des étrangers cherchant un guide pour les ruines. Je souhaiterais les rencontrer.

- Hum... je vois, fit le majordome. Attendez ici je vous prie. Je m'en vais les informer de votre présence.

 

Le majordome se dirigea vers un coin de la salle et monta l'escalier qui s'y trouvait. Melycia s'assit à une table et écouta la conversation de deux femmes assise à une table voisine.

 

« - Il paraît que de gens ont disparu en ville !

- Comment est-ce possible ? La garde est partout !

- Justement, on raconte qu'il auraient été emprisonnés pour avoir eu des relations avec des semi-dragons ou des dragons !

- C'est complètement fou ! Je savais que l'empereur n'aimait pas les dragons mais à ce point ?! »

 

Assommée par la chaleur et bercée par la musique, les yeux de Melycia se fermèrent lentement, elle lutta d'abord contre l'endormissement avant de plonger dans le pays des rêves.

 

Fin du premier chapitre.

 

 

Chapitre 2 :

Chapitre 2 : Rencontre et révélations

 

Melycia ouvrit les yeux sur un monde de vide noir. Etait-ce la réalité ou bien un rêve ?

Dans cet univers vide se tenait un homme. Il était grand, ses cheveux noirs étaient coiffés en piques. De son visage, on ne voyait que l'œil gauche, d'un violet sombre, le reste du visage était recouvert de lanières de cuir noir. Il portait un long manteau noir déchiré, aux extrémités duquel ne sortait que son bras droit, recouvert d'une armure de métal donnant à sa main un aspect griffu.

 

Melycia voulu bouger, mais son corps ne réagissait pas. Elle voulait parler, mais ses lèvres restaient paralysées. Elle était prisonnière de son propre corps, les yeux rivés sur le regard sombre de l'homme.

 

L'homme parla d'une voix grave et calme :

De quoi avez-vous peur ?

Il sera bientôt l'heure

Tout recommencera

La scène se rejouera

Vous serez une actrice

De ce destin factice

Que commence la divine comédie !

Que tourne la roue de la vie !

Jusqu'à que tout se termine

Dans l'abondance ou dans la famine

 

 

Sur ces mots Melycia se réveilla en sursaut. Elle était toujours dans l’hôtel. Elle compris qu'elle venait de rêver. Mais les mots de cet homme résonnaient dans sa tête et dans son corps, frissonnant de peur.

 

- Tout va bien ? demanda un homme qui se tenait près d'elle. Il avait des cheveux noirs coupé courts et des yeux noisettes. Il semblait assez jeune et était vêtu d'une robe de mage rouge et or. À quelques pas de lui se trouvait un inconnu vêtu d'une robe de moine blanche qui semblait l'accompagner, sa capuche rabattue empêchant de voir son visage.

 

- Ca va... je... je crois... fit Melycia hésitante. Merci... mais, qui êtes-vous ?

 

- Allons bon, d'abord vous nous faites quérir et maintenant vous voulez me faire croire que vous ne savez pas qui je suis ? En voilà de drôles de manières....

 

Melycia réfléchit un moment avant de réaliser et de se relever soudainement.

 

- Pardon, je suis confuse ! fit-elle, gênée.

 

- Passons... vous dites que vous pouvez nous conduire aux ruines qui se trouvent à l'ouest de la ville ? Je dois vous prévenir que nous devons y être d'ici à ce que le soleil soit de nouveau à son zénith, demain.

 

- Certainement ! Mais si nous devons respecter un tel délai, il serait préférable de partir sur le champ.

 

- Soit ! Nous vous suivons.

 

Ils sortirent tous les trois de l'hôtel puis s'engagèrent dans les rues éblouissantes de la ville. L'inconnu encapuchonné n'avait toujours pas prononcé le moindre mot. Melycia, qui se tenait à coté de lui, observait cet étrange personnage du coin de l’œil lorsqu'un rayon lumineux frappa brièvement le visage de l'inconnu. Elle pût alors entrapercevoir son regard. A cet instant, elle cru voir deux yeux blancs aux pupilles fendues, ce qui la déconcerta.

 

"Ses yeux... Non, ce doit être la chaleur qui me joue des tours", pensa-t-elle.

 

Le soleil était monté dans le ciel depuis le dernier trajet de Melycia et la foule qui parcourait les rues se terrait à présent à domicile pour fuir la chaleur. Ils marchèrent pendant de longues minutes, suant à grosses gouttes.

 

L'inconnu s'essuya le visage d'un revers de manche dévoilant un peu celui-ci et cette fois-ci, ce furent des écailles blanches que Melycia cru voir sur la joue de cet étrange personnage.

 

- Se pourrait-il que ce soit... non, cela ne se peut pas, j'ai du mal voir... on se croirait en enfer ici...

 

Tous trois arrivèrent bientôt aux portes de la ville. Là, une sorte de tension s'installa au moment de passer devant les gardes et Melycia ne manqua pas de le remarquer. Finalement, ils sortirent dans la campagne. A partir de ce moment, la chaleur se fit moins intense, leur permettant de souffler un peu.

 

Alors qu'ils marchaient, l'inconnu trébucha et manqua de perdre l’équilibre. Melycia qui observait la scène ne regardait plus devant elle et se prit un arbre de plein fouet avant de tomber.

 

- Regardez devant vous je vous prie. Je ne voudrais pas que vous vous tuiez bêtement, ricana l'homme.

 

Melycia se releva en se frottant le front endolori, puis resta un moment groggy avant de pouvoir se reconcentrer sur le chemin. L'inconnu qui s’était arrêté quelques mètres plus loin, se retourna le temps que Melycia se relève, puis repris sa route, indifférent.

 

Bientôt ils arrivèrent à proximité d'une petite maison. L'inconnu trébucha une fois de plus, mais cette fois tentant de ne pas tomber, il s’embroncha dans sa robe et perdit l’équilibre sur plusieurs mètres. Sa robe s'accrocha à un fourré épineux faisant finalement tomber l'inconnu en déchirant la robe.

 

Cela révéla que ce singulier personnage possédait une paire d'ailes membraneuses repliées contre son corps.

 

- Alors j'avais bien vu ! Je ne suis pas folle ! Vous êtes un semi-dragon ! s'écria Melycia.

 

- Une ! lui rétorqua l'inconnu d'une voix féminine.

 

- Pardon ?

 

- Une semi-dragonne, fit l'inconnue, en insistant sur le ''une''.

 

L'inconnue se releva et ôta sa robe dévoilant une jeune fille mi humaine mi dragonne. Elle semblait à peu près aussi âgée que Melycia, portait des écailles sur les ailes ainsi qu'une fine ligne d'écailles remontant le long de son dos, se séparant à la nuque pour se terminer sur ses joues en deux pics.

 

Ses yeux argentés avaient les pupilles fendues et ses ongles, fins et pointus, faisaient penser à des griffes. Enfin ses cheveux immaculés descendaient jusque sur ses hanches.

 

Seule sa peau rosée tranchait avec le du reste de son corps. Elle portait un haut s’arrêtant au-dessus de sa poitrine et recouvrant ses bras, une jupe courte et des bottes hautes, le tout étant teint d'une alternance de noir et d'or.

 

Melycia la regardait, impressionnée et quelque peu jalouse de sa beauté.

 

- Je m'excuse de vous avoir caché la vérité, dit l'homme, mais c'était nécessaire. L'empereur n'aime guère les dragons et nous avons donc du trouver un stratagème pour passer en ville sans révéler sa race.

 

- Je pense que je vous dois la vérité, fit l'inconnue. Je suis la princesse Tsurugi ab amel, fille du roi dragon Aschenbrand. Elle montra l'homme qui l'accompagnait. Et lui c'est Ascheriit, mon fiancé.

 

- Euh... très bien mais... Pourquoi me dire que vous êtes une princesse ? demanda Melycia.

 

- C'est Tsurugi tout craché... Elle fait toujours les choses avant d'y réfléchir... lui répondit Ascheriit.

 

- Comment ça ?! Qu'est ce que tu insinues ?! l'interpella Tsurugi, ce qui déclencha un fou rire de la part d'Ascheriit, Quoi ?! Qu'est ce qu'il y a de si drôle ?!

 

- Non... c'est juste que... J'adore quand tu t'énerves comme ça ! lui répondit celui-ci, entrecoupant ses phrases de crises de rire.

 

Melycia observait la scène, amusée, tandis que Tsurugi grommelait et finit par mettre une baffe à Ascheriit. Melycia eût l'air choquée.

 

- Ne vous inquiétez pas, elle fait ça chaque fois qu'elle râle, alors autant dire souvent ! La rassura Ascheriit avant de se prendre une autre baffe, ce qui le fit rire d'autant plus.

 

Melycia finit par se joindre au fou rire d'Ascheriit tandis que Tsurugi bougonnait. Aprés plusieurs minutes à pleurer de rire, ils se calmèrent finalement.

 

- C'est bon ? Vous avez fini ? On peut y aller maintenant ? demanda Tsurugi sur un ton de reproche.

 

- Oui, oui, bien sur, lui répondit Melycia en essuyant ses larmes. Laissez moi juste le temps de prendre quelques provisions. Ma maison n'est pas loin. Attendez moi là, je reviens vite.

 

Et elle partit en courant vers une maisonnette en pierre perdue dans la campagne. Elle en revint peu de temps après en portant un sac plein.

 

- Bien, allons-y ! fit elle.

 

 

Et ainsi ils partirent tout les trois en direction d'une ville en ruine que l'on pouvait apercevoir au loin. La ville en question avait autrefois été une cité florissante jusqu'à que les ravages de la guerre fassent leur œuvre, transformant la cité en ville fantôme.

 

Adossé contre une arbre, un homme les observait s'éloigner.

 

- Profitez du temps qu'il vous reste... car tout va bientôt recommencer... murmurait-il.

 

 

Fin du chapitre 2.

 

 

Chapitre 3 :

 

Chapitre 3 : Duel fratricide.

 

Après plus d'une journée de marche, Melycia, Tsurugi et Ascheriit arrivèrent enfin aux abords d'une antique cité en ruines.

 

- Nous y voilà, fit Melycia, l'antique cité de... de... et bien à vrai dire je n'ai jamais su comment elle s'appelait... Mais au fait, qu'est-ce que vous venez faire dans ces ruines ? Seriez-vous archéologues à vos heures perdues ?

- Bien que l'histoire des civilisations antiques soit très intéressante, ce n'est pas ça qui nous amène ici, lui répondit Tsurugi, amusée.

- Au point où nous en sommes, je ne vois pas de raison de ne pas lui dire la vérité, dit Ascheriit en regardant Tsurugi.

 

Celle-ci hocha de la tête et se retourna vers Melycia.

Nous sommes venus ici car c'est là que va se tenir le combat au cours duquel sera décidé qui, de moi ou ma sœur, sera l’héritière du trône.

 

Ils arrivèrent au niveau d'une ancienne place. Là, Tsurugi sortit une pierre sur laquelle étaient gravées des runes. Elle la posa sur le sol et recula. Quelques instants plus tard, un grand cercle de lumière apparut à l'emplacement de la pierre. Des dizaines d'humains en sortirent, les bras chargés de planches, d'outils, de toiles, de piquets et de quelques autres pierres couvertes de runes. Tous s'affairèrent, construisant des gradins, montant des tentes et ouvrant d'autres portails d'où sortaient d'autres ouvriers ainsi que des gens de races diverses.

 

- Qui sont tous ces gens ? demanda Melycia.

- Mon père a tenu à rendre l’événement public... Je ne saurais dire si j'approuve cela ou non...

 

Un homme s'approcha du groupe puis s'inclina devant Tsurugi.

- Votre tente est prête Princesse, dit-il alors. Votre équipement vous attend à l'intérieur. Puis-je faire autre chose pour vous ?

- Installez une couchette de plus pour mon invitée, je vous prie, lui répondit Tsurugi en désignant Melycia.

- Bien Princesse. Ce sera fait ! Désirez-vous rejoindre votre tente immédiatement ?

 

Tsurugi acquiesça de la tête. L'homme salua de nouveau, se retourna et se mit en marche à travers la foule et les installations en construction, suivi de Tsurugi, Ascheriit et Melycia.

Ils arrivèrent finalement devant une tente somme toute assez banale mais qui semblait néanmoins confortable. L'homme s'inclina une fois de plus et repartit.

 

- Le voyage m'a éreinté. Je pense que je vais dormir un peu avant le combat, dit Ascheriit en baillant avant de s'écrouler sur une couchette.

- Toujours aussi délicat... soupira Tsurugi.

- Fais-moi penser à t'acheter un miroir ! fit son fiancé qui ne put s'empêcher de rire.

Et elle de lui mettre des coups de pied en grommelant.

 

Quand finalement le couple fut calmé, Tsurugi remarqua l'air troublé de Melycia.

- Qu'est-ce qui ne va pas ? lui demanda-t-elle.

- C'est juste que... Ca doit t'embêter qu'une princesse comme toi soit vue en compagnie d'une personne insignifiante comme moi... répondit Melycia.

- Qu'il vienne celui qui m'empêchera de fréquenter qui je veux ! Maintenant tu ferais mieux de te reposer. Les préparatifs ne seront pas finis avant plusieurs heures.

Melycia sourit et s'allongea. Avant qu'elle s'en rende compte, elle basculait dans le monde du sommeil.

 

L'instant d'après, Melycia ouvrait les yeux sur un espace noir et vide dans lequel se tenait encore l'homme de son rêve. Celui-ci lisait un livre qu'il tenait ouvert de sa main métallique.

Sentant la présence de Melycia, il leva l’œil vers elle.

"Ainsi vous revoilà

En ce lieu où nulle lumière ne va"

 

Cette fois-ci, Melycia sentit qu'elle pouvait parler, ce qu'elle fit aussitôt.

- Qui êtes-vous ?

 

Et l'inconnu de lui répondre.

"Je suis un fantôme du passé

Qui n'a toujours pas trépassé

Vous n'avez besoin d'en savoir plus

Tout vous sera révélé en temps voulu"

- Je ne comprend pas. Que voulez-vous et quel est cet endroit ?

"Ma volonté ne compte pas

Seule compte celle de Sataloca

Quant à ce lieu-ci

Il n'est autre que votre esprit

Mais il n'est plus temps de tergiverser

Très bientôt tout aura recommencé

Vous devez aller vers votre destin

Pour que Sataloca vous tende la main"

 

Sur ces mots, Melycia se réveilla. Elle était toujours dans la tente et Ascheriit se tenait devant elle.

- J'ai bien cru que tu ne réveillerais jamais, fit-il en souriant. Allez, dépêche-toi. Le combat va bientôt commencer.

 

Melycia mit un petit temps pour se réveiller puis se leva et suivit Ascheriit à l'extérieur.

Ils marchèrent au milieu d'un forêt de tentes dressées dans les antiques ruelles puis ils débouchèrent sur une place. Sur les bâtiments qui la bordait avaient été aménagés des gradins donnant une vue sur toute la ville.

 

Au centre de la place se tenait Tsurugi vêtue d'une armure lourde noire ornée de motifs dorés et portant un daï-katana sanglé en travers de son dos. Face à elle se tenait une autre semi-dragonne aux cheveux et écailles rouges, portant la même armure et un katana à la ceinture.

 

Ascheriit et Melycia montèrent l'échelle menant à une tribune peu occupée. Ils arrivèrent en haut juste à temps pour voir un grand portail s'ouvrir. Du portail sortit lentement l'énorme corps d'un dragon aux écailles grises et aussitôt tout le monde se tut, fixant le saurien qui n'était autre qu'Aschenbrand, le roi dragon, père de Tsurugi. Celui-ci déclara alors d'une voix puissante :

 

- Mesdames et messieurs. Aujourd'hui se déroulera le combat entre mes deux filles Altea et Tsurugi. La gagnante de ce duel se verra octroyer le titre de princesse héritière de mon royaume. Les règles sont simples : La première qui touchera le sol de cette ville aura perdu. À présent, que le combat commence !

 

Aussitôt les deux combattantes déployèrent leurs ailes et décollèrent pour aller se poser sur le toit de l'un des bâtiment en ruine de la ville. Ce fut Tsurugi qui dégaina la première. Serrant la poignée de sa longue lame, elle fonça comme une furie sur Altea. Celle-ci évita de justesse le coup tout en en profitant pour sortir son arme.

 

Plus calme, Altea laissait Tsurugi lui foncer dessus pour mieux frapper au moment opportun. Après quelques minutes à combattre ainsi, les deux sœurs échangèrent un sourire déterminé comme si elles n'avaient fait que s'amuser jusqu'à présent.

 

D'un coup d'ailes, Tsurugi s'envoya violemment sur Altea et lança un coup de taille que cette dernière évita en se baissant. Mais Tsurugi ne stoppa pas la lame dans son élan, la faisant tourner rapidement autour d'elle pour frapper tout aussi vite. Face à la vitesse et au poids de l'arme, Altea ne pouvait parer, elle devait donc esquiver coup sur coup les violents assauts de sa rivale, se rapprochant ainsi lentement du bord du bâtiment.

 

Lorsque toutes les deux furent parvenues à l'extrémité du toit, Altea se laissa tomber, laissant la lame ennemie frapper la pierre. Déployant ses ailes, elle revint à la charge en adoptant cette fois une attitude plus agressive, profitant de sa lame plus courte pour enchaîner des coups à une vitesse impressionnante. Tsurugi paraît les coups en tenant horizontalement son arme devant elle.

 

Plus le métal s'entrechoquait, plus la lame du daï-katana rougissait puis blanchissait. Finalement Tsurugi se dégagea et frappa.

Son adversaire esquiva et la lame continua sa route. Mais au lieu de frapper la pierre, elle la trancha. Tsurugi venait d'utiliser la magie pour chauffer sa lame à des températures extrêmes.

 

Altea ne se fit pas prier pour user de magie à son tour, envoyant une sphère blanche brillante vers son adversaire. Celle-ci esquiva mais au moment où la sphère rencontra la pierre, elle explosa, détruisant le toit et projetant Tsurugi dans un bâtiment voisin. Altea l'y rejoignit aussitôt.

 

Dès lors, les deux combattantes ne furent plus visibles. Mais on entendait encore les bruit de métal s'entrechoquant et les explosions. Le combat continua ainsi de bâtiment en bâtiment, qui finissaient inexorablement tranchés ou explosés. Puis l'épuisement commençant à se faire sentir, le rythme du combat diminua et les combattantes commencèrent à chercher à éviter l'affrontement.

Pendant ce temps, une troupe de soldats humains arriva sur la place. Petit à petit, tous les yeux se tournèrent vers ces intrus et finalement même les deux sœurs cessèrent leur combat pour les observer. Un homme s'avança alors vers le roi dragon en dépliant un parchemin devant lui. Il se racla la gorge puis déclara aussi fort qu'il le pût.

 

- Par décret de l'Empereur Anastasis troisième du nom, l'Empire déclare la guerre au roi Dragon Aschenbrand ainsi qu'à tous ses alliés ! Seront exécutées sommairement toute personne possédant même partiellement du sang dragonnique ou ne leur étant pas hostile ! De plus, toute personne se trouvant ici et faisant partie de l'empire sera considérée comme étant un traître et sera punie en conséquence !

 

Fin du troisième chapitre.

 

 

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Une histoire qui a l'air prometteuse mais qui souffre de quelques défauts :

1- L'orthographe faiblit rapidement. Les premières lignes sont bien mais ça part en sucette et il manque même des mots parfois.

2- Ça va un peu vite pour un premier chapitre. Un développement de l'héroïne aurait été le bienvenu. A part ses cheveux et ses yeux, on n'a rien. On ne sait même pas si c'est une humaine ^^.

3- Pour quelqu'un qui cherche du travail, s'endormir en attendant des clients potentiels, c'est moyen. J'espère qu'une mouche tsé tsé l'avait piqué en venant parce que c'est naze sinon. Ou alors c'est un récit hentai et elle va se réveiller attachée de partout avec des dragons en string qui dansent autour d'elle en remuant la queue.

 

Donc voilà. Je te conseille de reprendre l'histoire en développant et rallongeant certains passages.

Et au besoin, on a assez de bonnes volontés sur le forum pour te corriger avant que tu publies.

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Tout d'abord je m'excuse de mon infraction, je me suis un peu précipité pour poster et j'en ai oublié de lire les règles, ça ne se reproduira plus.

 

Pour en revenir au texte, il s'agit du tout premier chapitre que j'ai écrit et j'avoue que c'est loin d'être le meilleur, mais pas d'inquiétude, je vais éditer tous les épisodes une fois que j'aurais terminer de rédiger le 7ème. Enfin Melycia n'a pas vocation à être le personnage principal, celui ci apparaîtra dans le 2ème épisode que voici.

 

 

Episode 2 : Rencontre et révélations

 

Melycia ouvrit les yeux sur un monde de vide noir... elle rêvait. Dans cet univers vide se tenait un homme, il était grand, ses cheveux noirs étaient coiffés en piques, de son visage on ne voyait qu'un œil gauche, rouge, le reste étant recouvert de bandes de cuir noir. Il portait un long manteau partiellement en lambeaux, et n'en sortait que son bras droit, bras recouvert de métal terminé par une main griffue, elle aussi recouverte de métal. Melycia était incapable de faire quoi que ce soit.

 

L'aurais-je enfin trouvée, celle que je cherche depuis tant d'années ? Lui dit l'homme d'une voix grave, douce et calme.

Je sens en votre âme de la peur, mais il n'y a pas lieu d'en avoir pour l'heure.

C'est aujourd'hui, dans cette hôtel, que débute votre vraie vie.

À présent réveillez vous, et vers votre destin dirigez vous.

Soyez en sure nous nous reverrons, lorsque de nouveau les rêves vous appelleront.

 

Melycia se réveilla, elle était toujours dans l’hôtel et un homme se tenait prés d'elle, celui ci avait les cheveux courts, noirs et des yeux noisettes. il semblait assez jeune, il était vêtu d'une robe de mage rouge et or. À quelques pas de lui se trouvait un inconnu qui semblait l'accompagner. Il était vêtu d'une robe de moine blanche, sa capuche rabattue et le fait qu'il garde la tête baissée empêchait de voir son visage.

 

- Seriez vous notre guide ? Demanda l'homme au visage découvert.

- Euh, oui, oui c'est moi, excusez moi, dit elle en se levant, je me suis endormie, j'espère que je ne vous ai pas fait attendre.

- Non nous venons d'arriver. Et quel est votre nom ?

 

Melycia, pas encore bien réveillée, dut se ressaisir. Elle se tourna dos à l'Homme, pris une grande inspiration, et tenta de prendre un air aussi sérieux et assuré que possible, puis elle se retourna face à l'homme.

 

- Je m'appelle Melycia. Et vous comment vous appelez vous ?

- Je me nomme Ascheriit.

- Et... lui ? Fit-elle en désignant l'étrange inconnu qui l'accompagnait.

- Vous n'avez pas besoin de le savoir, faites votre travail, c'est tout.

- D'accord... dans ce cas suivez moi, nous partons sur le champ.

 

Ils sortirent tout les trois de l'hôtel et s'engagèrent silencieusement dans les rues éblouissantes de la ville. L'inconnu avait une démarche pour le moins étrange, il semblait coincé et se dandinait sur les pavés de la rue. Melycia, qui se tenait à coté de lui, observait cet étrange personnage du coin de l’œil. Lorsqu'un rayon lumineux frappa brièvement le visage encapuchonné de l'inconnu, elle pût entrapercevoir son regard, en cet instant elle cru voir deux yeux blancs aux pupilles fendues, ce qui la déconcerta.

 

- Bon sang il fait trop chaud ! Je dois avoir des hallucinations ! Pensa-t-elle.

 

En effet le soleil tapait très fort à cette époque de l'année. Les rues blanches de la ville reflétait cette lumière, les transformant en véritables fours solaires. Ils marchèrent ainsi dans ces rues surchauffées pendant de longues minutes durant lesquelles ils suaient à grosses gouttes. L'inconnu s'essuya le visage d'un revers de manche dévoilant un peu celui ci. Et cette fois ci, ce fût des écailles blanches que Melycia cru voir sur la joue de cet étrange inconnu.

 

- Ce pourrait-il que ce soit un... non, cela ne se peut pas, j'ai du mal voir... on se croirait en enfer ici...

 

Tous trois arrivèrent aux portes de la ville et sortirent dans la campagne, là la chaleur se fit moins intense ce qui leur permit de souffler un peu. Alors qu'ils marchaient, l'inconnu trébucha et manqua de perdre l’équilibre, une queue écailleuse blanche surgit brièvement de sous sa robe, Melycia n’eut pas le temps de voir de quoi il s'agissait réellement puisque, ne regardant plus devant elle, elle se pris un arbre de plein fouet et tomba.

 

- Regardez devant vous je vous prie, je ne voudrait pas que vous vous tuiez bêtement. Ricana Ascheriit

 

Melycia se releva en se frottant le front endolori, puis resta un moment groggy, avant de pouvoir se concentrer sur le chemin. L'inconnu s’arrêta quelques mètres plus loin, se retourna, attendit que Melycia se relève, puis repris sa route, indifférent. Bientôt ils arrivèrent à proximité d'une petite maison. L'inconnu trébucha une fois de plus, mais cette fois il tenta de ne pas tomber. Ce faisant il s’embroncha dans sa robe et perdit l’équilibre sur plusieurs mètres, il passa sur un fourré épineux dans lequel sa robe s'accrocha le faisant finalement tomber en la déchirant. Cela révéla que ce singulier inconnu avait non seulement une queue mais aussi des ailes. Celles ci étant collées contre son corps elles avaient du gêner sa marche.

 

- Alors j'ai bien vu, je ne suis pas folle ! Vous êtes un semi dragon ! S'écria Melycia.

- Une ! Lui rétorqua l'inconnu d'une voix féminine

- Pardon ?

- Une semi dragonne. Fit l'inconnu ou plutôt l'inconnue, en insistant le sur le ''une''.

 

L'inconnue se releva et ôta sa robe dévoilant une jeune fille mi humaine mi dragonne. Elle semblait à peu près aussi âgée que Melycia, elle portait des écailles sur toute la queue et les ailes, et l'on pouvait également voir une fine ligne d'écaille remonter le long de son dos se séparant à la nuque pour se terminer sur ses joues en deux pics. Ses yeux avaient les pupilles fendues et ses ongles, fins et pointus, faisaient penser à des griffes. Enfin ses cheveux étaient très longs, si longs qu'ils descendaient jusque sur ses hanches. Seule sa peau rosée tranchait avec le blanc de ses écailles, de ses yeux et de ses cheveux. Elle était vêtue d'un haut n'allant pas plus haut qu'au dessus de sa poitrine et recouvrant ses bras, d'une jupe courte et de bottes hautes, le tout étant teint dans une alternance de noir et d'or. Melycia la regardait, impressionnée et quelque peu jalouse de sa beauté.

 

-Je m'excuse de vous avoir caché la vérité, dit Ascheriit, mais c'était nécessaire, l'empereur n'aime guère les dragons, nous avons donc du trouver un stratagème pour passer en ville sans révéler sa race.

-Je pense que je vous doit la vérité, fit l'inconnue, je suis la princesse Tsurugi ab amel, fille du roi dragon Aschenbrand et Ascheriit et moi sommes fiancés.

-Euh... pourquoi me dire que vous êtes une princesse ? Demanda Melycia.

-C'est Tsurugi... elle fait toujours les choses avant d'y réfléchir... lui répondit Ascheriit.

-Comment ça ?! Qu'est ce que tu insinue ?! L'interpella Tsurugi, ce qui déclencha un fou rire de la part d'Ascheriit, quoi ?! Qu'est ce qu'il y a de si drôle ?!

-Non... c'est juste que... j'adore quand tu t'énerve comme ça ! Lui répondit celui ci, entrecoupant ses phrases de crises de rire.

 

Melycia observait la scène, amusée, tandis que Tsurugi grommelait et finit par mettre un coup de queue au visage d'Ascheriit. Melycia eût l'air choquée.

 

- Ne t'inquiète pas, elle fait ça chaque fois qu'elle râle, alors autant dire souvent ! La rassura Ascheriit avant de se prendre un autre coup de queue ce qui le fit rire d'autant plus.

 

Melycia finit par se joindre au fou rire d'Ascheriit tandis que Tsurugi bougonnait. Aprés plusieurs minutes à pleurer de rire ils se calmèrent finalement.

 

-C'est bon vous avez fini ? On peut y aller maintenant ? Demanda Tsurugi sur un ton de reproche.

-Bien sur, lui répondit Melycia en essuyant ses larmes, le trajet devrait nous prendre un jour ou deux alors nous devrons faire halte dans une auberge pour nous reposer et nous réapprovisionner.

 

Ainsi Ascheriit, Melycia et Tsurugi se mirent en route en direction d'une vieille tour délabrée que l'on pouvait apercevoir au loin.

 

 

 

 

Fin de l'épisode 2.

 

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Je ne sais pas pourquoi mais je sens comme une lourdeur dans ton texte, un peu comme un manque de maturité.

 

 

Et les choses apparaissent de façon trop simple.

Par exemple le dragon qui ne sait pas marcher sans se vautrer... Ils auraient pu tomber sur des gardes et tu aurais révéler son identité pendant le combat.

Et dans toutes les mythologies connues, les dragons sont les créatures aux plus grands pouvoirs magiques, le principal étant souvent... la métamorphose qui leur évite de se faire flécher à vue.

 

Dernier point, pour l'instant, on n'arrive pas spécialement à s'attacher à un personnage. Alors que normalement, une dragonne, on s'y attache (hahaha).

 

Si je pouvais te donner un conseil, c'est de publier tout ce que tu as déjà écrit, de noter toutes les remarques qu'on te fait, puis de reprendre l'histoire de 0. Tu te rendras peut-être ainsi compte que certains passages sont vraiment gnangnan (non, pas comme le Gangnam style) et tu pourras étoffer ton histoire et lui donner plus de maturité.

 

Et colle tes textes dans Word ! Des erreurs comme "cette hôtel", ce n'est pas tolérable.

A bientôt.

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Je crois que je posterais les versions retravaillées de mes chapitres une fois que ce sera fait plutôt que de les poster dans cet état que je trouve moi même moyen. Donc si jamais quelqu'un à lu et aimé va falloir patienter pour la suite.

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  • 3 weeks later...

Salut Marek.

 

Je suis désolé je n'ai pas lu tout ton chapitre. :anoo

Cependant il y a certaines choses qui m'ont interpelées.

 

Bon c'est un détail, mais tu est sûr de vouloir mettre épisode 1 : prologue ? Pour moi le prologue doit justement venir avant l'épisode 1 (à moins que tu ai une raison précise pour le formuler comme cela).

 

Ensuite aux justes critiques sur l'orthographe de Zorba, j'ajouterai attention à la ponctuation ! :cartonjaune:

La ponctuation rhytme le texte, il ne s'agis pas que des virgules et autres points, mais aussi des sauts de lignes, paragraphes (à mon humble avis de lecteur tu devrais éviter de passer de la description de la cité à la vie d'un personnage dans le même paragraphe, en particulier pour un début de chapitre), alinéas etc.

J'ai moi aussi ce défaut de faire de loooooooongues phrases en enfilades avec pleins de virgules (je me soigne, mais c'est dur). Et attention à tes mots de liaisons! tusors!

 

Faire une description claire et efficace sans lourdeur c'est difficile...mais on aime avoir des détails pour faire travailler notre imagination. Il faudrait peut-être séparer, en plusieurs phrases, la description de l'absence apparente de talents de ton personnage.

 

Sinon en tant qu'amateur (forcené) de fantaisie je trouve qu'il y a de l'idée. Je vois pleins de petits développements possibles dans ton histoires. Par petits développements, j'entend par là de petites histoires à l'intérieur de la trame principale (euh tu me suis là? Parce que moi je me suis perdu).

 

Je me suis permis de regarder ton profil (oui j'aime fouiner :roll:), tu déjà du faire une dissertation ou un commentaire ? Tu peu te servir des fiches de méthodo, si tu en as, normalement il y as des indications pour éviter de faire des phrases à rallonge.

 

Désolé pour l'orthographe...et la ponctuation...

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Merci Kana, pour ce qui est de la ponctuation, Zorba me l'a fait remarquer par MP et j'y travaille, ensuite le premier chapitre n'est pas génial, je l'avoue volontiers parce que je le trouve aussi, c'est pourquoi je vais attaquer une réécriture de tous les chapitres une fois que j'aurais fini de rédiger le chapitre 7 (Qui est plutôt long à écrire).

 

Pour les description je dois toutes les retravailler et surtout celles du début qui sont trop succinctes. J'envisage également d'écrire un lexique décrivant les lieux, les personnages, leurs histoires, les légendes etc... Mais comme je rédige tout sur ordi et qu'il n'y à que le week end quand je rentre chez moi que je trouve l'ambiance nécessaire à la rédaction je n'ai pas souvent l'occasion d'écrire.

 

Je pense également rédiger quelques épisodes "bonus" axés sur des scènes humoristiques.

 

Bref, j'ai pleins d'idées et si peu de temps pour le faire... ^^'

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Chacun a sa façon de créer. Ne t'inquiète pas ce n'est pas mauvais, le début c'est une partie difficile.

 

Un lexique c'est une bonne idée surtout si tu souhaite faire "persister" ton univers. Ce qui m'as l'air d'être le cas vu que tu fais des épisodes.

Bien établir l'univers autour de l'histoire est important, tu connais peut-être la collection des Royaumes oubliés ? Ce n'est pas toujours de la grande littérature, mais comme c'est basé sur l'univers de Donjons&Dragons ils peuvent en produire des masses. Pareil pour les dérivé de Star Wars.

 

Certaines personnes commence par des idées en vrac, puis une carte voir carrément un lexique avant l'histoire elle même. Après tout créer/explorer un univers (et en connaître un max de détails) :hero: c'est un des plaisirs de la fantaisie.

 

Tu aurais un synopsis ?

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Un synopsis, c'est bien quand on sait où on va.

Moi je n'ai jamais eu le courage d'en écrire un car sinon, je ne me serais jamais lancé dans l'écriture, me rendant compte que mon histoire était pourrie dans ses prémices alors que si je l'avais écrite, j'aurais eu d'autres idées plus sympa en cours de rédaction.

 

Donc un conseil, ne te lance pas dans un synopsis si tu ne sais pas encore où tu vas. Laisse-toi porter par ton histoire et tu t’inquiéteras de la fin quand tu auras passé la moitié estimée de ton histoire.

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à vrai dire je sais déjà vers où va mon histoire, car si je n'écris pas souvent je pense très souvent à des scènes et à l'histoire de mon roman. En fait je fonctionne un peu bizarrement puisque j'imagine des scènes se situant à tous les points de l'histoire et petit à petit, au fur et à mesure que l'histoire écrite progresse je les lie entre elles.

 

 

Quoi qu'il en soit c'est agréable de trouver ici le soutien et les idées qui me faisait défaut sur mon autre forum. ^^

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  • 1 month later...
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