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Alephnor

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Tout ce qui a été posté par Alephnor

  1. Ouch... Black Rock Shooter... Comment expliquer mes impressions après avoir vu cet anime ? Comment expliquer cet anime, tout simplement ? C'est une expérience vraiment bizarre. Avant toute chose, il faut savoir que c'est beau à regarder et à écouter. Je ne pense pas que quiconque me contredira là-dessus. La bande-son est irréprochable et colle parfaitement aux différentes scènes. Quant aux graphismes, ils se défendent très bien. Si les passages dans le vrai monde peuvent sembler génériques, chaque entrée dans l'autre monde vous laisse dans une forme d'appréhension pour le moins agréable. Cet autre monde est malsain, incohérent et cruel. Et c'est exactement ce qu'on ressent lorsqu'on le voit : c'est une anomalie, le fruit d'un esprit malade, mais c'est bel et bien là la sensation que les auteurs cherchent à faire passer. Et ils le font si bien qu'on se met à apprécier. Le gros problème de BRS se résume au scénario. Si j'ai plus ou moins comprit le principe (et je suis loin d'en être sûr), il s'agit d'une personification du combat que Mato (l'héroine) doit livrer pour trouver, conserver et récupérer une amitié (plus ou moins dans cet ordre là). Malheureusement, ce n'est jamais très clair. La faute en incombe majoritairement aux personnages. En plus d'être plus malléable que de la pâte à modeler, on n'est jamais certain de l'état de la relation entre chacun d'eux. Ca vient, ça part, ça revient et ça repart et tout ça parfois sans raison apparente. Au bout du compte, on n'arrive plus à savoir quelle est la finalité du combat en train de se dérouler. La seule qui tire son épingle du jeu est Kagari (la blonde vivant avec Yomi). Ce personnage est tellement détestable qu'on en vient à l'aimer. Elle ne cache rien de ses sentiments ni de ses intentions et n'hésite pas à détruire mentalement quiconque se dresse entre elle et son esclave personnelle (en ce qui me concerne, j'appelle ça comme ça). J'avais davantage envie de voir ses scènes de torture psychologiques que celle de combat avec son double alternatif. Parlons des combats, d'ailleurs, puisque la moitié de l'anime leur est dédié. En un mot comme en cent, ils sont très classes ! Déjà grâce en l'environnement, dont j'ai déjà parlé. Cet endroit malsain et aberrant qu'est l'autre monde devient un parfait champ de bataille. A l'exception du dernier combat, il n'y a quasiment aucun dialogue, cri ou même gémissement. L'action, le son et la musique. Et rien d'autre que vos sens pour profiter. Tout est exagérés, dans ces combats. Les attaques semblent renfermer une telle puissance et une telle violence qu'on ne s'étonnerait pas de voir les personnages déceder en un seul coup. Pourtant, ils encaissent, indifférent à ce genre de chose. C'est ce qui nous donnent des séquences de combats longues, mais suffisament inventives pour qu'on ne s'ennuie pas. Au bout du compte, on peut avoir deux approches avec Black Rock Shooter. Première possibilité : on met son cerveau de côté et on se contente de regarder les superbes scènes se déroulant dans l'autre monde. Seconde possibilité : on se triture les méninges à essayer de comprendre ce qui se passe, on choppe un mal de crâne car on ne pige rien, mais on profite quand même des scènes dans l'autre monde. Et on profite aussi de Kagari, au passage. Visuellement agréable. Scénaristiquement raté.
  2. Lire cette présentation m'a fait imaginer un Vocaloid avec un accent mexicain. J'hésite entre crier au génie ou me recroqueviller dans un coin et pleurer. Dans tout les cas, soit le bienvenu, muchachos ! Et parce que ça a l'air d'être à la mode : :mejiko:
  3. Pour être hors-sujet, c'est hors-sujet. Pas grave ! Il s'agit de To Aru Majutsu no Index. La deuxième saison, en l'occurence.
  4. Ca fait un an et personne n'a rien ajouté sur le film ? Ca ne va pas le faire. Pas du tout ! Donc, voici les deux trailers étant sorti. Et en un mot comme en cent : ça claque ! http://www.youtube.com/watch?v=0BzKyt4PIGc&feature=plcp http://www.youtube.com/watch?v=QJzlTFjZNfc&feature=plcp Bon, j'ai préféré mettre ça dans le même sujet que la série : autant tout centraliser ! Le film sera apparemment centré autour d'un gigantesque ascenseur allant de la Terre jusqu'à une station orbitale. Ce qui est rassurant est que l'histoire demeure écrite par l'auteur original.
  5. Pas de souci ! C'est toujours un plaisir que de faire partager quelque chose qu'on apprécie !
  6. Pleurer devant un anime, hein ? Yep, c'est bel et bien quelque chose qui m'est déjà arrivé. Dans Angel Beats. Et à deux reprises, par dessus le marché. En premier lieu : Ensuite : Et je peux déjà annoncer que je pleurerais devant Little Busters. J'ai déjà joué au visual novel dont l'anime est tiré et le dénouement final ne m'avait pas laissé indemne. Là, une simple révélation pour un personnage (révélation que je connaissais déjà, je le rappelle) a manqué de me faire verser ma petite larme. Alors je ne me fais pas d'illusion pour la suite. D'ailleurs, je note que Angel Beats et Little Busters doivent leurs scénario à des gars de chez Key (ceux qui ont fait Kanon, Air et Clannad). Rien d'étonnant, donc. Ces mecs ont un talent pour arracher des larmes même aux plus endurcis.
  7. Alephnor

    L'Alephnor

    Merki beaucoup ! En particulier à Ness. Après tout, c'est un peu grâce à lui que j'ai découvert le forum. Vous n'imaginez pas à quel point c'est délicat de faire découvrir un Light Novel à quelqu'un quand celui-ci ne pipe pas un mot d'anglais. A ce propos, et pour répondre à ce cher Ness (encore lui !), je suis arrivé aussi loin qu'on puisse être dans la série des To Aru. J'ai bouclé le NT5 il y a 2 semaines (Pu*** de cliffhanger, soit-dit en passant).
  8. Merci pour tes commentaires fort pertinents. Il est vrai que je m'étais un peut trop étendu sur le Tôma sans même m'en rendre compte. Au moins, ça illustre le fait qu'on s'attache facilement au personnage. J'ai rectifié ce point et en ait profité pour parler un peu plus en profondeur de Mikoto, que j'avais laissé de côté la première fois. Accesoirement, j'ai remanié l'intégralité du bilan. Bien que la répétition du "bon" était absolument volontaire de ma part, je reconnais que le jugement porté était trop subjectif (en même temps, quelle critique ne l'est pas). Pour ce qui est des légendes, disons qu'il s'agit de ma petite touche personnelle. Ca ne fait jamais de mal de rajouter un peu d'humour par endroit. Et bien que ce ne soit pas obligatoire, j'ose espèrer qu'on s'amuse autant à les lire que moi à les écrire. Je pense avoir corrigé les erreurs que tu avais repéré, mais n'hésite cependant pas à me signaler la moindre imperfection qui pourrait subsister.
  9. Titre original : To Aru Majutsu no Index Année de parution : 2007 (2012 en France) Genre : Action, Science-Fiction, Fantastique et Mythe Auteur : Kazuma Kamachi Artiste : Chuuya Kogino Editeur : Square Enix (Ki-oon en France) Nombre de volume : 10 (4 en France) [série en cours] Site officiel : http://gangan.square-enix.co.jp/index/ Histoire : Bienvenue dans la Cité Académique ! Avec une taille équivalent à un tiers de Tokyo et une population de 2,3 millions d’habitants (dont 80% d’étudiant), il s’agit tout simplement du plus grand campus universitaire qui soit. Ici, la technologie a 30 ans d’avance sur le reste du monde et tout a été conçu pour favoriser les études et la recherche. Et parmi ces recherches, il y a la technologie ESPER (Extra-Sensorial Power usER) : concrètement, via des drogues et du conditionnement, les étudiants de la ville sont capable de développer un pouvoir psychique. Bien sûr, il ne s’agit pas d’une technologie infaillible et beaucoup d’étudiants ne développent pas le moindre pouvoir (Niveau 0) tandis que seul un infime pourcentage parvient à obtenir une maîtrise parfaite de leurs aptitudes (Niveau 5). Croyez-moi sur parole : vous voulez y vivre ! C’est ici que nous retrouvons Tôma Kamijô, un Niveau 0. Et le pauvre n’a pas la vie facile ! Entre une poisse constante, les cours de rattrapage et les prises de becs avec une ESPER électrique, il ne souhaiterait rien de mieux qu’une vie tranquille. Malheureusement, le fait de trouver une nonne sur son balcon et de lui venir en aide ne va pas arranger les choses. Surtout lorsque cette nonne renferme dans son esprit une librairie de grimoire interdit et qu’elle est poursuivie par un groupe de magiciens aux intentions douteuses ! Personnages : Big Damn Hero ! Tôma Kamijô : Tôma est malchanceux. Vraiment malchanceux ! Où qu’il aille et quoi qu’il fasse, il peut être certain que la poisse viendra lui jouer un mauvais tour. Malgré tout, il est resté quelqu’un d’altruiste qui n’hésitera pas à se jeter tête baissé dans les ennuis pour venir en aide à une parfaite inconnue. Bien qu’étant un Niveau 0, il dispose du pouvoir Imagine Breaker qui lui permet de réduire à néant toute création surnaturelle. Attention : elle croque ! Index Librorum Prohibitorum : Ou juste Index, pour faire court. Il s’agit d’une religieuse de 15 ans issue de l’église Anglicane et qui possède 103 000 livres de sorcellerie interdits au fond de son esprit. Avec un appétit d’ogre, une tendance à mordre dès qu’elle est contrariée et un certain nombre de magiciens lancés à ses trousses, on peut être certain que celui qui lui viendra en aide n’aura pas le temps de s’ennuyer. Quoiqu'il arrive, ne l'énervez pas ! Mikoto Misaka : Une ESPER électrique et une des 7 Niveau 5 de la Cité Académique. Elle maîtrise son pouvoir à un tel niveau qu’elle est capable de s’en servir pour devenir un railgun humain (ce qui lui a d’ailleurs valu son surnom). Cependant, sa rencontre avec un jeune homme capable d’annuler ses pouvoirs comme si de rien n’était va vite lui donner un esprit de compétition survolté. Kaori à gauche et Stiyl à droite. Et non, ils ne vous aiment pas. Stiyl Magnus : un magicien spécialisé dans les sorts de flammes et prêt à tout pour récupérer Index et les 103 000 grimoires qu’elle possède. Même à carboniser tous ceux qui oseront se mettre en travers de son chemin ! Impulsif et déterminé, ce n’est définitivement pas le genre de personne que vous auriez envie de contratier. Kaori Kanzaki : partenaire de Stiyl et elle aussi lancée à la poursuite d’Index. Elle se bat à l’aide d’un katana, mais son talent avec est plus proche du divin que de l’humain. Bien que plus calme et moins agressive que son acolyte, Kaori n’en est pas moins déterminé à remplir la mission qui lui a été confiée. Critique : Je ne vais pas le cacher, il s’agit d’une série que j’apprécie tout particulièrement. L’histoire est à la base issue d’un roman (que je recommande également) dont le succès a été tel qu’un manga et un anime ont pu voir le jour. Et quand je dis succès, je parle de dizaines de millions d’exemplaire vendus. Mais je digresse… S’il y a bien un point sur lequel le manga tire son épingle du jeu, c’est la variété. Le concept de base est suffisamment large pour permettre une variété d’histoires toutes imbriquées les unes avec les autres. Le thème principal est l’opposition entre la science et la religion (la magie est ici considéré comme un concept religieux) et chaque arc scénaristique peut être relié à l’un de ces deux concepts, voire aux deux à la fois. Le pauvre Tôma va donc se retrouver aussi bien à devoir lutter contre des magiciens venus semer la pagaille que contre des expériences scientifiques devenues hors de contrôle. C’est cette diversité qui fait que le manga reste agréable à lire au fil des chapitres. Un autre point important, c’est la crédibilité. Bien entendu, un monde avec de la magie et des pouvoirs psychiques n’a rien de bien réaliste, je serais le premier à vous le dire. Cependant, l’auteur a pris soin de rattacher toutes ces notions surnaturelles à (selon le cas) de véritables concepts religieux ou de vrais théories scientifiques. Même si cela ne change rien à l’histoire, cette recherche et ce souci du détail font que les pouvoirs utilisés au fil de l’histoire ne nous semblent jamais aberrant, puisqu’appuyés par des idées concrètes. Le rythme est assez inégal. Si certains arcs scénaristiques sont si passionnants qu’ils se dévorent d’une traite, d’autre prennent davantage leur temps et peinent à nous faire accrocher à l’histoire. Ce souci de rythme est d’autant plus gênant que certains pans de l’histoire originale ou certaines scènes ont été omises, ce qui est susceptible de perdre celui qui cherche à comprendre dans le détail cet univers. Ces omissions n’ont rien d’handicapant pour le lecteur, mais l’aurait tout de même grandement aidé pour pouvoir saisir l’ampleur de l’univers construit par Kazuma Kamachi. Un autre point qui permet au manga d’être une véritable perle, ce sont les personnages. Variés et haut en couleur, ils ne manqueront pas de vous séduire. Que ce soit du côté de la science ou du côté de la magie, l’auteur nous offre une palette d’individu très variés qui ne manqueront pas de placer nos personnages principaux dans des situations toujours plus fantastiques. Ils ont tous leur importance et ne manquent de revenir faire des apparitions, même hors des arcs qui leur étaient dédiés. Des personnages comme Accelerator, Last Order ou Kuroko Shiraï saurons vous convaincre que le casting secondaire est d’aussi bonne qualité que le principal. Kuroko Shirai : le seul être au monde qui n'aurait jamais dû avoir le pouvoir de téléportation. Parlons d’ailleurs de ces derniers. Tôma, en particulier. Vous n’imaginez pas à quel point ce genre de héros est rafraichissant ! Son don limité ne fait pas de lui un être exceptionnel. Au bout du compte, il n’est qu’un étudiant comme les autres et c’est justement ça qui rend le personnage attachant. Notre petite Index, quant à elle, est juste adorable. Cette religieuse ne connaissant rien aux nouvelles technologies et se retrouvant en plein milieu de la ville la plus évolués du monde ne pourra que vous arracher des sourires. Et c’est sans compter ses interactions avec Tôma qui sont absolument hilarantes ! Le dernier personnage principal est Mikoto. Au premier abord, elle n’apparait que comme une pseudo-rivale de Tôma avec quelques tendances bien tsundere. Mais on nous montre vite qu’elle ne se résume pas qu’à ça. Si l’évolution de sa relation (si on peut dire) avec Tôma ne manquera pas de vous faire sourire, elle dévoilera également un aspect bien plus fragile et déterminé lorsque des personnes qui lui sont chères seront mise en danger. Parlons enfin de la qualité du dessin. Je ne vais pas le cacher, mes capacités graphiques sont pour ainsi dire quasi-nulles : mon opinion ne sera donc probablement pas la plus pertinentes qui soit. Mais qu’importe. Le dessin est peut-être ce qu’il y a de moins bon dans ce manga. Je n’irais pas jusqu’à dire que c’est laid à regarder, c’est même le contraire. Mais il y manque cette finition et ce souci du détail qu’on peut retrouver dans le scénario ou les personnages. Il est plus difficile de retrouver, avec le manga, les mêmes sensations qu’en lisant le roman ou en regardant l’anime. Le plus gros défaut vient des décors et de l’arrière-plan, qui sont en général relativement pauvres et peu détaillés. Et je ne vous apprendrais rien en vous disant que l’environnement joue pour beaucoup dans un manga. En revanche, les personnages sont bien travaillés et ont eu droit au traitement qu’ils méritaient. Bilan : Je ne vais pas vous mentir : la qualité de l’œuvre originale méritait une meilleure adaptation en manga. Faut-il pour autant ignorer ce dernier ? La réponse est non. A celui qui a la possibilité de lire le roman, je conseillerais bien évidemment de le faire. Mais dans le cas contraire, le manga reste une bonne alternative. L’univers demeure enchanteur, quel que soit le format, et les personnages vous séduiront dans tous les cas. Pour peu qu’on passe outre la qualité du dessin un peu en deçà de ce qui peut se faire actuellement, on obtient une histoire solide et riche en rebondissements. Les altercations vous tiendront en haleine grâce à la variété et à l’originalité des pouvoirs tandis que les caractères et l’humour des personnages vous assurera des séquences comiques de qualité. A mettre en toutes les mains ! Accelerator veut que vous lisiez ce manga !
  10. Alephnor

    L'Alephnor

    Merci pour l'accueil ! Pour répondre à Artyk, imagine toi quelqu'un avec un gros passif dans la recherche, un mépris total de la morale et un caractère de cochon. Et pour répondre à cette chère kumaneko-chan (qui a répondu pendant que j'écrivais ce post, la villaine) : - Non, je n'ai pas lu les H2G2. Je n'y ai jamais vraiment pensé, mais l'idée est bonne. Faut juste que je finisse les Sword Art Online, les Artemis Fowl et que j'attaque Hypérion de Dan Simmons. Mais après, pourquoi pas ? - Je possède malheureusement peu de manga. Problème de place, d'abord. D'argent ensuite. D'approvisionnement enfin (je lis surtout les version anglaise : j'ai un peu de mal avec la VF). Je dispose cependant de la série des A Certain Scientific Railgun (fanboy oblige) et compte bien obtenir tôt ou tard l'intégralité des GTO (parce que mon Dieu que cette série est bien !). Heureusement que je dispose d'amis et d'Internet (les deux étant plutôt bien fournis en matière de manga). - Je ne porte pas la moustache, mais je suis le premier à dire que la moustache, c'est le charisme ! Le simple fait d'y avoir pensé te fait cependant gagner instantanément 10 points sur mon échelle personnelle des gens biens !
  11. Alephnor

    To aru Kagaku no Railgun

    Ca va peut-être plaire à certain : la saison 2 de To Aru Kagaku no Railgun a été annoncé. Pas encore de date pour le moment, mais l'équipe sera la même que pour la première saison. De plus, pour ceux qui lisent le manga : Source : Dengeki et AnimeNewsNetwork, pour ceux qui (comme moi) ont encore du mal avec le japonais.
  12. Alephnor

    L'Alephnor

    Rapport 00194759 du Projet de l’Otaku Universel Régularisé et Réglementé sur l’Internet Sujet d’étude : l’Alephnor Origines : si la plupart des espèces d’Otaku découvertes jusqu’à présent ont subi leur première contamination depuis l’enfance, l’Alephnor se distingue par le fait qu’il n’a pas été en contact avec l’univers du manga et de l’animation japonaise avant sa majorité. Cela induit donc une expérience assurément plus faible que ses congénères, mais également un regard plus mature sur cet univers (ce dernier point demeure sujet à de nombreuses contestations, comme l’explique le professeur Wilhelm Kartoffeln dans son étude des diverses réactions primitives de l’Alephnor lors de la consommation de produit issus de la culture japonaise) On pourrait croire que ce contact tardif aurait pu n’entrainer qu’un intérêt désuet et rapidement ignoré, mais il n’en fut rien. Quatre ans après, l’Alephnor poursuit son chemin dans les méandres de la culture Otaku avec la même ferveur ! En revanche, il a la chance d’avoir pu profiter des expériences (heureuses ou malheureuses, selon les cas) de ceux qui l’ont précédé sur cette route tortueuses. Il sait identifier les bons éléments, les trouver et les apprécier. Et il est loin d’avoir terminé ! Goûts : l’Alephnor est tout, sauf difficile (ce qui n’est pas forcément une qualité, quand on sait la quantité astronomique de mangas et d’animes qui existent et le trop peu de temps dont il dispose pour en profiter). Il lit des mangas aussi bien qu’il regarde des animes ! Le seul point sur lequel il se révéle un peu plus tatillon est sur le théme abordés. Avant tout, il est un fan absolu de tout ce qui touche à la psychologie et aux batailles mentales (citons en vrac : Death Note, Bloody Sunday, Liar Game, Gamble Fish, Code Geass…), mais également les bonnes vieilles comédies, pour peu que le concept original soit bien pensé (GTO, Love Hina, The world God only Knows…). Bien sur, cela ne l’empêche pas d’apprécier des sujets beaucoup plus classique (Gurren Lagann, Sword Art Online, Hellsing, Fate/Stay Night…) Notons que l’Alephnor se distingue par sa maîtrise avancé de la langue anglaise, lui permettant de profiter des Light Novel (par un heureux hasard, il se trouve que l’Alephnor adore également lire : la nature fait vraiment bien les choses !) Précisons que le sujet d’étude voue une passion sans limite à l’univers Toaru (les plus avertis l’auront deviné à l’avatar). Camouflage : aux yeux du monde, l’Alephnor n’est rien de plus qu’un simple étudiant en Informatique de 22 ans. Peu sportif, peu sociable (à part avec un cercle restreint possédant des goûts similaires), l’Alephnor ne se différencie que peu des autres spécimens d’Otaku qu’on peut trouver dans le reste du monde. Talents supplémentaires : l’Alephnor est joueur, rien de bien surprenant à ce niveau. Et une fois de plus, il n’est pas difficile en la matière, appréciant autant un RPG qu’un FPS. Mais l’Alephnor est également un lecteur avisé et affamé : de Jules Verne à Bernard Werber en passant pas J.R.R. Tolkien et J.K. Rowling, il est capable de faire un sort à la plupart des œuvres littéraires. Enfin, l’Alephnor aime écrire. Bien qu’un livre ne soit pas au goût du jour, il aime user de ce talent pour hanter les forums RP qu’on peut trouver ici et là sur la toile. Aptitude auditive : on l’a vu, l’Alephnor sait relativement bien se servir de ses yeux et de ses mains. Mais il faut savoir qu’il sait également très bien utiliser ses oreilles. Si ses premiers amours demeurent la Trance en particulier et la musique électronique en général, sa contamination par le monde Otaku lui a permis de découvrir quelque chose de différent : VOCALOID. En effet, l’Alephnor répété à qui veut l’entendre (c’est-à-dire, pas grand monde) qu’il est un fan inconditionnel de Miku et de sa bande. Et oui, il paierait pour assister à un de leur concert. Pour peu que ce soit en Europe. L’Asie, c’est loin. Et cher. Et zut, d’abord ! Rapport terminé et archivé le 3 novembre 2012 Note additionnelle : à la fin de l’étude, le sujet aurait déclaré les mots suivants : « Bonjour à tous ! »
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