Un Rieur

Alors pour cette année on va fêter la saint Valentin à la manière otaku !
 
Cette année, vous allez nous faire une (ou plusieurs) déclaration(s) à votre (vos) personnage(s) préféré(s).
 
Les règle sont simples :

Le jeu commence ce soir et finit le 27 février. Les votes se feront le weekend suivant. On élira suite à des votes les trois meilleures déclarations qui seront donc présentées en news ! Tous les supports sont permis. Une seule exigence : une image de votre personnage au tout début de votre déclaration + son nom et l'anime/manga/jeu/drama dans lequel il existe. Soyez inventifs, drôles et originaux ! Et surtout, amusez vous ! Si votre personnage est réel (acteur/star connu) vous pouvez le choisir aussi.
 
 
Ouverture des votes ! Vous avez jusqu'à Mercredi 5 mars pour voter pour votre déclaration préférée ! Voici le récapitulatif des déclarations d'amouuuuuuuuuuuuuuuuuuur.
 

Drei-M à Badou Devi-chan à Itashi Artyk à Monokuma Vinland à Sekai Saionji Matata à Pumba Kanon à Chitanda Eru Le rieur à Balaïka MilkyLove à Benedict Cumberbatch Yamishana à Eucliwood Hellscythe
 
 
Les gagnants sont :
 

Matata à Pumba Artyk à Monokuma MilkyLove à Benedict Cumberbatch

Salut tout le monde, je fais ce topic pour vous parler d'un artiste que j'adore et que je trouve exceptionnel mais qui malheureusement selon moi n'est pas assez connu!
 
Il s'agit de Bobby Mcferrin!

 
Description:
 
Robert Bobby McFerrin Jr., Né le 11 mars 1950 à Manhattan, est un chanteur, vocalise et chef d'orchestre américain. Il est surtout connu pour la chanson Don't Worry Be Happy.
Ses parents étaient chanteurs : son père, Robert Mcferrin Sr., fut d'ailleurs le premier chanteur d'opéra afro-américain à chanter au Metropolitan Opera de New-York.
 
Il a aussi collaboré avec d'autres grands musiciens de jazz comme le pianiste Chick Corea, ou de classique comme le violoncelliste Yo-Yo Ma.
 
 
Il a ainsi interprété la chanson du générique du Cosby Show (composée parBill Cosby) en 1987 et improvisé celle de Knick Knack, un des premiers courts metrages des studios Pixar en 1989.
 
En complément de sa carrière vocale, Bobby McFerrin fut nommé en 1994 à la direction musicale du Saint Paul Chamber Orchestra du Minnesota, poste spécialement créé à son intention.
 
 
Avis personnel:
 
Ce que j'adore chez lui c'est le fait qu'il utilise très rarement des instruments pour l'accompagner, car pour lui son plus grand instrument est son corps et principalement sa gorge. Il a une maitrise impressionnante de sa voix et sa gorge, il est capable de produire tellement de sons différents.
La deuxième chose que j'adore c'est le fait que sa spécialité soit l'improvisation, il ne prévoit quasiment jamais ce qu'il va chanter sur scène, ce qui lui offre une liberté totale et un répertoire très varié. Si on devait le cataloguer dans des styles de musique ça serait le jazz, pop, rock, funk et le classique.
 
C'est quelqu'un qui essaye toujours de créer une osmose avec son public que ça soit par l'humour ou la musique. Effectivement c'est quelque chose qu'il adore faire, il demande au public de suivre des notes ou de répéter un rythme transformant le public en une véritable chorale et lui improvise une mélodie par-dessus. Et tout cela est totalement improvisé, le public n'est absolument pas préparé à l'avance et le résultat est juste magnifique.
 
exemple:


 
Dans cette vidéo il demande au public de chanter l' Ave Maria. Le résultat est magnifique!!!
 
 


 
Là il est dans un festival de science et il démontre qu'il suffit de donner juste assez de notes au public pour que leurs cerveaux continuent la mélodie automatiquement, et encore une fois le résultat est incroyable. (Je peux me passer cette vidéo en boucle sans jamais me lasser)
 
 
 
Certaines de ces improvisations ont totalement étés enregistrés en live sur scène. Et c'est là qu'on se rend compte à quel point il est très fort, car je ne le répéterais jamais assez, l'entièreté de ces spectacles sont improvisés. Voici quelques extraits de son spectacle Spontaneus Inventions:
 


 
 


 
 
Deux morceaux que j'adore!
 
 
Son plus grand succès commerciales s'intitule Don't Worry Be Happy. Vous l'avez peut être déjà entendu quelque part, il a reçu 3 Grammy pour cette chanson mythique.
 


 
 
Et voici une autre musique que j'apprecie beaucoup, je pense qu'il a eu un bon délire en enregistrant ce clip!
 

 
 
Et pour finir une petite interview de Bobby ou il explique sa vision des choses par rapport à la musique et sa manière de penser et il faut dire que je suis presque tomber amoureux de lui grâce à cette vidéo :inlove2:. J'ai adoré ce qu'il dit, par contre il faut comprendre un peu l'anglais.
 

 
Bref j'espère réellement que vous l'apprécierais autant que moi. Et qu'il vous fera vibrer grâce au pouvoir de la musique.
 
Si vous voulez voir d'autres interviews plus longue et des documentaires n'hésitez pas à demander je posterai d'autres liens, ou alors il suffit de faire une petite recherche sur youtube. Il y a aussi un concert intitulé "My audiobiography" se trouvant sur youtube ou il joue pendant plus d'une heure et demi avec un orchestre de jazz.
 
Bon écoute à tous! :sosweet:

Parce que.............qu..................Ouiiiiiiiiiiiiiiin !! :pourquoi:
 

Ah tu te trompe shiya, c'est juste que l'idée que tu sois trempée par ma faute me parait drôle

J'aurais été dans le coins tu serais malencontreusement tombée à l'eau à cause d'un troll

J'aurais été dans le coins tu serais malencontreusement tombée à l'eau à cause d'un troll

J'aurais été dans le coins tu serais malencontreusement tombée à l'eau à cause d'un troll

Je ban domy parce que : c'est pas cinq post maxi par sujet ?

Je ban vinland toujours pour la même éternelle raison : Grammaire : le verbe être à la troisième personne du singulier et au présent de l'indicatif s'écrit EST
ET est une conjonction de coordination (rappel : mais où et donc or ni car) signifiant l'addition de quelque chose et synonyme de : de plus, puis, plus. exemple d'utilisation : toi et moi.
 
 
Merci de votre attention pour ce cour

Tarask est la réponse que j'attendais. À toi domy

Bon normalement je devrais te souhaiter la bienvenue et te poser des questions mais là tu a réveillé un ceci :
 
 


T'en fais pas je ne vais rien faire de dangereux ni corriger toute tes fautes (j'en fais de temps à autres comme tout le monde). Mais bon dieu on dit : a l'abri, et ta conjugaison ferait se suicider plusieurs profs de français...
 
Bref rien de personnel mais je viens de pleurer des yeux.
 
Sinon tu joue à des jeux vidéo ? Et si oui quels genres et quelle est ta série de jeux préférée ?

et vala, ma tronche de cake avec mon super cosplay d'Erza Knightwalker qui date de la dernière Japan Expo
 
 
 

Bon, la sb cette nuit s'est annualisée on ne sait pourquoi.... Donc comme j'ai trouvé ça assez...remarquable par moment *rigole* j'ai voulu partager :d
 
*Début du bordel*
Oui bon j'avoue que, au bout d'un moment, je savais même plus ce qu'il fallait vraiment garder xD
Chaque screen est à lire de bas en haut et interdit aux mineurs !
 
Le commencement : L'armée Romaine.
Non je ne sais pas qui est cette folle en bleue.
 
L'évolution d'Artyk : La montée de grade.
 
L'évolution de Meka qui le laisse sans voix : Celui qui voit. (Bah ouais, c'est le seul qui est devant)
 
L'invitation : Le rouge fera t-il sont entré ?
 
L'invasion : Les animaux sont autorisés !
 
Bonus : faites un tour en coulisse avec Niyanus & Samy !
 
Le rouge : L'entrée du fauteur de trouble et ce que ça engendre...
 
Les nouveaux : Vont-ils réussir à remonter le niveau ?
Arc-en-Ciel : Au bout d'un moment, c'est juste n'importe quoi.
 
Encore un : Une entrée fracassante.
 
La poète : Tout ça l'inspire beaucoup...
 
L'hymne : Ou comment descendre plus bas que terre.
 
Le dernier mot de la fin : Parce que faut bien une belle fin à la blanche neige.
 
 
Samy à tenu à ajouter quelque chose pour être sur que vous soyez satisfait :
 
Je ne sais que dire... XD

Ce que j'ai à vous dire est un peu idiot,mais Sam-érite d'être lu:
Meka-tendons nous pour arrêter ça?! Au-raiton perdu la raison?! Oui,il nous faut cesser ces quolibets sur le pseudo d'un membre du forum. Sam-e dit rien qui vaille. Je sens que certains d'entre nous monteront vito-créneaux,et dans ce cas,la situation va dégénérer eva vite éclater. Même les plus rieur ne riront plus! On passera d'un duet-l à une dagoba-ston,puis un Meka-rnage,une Meka-tombe! Alors avant que ça ne dégénère,libérons noodl'a lourdeur et des surnoms,entamons un ppp (petit pour-parler),et veillons plutôt agent-iment nous amuser,soyons tout mimi. Mangeons,des gateaux,des bonbons et du ryô-lait.trouvons une activité tranquille comme jouer aux Domy-no. Et finissons en avec tout cela
 
Un vrai chef d'œuvre :mwhaha: by s'moqueur.
Car je suis sm'au cœur de l'action!
(Sam'étonnera pas si je me fais lyncher après ça. :mef:)
jesors.
Excuser moi,tout le monde (si il y'en a que ça dérange je peut modifier le post)

C'est quoi ça ? Le coucou ? Ça a l'air fun !
 
- Ce qui suit est mon avis strictement personnel ne le prenait pas personnellement shi bu pure -
 
Sinon y a besoin d'être dans l'élite de science po et leur clique pour faire une interview aussi bateau sérieux ? Les mecs posent des questions vides et totalement ridicules même pas un petit "Alors ça te manque pas l'ijime ? Tu vas pas trop te faire victimiser quand tu vas rentrer chez toi ?"
 
"L’élève français pense avant tout à ses résultats, le professeur à ses cours, et chaque parent à son enfant."
 
J'ai une grande nouvelle à vous annoncer... Au Japon c'est bien pire de ce point de vue là ! Bon après elle s'en est peut être pas rendu compte si elle était à Henri 4 ou autre lycée m'étant tout aussi antipathique et surtout pas du tout représentatif :lol:
 
"En France, tu vas à l’école pour étudier, un point c’est tout. Au Japon tu y vas pour travailler et pour appartenir à un groupe, pour rencontrer des gens, des amis. C’est un lieu de vie."
 
Haha, ptdr... Non mais arrêté de demander à une enfant perde d'analyser le lycée en France elle doit pas se rendre compte, c'est comme se moquer des handicapés ça se fait pas !
 
"l’école publique japonaise telle qu’on la connaît est née au début du XIXè siècle pour former et alimenter les armées"
J'ai une grande nouvelle... L'école publique en France est née de la même façon qu'au Japon càd sous les impératifs d'industrialisation ! C'est fou ça, dès qu'on arrête le culturalisme à trois francs six sous on trouve bien plus de points en commun que de pseudo-différence fondamentale essentialiste :^.^
 
"Dans le même ordre d’idée, j’ai été très étonnée qu’en France les profs arrivent à l’école pile pour faire leur cours et qu’ils s’en aillent aussitôt les cours terminés. C’est inconcevable au Japon. Chez nous, les profs arrivent vers 7h30 le matin. Le soir, ils restent après les cours, préparent des dossiers, les cours du lendemain, travaillent entre eux. Mon père est prof : souvent il arrive vers 20 h à la maison. Son école est comme son entreprise, c’est son lieu d’action."
 
Sauf que j'ai aussi une grosse nouvelle là dessus... Les profs au Japon passent leur vie au lycée mais donnent beaucoup moins d'heures de cours au final, beaucoup moins de pression qu'en France.
 
"Car pour un Japonais, ce n’est pas « bien » d’être en vacances, il faut travailler tout le temps."
 
Oui c'est dans l'âme du japonais c'est bien connu, ça a rien à voir avec le système socio-économique mis en place dans l'après-guerre... Comment auto-alimenter les clichés à deux francs !
 
"Par contre les journées sont moins chargées pour les élèves : cinq à six heures de cours par jour (50 minutes en fait, entrecoupées de 10 minutes de pause). "
 
Besoin d'aller au Japon pour découvrir la même chose qu'en Allemagne (même réflexion pour le fait qu'il y ait moins de vacance en même temps) ? Ah l'exotisme ! C'est sûr qu'on pourrait pas dire "deux cultures aussi éloignées", on serait bien embarrassé pour les conclusions à l'emporte-pièce !
 
"Je dirai qu’il est plus facile au Japon de développer des amitiés réelles et profondes avec les autres élèves."
:ptdr: :ptdr: :ptdr: :ptdr:
Faut que j'arrête de lire l'article sinon je vais me pisser dessus je crois là :loul:
 
"On est très proches et très solidaires."
Cette interview n'a t elle donc pas de limite ?!
 
"Tout cela fait que les élèves japonais aiment bien aller à l’école,"
 
La grosse fille blindée de ca$h qui parle au nom de tous les élèves japonais mais que c'est beau !
 
"Pour lui, l’école est comme une prison ; et son but est de s’en échapper."
 
Et petite j'ai une nouvelle pour toi :

http://www.youtube.com/watch?v=xPkyFeCRwtk
 
"Trois Quatorze — C’est très étonnant pour nous Français!"
 
Pas pour moi, tes parents t'ont peut être pas bien éduqué ou tu penses que le ménage c'est juste pour les femmes de ménage, un truc que tu feras jamais ?
Bref ne parle pas en mon nom stp, tu représentes que toi même, assume le M. Trois Quatorze.
 
 
"Mon père m’a orientée vers la France en m’expliquant que tout le monde parlait anglais"
 
Ah enfin ! On commence à avoir des éléments de réponse là ! Tel père telle fille, une petite farceuse celle là comme papa ! Après ça vous pouvez lui donner ne serait-ce qu'un petit point de crédibilité ?
 
"je crois que globalement la France sera meilleure pour former des élites et le Japon meilleur pour former le plus grand nombre"
 
Je crois que quand t'es arrivé en France t'y as découvert l'herbe et que t'y as trouvé un très bon fournisseur ;) (-> je tiens à préciser que mon affirmation est au moins aussi fondé que la sienne)
 
"Il faudrait que tous les Japonais viennent passer une ou deux années en France et inversement, il faudrait que les Français connaissent l’école japonaise… "
 
Non non je vois les choses différemment. Il faudrait que toi tout comme les français que tu as côtoyé passiez un an ou deux à la campagne à travailler. En mode République Populaire de Chine 1968. Vous auriez beaucoup à apprendre :P
(Petite nostalgie de la révolution culturelle :calin: )
 
"Nous sommes et restons exotiques l’un pour l’autre."
Ah oui l'exotisme pour l'entretenir ça t'es forte ! Pour l'analyse on repassera mais bon comme tu l'as expliqué les japonais sont pas doués pour ça contrairement à moi qui suis français :biru (CQFD !)
 
"Aïmi — Non, je n’arrive pas à imaginer cela. Il y a une âme particulière au Japon."
 
Certainement celle des samouraïs et de l'honneur éternel !
 
"De la même façon, il faut savoir qu’on est très pudique au Japon."
Ouais ça se remarque beaucoup quand je vais dans des onsen :good
 
"Avant de venir en France, je n’avais jamais vu une fille et un garçon s’embrasser dans la rue ! "
 
Et moi avant d'aller au Japon j'avais jamais vu quelqu'un tripoter une fille dans un train ni un mec dormir à poil devant une gare, c'est fou hein ?
 
CONCLUSION : Merci pour cette bonne tranche de rire, ça m'a rappelé pourquoi j'étais pour la fermeture des grandes écoles et la reconversion de tous les étudiants de ses écoles dans le BTP en agence d'interim !
 
"Dans la globalité, elle confirme ce côté très coincé et ce manque de liberté qu'ont les japonais. Quand aux français, ils devraient en prendre de la graine au niveau du respect des choses / êtres."
 
Ne te laisse pas avoir par une succession de cliché aussi grossier ;). C'est dommage à l'inalco avant les vacances de Noël ils ont fais deux jours de colloque autour de la singularité au Japon et il y avait pas mal de trucs intéressant sur l'éducation, bien plus nuancé et surtout dénué de tout exotisme et essentialisme, bref du sérieux quoi : http://www.inalco.fr/IMG/pdf/prg_Japon_contemporain.pdf

Bon Tarask l'a cité mais il a pas été posté alors je vais vous poster un de mes anime préféré de quand j'étais enfant :
 
 

Bon Tarask l'a cité mais il a pas été posté alors je vais vous poster un de mes anime préféré de quand j'étais enfant :
 
 

ça a l'air sympa comme jeu :P
 
Mais ce serait pas mieux si ça foncionnait comme "retrouver l'anime" par exemple, et que chacun poste quand il a trouvé un truc? (m'est avis que ça aiderait à faire découvrir le jukebox à des gens, en devant aller piocher leur morceaux dedans)
et puis le jeu s'arrêterait pas dès que tu part en vacances, ce genre de trucs...
 
sinon, je connaissait pas la musique x)

Tout ceux qui connaisse ce jeux savent de quoi je parle :
 
 

Everything not save will be lost
 
- Nintendo -

Fiche :
 
Titre original : Jet Set Radio
 
Date de sortie : 24 novembre 2000 (version originale)/ 19 septembre 2012 (remake HD)
 
Support : Dreamcast; Xbox 360; PC (plate-forme testée); PS3
 
Genres : Actions, Plates-formes, Sport
 
Développeurs : Smilebit; Blit Software (remake HD)
 
Limite d'age : Pegi 12
 
Site officiel : http://www.sega.com/.../jet-set/radio/
 
Introduction :
 
Le casque sur les oreilles, je monte le volume, je clique sur l'icône et là je vois le logo de Sega, ensuite viens le message disant que le graffiti est peut être un art mais dans beaucoup de pays ça reste du vandalisme. Enfin la musique démarre, le logo apparaît j'appuie sur start et là j'entends le fameux : "JET SET RADIO !!!". Bref on commence la présentation ?
 
Histoire :
 
Tout commence quelque part en Asie dans une ville nommée Tokyo-to que tout le monde appelle Tokyo, des gangs de jeunes en rollers surnommés les "Rudies" se mènent une bataille dans les rues à grand renfort de tags ; de plus une radio pirate nommée la Jet Set Radio menée par DJ Professeur K propage ses ondes et sa musique partout en ville. Mais le gouvernement ainsi que le congloméra financier "Rokaku Group" ont décidé d'y mettre fin par des mesures drastique. Vous commencez en incarnant Beat et vous formez les GGs afin de pouvoir vous exprimer via le graffiti.
 
Personnage :
 
Le Gang des GGs :
 

 
Petit gang de Rudies dont vous incarnez les personnages, leur QG est situé à Shibuya-Chô un quartier branché de Tokyo-To.
 
 
DJ Professeur K :
 

 
Le DJ de la Jet Set Radio, on ne sait rien de lui à part qu'il mène la radio et aide les GGs en diffusant des infos via les ondes. C'est aussi le narrateur dans les cinématiques.
 
 
Poison Jam :
 

 
Gang de Kogane fan de flm d'horreur, ils ont des costume de poisson
 
 
Love Shocker
 

 
Gang composé uniquement de fille voulant prendre le contrôle de Shibuya. Elles sont décrite comme ayant eu le cœur tellement brisé qu'elles veulent désormais faire de même aux autres
 
 
Noise Tank
 

 
Gang de fou de haute technologie gouvernant le quartier de la nuit de Benten-Chô. Personne ne sait s'ils sont humains ou cyborg mais en tout cas ils sont dangereux
 
 
Gouji Rokkaku :
 

 
Chef du groupe financier Rokkaku, il semble être dangereux et contrôle la police mais on ne connais pas ses véritables intentions
 
 
Capitaine Onishima :
 

 
Capitaine de la police de Tokyo-To, armé de son revolver et mal rasé il tentera de vous arrêter par TOUT les moyens possible et imaginable.
 
Critique :
 
Scénario :
 
Parlons tout d'abord de la partie la moins fournie du jeux : le scénario. Malheureusement pour Jet Set Radio le scénario est un peu léger, et on peut même s'en passer, non pas qu'il soit de mauvaise qualité mais il est très voir trop simple par rapport au reste du jeu, de plus il est relativement court même si mon avis est biaisé a cause des nombreuse fois ou je l'ai terminé. En bref pour le scénario on préférera sa suite Jet Set Radio Future sur Xbox.
 
Graphisme :
 
Premier point qui marque dans le jeux sans même y avoir joué : les graphismes. D'une part c'est du cell shading (style graphique proche du dessins pas très commun maintenant et encore plus rare à l'époque). D'autre part le fait que ce même cell shading ai vraiment bien vieillie, certes certaine texture paraissent pixelisée mais mis à part ça le jeu en reste pas moins agréable à l'œil. Mais le gros point fort de ces graphismes c'est l'ambiance qu'ils installent, en effet le jeux étant mené par une bande son bien groovy le choix des couleurs acidulé et bien flashy permet d'installer une ambiance unique au jeu et réellement prenante.
 


Maintenant les cinématiques : elle ne sont pas très nombreuse et bénéficient des graphismes de base du jeu en quelque peu affiné, mais dans un certains sens ça reste du tout bon. Au vu du peu de développement scénaristique.
 
Le côté artistique des graffiti n'est pas en reste non plus, il y en a pour tout les goûts et il y en a assez pour pouvoir en trouver au moins un qui nous plaît avec des tags coloré ou plus sérieux, mention spéciale pour les graph' de Mew selon moi avec leurs couleurs claire et leurs forme arrondie
 
Conclusion : les graphismes sont bon et apportent grandement à l'ambiance générale.
 
Bande son :
 
Avant que je ne commence à parler de la bande son autant vous en faire écouter 3 échantillons représentatif :
 





Voilà, ai-je vraiment besoin d'en dire plus ?
Donc la musique est surtout dominée par du Big Beat; style qui convient à l'univers graphique du jeu, mais on trouve aussi un peu d'electro et de pop-rock; ce qui illustre le côté "diversité de la rue" du jeu. Toute sans exception sont énergique et donnent envie de bouger, avec des rythme plutôt rapide et une instrumentation synthétique mais excellent.
Les doublages quand à eux sont très peu nombreux, mais de bonne qualité, les meilleurs par dessus tout le reste sont ceux du DJ Professeur K ce qui parait normal vu qu'il est le narrateur des cinématiques et donc la voix la plus entendu de tout le jeux. Enfin il faut savoir que tout le jeu est en anglais sous-titré français.
 
Gameplay :
 
Avec la musique voilà le point le plus intéressant de tout le jeu, en effet vous évoluez sur des rollers et votre but dans la plupart des niveau sera de taguer des endroits bien précis , endroit qui bien sur serons accessible seulement à l'aide de figures et de sauts impressionnants. Pour pouvoir taguer vous devrez récupérer des bombes de tags répartie dans chaque level puis pour faire les tags plus grands vous devrez effectuer une série de mouvements dépendant des compétences de votre personnage. Car oui avant d'entrer dans un level vous devrez choisir quel personnage jouer en fonction de son score de résistance, de graph, ou de technique, lesquels désigne respectivement vos point de vie, la complexité des mouvement à faire pour taguer le nombre points qu'ils vous rapportent et le nombre de bombes que vous pouvez portez et enfin la technique détermine votre vitesse et le nombre de points donné lors de vos figure.
 


En plus d'être complet le gameplay est très jouable, sur pc avec une manette Xbox 360 la prise en main se fait toute seule, le seul problème de jouabilité viens des collisions, il est en effet assez dur de se faire avec quelque collision avec les murs ou pour grinder, mais mis a part ces petits problèmes le gameplay et la jouabilité restent au top. Dernier problèmes un peu moins présent toutefois : la caméra est parfois capricieuse mais ça reste rare.
 
 
Bilan :
 
En conclusion on peut dire qu'en plus d'être un jeu unique en tout point, Jet Set Radio a aussi marqué une génération de joueur ce qui en soit est un bel exploit. Le jeu se laisse jouer sans problèmes et on prend plaisir à le parcourir encore et encore tout en écoutant ses musiques entraînantes. Le seul bémol à part la caméra et la longueurs de la prise en main : la durée de vie, il vous occupera une quinzaine d'heure en ne faisant que l'histoire, mais la rejouabilité est grande pour ce jeu donc c'est un moindre mal.
 
Sur ce enjoy the Jet Set Radio !

Oui jmets ca en tout petit pour vous obliger à matter l'image :happywalk:

Vixie il y a moyen négocier la queue de poney ? C'est pour offrir à un amis *0*

Cette invitation à s'exprimer sur cette vidéo ressemble étrangement à une carotte pour moi... Enfin bon.Ils se sont fait plaisir avec cette vidéo. Maquillage entre le joker & un groupe de deathmetal, argumentaire scientifique avec relents d'accents allemands pour souligner grossièrement le contexte idéologique incriminé de la loi du plus fort qui extermine en masse, rendant la chose encore plus malsaine, domination et jugement de la catégorie de personne qu'ils estiment à l'opposé de leur pensée. Mot d'ordre : colère et vengeance. D'ailleurs c'est flagrant que cela fait un tout pour eux, vomissant dans le même mouvement des individus pour qui le plaisir et leur bien être est l'alpha & l'oméga, aucunement concernés par les conséquences.
C'est toujours difficile de parler de conséquences à nos actes avec une personne qui tente juste de rester à-peu-près heureuse.
J'ai lu le débat tenu sur le sexisme dans les pages du forum, je vais donc essayer d'exposer mon avis sur les propos de la vidéo et elle seule. La dernière chose que je souhaite, étant donné le sujet et l'importance qu'il à mes yeux, c'est que la moindre notion d'amour propre puisse venir interférer. On ne se connait pas mais soyez sûr d'une chose : en vrai (comme à distance probablement pour certains) je suis pathétique, ridicule et ce que certains appellent un "semi-légume".
 
Pour un tel la considération de certaines réalités induit un écœurement donnant naissance à de la colère, pour un autre une toute autre réaction. S'il est une chose que j'exècre c'est la logique de groupe, de masse et tout ce qui s'en rapproche, notamment celui ou celle qui n'arrive pas à gérer ou à canaliser son ressenti et se met donc en recherche d'un groupe pour pouvoir donner sa réponse archaïque d'agression en faisant supporter la honte associée à ce type de réponse au groupe, ou qui demande à quelqu'un d'autre de tuer car il/elle veut manger cet être, sauf que c'est salissant et qu'il/qu'elle ne veut pas voir les conséquences réelles à la satisfaction de son désir. Au moins là dessus les animaux sont plus matures face à cette réalité. Si une chose ne me choc pas je vois pas pourquoi je bougerai d'un pouce et le faire parce que le voisin est outré et me demande de changer, disons que soit j'ai de l'affection pour cette personne et je vais faire en sorte de bouger pour diminuer sa souffrance, soit je suis sensible aux valeurs qui la font réagir de la sorte et je bouge sans me soucier des pertes et efforts qu'implique le changement, soit j'estime que le coût à payer pour être en accord avec ces valeurs est trop élevé.
 
Encore et toujours la question du prosélytisme, l'homme moderne est tellement assiégé de demandes et de plaidoyers pour tel produit ou telle cause, qu'il fini par développer une sorte de casque à la Magnéto, le rendant insensible aux manipulations mentales dés qu'il perçoit dans un discours la volonté d'influer sur sa pensée, normal. Toute la problématique tourne autour des motivations. Si une personne me dit : " moi, tuer pour manger ça ne me gêne pas et ne représente rien", il faudrait être idiot pour s'engouffrer dans une discussion basée sur la perception de choses que manifestement vous êtes le seul à percevoir. Par contre si une personne me dit : " j'adore la viande et le poisson mais sérieusement je ne les tuerait pas moi même", là, perso, je trouverai assez moyen de faire pencher la balance vers mon plaisir au regard de ce qu'il y a dans l'autre plateau de la balance, mais on commence alors à pénétrer dans une sorte de moralisation qui peut être très mal perçue. On peut aussi très bien consommer de la viande et du poisson avec respect et gratitude. Pour moi idéalement soit on tue avec l'idée que l'on ne méprise pas pour autant les animaux, soit on fait ce qu'il faut pour être en accord avec la conscience que l'on a de la souffrance des êtres.
C'est très intéressant lorsque nous mettons en lumière la question de l'expression de la souffrance pour évaluer sa présence. Il y a ce que l'on perçoit, là pas d'ambiguïté possible le cochon hurle comme c'est pas permit, et ce que l'on ne perçoit pas sans que cela nous renseigne sur l'existence ou non d'une chose. Vaste sujet. Au pire si je suis sûr qu'il y a souffrance même sans pouvoir l'observer ( par exemple présence ou non de terminaisons nerveuses ), je ne peux alors raisonnablement l'ignorer.
Pour ce qui est des méthodes industrielles, du traitement des animaux & d'une mort sans souffrance, comme je n'ai pas les moyens de changer ça et que je n'est pas d'énergie à mettre là dedans, cela fût le dernier point qui fini de me convaincre qu'en ce qui me concerne la viande et le poisson, c'est fini. Comme ça j'ai pas à me prendre la tête avec le reste du monde pour des perceptions qui me sont propres. La responsabilité de l'humanité est une chose, moi ce qui m'intéresse c'est au moins de pouvoir assurer la mienne, et c'est pas simple.

Fiche technique :
Titre original : Fallout
Éditeur : Interlay
Développeur : Black Isle studios
Date de parution : 30 septembre 1997
Support : PC, Mac
Limite d'âge : 16+
Genre : jeu de rôle
 
War... War never changes
 
Ainsi débute une des meilleures séries de jeu de rôles en jeux vidéo, j'ai nommé : Fallout.
 

Bienvenue après l'apocalypse
 
Contexte du jeu :
 
 
La guerre a eu lieu, les bombes sont tombées et le monde a périt... Du moins jusqu'à maintenant, car avant l'apocalypse les dirigeant des États-Unis eurent la prévoyance de créer des abris antiatomique à travers tout le pays. Vous venez d'un de ces abris, et la puce de filtration d'eau est tombée en panne, et c'est vous que le superviseur a chargé d'aller en récupérer une autre dans le monde extérieur avant que votre abris ne meurt. Bonne chance.
 
 
Personnage principaux :
 
 
Abri 13 :
 

 
Le superviseur : Il dirige l'abri 13 dont vous venez. C'est lui qui vous a explicitement chargé d'aller chercher la puce d'eau. Il a l'air vieux et très inquiet de l'avenir de l'abri, un peu comme s'il était le père et que tout les habitants de l'abri étaient ses enfants.
 
 
Les sables ombragé :
 

 
Aradesh: Le chef du village fermier nommé Les sables ombragés. Méfiant envers les étrangers il reste un homme bon sachant se montrer reconnaissant envers ceux qui le mérite.
 
 
Ian : Un mercenaire de passage aux sables ombragés, très bon avec une arme de poing dans les mains, vous pourrez le prendre avec vous et il vous sera d'une très grande aide.
 
 
Dépôtville (aussi appelé Junktown par des puriste) :
 

 
Killian Darkwater : propriétaire du magasin de Dépôtville, il sert aussi de maire de manière plus ou moins officielle à la ville, ce qui lui vaut une rivalité avec Gizmo. C'est un type plutôt bon et aimant sa ville, même s'il semble un peu froid envers les étrangers (sans toutefois s'en méfier).
 

 
Gizmo : Propriétaire du casino de Dépôtville. C'est un homme riche et sans scrupules; pour couronner le tout des rumeurs circulent disant qu'il veut se débarrasser de Killian et qu'il traîne dans des histoire pas très nettes.
 
 
Tycho : Voyageur errant dans le désert et de passage à Dépôtville. Celons ses propres dire il viendrait "d'un endroit qu'on appelait Nevada avant". On peut en faire notre compagnon de route, de plus il manie bien les armes à deux mains telles que les fusils ou les mitraillettes.
 
 
Le Centre :
 

 
Butch Harris : Chef des marchants du lointain, un groupe de caravanier. Il est préoccupé par la disparition récente de quelques-une de ses caravane, et semble angoissé par quelque chose. Faite attention tout de même à ne pas le froisser, ce serait bête...
 

 
Harold : Une goule vivant dans le vieux centre, il semble très vieux et malade, de plus vous racontera son histoire contre quelque piécettes. Vous apprendrais d'ailleurs par ce biais qu'il a plus d'une centaines d'année... Bref retenez bien ce personnage si vous jouez à ce fallout ou aux suivants...
 
 
Decker : Le patron de l'établissement le faucon maltais, il semble jouir d'une mauvaise réputation auprès des habitants du centre. Il paraît qu'il est concerné par des affaires pas très nettes à tel point que la police ne cherche qu'une preuve pour pouvoir l'arrêter.
 
 
La confrérie de l'Acier :
 

 
 
 
Groupe de gens organisés comme une petite armée, à la recherche de nouvelles technologies afin de les préserver. Ils sont majoritairement bien intentionnés mais ils restent relativement fermé. Faire ses preuves est le seul moyens de pouvoir accéder à leur matériels.
 
Je m'arrête là pour les personnages pour pas vous spoiler et vous laisser le plaisir de la découverte … Sachez juste que je n'ai pas aborder la moitié des personnages que vous pourrez croiser dans ce monde.
 
 
 
Système de jeu :
 
 
Le jeu se présente comme un jeu en vue en 3D isométrique ; tout se fait à la souris même si certain raccourcis clavier sont déjà paramétrés de base. Les combats se déroulent au tours par tours ou chacun fait des actions selon son nombre de point d'actions, chaque action vous en coûte une certaine somme et les actions pour faire des dégâts ont une probabilité de toucher dépendant de vos stats et de ceux de vos adversaires.
 

L'écran de jeu
Les compétences parlons-en : elles divisent en 2 catégories, d'une part les compétences de base appelées SPECIAL pour Strength (force), Perception, Endurance, Charisme, Intelligence, Agilité, Luck(chance). Ces compétences influeront les caractéristiques plus spécifique comme la médecine, la discrétion, ou même le troc ; celles-ci sont directement utilisé en jeu et leur réussite dépendra de votre score dedans ainsi que de votre SPECIAL et de votre éventuelle consommation de drogue car oui les drogues augmentent directement vos compétences de base, influençant par la même occasion vos caractéristiques. Dernier point important : les traits de bases et les aptitudes. En effet lors de la création du personnage vous pourrez choisir deux traits de bases vous octroyant un bonus dans un domaine mais entraînant un malus équivalent dans un autre (par exemple un trait fera que vos coups font en général moins mal mais ils sont beaucoup plus souvent critique). Enfin plusieurs aptitudes vous sont proposées tout les trois niveaux, vous devrez en choisir qu'une parmi celle qui vous sont offertes ; en général elles offrent un avantage non négligeable comme devoir payer un PA (point d'action) de moins lors de l'utilisation d'une arme légère. Voila tout pour les compétences et la création de personnages. Précisons tout de même que jouer un personnage féminin vous offrira des possibilité de dialogue différente d'un homme dans certaine situation, et que vous pouvez choisir l'âge de votre personnage mais ça n'a aucune influence réelle sur le jeu.
 

La fiche de personnage lors de la création de celui-ci
Parlons vite fait des dialogues : les dialogues importants se passent dans un écran spécifique ou apparaîtrons en haut la réplique de votre interlocuteur, en bas vos possibilité de réponse, et un boutons pour relire ce qui a été dit précédemment dans la conversation et un bouton pour faire du troc. De plus certains personnages dispose d'un écran spécifique avec doublage, d'ailleurs le casting des doubleurs est assez prestigieux avec la voix de plusieurs acteur bien connu, je vous invite à avoir la curiosité de chercher par vous même.
 
Passons très vite sur le système de troc : tout d'abord il faut savoir que vous avez la possibilité de faire du troc avec n'importe qui; vous pouvez proposer n'importe quel objet de votre inventaire à la vente, son équivalent en capsule (la monnaie du jeu) sera alors affiché et vous pourrez donc chercher dans l'inventaire de votre vis-à-vis des objets de valeurs équivalente (le tout dépendant de votre compétence de troc).
 
Le voyage maintenant car oui la zone de jeu est assez grande (elle englobe tout les alentours de feu Los Angeles) ; vous voyagez entre les différentes zones via une map où vous pourrez faire des rencontres aléatoires relativement variée allant notamment de l'attaque de bandits jusqu'à si vous êtes chanceux à l'apparition d'une mystérieuse cabine téléphonique bleue disparaissant à votre approche, ensuite les zones elles même sont découpées en partie que vous pouvez visiter librement et pour passer à la partie suivante il suffit d'aller sur un des bords du niveau.
 

La map du jeu
Voilà vous savez tout ou presque du gameplay de Fallout. Passons maintenant à la partie la plus intéressante du jeu, et la plus importante dans un jeu de rôles : l'univers l'ambiance et tout ce qui s'en approche.
 
L'univers
 
Commençons par la quête principale : elle paraît tout d'abord simple (aller chercher un objet avant la fin du temps imparti), mais elle s'étoffera au fil du jeu et des rencontres que vous ferez, parce que avant de la récupérer la puce il faut d'abord la trouver, et pour ça bonne chance car le jeu se comporte comme un MJ dans une partie de jeu de rôles réelle : c'est à dire que vous avez vos objectif, et un petit journal des quête vous les montrant mais sans leur contexte ET C'EST TOUT. Vous devez tout faire par vous même et ce pour toutes les quêtes qui sont quand même très intéressantes.
 

L'entrée de Dépôtville
 
Maintenant passons dans le vif du sujet : l'univers. Vous voici dans un monde post-apocalytique à la mad max c'est à dire un grand désert avec quelque vestige d'une civilisation vaporisée par la guerre nucléaire des années auparavant. Entre ruine de Los Angeles, désert vide, petites bourgades fermières, montagnes radioactives ou même complexe scientifique abandonné vous allez en voir du terrain et pas qu'un peu.De Dépôtville la bourgade faite de briques et de brocs, jusqu'au centre la plus grande ville de la côte ouest (et probablement du monde selon les dires d'un habitant), en passant par un vieil abris abandonné vous aurez de la diversité à foison ; chaque personne est unique, chaque quête est intéressante, chaque action a une réaction que ce soit au niveau de votre karma(réputation dans le jeu) ou au niveau du jeu réel, vous aviez promis à tel personne de lui donner un trésors de famille mais vous l'avez au final vendu ; dommage vous venez d'être trahi par l'acheteur et en plus la personne vous ayant demandé l'objet va chercher à vous abattre. Bref que du bon de ce coté là. De plus l'ambiance rétro-futuriste des années 50 est juste parfaite que ce soit les carcasse de voiture ressemblant au prototype de voiture de sport des années d'après guerre, ou même la musique d'intro (Maybe des Ink Spots) ou encore le look de la technologie comme les ordinateurs du jeu, tout y est agréable à voir (oui même si c'est pixélisé par le temps). Mais on regrettera peut être que cette ambiance année d'après guerre (...nucléaire !!! bon j'arrête l'humour) ne soit pas un peu plus présente même si les suites se rattraperons largement de ce point de vue là notamment par le biais des musique. D'ailleurs parlons-en de l'ambiance musicale et sonore en générale.
 

Petit aperçu du Centre
Alors la musique... La base pour un jeu à ambiance comme Fallout. Le moins que l'on puisse dire c'est que c'est réussi, les musiques sont discrètes mais très présentes tout au long de votre aventure, et de plus collent bien à chaque endroit où vous les entendrez. Après on peut pas dire que ce soit au niveau de final fantasy mais ça se laisse écouter sans problèmes et on se plaindra pas d'incohérence à leur propos. Ensuite pour rester dans le sons je vais parler d'un sujet déjà évoqué plus haut : les doublages. Comme je l'ai dit pour doubler les personnages importants les développeur d'interplay ont fait appel à quelque acteurs relativement connu (je pense à l'acteur qui joue McGyver et O'neil dans stargate et dont le nom m'échappe) et il faut admettre qu'ils ont bien fait leur boulot, on se retrouve avec des personnages vivant et qui nous paraissent plus humains ; par exemple Aradesh qui avec ses mimique et expressions arrive à se construire une personnalité, ou bien le chef de la guilde des voleurs avec son accent anglais très prononcé et super classe font en sorte que l'univers soit cohérent et crédible. Petite précision : aucun doublage français, tout est en anglais et de très bonne qualité.
 
Et le bestiaire ? Parce que vous venez de voir l'ambiance musicale, l'univers en soit, mais de quoi est peuplé ce monde dangereux ne voulant que votre mort ? Hé bien de choses plus ou moins réjouissantes tels que des radscorpions (scorpions ayant muté suite à des radiations), des goules qui sont des humains ayant côtoyé de trop près les bombes et donc ayant une longévité accru de plusieurs centaine d'années mais bénéficiant au passage d'un corps semblant être en décomposition, certaines sont comme des zombie et vous agresserons à vue et sont d'ailleurs appelées les sauvages, alors que d'autre sont tout à fait civilisées et vous agresserons mais avec une lance et vous insulterons en même temps. Vous pouvez aussi croiser des robots plus ou moins bien intentionnés à votre égard (plus souvent moins que plus d'ailleurs), ensuite des pillards, des rats et tout un tas de chose fort sympathique.

Une goule vue de prés
 
Mon avis :
 
Par ou commencer ? Tout d'abord il faut savoir que ce n'est pas avec cet opus que j'ai découvert la série, mais ça n'empêche pas que j'étais comme un enfant ouvrant ses cadeaux de noël quand j'ai commencé le jeu. J'ai bien passé environ une demi heure ou une heure pour créer mon personnage et à étudier les compétences grâce au nombre de possibilités qui s'offraient à moi.
Puis vint le jeu en lui même et là ça a été une claque. Graphiquement il a plutôt bien vieilli et est beau selon moi, j'ai eu du mal à me faire à l'interface mais après quelque minutes ça allait tout seul; le système de combat fut une bonne surprise aussi, il parait étrange au début mais devient intuitif par la suite même s'il m'arrive de temps à autre de râler à cause d'un tir qui avait 95% de chance de toucher qui a raté.
 
Mon ressentit par rapport à l'univers maintenant : je pense sincèrement que c'est le meilleur univers jamais créer pour un jeu (je vous ai dit que fallout était ma série de jeux préféré ? Non ? Tant pis). Pour y aller plus en détails rien que l'arrivé au premier village m'a mis des étoiles pleins les yeux, et si la quête principale n'était pas limitée en temps (bien que l'on ai largement le temps de la finir) j'aurais surrement passé tout mon temps sur fallout à me fabriquer une nouvelle vie, de gardien de caravane ou bien de marchant ambulant du désert. Car ce genre de possibilité vous est laissé dans ce jeu quoi que vous vouliez faire vous pouvez le faire. Aucun PNJ n'est immortel, alors s'il y en a un qui vous reviens pas libre à vous de abattre sans scrupule. Même s'il n'est pas encore parfait au niveau des interactions social le premier fallout reste quand même très immersif de ce niveau là, et si ce n'est pas assez pour vous, vous pouvez toujours jeter votre dévolue sur la suite fallout 2 qui est encore plus enrichie de ce point de vue là. Enfin revenons au sujet soit mon avis sur l'univers du jeu : si je l'aime tant que ça c'est parce qu'il est fouillé avec des clins d’œils à beaucoup d'éléments de la culture populaire, chaque personne est unique et surtout le jeu utilise son univers post apocalyptique à merveille avec un peu d'humour. En effet le post apocalyptique est en général utilisé pour critiquer ou faire une satyre de notre présent, et fallout intègre ça parfaitement avec un humour acide critiquant notre mode vie actuel et tout les travers qui en résultent, et rien que ceci me fait aimer ce jeu. Mention spécial pour le personnage de Doc Morbide qui à lui seul illustre la profession de médecins en vous faisant payer une bonne somme pour vous diagnostiquer que vous allez bien...
 
Avant de passer à la conclusion je vais juste dire que fallout est ma série de jeux préféré et que bien qu'il soit dur et ait quelques défauts (d'ergonomie surtout) le premier est une très bonne vitrine de la série entière : Immersif, cynique, cohérent, travaillé et en plus qui ne se prive pas de quelques easter eggs bien sympas, pour moi il ressemble de près au jeu parfait.
Conclusion :
 
Fallout est au final plus un jeu de rôles papier porté sur ordinateur plutôt qu'un jeu vidéo en sois. Et c'est tout ce qui fait l'excellence de ce titre car on obtient un univers unique et fouillé, une trame scénaristique très bonne quoi que pas ultra original au final, et des personnages tout ce qu'il y a de plus crédible. Fallout c'est le jeu à jouer quand vous voulez pas d'un MJ mais que vous voulez vivre l'expérience d'un jeu de rôle en solo, avec ses rencontres aléatoire, son système de compétences et sa difficulté car oui, le jeu est dur mais possible à faire et agréable à parcourir (je ne compte plus le nombre de fois ou mon personnage est devenu du hachis parmentier face à un minigun sauvage croisé dans le désert).
Enfin Fallout laisse aussi un message sur le monde, une piste de réflexion par rapport à l'homme :que vont entraîner nos choix ? Jusqu'où allons nous pour assouvir nos désirs ? Bref il nous offre une vision assez cynique de notre monde et de l'homme en générale ou plutôt de la société créer par celui-ci.
Au final je ne peut que vous le conseiller et clore cet article comme le jeu c'est à dire par là ou tout a commencer.
 
War... War never changes