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Un Rieur a reçu une réaction de Niya dans Les projets d'un Rieur
Salut tout le monde,
Comme vous le savez peut être, je suis étudiant en informatique spé dans le jeux vidéo. Et j'aimerais sur ce topic vous partager les différents projets sur lesquels je bosse ou j'ai bossé. Je vous donnerais pas toujours le lien pour jouer au jeux car il se peut que je ne l'ai pas, ou que le jeu soit pas fini.
Et pour inaugurer tout ça je vous présente le trailer du jeu qui m'a fait obtenir mon diplôme : The Shepherd.
Pour la petite histoire, avec l'équipe on continue de bosser dessus histoire de le peaufiner un peu, et d'être entièrement satisfait du rendu. Quand il sera plus abouti, il se peut que je vous partage un executable pour que vous puissiez le tester :
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Un Rieur a reçu une réaction de Dimensio dans Réflexion vidéoludique
Je répondrais dans quelques temps (le temps de construire une belle réponse)
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Un Rieur a réagi à Dimensio dans Les projets d'un Rieur
Je ne suis pas du tout doué dans ce domaine, désolé :/
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Un Rieur a réagi à Shaft dans [Fiction] OA : le light novel
Bon ce chapitre a un peu tardé, mais j'espère que vous l'apprécierez. Pour me faire pardonner, j'ai inclus un début d'illustration du LN en balise spoiler à la fin. =)
Je tiens également a préciser que ce chapitre est assez lourd en fanservice, enfin cela permettra à Lexie de travailler les proportions. :mef:
Comme d'habitude, n'hésitez pas à signaler d’éventuelles fautes, je ferais mon possible pour les corriger.
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Chapitre 9 : Une faveur
« Nyan nyan nyan nyan nyan nyaaaaaaaaaaan ♪♫ »
La mélodie entraînante résonne dans les bureaux de la guilde des aventuriers d’Agapant. Deux oreilles de neko se balancent en rythme de l’autre côté du bureau. Une nekoknight se lime les griffes avec application, ses fines jambes recouvertes de lin noir reposant sur l’acajou du bureau. A la vue de la nouvelle arrivante, elle s’immobilise et ses lèvres se referment avec un pli malicieux.
« Que puis-je pour vous Mademoiselle ? Vous me semblez bien frêle pour aller braver seule les monstres qui pullulent en cette contrée. »
Sandy, un instant décontenancée par le ton inhabituel de la maid, respire un grand coup et reprend ses esprits.
« Bonjour, j’aurais besoin de me faire enregistrer comme aventurière auprès de la Guilde sous le nom de Lame écarlate. »
« Ara ara. C’est bizarre, je me rappelle l’histoire d’une petite fille pleurnicharde. Cette nunuche dormait en serrant fort contre elle une grande épée rouge après être venue à bout de son énergie ainsi que de celle de ses suivantes. Chez les paysans, on aurait appelé ça une chipie et on l’aurait laissé bouder dans son coin. Manque de pot, elle était noble. Pire encore, c’était une princesse. Il fallait à tout prix en faire un produit présentable pour ses sujets du Royaume. La tâche était ardue, à côté tuer le roi des démons aurait été une promenade dans le parc. En plus ce n’était même pas une princesse comme les autres mais une princesse qui voulait tuer les dragons. Genre elle ne pouvait même pas rêver de prince sur son cheval blanc - ou même noir – ou à l’extrême rigueur d’un roturier valable qui puisse lui faire un héritier n’ayant pas hérité de son mauvais caractère… »
La maid laisse échapper un profond soupir. Sandy se mordille la lèvre inférieure mais continue à faire semblant de ne rien comprendre avec un naturel déconcertant.
« Je ne vois pas pourquoi vous me parler de cette… garce. Je viens juste pour obtenir le certificat d’appartenance à la Guilde. »
Syel frappe dans ses mains et s’exclame la bouche en cœur.
« Oui, une garce c’est tout à fait ça ! Je n’aurais jamais pu mieux la définir. Vous devez bien la connaître Mademoiselle. »
Le teint pâle des joues de Sandy s’empourpre pour se rapprocher d’un splendide rouge coquelicot.
« SYEEEEELLLLLLL ! Arrête de te foutre de moiiiiiiiiiii !!!!!!!!!!!! Qu’est-ce que tu veux ? »
« Je n’oserai jamais ma princesse, vous devez faire erreur. J’existe pour vous servir. »
Syel tend son corps en arrière et par un mouvement de balancier se propulse sur le bureau avec une grâce toute féline. Puis elle prend les plis de sa robe entre ses mains avant de s’incliner.
« Alors donne-moi cette foutue attestation d’aventurier ! »
« Et les bonnes manières Mademoiselle, vous devriez savoir que toute chose a un coût… Vous êtes censée retourner au château de Sa Majesté. La garde royale doit être en train de retourner chaque bouteille de rhum pour voir si vous ne roulez pas à ses pieds. »
« … »
Syel descend du bureau d’un bond leste et se rapproche pour susurrer à l’oreille de Sandy avant qu’elle n’ait eu le temps de réagir.
« J’accepterai de vous accompagner princesse mais vous devez m’accorder une faveur… Êtes-vous prête à l’accepter quelle qu’elle soit ? »
« Bien sûr ! Dépêche-toi que je me fasse enregistrer ! »
« Très bien. Voilà les papiers à ton nom, je les avais préparés à l’avance. Il n’y a plus qu’à renseigner le nom de ton groupe, Lame écarlate donc. Naturellement j’en fais officiellement partie. »
Syel sourit et puis baisse sa main droite pour se saisir d’une feuille en parchemin recouverte d’un cachet en cire rouge. Elle la relit puis rajoute quelques mots à la plume. Satisfaite, elle descend du bureau. Sandy tend la main en la fixant du regard.
« Tut tut, ne sois pas si pressée, n’oublie pas que tu dois m’accorder une faveur. Suis-moi, on va aller dans un endroit pour se détendre. »
Syel range le papier dans le buste de son armure et prend Sandy par la main. Sandy se laisse faire. Après tout, elle n’a pas trop le choix, vu qu’elle aura besoin de l’aide de Syel pour éviter les gardes qui ne manqueront pas de partir à sa recherche.
Ensemble, elles sortent de l’imposant bâtiment pour rejoindre l’avenue principale. Syel s’arrête et renifle l’air avant de partir d’un pas décidé vers une petite ruelle adjacente. Au bout de quelques minutes de marche, le paysage devant elles change radicalement. Les étroits passages pavés laissent place à une large voie recouverte de cailloux d’un rose cristallin et bordée par des glycines exubérantes. De petits volatiles gazouillent, dissimulés entre les branches fleuries des arbres.
Elles franchissent un imposant portail de fer forgé avant de se retrouver dans la cour d’une demeure traditionnelle en bois. Les planches entretenues avec soin lui confèrent le cachet de l’ancien qui a survécu aux assauts de l’âge. Alors que la princesse est submergée par l’atmosphère du lieu, trois maids arrivent et s’inclinent devant elles.
« Bienvenue à Hanafuri, l’établissement de bains d’Agapant. Merci de vous honorer de votre présence, je vous prie de nous suivre. »
A la vue des servantes d’Hanafuri, Sandy se tient sur le qui-vive. Elle veut à tout prix éviter de retrouver sa robe en dentelle et les lourdes obligations qui accompagnent son diadème. Elle fait mine de se retourner à la vue des servantes. Syel comprend ce qui se passe dans la tête de la princesse et lui chuchotte à l’oreille.
« Relax, ce ne sont que des employées de l’établissement, elles ne se doutent pas une seconde de ton identité sinon tu n’imagines pas le protocole. »
« Soit, mais qu’est-ce qu’est-ce nous allons faire dans cet onsen ? »
La nekoknight prend un air mystérieux avant de répondre avec enjouement.
« Ben prendre un bain, que faire d’autre ? Après ton épopée par monts et par vaux, tu en as bien besoin. »
Sans se gêner, Syel pousse la princesse qui peine à retrouver l’équilibre avant de se rattraper à la taille d’une maid un peu troublée.
« Nyan nyan ♪♫ En avant ! »
Les panneaux de bois et de toile de la grande demeure coulissent pour laisser place à un grand séjour au parquet rutilant. La décoration de la pièce était très simple. Quelques tapisseries représentant des scènes de chasse agrémentaient les murs. Ici et là se dressait un écrin de verdure parsemé de fleurs dont le parfum agréable procurait un sentiment de bien-être aux visiteurs.
Les servantes en kimono les amènent jusqu’à à une deuxième pièce où elles prennent soin de déshabiller une Sandy rougissant d’exposer l’exquise courbure de son corps devant autant de personnes inconnues, fussent-elles des femmes. Elle détourne son regard avec pudeur en tenant les mains croisées sur sa poitrine. Au contraire, Syel ne semble pas le moins du monde importunée et exhibe fièrement ses formes en buvant une bouteille en verre de lait fournie par l’établissement. Sa queue de fourrure grise semble douée d’une volonté propre et balance frénétiquement d’un côté à l’autre.
Les employées prennent soin de laver les deux jeunes femmes sans le moindre geste superflu dans des cuves de métal disposées à cet effet. Dès la fin de cette embarrassante toilette et après un rapide séchage près des pierres calorifiantes, Sandy s’empresse de mettre la main sur une serviette et de l’enrouler autour de son corps. Pendant ce temps, la nekoknight se secoue pour enlever l’eau de sa peau dans un réflexe très félin.
Les portes s’ouvrent vers un bassin extérieur sculpté à même la roche et le personnel d’Hanafuri les invite à entrer dans le bain. Au fond de l’eau des cristaux incrustés dans la pierre luisent d’un bleu mystique. Avec réticence, la princesse se sépare de la serviette et l’accroche autour de sa tête pour aussitôt plonger son corps dans l’onde. Seuls ses yeux dépassent le niveau de l’eau. Elle se recroqueville dans une position fœtale, prête à sauvegarder farouchement son intimité.
Syel arrive avec nonchalance, abandonne la serviette sur le sol puis sourit à la vue de Sandy au milieu du bassin. Elle remplit ses poumons de l’air frais de l’extérieur, contemple le vert d’arbres de l’horizon puis décide finalement de tremper le bout de son pied. Lentement et délicatement son corps pénètre dans l’eau chaude. Elle finit par y plonger de tout son être pour aussitôt se propulser à l’autre bout du bassin avec la grâce cruelle d’un squale prédateur. Elle émerge derrière la princesse puis frotte alors son opulente poitrine contre le dos de cette dernière avant que cette dernière puisse esquisser un geste de défense. Le visage de la nekoknight s’approche de la nuque princière avant de lui souffler derrière l’oreille. La princesse pyromane, prise de court, se lève brutalement en émettant un petit cri, comme un volcan sous-marin réveillé après un long sommeil. Après une courte exposition de ses formes en offrande à Atra le dieu du soleil, elle opte finalement pour une position défensive dans un coin du bassin.
« Tes cris sont charmants Sandy chérie, le prince de Monalco sera ravi si tu retournes à ses côtés. »
Les deux yeux bleus de la princesse fixent la maid et brillent en réponse d’un éclat intense, comme reflétant les cristaux au fond du bassin.
« Que… »
Un cri tonitruant vient interrompre la question qui meure sur les fines lèvres de la déesse blonde au visage empourpré.
« Les dragons, c’est de la gnognote ! Comme disait mon Papy, la Stro c’est plus fort que toi ! Mademoiselle, une autre coupe de zaké pour le héros du jour siouplait !!! »
« Master, Lilu trouve que le bagage est bien bavard après avoir tué un banal dragon… »
Lilu contemple Kiri avec mépris en se frottant contre Shaft. De l’autre côté du panneau en bois qui sépare les bains, la princesse à la mention du mot dragon sort délicatement de l’eau et se drape dans la serviette. Elle fait mine à Syel de se taire et se rapproche de la palissade afin de mieux entendre la discussion d’à côté. Très vite, poussée par la curiosité, Syel se joint à elle et tend l’oreille.
« Heureusement que tu étais là pour nous recevoir Lilu, j’étais à court de mana, je n’aurais jamais pu ralentir suffisamment la chute. Le canard tout seul n’aurait pas pu supporter le poids de deux personnes. »
Pendant que Lilu frotte le dos de Shaft avec application, Kiri est étendu dans le bassin. Il se remet petit à petit des émotions de la journée. Un plateau avec une fiole de zaké et quelques coupelles flotte à la surface. Un corps inerte se réveille en sursaut de temps en temps en grommelant des paroles plus ou moins compréhensibles. Le canard fait des tours de bassin en chantonnant, n’hésitant pas à s’approvisionner régulièrement en boisson.
« Étrange que le dragon nous ait attaqué aussi férocement, normalement ce sont des êtres sages qui protègent l’équilibre du monde. Quand la nouvelle va se répandre, on risque d’avoir l’armée royale à nos trousses… Comment va-ton faire pour aller aux concerts de lolis si nos têtes sont mises à prix ? »
Kiri récupère d’un seul coup sa sobriété et se précipite vers Shaft pour déverser un torrent de larmes sur son épaule.
« Le concert des Akb666… Tout l’or du monde ne me rendra pas la voix de mes anges. SHAAAAAFT que devons-nous faire ? Les lolis vivent dans les caves, pas dans les cachots ! »
Shaft prend les mains de Kiri dans les siennes sous le regard d’une Lilu furibonde.
« Courage Kiri, nous traverserons cette dure épreuve ensemble mais… remets ta serviette d’abord s’il te plaît, il y a une loli ici tu sais. »
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Et voilà la première illustration par notre Lolie nationale, on la remercie bien fort :)
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Un Rieur a reçu une réaction de Raiton dans Les projets d'un Rieur
Salut tout le monde,
Comme vous le savez peut être, je suis étudiant en informatique spé dans le jeux vidéo. Et j'aimerais sur ce topic vous partager les différents projets sur lesquels je bosse ou j'ai bossé. Je vous donnerais pas toujours le lien pour jouer au jeux car il se peut que je ne l'ai pas, ou que le jeu soit pas fini.
Et pour inaugurer tout ça je vous présente le trailer du jeu qui m'a fait obtenir mon diplôme : The Shepherd.
Pour la petite histoire, avec l'équipe on continue de bosser dessus histoire de le peaufiner un peu, et d'être entièrement satisfait du rendu. Quand il sera plus abouti, il se peut que je vous partage un executable pour que vous puissiez le tester :
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Un Rieur a reçu une réaction de Kasugano Sora dans Les projets d'un Rieur
Salut tout le monde,
Comme vous le savez peut être, je suis étudiant en informatique spé dans le jeux vidéo. Et j'aimerais sur ce topic vous partager les différents projets sur lesquels je bosse ou j'ai bossé. Je vous donnerais pas toujours le lien pour jouer au jeux car il se peut que je ne l'ai pas, ou que le jeu soit pas fini.
Et pour inaugurer tout ça je vous présente le trailer du jeu qui m'a fait obtenir mon diplôme : The Shepherd.
Pour la petite histoire, avec l'équipe on continue de bosser dessus histoire de le peaufiner un peu, et d'être entièrement satisfait du rendu. Quand il sera plus abouti, il se peut que je vous partage un executable pour que vous puissiez le tester :
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Un Rieur a reçu une réaction de Kasugano Sora dans Réflexion vidéoludique
Voici enfin ma réponse tant attendue :
Ici je me concentrerais pas sur la représentation des minorités de genres, ou ethniques mais sur une minorité encore plus invisible, qui touche toute les ethnies et tout les genres : les handicapés. En effet dans le jeu vidéo comme dans n'importe quel média, il est très rare de voir des handicapés, physique ou mentaux d'ailleurs, à part pour qu'il colle a leur rôle d'handicapé.
Prenons deux exemples connus : Double Face, et le professeur Charles Xavier. Le premiers est un handicapé mental souffrant de schizophrénie avec dédoublement de personnalité juste pour pouvoir donner à Batman un méchant ayant pour thème la dualité. Il n'est handicapé que pour servir un but. De l'autre coté Charles Xavier est devenu handicapé moteur que pour montrer que son ancien ami Magnéto, est passé du « coté obscure » pour ainsi dire. Ainsi Xavier est aussi handicapé par but.
Ce que je veux illustrer avec cet exemple, c'est qu'il est très rare de croiser un personnage handicapé dans une œuvre culturel, (jeux vidéo compris), qui ne sois pas dans son état pour une raison précise du récit. Pour faire un parallèle, c'est un peu comme les personnages féminins qui ne sont là que pour servir d'intrigue amoureuse ou de maman au héros d'une œuvre. Le parallèle marche aussi avec les personnages racisés non-blancs (type l'asiatique expert en informatique, ou le noir de banlieux dans les films américains).
Le fait est que dans la réalité, les gens sont handicapés sans réelles raisons. Ils ont subis un accidents, sont nées ainsi, ou on subis une maladies grave. Alors que dans les œuvres de fictions les personnages ayant ce genre de problèmes, doivent servir un propos. Après je ne peux pas jeter la pierre à touts les médias pour ce genres de raccourcis : dans le manga Gangsta on a un excellent exemple d'handicapé qui n'est dans son état que par hasard, en la personne du médecin de la ville à qui il manque plusieurs doigts.
De même dans le jeu vidéo il existe parfois des personnages ayant un handicap mais dont on ne se sert pas pour faire la leçons : je pense notamment à T.K Baha dans Borderlands, qui est aveugle et unijambiste, mais comme certaines des interactions que l'on doit mener avec lui sont liées à la perte de sa jambe, on va dire qu'il compte pas vraiment.
Après le domaine vidéoludique est encore plus touché par l'absence d'handicapés. En effet en plus du peu de persos secondaires ayant un handicap quelconque, il existe un nombre encore plus restreins de héros de jeux ayant un handicap physique ou mental. L'absence de handicap physique peux potentiellement s'expliquer par le média, car dans un jeu on veut pouvoir contrôler un personnage en pleine possession de ses moyens (bien que des contre exemple existe quand même). Et pour le problème d'handicap mental, c'est plus un problème de mauvaise représentation que de sous représentation.
En effet il existe quelques études sur la représentation des maladies mentales dans le milieu vidéoludique, et on se rend compte qu'on donne souvent les mêmes noms à différentes maladies et qu'il y a une sur représentation de la maladie mentale violente (source : http://www.extralife...jeux-video.html). Et c'est vrais qu'on présente souvent des personnages psychopathes, violents, en proie à des crises de démences, mais plus rarement des gens ayant des troubles plus mineurs, comme un retard mental, voir de l'autisme (bien que pour ce point le problème soit plus profond).
Bref tout ça pour remarquer la presque absence totale de personnages handicapés dans les jeux vidéo, et surtout, la représentation plus qu'approximatives des différents handicaps existants.
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Un Rieur a réagi à Shaft dans [Fiction] OA : le light novel
Voilà votre chapitre, je m'excuse pour le délai. Certains vont être tristes mais pas de princesse au programme, elle reviendra dans le suivant, promis !
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Chapitre 8 : le Mont Fournaiz
Sur le chemin escarpé, un homme de haute stature se dresse devant la calèche. Vêtu d’une épaisse cotte de maille et le visage couvert d’un heaume noir, il se tient le bras. Une blessure béante saigne abondamment au niveau de l’épaule gauche. Le visage de l’homme grimace un instant puis il s’écroule de tout son long contre le sol poussiéreux.
Shaft surpris par l’arrêt brutal du véhicule, ouvre la porte et voit l’homme blessé à terre. Il constate la vilaine blessure, consulte du regard Kiri et entreprend de le soigner. Il sort un cristal blanc de sa ceinture.
« NESSOLHSEG DRIW TUAH EID !»
La blessure de l’homme gisant par terre se referme au contact de la lumière émise par la main de Shaft. Son visage reprend des couleurs. Il entrouvre ses yeux et se lève en sursaut comme s’il sortait d’un mauvais rêve. Haletant et en sueur, le guerrier reprend ses esprits.
« Bonjour, aventurier. Ne vous inquiétez pas, nous n’allons pas vous faire de mal. Pourriez-vous nous dire ce qui vous est arrivé ? »
« Une grande masse sombre… J’étais avec les membres des Rodeurs de l’Ombre, notre équipe d’aventuriers. On montait tranquillement le Mont Fournaiz quand on a entendu un grondement sourd. Avant que je puisse réaliser ce que c’était, une force colossale m’a projeté contre un arbre plusieurs lieues en contrebas. Je suis resté dans les pommes pendant plusieurs heures et à mon réveil je suis retourné vers la scène du champ de bataille. Les corps de mes compagnons étaient étendus à même le sol, tous mutilés ou calcinés. Ils avaient rendu leur dernier soupir. J’ai pris mes jambes à mon cou et à bout de force, Grodr dans sa bienveillance m’a guidé jusqu’à votre calèche. »
« Vous ne voulez pas offrir à vos compagnons d’armes une sépulture digne de ce nom ? N’avez-vous pas peur qu’El’Shine le dieu de la mort ne les fasse revivre en ghoules dépourvues d’âmes ? »
« J’ai une femme et 3 jeunes filles qui m’attendent, je ne peux malheureusement pas risquer ma peau alors qu’une bête féroce rode dans les parages. Ah si j’avais su, on aurait jamais dû accepter cette foutue quête de la broche en Ivogrine. »
L’homme se redresse avec difficulté, crache par terre et jure dans sa barbe. Les yeux émeraude de Shaft luisent d’un éclat étrange.
« Ah si vous avez des lolis… euh des jeunes filles c’est tout à fait naturel que vous alliez les retrouver en vie ! Sinon qui sait quel pervers doué de mauvaises intentions peut leur faire. Il y a eu tant d’histoires d’enlèvements avec des lo… jeunes filles qui ont subi des sévices de tous les genres dans les expérimentations d’un mage dérangé. »
« Oui, vous avez de la chance de pouvoir profiter d’un si bel harem à la maison ! Je suis jaloux ! Heureusement que mon ami mage ici présent était là pour vous secourir. Vous devriez nous accompagner, si le pire devait arriver on prendra soin d’elles. »
Après discussion et suite au refus poli de l’homme, Shaft et Kiri décident de lui laisser une gourde remplie d’eau et des rations de survie pour qu’il puisse se rendre à la cité la plus proche, Agapant. C’est un solide gaillard, les lolis n’auront pas à finir orphelines pense Shaft, ému.
Quelques minutes après la séparation avec l’aventurier, le véhicule s’arrête de nouveau.
« Encore ! Le volcan n’est pas loin mais on ne devrait pas déjà être arrivé à destination. Et je ne sens l’aura d’aucun être vivant dans les parages. Etrange. »
Lilu décide de sortir voir ce qu’il se passe histoire de rompre la monotonie du voyage. Elle voit le cocher agenouillé essayant de faire un feu, Tarask et Cana assis à ses côtés. Une bouilloire est suspendue au-dessus des branches. Vinland parvient finalement à faire du feu en frottant deux silex l’un contre l’autre.
« Le thé sera bientôt chaud mademoiselle ! Ne vous en faites pas ! C’est un service offert par la compagnie ! Il y a aussi des petits gâteaux. »
« Gâteaux ! Lilu a faim ! »
Lilu rejoint précipitamment le groupe et entame avec un appétit féroce les réserves de petits sablés. Shaft sort à son tour du véhicule, regardant à droite et à gauche, se méfiant du danger. Il aperçoit le petit groupe qui déguste tranquillement le thé et les gâteaux sur une couverture de toile étendue à même le sol. Il se frotte les yeux, incrédule. Entre temps, Kiri s’est rajouté au petit groupe apprécie le thé en compagnie de Lilu.
« Mais… Pourquoi s’est-on arrêté. On aperçoit le sommet du Mont Fournaiz mais il est encore loin ! »
« C’est le règlement de la SNCF. Nous devons faire une pause d’une durée minimum d’une heure toutes les deux heures. Il faut aussi laisser se reposer la monture qui travaille dur. »
« Kwweeeeeeeee ! »
Vinland sort un petit livre rouge du règlement interne de la SNCF de sa poche et le montre à l’elfe le règlement en se plaignant des conditions de travail et du salaire trop bas.
« Venez boire du thé, cela vous désaltérera, vous êtes tout rouge avec la chaleur ambiante de l’air. Vous ne pourrez pas bien servir votre maîtresse dans cet état voyons ! »
Shaft reste bouche bée un instant, puis hausse les épaules et va rejoindre l’attroupement. Vinland regarde Lilu engloutir les sablés avec un air proche de la vénération.
« Le thé aux pétales de Zakura est très bon pour votre teint Mademoiselle. Vous mangez vraiment d’une manière distinguée, seriez-vous une aristocrate ? »
Puis il étend sa main et attrape une miette parmi la multitude qui parsème les joues de Lilu avant de la savourer avec félicité.
« HIHI ça chatouille ! Seul Master a le droit de manger Lilu ! Aristocrate ce sont ceux qui mangent les gâteaux ? Oui Lilu doit être aristocrate alors. »
Lilu gonfle sa poitrine puis pose sa tête contre la robe verte de Shaft en rougissant comme une pivoine.
« Plus sérieusement, vous avez entendu ce qu’a dit l’aventurier ? On dirait qu’une bête dangereuse rôde dans les environs. Cette quête cache quelque chose de louche… »
« Shaft un concert des Akb666 mon vieux ! Pour admirer ces lolis en concert qu’est-ce qu’une bête féroce ? Même si c’est une Panthéras, on l’étripera et on fera des brochettes. Cela ne vaut pas le bacon mais c’est méchamment bon ! »
Une bonne heure plus tard, la calèche se remet finalement en route vers le Mont Fournaiz. Le paysage était recouvert à perte de vue par le sable ocre à l’exception de quelques grands rochers difformes, travaillés par le sel et les rares averses. Au pied du volcan endormi, un bois touffu de sapins s’élevant ver le ciel formait un contraste saisissant avec cette mer de sable rouge.
Vinland donne l’ordre à son Chokabo de s’arrêter. La route devient trop étroite pour permettre le passage du véhicule. Ils sont au pied des sapins dont les plus hautes cimes culminent à plus de quatre-vingt pieds de hauteur.
« Hoooooo. Terminus, tout le monde descend ! La compagnie vous remercie d’avoir voyagé avec nous. Une heure trente de retard vous avez de la chance, je n’ai jamais été aussi ponctuel ! »
Les trois passagers s’extirpent hors de la cabine et étirent leurs membres ankylosés par l’inactivité. Shaft règle la course au cocher. Lilu devant l’insistance de Vinland gribouille un dessin sur son petit livre rouge. Ce dernier serre fort le précieux ouvrage contre son cœur. Après des adieux larmoyants avec Lilu, il repart avec la calèche tirée par Tarask.
Cana prend la tête du groupe qui pénètre dans la forêt de sapins. L’humidité ambiante de l’air après le désert les surprend et les rafraichit agréablement. Ces arbres gigantesques semblent profiter de l’évaporation de nappes souterraines à proximité de la lave. Leur taille imposante les protège des rayons du soleil.
Ils franchissent la zone sans encombre et entament l’ascension du mont Fournaiz. La pente n’est pas très prononcée. Le groupe grimpe sans difficultés et parvient à une forme de plateau. Puis un craquement étrange se fait entendre sous les pas de Kiri. Les trois autres sont sur le qui-vive, prêts à réagir à toute menace. Kiri baisse la tête et voit des ossements mêlés à la poussière.
« Sûrement un animal qui est venu mourir ici. Le Nyanko de ma tante Augusta une fois était venu mourir dans ma cuisine le jour où je faisais du kimcho, un plat à base de chou et de sel. »
Shaft se rapproche des os puis se relève après un bref examen.
« Ce sont des ossements humains Kiri, j’ai trouvé une molaire en or. Sûrement un des compagnons de l’aventurier qu’on a croisé sur notre route. Leurs corps ne doivent pas revenir à El’Shine mais à la terre nourricière. »
Shaft commence à tracer des inscriptions étranges qui se rejoignent en un point où il s’accroupit en position de tailleur. L’une de ses mains est en contact avec la terre et l’autre renferme un stigmata transparent.
« LEBU MELLA ROV CID TZTUCS RUTAN RED RETSIEG EID SAD »
Quatre petites flammes aux reflets bleutés émergent du sol avant de s’éteindre en crépitant. Les ossements et la chair des aventuriers ont été convertis en poussière.
« Ne soyez pas surpris, c’est le rituel elfique de l’au-delà pour guider les âmes vers le monde des dieux. Reprenons l’ascension, je ne détecte aucune forme de vie ici. »
« Pas d’Ivogrine ? »
« Je ne vois que ce sable rouge à perte de vue… L’Ivogrine est une pierre précieuse. Quelqu’un s’en est sûrement emparé, même si ce groupe d’aventuriers l’a peut-être trouvé en premier. »
Le dénivèlement augmente, chacun s’agrippe aux roches et fait attention à ses prises pour progresser. Cana pousse Kiri qui n’est pas habitué à un tel effort.
« Canard ton bec me chatouille le derrière, sois un peu plus doux steuplaît. »
« Coin… Coin ! »
Shaft et Kiri s’arrêtent pour reprendre leur souffle sur une corniche. Lilu chantonne en sautillant à cloche-pied. Cana part en éclaireur à la demande de Kiri qui n’a pas envie de continuer à jouer les équilibristes jusqu’au sommet. Il déploie ses ailes et s’élance dans le vide pour attraper un courant d’air ascendant qui le propulse vers le sommet. En longeant la montagne, il aperçoit une anfractuosité assez large dans la paroi du volcan qui attire son attention. Il s’en approche et entrevoit plusieurs objets en or incrustés de pierreries entassés en vrac à même le sol. Il n’ose pas s’attarder et redescend faire son rapport à Kiri. Quelques battements d’ailes plus tard, il pose les palmes sur la corniche et consulte Kiri du regard.
« Coin ! Coin ! »
« Ah oui ! J’ai complètement oublié ! Tu peux nous dire ce que tu as vu Canard. »
« Ah enfin, Messire se rappelle finalement de mon existence ! Oser me priver pendant si longtemps de l’usage de la parole ! Mon Canard de bain préféré qu’il disait ! Et pourtant je ne cancanais même pas sur la parade nuptiale que tu faisais vis-à-vis de cette loli. On aurait dit un paon penaud ! Bon ensuite elle est charmante mais elle serait mieux avec des lunettes. Sinon à part ça, j’ai trouvé une sorte de grotte dans le flanc de la montagne un peu plus haut qui renferme tout un bric-à-brac d’objets en or et en pierres précieuses. »
« De l’or et des pierres précieuses ? Ça c’est mon canard ! Qu’est-ce qu’on attend ? Allons-y vite avant qu’un autre groupe d’aventuriers nous les pique ! »
Shaft un instant surpris par la prise de parole du canard se ressaisit et part à la suite de Kiri suivi de près par la loli. Kiri fait soudainement preuve d’une énergie insoupçonnée lui qui peinait à reprendre son souffle à quatre pattes quelques instants plus tôt. Pris par la fièvre de l’or il gravit le flanc de la montagne à toute vitesse quelques minutes. Mais très vite il se retrouve à bout de souffle et renoue avec son rythme d’escargot.
Au prix d’un intense effort, le petit groupe parvient finalement à atteindre la grotte mentionnée par Cana.
« Attention Kiri, nous n’avons toujours pas croisé la créature qui a massacré les Rodeurs de l’Ombre. Soyons prudents. »
« Ne t’en fais pas Shaft, je serais aussi discret qu’un courant d’air ! »
Les membres de Love Loli pénètrent dans la galerie creusée à même la roche.
« Oooooooooohhh !!! Tout cet or ! Je suis riche. A moi le bacon fumé, l’alcool et les lolis ! »
Kiri oublie l’avertissement de Shaft et plonge littéralement dans l’imposante masse de pièces d’or qui luisent au contact de la lumière de l’extérieur. Puis le sol se met soudainement à trembler à leurs pieds. Quelques pierres se détachent du plafond rocheux.
« Growwwwwww »
Un grand œil vert et cruel de reptile s’ouvre au milieu de la montagne d’or et de pierres précieuses. Il contemple froidement les nouveaux arrivés venus perturber son sommeil. Une corne se soulève au milieu du trésor. Elle orne un énorme museau vert. La gueule de la bête laisse découvrir une rangée de dents acérées. Sa peau est protégée par d’épaisses écailles verdâtres qui luisent avec un curieux reflet noir. Il possède un collier de cornes en ivoire noire autour de son cou massif. Le corps de la majestueuse créature se termine par une longue queue parcourue par une série d’os sombres et tranchants. Son corps dépasse les quarante pieds de haut. Un étrange bijou scintille à son oreille droite.
A l’exception de Kiri tétanisé par la peur, chaque membre de Love Loli se prépare au combat. Shaft se saisit d’un stigmata de sa ceinture et récite une incancation.
« LEBU MELLA ROV CID TZTUCS RUTAN RED RETSIEG EID SAD ! »
Une aura de lumière blanche recouvre ses alliés. De petites fées ailées de lumière tournent autour de la tête de Kiri qui, émerveillé, oublie un instant où il se trouve. Lilu à son tour matérialise sa gigantesque hache et se met en position de garde. Cana prend une pose cool et fait un petit geste provocateur de son aile.
« Je n’ai pas peur de toi. De nous deux, le plus emplumé n’est pas celui qu’on croit. »
Lilu interrompt cette belle réplique en se propulsant haut dans les airs. Elle brandit son arme meurtrière, se préparant à asséner un coup mortel à l’ennemi. La terrible créature réagit à avec une vitesse stupéfiante pour son gabarit et la frappe avec force à l’aide de sa queue. Lilu surprise par la vivacité de l’attaque ne peut que parer l’attaque avec sa hache et se retrouve projetée en dehors de la grotte. Un filet de sang rouge coule au bout de ses lèvres. Ayant réglé le cas de la loli, son attention se porte alors sur Kiri qui a réussi à se relever. Celui-ci tente en vain de sortir son épée qui reste coincée dans le fourreau. La griffe gauche de la bête se rapproche dangereusement de Kiri mais il parvient à esquiver in extremis l’ivoire noire en glissant sur un sceptre.
Cana à son tour s’élance sur la tête de l’animal et commence à le picorer, ce qui a pour effet d’enrager l’animal et de lui fendre quelques écailles. Le reptile parvient finalement à se débarrasser de l’encombrant volatile. Une boule d’énergie noire se concentre dans la gueule béante de la créature qui contre-attaque par un puissant souffle. Les flammes noires font même fondre la pierre avec laquelle elle rentre en contact. L’aura lumineuse faiblit sous l’action des flammes et les fées s’évaporent. Alors qu’elle est sur le point de s’éteindre, Shaft sort un stigmata noir.
« EIS NIE LEBRIW MINFUA SELLA RED, TSIED REDO EIRETAM »
Un vortex apparaît devant lui et absorbe les flammes noires de ses coéquipiers. Mais l’opération pour neutraliser l’énergie noire a profondément entamé le mana de Shaft qui pose un genou à terre.
Surpris par la résistance de ces petits êtres, la créature verte change de tactique et tend son long cou vers celui qu’il estime être le plus dangereux – Cana - dans une tentative pour le croquer. Le canard esquive la manœuvre en s’envolant hors de sa portée.
« Je vais venger Lilu, espèce de sac à main ! »
C’est à ce moment-là que Kiri saute sur la tête du dragon et s’agrippe tant bien que mal à la corne entre ses deux narines. Il saisit la bouteille de Stro et verse son contenu dans la narine du dragon.
Surpris, celui-ci se met à éternuer, envoyant valser Kiri au loin. Cana intervient pour empêcher Kiri de se fracasser les os contre le sol en pierre. Le reptile est soudainement pris de convulsions et émet un cri déchirant. Les flammes noires enveloppent le grand corps du reptile et commencent à faire fondre jusqu’à ses écailles pourtant réputées aussi dures que le mithril. La concentration de l’aura noire autour de la créature augmente.
« C’est mauvais, il faut à tout prix sortir au plus vite d’ici ! »
Shaft attrape le canard dans un bras et Kiri dans l’autre et saute dans le vide. Juste à ce moment-là, une énorme explosion retentit…
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Un Rieur a reçu une réaction de Kanon dans O.S.T du moment
Voici l'OST que je propose aujourd'hui : l'OST d'Okami
Pourquoi ce choix ? Parce que la musique de ce jeu (et celle d'un autre jeu que je posterais plus tard), m'a appris qu'une bonne ambiance pouvait rendre un bon jeu légendaire. Okami est très bon en termes de gameplay et de tout ce qui concerne les mécanique de jeu et de narration, mais là ou il excelle c'est dans la direction artistique avec son visuel inspiré des estampes japonaise et avec sa musique japonaise magnifique. Je vous link ici le CD1 de l'OST et je vous laisse découvrir le reste par vous même.
Bon Voyage
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Un Rieur a reçu une réaction de RPGamer dans [Terminé] Professeur Layton et la Diva éternelle
Article en ligne, dispos à cette adresse : http://www.otaku-attitude.net/article-anime-110-professeur-layton-et-la-diva-eternelle.page-1.html
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Un Rieur a réagi à Shaft dans [Fiction] OA : le light novel
Voilà le chapitre 7. J'ai quelques trucs à faire donc le rythme de parution du LN sera ralenti, comptez environ un chapitre par semaine. Je reprendrai mon rythme initial dès que je le pourrais.
Deux nouveau membres d'OA font leur apparition dans ce chapitre. En ferez-vous partie ?
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Chapitre 7 : que ne ferait-on pas pour une idole ?
A l’étage du bâtiment de la Guilde des aventuriers de Yuka, Kiri reprend lentement ses esprits. Shaft contemple le panneau en bois où sont affichées les requêtes.
« Chasser un Grym des glaces excité par la saison des amours qui a fait des ravages sur plusieurs élevages, 50 pièces d’or de récompense… »
« Euh un Grym des glaces déjà c’est violent, et ensuite j’ai pour éthique de ne jamais déranger les êtres vivants quand ils prennent du plaisir. »
Kiri se rapproche des quêtes et son attention est attirée par une affiche avec des petits cœurs multicolores. Sur le parchemin on peut lire :
« Nyaaaaawww ~ J’ai perdu ma précieuse barrette en Ivogrine en forme de Neko que je tenais de ma mère. >_< J’étais en train de visiter le mont Fournaiz quand j’ai vu un animal trop mignon ! *-* J’étais en train de le caresser quand mon manager m’a attrapé par la main. J’ai dû le perdre à ce moment-là. ToT Aidez-moi s’il vous plaît ! _|-\o - Récompense : 100 pièces d’or + des places pour le concert des akb666 à Yune - Signé : une loli anonyme.»
« Les akb666 Shaft ! Les lolis gothiques les plus célèbres de Floréas qui vénèrent le dieu de la mort El’Shine ! Et leur voix est à tomber quand elles se trémoussent dans leurs robes de dentelle noire. »
« En effet c’est une perspective plutôt appétissante… euh réjouissante pardon. »
Kiri et Shaft s’essuient la bave au coin de leurs lèvres dans un geste totalement synchronisé.
« Master, vous faites peur à Lilu. Son instinct l’avertit d’un danger… »
Shaft regagne sa contenance et prend un air empreint de sérieux et de solennité.
« Lilu, que vas-tu imaginer, nous allons tenter cette quête afin de rétablir nos finances. Avec cet argent, nous n’aurons plus à nous préoccuper de nos dépenses. Nous pourrons même acheter des brochettes de dongos. »
« OWiiiiiiiiiiiiiiiiiiii des dongos ! C’est trop bon quand ça fond dans la bouche… »
Lilu saute dans tous les sens avec un enthousiasme assez effrayant. Cana reste stoïque et ne peut s’empêcher d’admirer avec quel art consommé Shaft passe du lolicon pervers à l’homme d’affaire vénal et manipulateur.
Kiri prend le parchemin de l’annonce et le renifle avant de le serrer fort contre son cœur. Il ferme les yeux et savoure ce moment d’extase en se tortillant sur place. Cana commence à se diriger vers l’escalier et donne le signal du départ.
« Coin ! »
En bas, Kiri présente le parchemin à la réception et fait enregistrer leur participation à la quête.
« Hohoho, vous ne serez pas seuls sur le coup, vous n’avez pas froid aux yeux. Certaines tueraient, père, mère et canari pour un concert des akb666. Très bien, votre équipe « Love Loli » a été inscrite dans la liste des participants pour cette quête. »
Cana sent un frisson parcourir son plumage alors que la femme au fouet le fixe d’un regard affamé qui en dit long sur ses intentions. Shaft demande quelques renseignements supplémentaires auprès de la petite femme brune qui caresse son fouet.
« Connaîtriez-vous un moyen de transport fiable pour nous rendre sur le Mont Fournaiz depuis Yuka Mademoiselle ? »
« Le Mont Fournaiz ? Oui, je connais un moyen. Ensuite, je ne sais pas si l’on peut le qualifier de fiable HIHIHI. Autour de la place des jets d’eau, cherchez un grand bâtiment avec une horloge encastrée dans une tour. Il s’agit de la Société Nationale des Calèches de Floréas que les gens appellent généralement par son acronyme, la SNCF. »
Le petit groupe prend congé et remercie la réceptionniste pour ses services avec une courbette. A l’extérieur, Shaft fait un point sur leur situation.
« Le mont Fournaiz… Il se situe dans les montagnes au centre-est de Floréas. C’est trop loin pour qu’on fasse le trajet à pied. En plus la faune locale est réputée pour sa férocité, notamment les Titanofos, des monstres de lave qui apprécient particulièrement cet environnement volcanique. Avec la concurrence des fanboys d’idoles, nous ne devons pas perdre un instant. Allons nous renseigner sur l’heure de départ des prochaines navettes. »
Shaft scrute la place du regard et aperçoit l’horloge mentionnée par la dame de la Guilde des aventuriers. Quelques pâtés de maison plus loin, les locaux de la SNCF se démarquent par sa façade en pierres de taille rouges. A sa plus grande surprise les lourdes portes en fer forgé sont fermées. Il aperçoit deux hommes bien habillés en train de discuter devant cette bâtisse rouge et les interpelle.
« Bonjour messires, je dois prendre une navette de la SNCF. Or j’arrive pour trouver porte close. Auriez-vous l’amabilité de m’éclairer sur les raisons de cette fermeture ? »
« Bonjour étranger. Cela se voit que vous n’êtes pas du coin. C’est le jour hebdomadaire de grève de la SNCF qui proteste contre le manque de moyens et le surplus de travail consécutif à la semaine de trente heures. »
« Oui, mon ami a raison. Il vous faudra prendre votre mal en patience. Revenez demain matin vers 9h, l’activité devrait reprendre. »
« Je vous remercie Messires. »
Shaft se rapproche de Kiri en pestant intérieurement contre ce retard inattendu.
« Bon on n’a pas le choix Kiri. La loli… euh la barrette devra attendre. Partons à la recherche d’une auberge pour y passer la nuit. »
Le groupe des quatre redescend vers la rue principale, le canard en tête. Ils s’arrêtent pour écouter un groupe de ménestrels ambulant. Les filles qui le composent sont trois grandes brunes aux yeux clairs. Deux d’entre elles jouent du youkou, un instrument en bois à cinq cordes. Un dispositif ingénieux sur la base d’un stigmata – une gemme magique – permet d’amplifier le son. La dernière est assise et frappe en rythme avec des baguettes en métal sur un tambour tribal. Leur auditoire est formé de nyankos et de badauds désœuvrés, attiré par la curiosité et le physique avantageux des filles. La voix rauque de la brune sur le devant de la scène improvisée avait un charme étrange qui ne laisse pas les spectateurs indifférents. Mais malgré tout, l’un d’entre eux manifeste un relatif désintéressement.
« Boarf, des lolis d’âge mûr…. Ces vieilles peaux sont bien trop âgées pour devenir des idoles. A vingt-cinq ans environ, il serait temps pour elles de se reconvertir. »
Shaft est quant à lui occupé à museler Lilu en mettant sa main sur sa bouche. Elle a voulu chanter pour accompagner les ménestrels, envoûtée par le rythme de la musique. Malheureusement, son corps d’homonculus ne possède pas à proprement parler de cordes vocales, il peut juste émettre des sons par le biais d’un dispositif alchimiste assez complexe. Au-delà d’un certain volume, le son se transforme en cri, celui-là même qui a terrassé la Panthéras dans la matinée.
« Certes Kiri, ces demoiselles du Royaume de Vormanking sont fort avenantes mais elles n’arrivent pas à la cheville d’une vraie loli idole qui verse son âme dans le chant et emporte notre cœur dans l’élan des paroles. »
« Trouvons un coin pour manger et boire un coup, le soleil va bientôt se coucher. »
« Coin ! »
Les trois aventuriers quittent donc l’attroupement et une fois suffisamment éloignés des ménestrels, Shaft libère Lilu.
« Han Master, quelle étreinte, quelle fougue ! Lilu sent que vous ne pouvez même pas attendre l’auberge pour l’embrasser. Ne vous en faites pas. Lilu accomplira son devoir cette nuit. »
Shaft laisse échapper un soupir mais évite de poursuivre le sujet. Kiri désigne du doigt une taverne avec des tables à l’extérieur avant de filer à toute vitesse pour occuper une table. Il tapote le banc pour faire signe à Lilu de s’asseoir à côté de lui mais celle-ci tourne la tête en signe de refus et opte pour les genoux de Shaft. Tel un nyanko, elle ronronne et se frotte contre lui avec un sourire comblé alors que Shaft caresse ses cheveux. Cana s’assied à côté d’un Kiri dépité et prend une pose cool. Il murmure à son oreille.
« Ne t’en fais pas Kiri, je serai toujours là pour toi. »
« Oh mon canard ! »
Kiri sert fort Cana contre lui, manquant de peu de commettre un meurtre par strangulation. Une serveuse s’approche et vient prendre leur commande.
« La spécialité locale s’il vous plaît ! Pour quatre personnes.« Vous êtes sûr de vous Messire ? »
« Oh que oui ! »
La serveuse s’éloigne et ramène un flacon de dix litres d’une liqueur ambrée. Une autre dispose devant eux quatre chopes vides.
« Voici le Jagerch que vous avez commandé Messires. »
« A l’attaque !!!!! »
Kiri se verse une première rasade et l’avale cul sec.
« Boudiou ! Comment que ça fait du bien ! Canard accompagne-moi ! »
A la deuxième chope, le visage de Kiri prend une teinte rouge. Pendant ce temps Shaft, Cana et Lilu apprécient tranquillement leur deuxième chope. Kiri met la chope vide sur son front.
« Je suis un Kiiiiiliiiiiiinnnnn ! »
Puis sa tête tombe contre la table avec un bruit sec. Un ronflement régulier se fait entendre. Le flacon est progressivement terminé. Lilu à elle seule en a bu la moitié.
« Lilu aimer le Jagerch !!! »
Shaft règle la serveuse avec une pièce d’argent. Lilu attrape Kiri par le col et le tire jusqu’au bâtiment contigu qui s’avère être une auberge baptisée « Le cochon sympathique ».
« Une chambre et un repas pour trois… deux personnes et un canard, s’il vous plaît. »
« Tout de suite Messire. Veuillez me suivre. »
La réceptionniste les guide vers une chambre spacieuse au deuxième étage. Deux grands lits trônent au milieu d’une pièce à la décoration assez sobre. Seule une grande tapisserie représentant un chevalier sur le point de terrasser une hydre à neuf têtes rompt la monotonie du décor. Elle jette un coup d’œil à Lilu puis se tourne vers Shaft.
« Cela fera une pièce d’argent payable d’avance et trente pièces de cuivre pour le repas. Veuillez ne pas faire trop de bruit afin de ne pas déranger nos autres hôtes. Le repas est servi en bas dans la cuisine. »
Lilu soulève Kiri d’une main et le dépose sur le lit. Il dort toujours comme un bienheureux. Les trois décident d’un commun accord de le laisser dormir et se dirigent vers la cuisine. Le fumet émanant d’une marmite les guide vers les lieux. Lilu sautille gaiement à l’idée de se remplir la panse. Ils s’attablent et attaquent avec un bel appétit le gigot et les pommes de terre qu’on leur sert. Cana admire ce petit corps qui est capable d’avaler plus d’alcool et nourriture que Kiri sans forcer. Une fois repus, ils remontent à leur chambre où Kiri dort toujours. Seule sa position de sommeil a changé. Maintenant il sert passionnément contre lui un édredon et murmure dans son sommeil.
« Akb666, fouettez-moi… ZZZZZzzzzzz »
Cana se fait un coin douillet avec la couverture. Il ferme un œil et tente de s’endormir, rassuré que son maître ait jeté son dévolu sur l’oreiller. Des souvenirs désagréables lui reviennent en tête. Shaft s’est couché dans l’autre lit et Lilu s’accroche à lui comme une sangsue. Elle s’endort immédiatement. Shaft tente en vain de desserrer l’étau de l’homonculus. Il se résigne à dormir dans cette position. Finalement, le sommeil arrive assez vite après cette journée d’aventure.
« Gooooooaaarrrgggllll »
Dans la matinée, le bruit de son estomac finit par réveiller Kiri. Il se frotte les yeux et se masse un crâne quelque peu douloureux. Mais cette douleur n’est rien à côté de l’agonie de son estomac. Il réveille le groupe d’aventuriers et tout le monde descend prendre le petit déjeuner en bas. Chacun mange à sa faim le pain de mie et les saucisses qu’on leur apporte. Kiri dévore tout ce qu’on lui présente avec voracité. Lilu voit un concurrent direct en Kiri et se lance dans la bataille du plus gros mangeur.
« Ah ça fait du bien ! »
Kiri passe un cure-dent dans les interstices de sa mâchoire et se tapote le ventre d’un air satisfait. Shaft laisse quelques pièces de cuivre dans la main de l’aubergiste et le petit groupe quitte « le cochon sympathique ». Quelques minutes de marche plus tard, ils sont devant la gare de Yuka. Les portes massives sont ouvertes, il est 9h du matin. Kiri regarde le tableau des navettes vers le Mont Fournaiz.
« Quelle chance ! Il y en a une qui doit partir dans dix minutes pour les montagnes. »
Quasiment trois heures se sont écoulées. Shaft, Lilu attendent patiemment sur un banc à l’intérieur. Cana se fait caresser par l’homonculus. Kiri fait les cent pas, excédé par l’attente et agacé par le traitement de faveur que reçoit Cana. Puis une calèche tirée par un étonnant volatile fait son apparition. Elle porte le numéro sept, c’est celle qu’ils doivent prendre. Kiri se jette sur le cocher et l’attrape par le col.
« C’est pas trop tôt mon gaillard ! Vous allez bien au Mont Fournaiz ? »
« Veuillez me lâcher cher client, je suis en avance de cinq minutes par rapport à la semaine dernière ! »
Kiri reste bouche bée et relâche son étreinte. Le cocher devant lui époussète l’uniforme vert et doré de la SNCF. Une casquette marron garni d’une plume rouge recouvre une chevelure châtain en désordre.
« Kwweeeeeeeee ! »
« Senpai !!! »
Un grand oiseau au plumage rouge s’avance vers lui et réclame un câlin. Il est juché sur deux puissantes pattes taillées pour la course. Les plumes jaillissent littéralement sur sa tête et son arrière-train. Deux grands yeux bleus rieurs au-dessus d’un grand bec contemplent le cocher avec félicité lors que celui-ci caresse la tête de l’imposante créature. Le volatile doit dépasser les deux mètres de hauteur. Shaft se demande qui a hurlé Senpai à l'instant.
« Yosh yosh, Tarask mon beau Chokabo, tu as bien travaillé. Bonjour chers clients, je suis Vinland, cocher pour la SNCF. Il semblerait que vous attendiez avec impatience ma venue. Messire ici présent n’a pas manqué de me témoigner son affection à mon arrivée. »
Shaft lui explique en quelques mots la situation et lui présente « Love Loli ». Vinland réalise la présence de Lilu et contemple le stigmata sur son front. Il semble pensif. Puis son regard s’illumine.
« Bonjour mademoiselle, pour être aussi mignonne vous devez être une idole, puis-je avoir un autographe ? »
« Un autographe ? Ça se mange Master ? »
Kiri se met devant Lilu et fait obstacle de son corps.
« Pas touche à cette loli cocher, elle appartient déjà corps et âme à Shaft. Ce n’est pas bien de convoiter la loli d’autrui ! »
« Bon laissez tomber, vous pourrez me le donner à la fin du voyage. Vous pouvez embarquer Mademoiselle avec vos domestiques. Nous ne devons pas perdre un instant si vous voulez récupérer la barrette de votre amie. »
Shaft n’ose pas dissiper le malentendu en voyant l’enthousiasme de Vinland qui attèle avec empressement le Chokabo à la calèche. Il monte rejoindre Kiri et Lilu dans la cabine. Cana est juché sur la tête du grand volatile avec qui il semble avoir une discussion animée. Vinland grimpe sur le siège du conducteur, prend les rênes entre ses mains et donne à Tarask l’ordre de quitter la gare pour rejoindre les montagnes.
Quelques heures plus tard, le chemin devient de plus en plus escarpé au fur et à mesure que la pente s’élève.
« Hoooooo ! »
Soudainement, Vinland intime l’ordre à la monture de s’arrêter devant l’obstacle inattendu.
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Un Rieur a réagi à Kent dans O.S.T du moment
Salut à tous !
J'ai eu l'idée de créer ce sujet en parallèle de "musique du moment" pour 2 raisons.
Regrouper les musiques au sein d'une thématique
Argumenter un peu notre choix (pas un roman, rassurez-vous)
L'idée ici, c'est donc de donner un peu la couleur de l'O.S.T que l'on poste, une anecdote, une raison de l'aimer ou simplement décrire son style. Ce genre d'accroche devrait donner envie aux gens d'écouter ou non !
Voici les règles du sujet :
Poster 1 seule ost (album complet ou 1 morceau) à la fois. On évite les compilations. Le but c'est de rester sur un sujet à la fois. Des reprises éventuellement. Je cherche pas un truc rigide, mais le but c'est d'éviter les successions de liens. En bref, soyez raisonnables, postez un par un ce que vous aimez au fil des jours, ça donnera à tout le monde le temps d'écouter les liens tranquillement au fur et à mesure.
Décrire un minimum son choix comme dit en préambule
Ne poster pas 2 fois à la suite, le but c'est que tout le monde partage un peu.
Tout type d'O.S.T autorisés : jeux vidéo, musique,films,animes, etc.
Pas plus de 5 posts par jour (je suppose comme pour le reste du forum)
N'hésitez pas à mettre de jolis +1 en dessous des posts qui vous ont plu! ça fait toujours plaisir au posteur et ça lui donnera envie de recontribuer en cernant ce qu'aime les gens :)
à partir de 10 +1 sur un post, j'embêterai la princesse pour le jukebox :mwhaha:
Pour montrer l'exemple, j'inaugure :hero:
[Jeu vidéo] Transistor
Jeu indépendant sortie en 2014, Transistor possède une superbe réalisation graphique et une musique qui transcende l'expérience. Mélange d'influence, post-rock magnifié régulièrement d'un chant féminin incroyablement puissant, Darren Korb nous livre 1h12 de guitare légérement distortionné pour une ambiance qui tire sur le Western dévasté.
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Un Rieur a reçu une réaction de Dimensio dans [Terminé] Professeur Layton et la Diva éternelle
Dim la mise en ligne est en cours, mais à cause d'un léger souci de base de donné, ton article sera dans la section Anime, et en attendant que tu soit dans la base des redacteur tu sera le rédacteur anonyme
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Un Rieur a reçu une réaction de Kasugano Sora dans Blind test Juke
Bonne chance pour celle-ci :
http://www.otaku-attitude.net/juke-play-1905.mp3
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Un Rieur a réagi à Smoker130 dans [Licencié] Wakfu la série !
Certains d'entre vous sont peut-être déjà au courant, Mais Ankama à officiellement annoncé lors du dernier festival du film d'animation d'Annecy qu'il y aurait une saison 3 de Wakfu !
Il s'agit d'une saison de 13 épisodes de 26 minutes (moitié moins d'épisodes que les deux dernières saisons donc). les épisodes seront disponibles sur Netflix.
De ce que j'ai lu, la s3 verra le jour en fin 2016. Anthony Roux (le co-fondateur et directeur Artistique d'Ankama, pas le cycliste!), disait le mois dernier sur son twitter qu'il avait achevé l'écriture du script:
Je suis curieux par avance de voir ça. Si seulement 13 épisodes, j'imagine que tout les épisodes se concentreront sur l'histoire principale de la saison (contrairement aux deux précédentes, où les héros passaient plusieurs épisodes sur des "quêtes annexes").
faut que j'aille voir si je peux trouver plus d'infos, là dessus.
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Un Rieur a reçu une réaction de Shaft dans Musique du moment 3
On change de style avec de la trap, fait par une connaissance :
lien soundcloud
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Un Rieur a reçu une réaction de Seiku dans Musique du moment 3
On change de style avec de la trap, fait par une connaissance :
lien soundcloud
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Un Rieur a réagi à Kermir dans Les japonais peuvent-ils écrire les kanji ?
Salut tout le monde !
Une petite vidéo pour nous rassurer un peu sur l'apprentissage des kanji. :P
Si les japonais peuvent écrire sans problème les kanji de bases, dès qu'on arrive vers certains kanji qu'on a un peu moins l'habitude de voir et un peu plus complexe les erreurs sont courantes. Ca dépend bien sûr des japonais et de leurs habitudes (niveau d'étude, habitude de lecture etc.). C'est néanmoins un phénomène qui tend à se généraliser avec les nouvelles technologies : on écrit de moins en moins, on tape de plus en plus que ce soit sur son pc, son téléphone ou sa tablette.
C'est donc aussi quelque chose qu'on doit prendre en compte dans notre apprentissage des kanji. S'il est important de savoir écrire les kanji de base à partir d'un moment de l'apprentissage il faut savoir ce concentrer sur la lecture car c'est à ça que vous allez réellement être confronté au Japon et que si vous restez trop accrocher à l'écriture vous risquez de ralentir inutilement votre apprentissage des kanji. ;)
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Un Rieur a reçu une réaction de Vixie dans Ronde de Noël 2015
Il semblerait qu'un colis soit arrivé chez mes parents en France. J'ai le pseudo de mon rondeur du coup je vais gentiment le faire parvenir au canada avant qu'on se demande quelles genre de fréquentations je possède. Du coup d'avance merci
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Un Rieur a réagi à Nerieru dans [Actualités du monde] le Journal de Otaku-Attitude
Bullshit ! Ca me fait halluciner de voir ça bordel.
Le meilleur remède à la sécurité intérieure c'est d'arrêter de laisser des gens dans des cités sans éducation, sans but et sans espoir. Parce que le terrorisme c'est par là qu'il passe.
Ouai la surveillance c'est bien sauf qu'elle va pas servir qu'à lutter contre le terrorisme.
Faire péter tout le monde ça sert à rien non plus soit dit en passant.