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Alephnor

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  1. Utile
    Alephnor a reçu une réaction de Ness dans Light Novels   
    Toute personne ayant lu ET vu les Harry Potter vous le confirmera : le roman original est toujours bien meilleur que l'adaptation. Et c'est rigoureusement pareil avec les animes et les mangas. Un nombre important d'animes à succès est en effet adapté de ces Light Novel qui battent des records de vente au Japon. Mais cela vaut-il le coup de passer de l'anime au support original ? Je dirais que ça dépend.
     
    Il faut d'abord prendre en compte la barrière de la langue. Les Light Novel viennent du Japon et sont donc écrits en japonnais (merci Captain Obvious !) Quelques teams de traducteurs amateurs et quelques maisons d'éditions vous permettent cependant de profiter de ces œuvres. Mais la majorité de ces traductions restent tout de même en anglais. Des courageux tentent cependant de transmettre ces histoires en français (Ness, on t'aime), mais dans la plupart des cas, il serait préférable de maîtriser un minimum la langue de Shakespeare. Au moins, c'est l'occasion de vous améliorer (je sais que dans mon cas, ça a été radical) !
    Mais une fois ce problème résolu, il ne reste que des avantages. Dans les Light Novel, l'histoire est plus complète, plus développée, plus précise et surtout plus avancée ! Je citerais pour l'exemple ma série fétiche : To Aru Majutsu no Index. Vous n'êtes pas sans savoir que l'anime s'étend sur deux saisons. Sachez que ces deux saisons couvrent 14 tomes du roman. Et que le roman en est actuellement à 29 tomes plus 6 tomes de side story. Tout de suite, c'est sensiblement supérieur. Même chose pour Sword Art Online dont la première saison de l'anime ne couvre que 3 tomes sur 11. En gros, si vous voulez connaître la suite de l'histoire sans avoir à attendre la diffusion des futures saisons, vous savez quoi faire.
     
    Et maintenant, quels sont les Light Novel qui valent vraiment le coup ? Je vais vous parler d'expérience personnel ici. Avant toute chose, les To Aru Majutsu no Index. Je sais, je suis un fanatique de cette série. Mais le fait est qu'elle est véritablement exceptionnel et que ce que vous avez vu dans l'anime n'est qu'un prélude à une suite encore plus épique.
    Comme cité précédemment, je conseillerais les Sword Art Online qui se lisent assez facilement (plus que les TAMNI selon moi, même si moins épique à mon goût). Les Suzumiya Haruhi no Yuuutsu demeurent assez sympathiques à lire, bien qu'ils aient tendance à un peu traîner lors de certains passages (comme dans l'anime, en fait).
     
    En ce qui me concerne, après TAMNI NT6 qui sort en janvier et les 3 volumes Alicization de SOA que j'ai laissé de côté pour le moment, je compte m'attaquer (dans un ordre que je n'ai pas encore déterminé) aux Oreimo, aux Fate/Zero, aux Toradora!, aux Zero no Tsukaima et... On verra quand j'aurais fini ceux-là.
     
    Bref, passer aux Light Novel ne présente que des bénéfices, alors foncez !
  2. Utile
    Alephnor a reçu une réaction de Artyk dans Little Busters   
    C'est quoi ?
     
    A l'origine, Little Busters est un jeu : un visual novel, en l’occurrence (il s'agit d'une sorte de récit interactif. Le genre n'existe qu'au Japon). Le jeu a été développé par les studios KEY que certain connaissent peut-être déjà : il s'agit du studio à l'origine de Kanon, Air et Clannad. Pour ceux qui connaissent, le simple fait de citer ces noms suffira probablement à les convaincre. Mais essayons de convaincre également ceux qui n'ont jamais expérimenté un scénario des studios KEY.
    L'anime est en cours de diffusion depuis le 6 octobre 2012 et a été prévu pour 26 épisodes. Le studio en charge de la version animée est J.C. Staff, que certain reconnaîtront pour avoir animé les To Aru Majutsu no Index, les Zero no Tsukaima ou les Shakugan no Shana (entre autre : je ne vais pas vous faire tout le listing).
     

    Pour résumer, il y a des chats. Et des amis. Et du baseball.
     
     
    De quoi ça parle ?
     
    Little Busters, c'est avant tout une histoire d'amitié. Le scénario se base autour d'un groupe de cinq amis d'enfance qui, contre vents et marrées, sont toujours resté ensemble jusqu'au lycée. Mais le départ prochain de Kyousuke, le leader et fondateur du groupe, ne présage rien de bon pour l'avenir. Il est en effet plus que probable qu'ils partent chacun de leur côté et finissent par se perdre de vue. Ils décident alors de vivre cette dernière année en se forgeant le plus de souvenirs possibles. Et pour ça, il n'existe pas de meilleur moyen que de former une équipe de baseball !
     

    Il y a un côté rassurant à savoir que vous ne pourrez jamais être aussi charismatique que Kyousuke.
     
     
    Et ça vaut le coup ?
     
    Il est très difficile d'expliquer la force de Little Busters sans risquer d'évoquer des éléments clés de l'intrigue. Celle-ci est telle que le moindre indice risquerait de ruiner l'histoire. En revanche, ce que je peux vous dire, c'est de préparer un paquet de mouchoirs. Ceux qui sont familiers avec les autres œuvres de KEY vous le confirmeront : leurs histoires sont d'une force émotionnelle sans égale !
    Little Busters doit énormément à sa galerie de personnage. Que ce soit les cinq membres d'origines ou ceux qui les rejoindront au fil de l'histoire, ils ont véritablement été créé pour être apprécié. Si la plupart peuvent paraître superficiels au premier abord, ils cachent tous une personnalité beaucoup plus complexe et élaboré qu'on ne pourrait le croire.
     
    Basé sur un schéma de série comique, l'humour est par moment niais. Mais il parviendra sans difficulté à vous arracher des sourires. Et ces sourires seront grandement appréciés pour pouvoir passer au travers des séquences infiniment plus sombres et tristes de l'anime.
    Graphiquement, nous ne sommes pas au niveau des grosses productions. Si l'ensemble est très coloré, l’œil attentif saura remarquer quelques erreurs et incohérences. Ajoutons que l'ensemble n'est pas aussi animé qu'on pourra l’espérer et on pourra deviner durant quel passage le studio a fait ses économies de budget. Cela ne rend pas l'anime laid ou désagréable à regarder, mais on n'arrive pas à se défaire de l'impression qu'ils auraient put faire mieux.
     
    Pour ceux qui désirerait tester, mais qui ne sont toujours pas convaincu, je leur conseille de regarder au moins les 6 premiers épisodes. Les premiers ne rendent pas justice à l'histoire et à la profondeur qu'elle peut atteindre. Ce n'est qu'au cinquième et sixième épisode qu'on commence à effleurer jusqu'où Little Busters peut nous entraîner.
     

    Kud est tellement adorable que ça en devient criminel.
     
     
    Et toi, tu en penses quoi ?
     
    Mon premier contact avec Little Busters fut le jeu. Et heureusement ! Car si j'avais visionné les premiers épisodes de l'anime sans savoir ce qui allait arriver par la suite, j'ignore si j'aurais continué la série. Soyez cependant rassuré : sous des apparences d'anime comique de seconde zone, Little Busters vous arrachera des larmes. C'est une certitude. Pourquoi ? Parce que l'histoire est belle. Juste belle. Il s'agit véritablement d'une ode à l'amitié comme on n'en a pas fait depuis longtemps. A titre personnel, et parce que j'en connais la majeure partie, je positionne Little Busters comme le deuxième meilleur scénario qu'il m'ait été donné de connaître.
    Un pur produit KEY qu'on pourrait sans difficulté positionner dans la même veine qu'Angel Beats !
     

    OBJECTION !
  3. Utile
    Alephnor a reçu une réaction de Ness dans La fin du monde   
    On avait comprit, Yoshi, mais on veut quand même la vidéo !
     
    Dans tout les cas, je ne suis pas un partisan de la fin du monde. Après tout, ils nous avaient déjà fait le coup avec le bug de l'an 2000. Souvenez-vous : tout les ordinateurs étaient supposé sauter, ce jour là. Et que s'est-il passé ? Ben... Rien... Et là ce sera pareil !
    En plus, connaissez-vous l'avantage de ne pas y croire ? Si rien ne se passe, vous pourrez vous moquer de ceux qui y croyait. Et si c'est vraiment la fin du monde, ben, ce ne sera plus le problème de personne.
     
    Sans rire, il n'est pas question que ça arrive en décembre : To Aru NT6 sort en janvier, le film sort en février et on peut espérer Railgun S pour la fin de l'année ou celle d'après. Donc non, trop de trucs prioritaires pour se permettre une fin du monde !
  4. Utile
    Alephnor a reçu une réaction de Ness dans Image du jour ^^   
    You spin me right round, baby
    right round like a record, baby
    Right round !
     

     
    (Little Busters, pour ceux qui se demanderaient de quel anime il s'agit)
  5. Utile
    Alephnor a reçu une réaction de S@dMad dans Logiciel pour créer des jeux   
    Heu... Très très dur, car utilisant de la 3D. Là, un simple logiciel de création de jeu ou un langage de programmation ne t'aideront pas. Il faut de l'outil d'édition graphique avancé et beaucoup de temps (surtout si tu es seul).
     
    Si c'est ta première tentative, vise quelque chose de moins ambitieux, c'est un conseil. Tu pourras déjà t'estimer heureux si tu parviens à réaliser un remake de Space Invaders avec uniquement des caractères orthographique en guise de graphisme et ça sans abandonner en cours de route.
     
    Il y a une raison pour laquelle quasiment tout les jeux amateurs sont de la plate-forme ou du shoot them up en 2D. C'est ce qui est le plus abordable quand on a une équipe et des moyens réduits.
     
    En toute franchise, tu vises trop haut.
     
    Edit : si tu es toujours intéressé par le Java, je te conseille le Site du Zéro. Ils ont de très bon tutos.
  6. Utile
    Alephnor a réagi à Kanadadoreye dans Kanadadoreye   
    Cherchant depuis un moment un forum où partager mes passions, l’idée d’utiliser otaku comme mot-clé m’es venue après avoir écouté le thème de Metal Gear Solid.
    Explication (MGS=otaku wth ?) : MGS->Snake->héros->boulet->Otacon (avouez…il as de beau boulet-time dans le 1 [bullet-time trololo…])->otaku=nakama ?
    Voilà donc j’ai de la lumière et sentis l’odeur de fan d’anime/manga/autre espèce présente à la J-E et à la comic’con. Et là je me suis dit : « Et si je leur pourrissais la vie ? Sociabilise-toi plus s’pèce de sale (au figuré, je prends au moins une douche par jour, si je vous assure) ermite à l’habitat mal desservi par les transports (oui c’est bien de l’auto-apitoiement) ! ».
    Donc tant pis pour vous me voici :knifeevil: .
    Ah oui on dit original mais bon comme d’habitude je vais abuser (et j’aime abuser), on va suivre (vous ne rêvez pas c’est emploi de la 3ème personne à des fins individuelles) un peu la notice quand même.
    23 ans pas d’emploi (pas d’avenir bouhouhou…pff), étudiant en L1 à distance en : histoire de l’art et archéologie (pas d’avenir bouhouhou…mais si…mais non…ah couché sale bête, désolé mon dressage n’es pas terminé :tape ).
     
    Les conventions manga…eh bien le seul événement en rapport où j’ai mis les pieds c’est la Japan expo (avec la comic’con bien sur), je ne sais pas si elle compte comme une convention manga. En tout cas j’y vais tout les ans depuis 4 ou 5 ans. Je tends plus à aller vers les stands de la comic’con.
    Si je ne suis pas (pas encore) allé à d’autres événements c’est parce que j’ai une activité chronophage (elle bouffe mon peu de monnaie aussi). C’est la reconstitution historique. Bon vous voyez le GN ? Ce sont comme des cousins, d’ailleurs pas mal de reconstituteurs (pas terrible comme terme on dira médiéviste, puisque là c’est du médiéval) sont ou on été gnistes/rôlistes voir geek et/ou otakus. On peu voir ça comme évolution d’un GN fantaisie/médfan vers un GN plus ou moins médiéval. Les médiévistes se choisissent une période, dans ma compagnie c’est le quinzième (les plus rigoureux/puristes/maniaques et obsédés étant appelés troupe de reconstitution…oui nous en sommes et là je me retiens très fort pour ne pas vous sortir un pavé, un vrai, sur le sujet).
    Je suis donc un quinzièmiste depuis 8 ans, ah oui contrairement au GN l’aspect combat à tendance (mais on s’améliore très vite) à primer sur le roleplay (et puis nous on est fullmetal, pas de latex c’est pas « histo »…je précise les armes ne sont pas tranchantes…). Niveau combat je suis lourdement équipé (bastooon !), niveau roleplay depuis cette année je suis…le chirurgien mouwahahaha ! :mwhaha:
     
    Quoi ? J’ai encore abusé…que voulez vous quand on aime.
    Bon mon pseudo, bah c’est un jeu de mot, Kana comme les éditions du même nom (non je n’ai pas de préférence particulière pour eux), d’or et eye parce que généralement les persos avec les yeux dorés me plaisent bien (niveau personnalité namého !), le tout parce que Canada Dry c’est bon et aussi parce que ça m’évoque Kaneda (Akira).
     
    Mon avatar c’est Alucard d’Hellsing (j’en peu plus d’attendre le prochain OAV).
    A quelqu’un qui achète son premier manga je ne pense pas pouvoir m’empêcher de lui faire un petit topo sur les genres. Sinon ? Je regarde plus d’anime que je lis de manga, question de monnaie mon budget livre étant déjà éventré sous les coups de la fantaisie et de la bit-lit (ne me jugez pas avant d’avoir lu Anita Blake), je l’avoue j’ai commencé à lire des scans en anglais (oui c’est mal quand même). Selon son âge The arms peddler, Code Geass, XXXholic (et les Clamp les plus soft pour les plus jeunes, quoique je ne les aie pas lu j’ai regardé les animes), Switch girl (oui je lis des shoujo, j’aime leur humour…tant pis jugez moi).
     
    Mon premier contact avec la japanimation ? Wahou…je ne m’en souviens pas, mes premiers souvenirs de la japanimation c’est le club Dorothée (ah ben ouais quand même !), comme tant que je regardais la télé on gardais la même chaîne je me tapais même sailor moon (que mon esprit a bien heureusement presque entièrement refoulé) dans l’attente de DBZ (à 3ans je n’avais pas le droit mais j’ai quand même réussit à voir tout les épisodes) et surtout d’Albator.
     
    Est-il utile de parler de mes défaut/qualité après un texte aussi chaotique…
    Je m’identifie à…euh Squall de FF8 ? Je suis aussi socialement catastrophique que lui…j’ai du mal à me rappeler des noms, j’ai d’autres personnages auquel je m’identifie plus mais leurs noms…
    Bon aller quand même : rêveur, intelligent mais stupide (oui c’est contradictoire, bienvenue dans ma vie !), inventif, timide, aime les animaux, a tendance à la bizarrerie, sensible mais un tantinet bourrin, parfois sale gosse, susceptible de se transformer en tyran sadique, aime le chaos…
     
    Musique : pas de préjugés…mais je déteste tout ce qui est trop commercial, je n’aime pas vraiment le rap. En ce moment c’est métal : Rammstein, Oomph, Rob Zombie…amélioré ma culture musicale me tenterait bien, si vous avez des suggestions pour d’autres genres n’hésitez pas.
     
    Mon idéal féminin ?…vous avez vu à quel type de héros je m’identifie :desp: …pff difficile à dire, une originale c’est sur, le genre à mettre un coup de boule si on l’embête, ou à remettre à sa place quelqu’un en quelques piques bien sentis, sensible mais pas victime…ça fait un peu garçon manqué non ? Je n’ai rien contre remarquez. :timide:
     
    En ce moment je me suis mis au drama Nodame cantabile parce que c’est marrant.
     
    Je ne planque rien, tout est sur internet, pas d’objets physique pas de traces évidentes…
     
    Désolé pour le pavé, enfin si vous tout lu sinon je vous maudis !
  7. Utile
    Alephnor a reçu une réaction de Hancock dans L'Alephnor   
    Rapport 00194759 du Projet de l’Otaku Universel Régularisé et Réglementé sur l’Internet
     
    Sujet d’étude : l’Alephnor
     
    Origines : si la plupart des espèces d’Otaku découvertes jusqu’à présent ont subi leur première contamination depuis l’enfance, l’Alephnor se distingue par le fait qu’il n’a pas été en contact avec l’univers du manga et de l’animation japonaise avant sa majorité. Cela induit donc une expérience assurément plus faible que ses congénères, mais également un regard plus mature sur cet univers (ce dernier point demeure sujet à de nombreuses contestations, comme l’explique le professeur Wilhelm Kartoffeln dans son étude des diverses réactions primitives de l’Alephnor lors de la consommation de produit issus de la culture japonaise)
    On pourrait croire que ce contact tardif aurait pu n’entrainer qu’un intérêt désuet et rapidement ignoré, mais il n’en fut rien. Quatre ans après, l’Alephnor poursuit son chemin dans les méandres de la culture Otaku avec la même ferveur ! En revanche, il a la chance d’avoir pu profiter des expériences (heureuses ou malheureuses, selon les cas) de ceux qui l’ont précédé sur cette route tortueuses. Il sait identifier les bons éléments, les trouver et les apprécier.
    Et il est loin d’avoir terminé !
     
    Goûts : l’Alephnor est tout, sauf difficile (ce qui n’est pas forcément une qualité, quand on sait la quantité astronomique de mangas et d’animes qui existent et le trop peu de temps dont il dispose pour en profiter). Il lit des mangas aussi bien qu’il regarde des animes ! Le seul point sur lequel il se révéle un peu plus tatillon est sur le théme abordés. Avant tout, il est un fan absolu de tout ce qui touche à la psychologie et aux batailles mentales (citons en vrac : Death Note, Bloody Sunday, Liar Game, Gamble Fish, Code Geass…), mais également les bonnes vieilles comédies, pour peu que le concept original soit bien pensé (GTO, Love Hina, The world God only Knows…). Bien sur, cela ne l’empêche pas d’apprécier des sujets beaucoup plus classique (Gurren Lagann, Sword Art Online, Hellsing, Fate/Stay Night…)
    Notons que l’Alephnor se distingue par sa maîtrise avancé de la langue anglaise, lui permettant de profiter des Light Novel (par un heureux hasard, il se trouve que l’Alephnor adore également lire : la nature fait vraiment bien les choses !)
    Précisons que le sujet d’étude voue une passion sans limite à l’univers Toaru (les plus avertis l’auront deviné à l’avatar).
     
    Camouflage : aux yeux du monde, l’Alephnor n’est rien de plus qu’un simple étudiant en Informatique de 22 ans. Peu sportif, peu sociable (à part avec un cercle restreint possédant des goûts similaires), l’Alephnor ne se différencie que peu des autres spécimens d’Otaku qu’on peut trouver dans le reste du monde.
     
    Talents supplémentaires : l’Alephnor est joueur, rien de bien surprenant à ce niveau. Et une fois de plus, il n’est pas difficile en la matière, appréciant autant un RPG qu’un FPS. Mais l’Alephnor est également un lecteur avisé et affamé : de Jules Verne à Bernard Werber en passant pas J.R.R. Tolkien et J.K. Rowling, il est capable de faire un sort à la plupart des œuvres littéraires. Enfin, l’Alephnor aime écrire. Bien qu’un livre ne soit pas au goût du jour, il aime user de ce talent pour hanter les forums RP qu’on peut trouver ici et là sur la toile.
     
    Aptitude auditive : on l’a vu, l’Alephnor sait relativement bien se servir de ses yeux et de ses mains. Mais il faut savoir qu’il sait également très bien utiliser ses oreilles. Si ses premiers amours demeurent la Trance en particulier et la musique électronique en général, sa contamination par le monde Otaku lui a permis de découvrir quelque chose de différent : VOCALOID. En effet, l’Alephnor répété à qui veut l’entendre (c’est-à-dire, pas grand monde) qu’il est un fan inconditionnel de Miku et de sa bande. Et oui, il paierait pour assister à un de leur concert. Pour peu que ce soit en Europe. L’Asie, c’est loin. Et cher. Et zut, d’abord !
     
    Rapport terminé et archivé le 3 novembre 2012
    Note additionnelle : à la fin de l’étude, le sujet aurait déclaré les mots suivants : « Bonjour à tous ! »
  8. Utile
    Alephnor a reçu une réaction de Evangelina dans [Licencié] Black Rock Shooter   
    Ouch... Black Rock Shooter... Comment expliquer mes impressions après avoir vu cet anime ? Comment expliquer cet anime, tout simplement ? C'est une expérience vraiment bizarre.
     
    Avant toute chose, il faut savoir que c'est beau à regarder et à écouter. Je ne pense pas que quiconque me contredira là-dessus. La bande-son est irréprochable et colle parfaitement aux différentes scènes. Quant aux graphismes, ils se défendent très bien. Si les passages dans le vrai monde peuvent sembler génériques, chaque entrée dans l'autre monde vous laisse dans une forme d'appréhension pour le moins agréable. Cet autre monde est malsain, incohérent et cruel. Et c'est exactement ce qu'on ressent lorsqu'on le voit : c'est une anomalie, le fruit d'un esprit malade, mais c'est bel et bien là la sensation que les auteurs cherchent à faire passer. Et ils le font si bien qu'on se met à apprécier.
     
    Le gros problème de BRS se résume au scénario. Si j'ai plus ou moins comprit le principe (et je suis loin d'en être sûr), il s'agit d'une personification du combat que Mato (l'héroine) doit livrer pour trouver, conserver et récupérer une amitié (plus ou moins dans cet ordre là). Malheureusement, ce n'est jamais très clair. La faute en incombe majoritairement aux personnages. En plus d'être plus malléable que de la pâte à modeler, on n'est jamais certain de l'état de la relation entre chacun d'eux. Ca vient, ça part, ça revient et ça repart et tout ça parfois sans raison apparente. Au bout du compte, on n'arrive plus à savoir quelle est la finalité du combat en train de se dérouler.
    La seule qui tire son épingle du jeu est Kagari (la blonde vivant avec Yomi). Ce personnage est tellement détestable qu'on en vient à l'aimer. Elle ne cache rien de ses sentiments ni de ses intentions et n'hésite pas à détruire mentalement quiconque se dresse entre elle et son esclave personnelle (en ce qui me concerne, j'appelle ça comme ça). J'avais davantage envie de voir ses scènes de torture psychologiques que celle de combat avec son double alternatif.
     
    Parlons des combats, d'ailleurs, puisque la moitié de l'anime leur est dédié. En un mot comme en cent, ils sont très classes ! Déjà grâce en l'environnement, dont j'ai déjà parlé. Cet endroit malsain et aberrant qu'est l'autre monde devient un parfait champ de bataille. A l'exception du dernier combat, il n'y a quasiment aucun dialogue, cri ou même gémissement. L'action, le son et la musique. Et rien d'autre que vos sens pour profiter. Tout est exagérés, dans ces combats. Les attaques semblent renfermer une telle puissance et une telle violence qu'on ne s'étonnerait pas de voir les personnages déceder en un seul coup. Pourtant, ils encaissent, indifférent à ce genre de chose. C'est ce qui nous donnent des séquences de combats longues, mais suffisament inventives pour qu'on ne s'ennuie pas.
     
    Au bout du compte, on peut avoir deux approches avec Black Rock Shooter. Première possibilité : on met son cerveau de côté et on se contente de regarder les superbes scènes se déroulant dans l'autre monde. Seconde possibilité : on se triture les méninges à essayer de comprendre ce qui se passe, on choppe un mal de crâne car on ne pige rien, mais on profite quand même des scènes dans l'autre monde. Et on profite aussi de Kagari, au passage.
    Visuellement agréable. Scénaristiquement raté.
  9. Utile
    Alephnor a reçu une réaction de Ness dans [terminé] A Certain Magical Index   
    Titre original : To Aru Majutsu no Index
     
    Année de parution : 2007 (2012 en France)
     
    Genre : Action, Science-Fiction, Fantastique et Mythe
     
    Auteur : Kazuma Kamachi
     
    Artiste : Chuuya Kogino
     
    Editeur : Square Enix (Ki-oon en France)
     
    Nombre de volume : 10 (4 en France) [série en cours]
     
    Site officiel : http://gangan.square-enix.co.jp/index/

     
     
    Histoire :
    Bienvenue dans la Cité Académique ! Avec une taille équivalent à un tiers de Tokyo et une population de 2,3 millions d’habitants (dont 80% d’étudiant), il s’agit tout simplement du plus grand campus universitaire qui soit. Ici, la technologie a 30 ans d’avance sur le reste du monde et tout a été conçu pour favoriser les études et la recherche. Et parmi ces recherches, il y a la technologie ESPER (Extra-Sensorial Power usER) : concrètement, via des drogues et du conditionnement, les étudiants de la ville sont capable de développer un pouvoir psychique. Bien sûr, il ne s’agit pas d’une technologie infaillible et beaucoup d’étudiants ne développent pas le moindre pouvoir (Niveau 0) tandis que seul un infime pourcentage parvient à obtenir une maîtrise parfaite de leurs aptitudes (Niveau 5).
     

    Croyez-moi sur parole : vous voulez y vivre !
     
    C’est ici que nous retrouvons Tôma Kamijô, un Niveau 0. Et le pauvre n’a pas la vie facile ! Entre une poisse constante, les cours de rattrapage et les prises de becs avec une ESPER électrique, il ne souhaiterait rien de mieux qu’une vie tranquille. Malheureusement, le fait de trouver une nonne sur son balcon et de lui venir en aide ne va pas arranger les choses. Surtout lorsque cette nonne renferme dans son esprit une librairie de grimoire interdit et qu’elle est poursuivie par un groupe de magiciens aux intentions douteuses !
     
     
    Personnages :
     

    Big Damn Hero !
     
    Tôma Kamijô : Tôma est malchanceux. Vraiment malchanceux ! Où qu’il aille et quoi qu’il fasse, il peut être certain que la poisse viendra lui jouer un mauvais tour. Malgré tout, il est resté quelqu’un d’altruiste qui n’hésitera pas à se jeter tête baissé dans les ennuis pour venir en aide à une parfaite inconnue. Bien qu’étant un Niveau 0, il dispose du pouvoir Imagine Breaker qui lui permet de réduire à néant toute création surnaturelle.
     
     

    Attention : elle croque !
     
    Index Librorum Prohibitorum : Ou juste Index, pour faire court. Il s’agit d’une religieuse de 15 ans issue de l’église Anglicane et qui possède 103 000 livres de sorcellerie interdits au fond de son esprit. Avec un appétit d’ogre, une tendance à mordre dès qu’elle est contrariée et un certain nombre de magiciens lancés à ses trousses, on peut être certain que celui qui lui viendra en aide n’aura pas le temps de s’ennuyer.
     
     

    Quoiqu'il arrive, ne l'énervez pas !
     
    Mikoto Misaka : Une ESPER électrique et une des 7 Niveau 5 de la Cité Académique. Elle maîtrise son pouvoir à un tel niveau qu’elle est capable de s’en servir pour devenir un railgun humain (ce qui lui a d’ailleurs valu son surnom). Cependant, sa rencontre avec un jeune homme capable d’annuler ses pouvoirs comme si de rien n’était va vite lui donner un esprit de compétition survolté.
     
     

    Kaori à gauche et Stiyl à droite. Et non, ils ne vous aiment pas.
     
    Stiyl Magnus : un magicien spécialisé dans les sorts de flammes et prêt à tout pour récupérer Index et les 103 000 grimoires qu’elle possède. Même à carboniser tous ceux qui oseront se mettre en travers de son chemin ! Impulsif et déterminé, ce n’est définitivement pas le genre de personne que vous auriez envie de contratier.
     
    Kaori Kanzaki : partenaire de Stiyl et elle aussi lancée à la poursuite d’Index. Elle se bat à l’aide d’un katana, mais son talent avec est plus proche du divin que de l’humain. Bien que plus calme et moins agressive que son acolyte, Kaori n’en est pas moins déterminé à remplir la mission qui lui a été confiée.
     
     
     
    Critique :
    Je ne vais pas le cacher, il s’agit d’une série que j’apprécie tout particulièrement. L’histoire est à la base issue d’un roman (que je recommande également) dont le succès a été tel qu’un manga et un anime ont pu voir le jour. Et quand je dis succès, je parle de dizaines de millions d’exemplaire vendus. Mais je digresse…
     
    S’il y a bien un point sur lequel le manga tire son épingle du jeu, c’est la variété. Le concept de base est suffisamment large pour permettre une variété d’histoires toutes imbriquées les unes avec les autres. Le thème principal est l’opposition entre la science et la religion (la magie est ici considéré comme un concept religieux) et chaque arc scénaristique peut être relié à l’un de ces deux concepts, voire aux deux à la fois. Le pauvre Tôma va donc se retrouver aussi bien à devoir lutter contre des magiciens venus semer la pagaille que contre des expériences scientifiques devenues hors de contrôle. C’est cette diversité qui fait que le manga reste agréable à lire au fil des chapitres.
    Un autre point important, c’est la crédibilité. Bien entendu, un monde avec de la magie et des pouvoirs psychiques n’a rien de bien réaliste, je serais le premier à vous le dire. Cependant, l’auteur a pris soin de rattacher toutes ces notions surnaturelles à (selon le cas) de véritables concepts religieux ou de vrais théories scientifiques. Même si cela ne change rien à l’histoire, cette recherche et ce souci du détail font que les pouvoirs utilisés au fil de l’histoire ne nous semblent jamais aberrant, puisqu’appuyés par des idées concrètes.
     
    Le rythme est assez inégal. Si certains arcs scénaristiques sont si passionnants qu’ils se dévorent d’une traite, d’autre prennent davantage leur temps et peinent à nous faire accrocher à l’histoire. Ce souci de rythme est d’autant plus gênant que certains pans de l’histoire originale ou certaines scènes ont été omises, ce qui est susceptible de perdre celui qui cherche à comprendre dans le détail cet univers. Ces omissions n’ont rien d’handicapant pour le lecteur, mais l’aurait tout de même grandement aidé pour pouvoir saisir l’ampleur de l’univers construit par Kazuma Kamachi.
     
    Un autre point qui permet au manga d’être une véritable perle, ce sont les personnages. Variés et haut en couleur, ils ne manqueront pas de vous séduire. Que ce soit du côté de la science ou du côté de la magie, l’auteur nous offre une palette d’individu très variés qui ne manqueront pas de placer nos personnages principaux dans des situations toujours plus fantastiques. Ils ont tous leur importance et ne manquent de revenir faire des apparitions, même hors des arcs qui leur étaient dédiés. Des personnages comme Accelerator, Last Order ou Kuroko Shiraï saurons vous convaincre que le casting secondaire est d’aussi bonne qualité que le principal.
     

    Kuroko Shirai : le seul être au monde qui n'aurait jamais dû avoir le pouvoir de téléportation.
     
    Parlons d’ailleurs de ces derniers. Tôma, en particulier. Vous n’imaginez pas à quel point ce genre de héros est rafraichissant ! Son don limité ne fait pas de lui un être exceptionnel. Au bout du compte, il n’est qu’un étudiant comme les autres et c’est justement ça qui rend le personnage attachant.
    Notre petite Index, quant à elle, est juste adorable. Cette religieuse ne connaissant rien aux nouvelles technologies et se retrouvant en plein milieu de la ville la plus évolués du monde ne pourra que vous arracher des sourires. Et c’est sans compter ses interactions avec Tôma qui sont absolument hilarantes !
    Le dernier personnage principal est Mikoto. Au premier abord, elle n’apparait que comme une pseudo-rivale de Tôma avec quelques tendances bien tsundere. Mais on nous montre vite qu’elle ne se résume pas qu’à ça. Si l’évolution de sa relation (si on peut dire) avec Tôma ne manquera pas de vous faire sourire, elle dévoilera également un aspect bien plus fragile et déterminé lorsque des personnes qui lui sont chères seront mise en danger.
     
    Parlons enfin de la qualité du dessin. Je ne vais pas le cacher, mes capacités graphiques sont pour ainsi dire quasi-nulles : mon opinion ne sera donc probablement pas la plus pertinentes qui soit. Mais qu’importe.
    Le dessin est peut-être ce qu’il y a de moins bon dans ce manga. Je n’irais pas jusqu’à dire que c’est laid à regarder, c’est même le contraire. Mais il y manque cette finition et ce souci du détail qu’on peut retrouver dans le scénario ou les personnages. Il est plus difficile de retrouver, avec le manga, les mêmes sensations qu’en lisant le roman ou en regardant l’anime. Le plus gros défaut vient des décors et de l’arrière-plan, qui sont en général relativement pauvres et peu détaillés. Et je ne vous apprendrais rien en vous disant que l’environnement joue pour beaucoup dans un manga. En revanche, les personnages sont bien travaillés et ont eu droit au traitement qu’ils méritaient.
     
     
     
    Bilan :
    Je ne vais pas vous mentir : la qualité de l’œuvre originale méritait une meilleure adaptation en manga. Faut-il pour autant ignorer ce dernier ? La réponse est non. A celui qui a la possibilité de lire le roman, je conseillerais bien évidemment de le faire. Mais dans le cas contraire, le manga reste une bonne alternative. L’univers demeure enchanteur, quel que soit le format, et les personnages vous séduiront dans tous les cas. Pour peu qu’on passe outre la qualité du dessin un peu en deçà de ce qui peut se faire actuellement, on obtient une histoire solide et riche en rebondissements. Les altercations vous tiendront en haleine grâce à la variété et à l’originalité des pouvoirs tandis que les caractères et l’humour des personnages vous assurera des séquences comiques de qualité. A mettre en toutes les mains !
     

    Accelerator veut que vous lisiez ce manga !
  10. Utile
    Alephnor a reçu une réaction de Ness dans L'Alephnor   
    Rapport 00194759 du Projet de l’Otaku Universel Régularisé et Réglementé sur l’Internet
     
    Sujet d’étude : l’Alephnor
     
    Origines : si la plupart des espèces d’Otaku découvertes jusqu’à présent ont subi leur première contamination depuis l’enfance, l’Alephnor se distingue par le fait qu’il n’a pas été en contact avec l’univers du manga et de l’animation japonaise avant sa majorité. Cela induit donc une expérience assurément plus faible que ses congénères, mais également un regard plus mature sur cet univers (ce dernier point demeure sujet à de nombreuses contestations, comme l’explique le professeur Wilhelm Kartoffeln dans son étude des diverses réactions primitives de l’Alephnor lors de la consommation de produit issus de la culture japonaise)
    On pourrait croire que ce contact tardif aurait pu n’entrainer qu’un intérêt désuet et rapidement ignoré, mais il n’en fut rien. Quatre ans après, l’Alephnor poursuit son chemin dans les méandres de la culture Otaku avec la même ferveur ! En revanche, il a la chance d’avoir pu profiter des expériences (heureuses ou malheureuses, selon les cas) de ceux qui l’ont précédé sur cette route tortueuses. Il sait identifier les bons éléments, les trouver et les apprécier.
    Et il est loin d’avoir terminé !
     
    Goûts : l’Alephnor est tout, sauf difficile (ce qui n’est pas forcément une qualité, quand on sait la quantité astronomique de mangas et d’animes qui existent et le trop peu de temps dont il dispose pour en profiter). Il lit des mangas aussi bien qu’il regarde des animes ! Le seul point sur lequel il se révéle un peu plus tatillon est sur le théme abordés. Avant tout, il est un fan absolu de tout ce qui touche à la psychologie et aux batailles mentales (citons en vrac : Death Note, Bloody Sunday, Liar Game, Gamble Fish, Code Geass…), mais également les bonnes vieilles comédies, pour peu que le concept original soit bien pensé (GTO, Love Hina, The world God only Knows…). Bien sur, cela ne l’empêche pas d’apprécier des sujets beaucoup plus classique (Gurren Lagann, Sword Art Online, Hellsing, Fate/Stay Night…)
    Notons que l’Alephnor se distingue par sa maîtrise avancé de la langue anglaise, lui permettant de profiter des Light Novel (par un heureux hasard, il se trouve que l’Alephnor adore également lire : la nature fait vraiment bien les choses !)
    Précisons que le sujet d’étude voue une passion sans limite à l’univers Toaru (les plus avertis l’auront deviné à l’avatar).
     
    Camouflage : aux yeux du monde, l’Alephnor n’est rien de plus qu’un simple étudiant en Informatique de 22 ans. Peu sportif, peu sociable (à part avec un cercle restreint possédant des goûts similaires), l’Alephnor ne se différencie que peu des autres spécimens d’Otaku qu’on peut trouver dans le reste du monde.
     
    Talents supplémentaires : l’Alephnor est joueur, rien de bien surprenant à ce niveau. Et une fois de plus, il n’est pas difficile en la matière, appréciant autant un RPG qu’un FPS. Mais l’Alephnor est également un lecteur avisé et affamé : de Jules Verne à Bernard Werber en passant pas J.R.R. Tolkien et J.K. Rowling, il est capable de faire un sort à la plupart des œuvres littéraires. Enfin, l’Alephnor aime écrire. Bien qu’un livre ne soit pas au goût du jour, il aime user de ce talent pour hanter les forums RP qu’on peut trouver ici et là sur la toile.
     
    Aptitude auditive : on l’a vu, l’Alephnor sait relativement bien se servir de ses yeux et de ses mains. Mais il faut savoir qu’il sait également très bien utiliser ses oreilles. Si ses premiers amours demeurent la Trance en particulier et la musique électronique en général, sa contamination par le monde Otaku lui a permis de découvrir quelque chose de différent : VOCALOID. En effet, l’Alephnor répété à qui veut l’entendre (c’est-à-dire, pas grand monde) qu’il est un fan inconditionnel de Miku et de sa bande. Et oui, il paierait pour assister à un de leur concert. Pour peu que ce soit en Europe. L’Asie, c’est loin. Et cher. Et zut, d’abord !
     
    Rapport terminé et archivé le 3 novembre 2012
    Note additionnelle : à la fin de l’étude, le sujet aurait déclaré les mots suivants : « Bonjour à tous ! »
  11. Utile
    Alephnor a reçu une réaction de Raiton dans L'Alephnor   
    Rapport 00194759 du Projet de l’Otaku Universel Régularisé et Réglementé sur l’Internet
     
    Sujet d’étude : l’Alephnor
     
    Origines : si la plupart des espèces d’Otaku découvertes jusqu’à présent ont subi leur première contamination depuis l’enfance, l’Alephnor se distingue par le fait qu’il n’a pas été en contact avec l’univers du manga et de l’animation japonaise avant sa majorité. Cela induit donc une expérience assurément plus faible que ses congénères, mais également un regard plus mature sur cet univers (ce dernier point demeure sujet à de nombreuses contestations, comme l’explique le professeur Wilhelm Kartoffeln dans son étude des diverses réactions primitives de l’Alephnor lors de la consommation de produit issus de la culture japonaise)
    On pourrait croire que ce contact tardif aurait pu n’entrainer qu’un intérêt désuet et rapidement ignoré, mais il n’en fut rien. Quatre ans après, l’Alephnor poursuit son chemin dans les méandres de la culture Otaku avec la même ferveur ! En revanche, il a la chance d’avoir pu profiter des expériences (heureuses ou malheureuses, selon les cas) de ceux qui l’ont précédé sur cette route tortueuses. Il sait identifier les bons éléments, les trouver et les apprécier.
    Et il est loin d’avoir terminé !
     
    Goûts : l’Alephnor est tout, sauf difficile (ce qui n’est pas forcément une qualité, quand on sait la quantité astronomique de mangas et d’animes qui existent et le trop peu de temps dont il dispose pour en profiter). Il lit des mangas aussi bien qu’il regarde des animes ! Le seul point sur lequel il se révéle un peu plus tatillon est sur le théme abordés. Avant tout, il est un fan absolu de tout ce qui touche à la psychologie et aux batailles mentales (citons en vrac : Death Note, Bloody Sunday, Liar Game, Gamble Fish, Code Geass…), mais également les bonnes vieilles comédies, pour peu que le concept original soit bien pensé (GTO, Love Hina, The world God only Knows…). Bien sur, cela ne l’empêche pas d’apprécier des sujets beaucoup plus classique (Gurren Lagann, Sword Art Online, Hellsing, Fate/Stay Night…)
    Notons que l’Alephnor se distingue par sa maîtrise avancé de la langue anglaise, lui permettant de profiter des Light Novel (par un heureux hasard, il se trouve que l’Alephnor adore également lire : la nature fait vraiment bien les choses !)
    Précisons que le sujet d’étude voue une passion sans limite à l’univers Toaru (les plus avertis l’auront deviné à l’avatar).
     
    Camouflage : aux yeux du monde, l’Alephnor n’est rien de plus qu’un simple étudiant en Informatique de 22 ans. Peu sportif, peu sociable (à part avec un cercle restreint possédant des goûts similaires), l’Alephnor ne se différencie que peu des autres spécimens d’Otaku qu’on peut trouver dans le reste du monde.
     
    Talents supplémentaires : l’Alephnor est joueur, rien de bien surprenant à ce niveau. Et une fois de plus, il n’est pas difficile en la matière, appréciant autant un RPG qu’un FPS. Mais l’Alephnor est également un lecteur avisé et affamé : de Jules Verne à Bernard Werber en passant pas J.R.R. Tolkien et J.K. Rowling, il est capable de faire un sort à la plupart des œuvres littéraires. Enfin, l’Alephnor aime écrire. Bien qu’un livre ne soit pas au goût du jour, il aime user de ce talent pour hanter les forums RP qu’on peut trouver ici et là sur la toile.
     
    Aptitude auditive : on l’a vu, l’Alephnor sait relativement bien se servir de ses yeux et de ses mains. Mais il faut savoir qu’il sait également très bien utiliser ses oreilles. Si ses premiers amours demeurent la Trance en particulier et la musique électronique en général, sa contamination par le monde Otaku lui a permis de découvrir quelque chose de différent : VOCALOID. En effet, l’Alephnor répété à qui veut l’entendre (c’est-à-dire, pas grand monde) qu’il est un fan inconditionnel de Miku et de sa bande. Et oui, il paierait pour assister à un de leur concert. Pour peu que ce soit en Europe. L’Asie, c’est loin. Et cher. Et zut, d’abord !
     
    Rapport terminé et archivé le 3 novembre 2012
    Note additionnelle : à la fin de l’étude, le sujet aurait déclaré les mots suivants : « Bonjour à tous ! »
  12. Utile
    Alephnor a reçu une réaction de Evangelina dans L'Alephnor   
    Rapport 00194759 du Projet de l’Otaku Universel Régularisé et Réglementé sur l’Internet
     
    Sujet d’étude : l’Alephnor
     
    Origines : si la plupart des espèces d’Otaku découvertes jusqu’à présent ont subi leur première contamination depuis l’enfance, l’Alephnor se distingue par le fait qu’il n’a pas été en contact avec l’univers du manga et de l’animation japonaise avant sa majorité. Cela induit donc une expérience assurément plus faible que ses congénères, mais également un regard plus mature sur cet univers (ce dernier point demeure sujet à de nombreuses contestations, comme l’explique le professeur Wilhelm Kartoffeln dans son étude des diverses réactions primitives de l’Alephnor lors de la consommation de produit issus de la culture japonaise)
    On pourrait croire que ce contact tardif aurait pu n’entrainer qu’un intérêt désuet et rapidement ignoré, mais il n’en fut rien. Quatre ans après, l’Alephnor poursuit son chemin dans les méandres de la culture Otaku avec la même ferveur ! En revanche, il a la chance d’avoir pu profiter des expériences (heureuses ou malheureuses, selon les cas) de ceux qui l’ont précédé sur cette route tortueuses. Il sait identifier les bons éléments, les trouver et les apprécier.
    Et il est loin d’avoir terminé !
     
    Goûts : l’Alephnor est tout, sauf difficile (ce qui n’est pas forcément une qualité, quand on sait la quantité astronomique de mangas et d’animes qui existent et le trop peu de temps dont il dispose pour en profiter). Il lit des mangas aussi bien qu’il regarde des animes ! Le seul point sur lequel il se révéle un peu plus tatillon est sur le théme abordés. Avant tout, il est un fan absolu de tout ce qui touche à la psychologie et aux batailles mentales (citons en vrac : Death Note, Bloody Sunday, Liar Game, Gamble Fish, Code Geass…), mais également les bonnes vieilles comédies, pour peu que le concept original soit bien pensé (GTO, Love Hina, The world God only Knows…). Bien sur, cela ne l’empêche pas d’apprécier des sujets beaucoup plus classique (Gurren Lagann, Sword Art Online, Hellsing, Fate/Stay Night…)
    Notons que l’Alephnor se distingue par sa maîtrise avancé de la langue anglaise, lui permettant de profiter des Light Novel (par un heureux hasard, il se trouve que l’Alephnor adore également lire : la nature fait vraiment bien les choses !)
    Précisons que le sujet d’étude voue une passion sans limite à l’univers Toaru (les plus avertis l’auront deviné à l’avatar).
     
    Camouflage : aux yeux du monde, l’Alephnor n’est rien de plus qu’un simple étudiant en Informatique de 22 ans. Peu sportif, peu sociable (à part avec un cercle restreint possédant des goûts similaires), l’Alephnor ne se différencie que peu des autres spécimens d’Otaku qu’on peut trouver dans le reste du monde.
     
    Talents supplémentaires : l’Alephnor est joueur, rien de bien surprenant à ce niveau. Et une fois de plus, il n’est pas difficile en la matière, appréciant autant un RPG qu’un FPS. Mais l’Alephnor est également un lecteur avisé et affamé : de Jules Verne à Bernard Werber en passant pas J.R.R. Tolkien et J.K. Rowling, il est capable de faire un sort à la plupart des œuvres littéraires. Enfin, l’Alephnor aime écrire. Bien qu’un livre ne soit pas au goût du jour, il aime user de ce talent pour hanter les forums RP qu’on peut trouver ici et là sur la toile.
     
    Aptitude auditive : on l’a vu, l’Alephnor sait relativement bien se servir de ses yeux et de ses mains. Mais il faut savoir qu’il sait également très bien utiliser ses oreilles. Si ses premiers amours demeurent la Trance en particulier et la musique électronique en général, sa contamination par le monde Otaku lui a permis de découvrir quelque chose de différent : VOCALOID. En effet, l’Alephnor répété à qui veut l’entendre (c’est-à-dire, pas grand monde) qu’il est un fan inconditionnel de Miku et de sa bande. Et oui, il paierait pour assister à un de leur concert. Pour peu que ce soit en Europe. L’Asie, c’est loin. Et cher. Et zut, d’abord !
     
    Rapport terminé et archivé le 3 novembre 2012
    Note additionnelle : à la fin de l’étude, le sujet aurait déclaré les mots suivants : « Bonjour à tous ! »
  13. Utile
    Alephnor a reçu une réaction de Artyk dans L'Alephnor   
    Rapport 00194759 du Projet de l’Otaku Universel Régularisé et Réglementé sur l’Internet
     
    Sujet d’étude : l’Alephnor
     
    Origines : si la plupart des espèces d’Otaku découvertes jusqu’à présent ont subi leur première contamination depuis l’enfance, l’Alephnor se distingue par le fait qu’il n’a pas été en contact avec l’univers du manga et de l’animation japonaise avant sa majorité. Cela induit donc une expérience assurément plus faible que ses congénères, mais également un regard plus mature sur cet univers (ce dernier point demeure sujet à de nombreuses contestations, comme l’explique le professeur Wilhelm Kartoffeln dans son étude des diverses réactions primitives de l’Alephnor lors de la consommation de produit issus de la culture japonaise)
    On pourrait croire que ce contact tardif aurait pu n’entrainer qu’un intérêt désuet et rapidement ignoré, mais il n’en fut rien. Quatre ans après, l’Alephnor poursuit son chemin dans les méandres de la culture Otaku avec la même ferveur ! En revanche, il a la chance d’avoir pu profiter des expériences (heureuses ou malheureuses, selon les cas) de ceux qui l’ont précédé sur cette route tortueuses. Il sait identifier les bons éléments, les trouver et les apprécier.
    Et il est loin d’avoir terminé !
     
    Goûts : l’Alephnor est tout, sauf difficile (ce qui n’est pas forcément une qualité, quand on sait la quantité astronomique de mangas et d’animes qui existent et le trop peu de temps dont il dispose pour en profiter). Il lit des mangas aussi bien qu’il regarde des animes ! Le seul point sur lequel il se révéle un peu plus tatillon est sur le théme abordés. Avant tout, il est un fan absolu de tout ce qui touche à la psychologie et aux batailles mentales (citons en vrac : Death Note, Bloody Sunday, Liar Game, Gamble Fish, Code Geass…), mais également les bonnes vieilles comédies, pour peu que le concept original soit bien pensé (GTO, Love Hina, The world God only Knows…). Bien sur, cela ne l’empêche pas d’apprécier des sujets beaucoup plus classique (Gurren Lagann, Sword Art Online, Hellsing, Fate/Stay Night…)
    Notons que l’Alephnor se distingue par sa maîtrise avancé de la langue anglaise, lui permettant de profiter des Light Novel (par un heureux hasard, il se trouve que l’Alephnor adore également lire : la nature fait vraiment bien les choses !)
    Précisons que le sujet d’étude voue une passion sans limite à l’univers Toaru (les plus avertis l’auront deviné à l’avatar).
     
    Camouflage : aux yeux du monde, l’Alephnor n’est rien de plus qu’un simple étudiant en Informatique de 22 ans. Peu sportif, peu sociable (à part avec un cercle restreint possédant des goûts similaires), l’Alephnor ne se différencie que peu des autres spécimens d’Otaku qu’on peut trouver dans le reste du monde.
     
    Talents supplémentaires : l’Alephnor est joueur, rien de bien surprenant à ce niveau. Et une fois de plus, il n’est pas difficile en la matière, appréciant autant un RPG qu’un FPS. Mais l’Alephnor est également un lecteur avisé et affamé : de Jules Verne à Bernard Werber en passant pas J.R.R. Tolkien et J.K. Rowling, il est capable de faire un sort à la plupart des œuvres littéraires. Enfin, l’Alephnor aime écrire. Bien qu’un livre ne soit pas au goût du jour, il aime user de ce talent pour hanter les forums RP qu’on peut trouver ici et là sur la toile.
     
    Aptitude auditive : on l’a vu, l’Alephnor sait relativement bien se servir de ses yeux et de ses mains. Mais il faut savoir qu’il sait également très bien utiliser ses oreilles. Si ses premiers amours demeurent la Trance en particulier et la musique électronique en général, sa contamination par le monde Otaku lui a permis de découvrir quelque chose de différent : VOCALOID. En effet, l’Alephnor répété à qui veut l’entendre (c’est-à-dire, pas grand monde) qu’il est un fan inconditionnel de Miku et de sa bande. Et oui, il paierait pour assister à un de leur concert. Pour peu que ce soit en Europe. L’Asie, c’est loin. Et cher. Et zut, d’abord !
     
    Rapport terminé et archivé le 3 novembre 2012
    Note additionnelle : à la fin de l’étude, le sujet aurait déclaré les mots suivants : « Bonjour à tous ! »
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