Zapiok

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Monogatari Series Second Season

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Dernière mise à jour de la fiche : 14 octobre 2015
 
► Informations
 
Genre : Fantastique & mythe, comédie, aventure
Site officiel - Bande d'annonce
 
Nombre d'épisodes : 26
Date de première diffusion : 7 juillet 2013
Diffusé sur : Tokyo MX
Licencié par : http://www.wakanim.tv/
 
Staff :
Réalisateur en chef : Akiyuki SHINBŌ
Réalisateur : Tomoyuki ITAMURA
Auteur original : NisiOisin
Scénariste : Akiyuki SHINBŌ ; Fuyashi TŌ
Script : Yukito KIZAWA (ép 1-7) ; Muneo NAKAMOTO (ép 8-11)
Compositeur : Satoru KŌSAKI
Character designer original : VOfan
Character designer : Akio WATANABE
Directeur en chef de l’animation : Akio WATANABE
Directeur artistique : Hisaharu ĪJIMA
Directeur de la photographie : Takayuki AIZU
Ingénieur du son : Yōta TSURUOKA
Producteurs : Atsuhiro IWAKAMI (Aniplex), Mitsutoshi KUBOTA (Shaft) et Takuya MATSUSHITA (Kodansha)
 
► Contexte
 
Monogatari series est à l'origine une collection de light novel écrite par Nisio Isin.
L'histoire tourne autour de Koyomi Araragi, un lycéen, qui a survécu à une attaque de vampire et se retrouve mélé à des histoires d'apparitions, sorte de dieux ou de fantômes.
Après la première partie de Monogatari series constitué de Kizumonogatari (film annoncé pour 2016), Bakemonogatari, Nisemonogatari et Nekomonogatari (Kuro),
nous avons le droit cet été de découvrir l'adaptation en animé de la deuxième partie. Celle-ci est constituée de Nekomonogatari (Shiro), Kabukimonogatari, Hanamonogatari, Otorimonogatari, Onimonogatari, Koimonogatari.
 
La troisième partie de la saga est actuellement en train de sortir sous forme de light novel au Japon.
 
► Description par arc
 
 

 
◘ Nekomonogatarti (Shiro) - Tsubasa Tiger ◘
 
 

 
◘ Kabukimonogatari - Mayoi Jiangshi ◘
 
 
 

 
◘ Otorimonogatari - Nadeko Medusa ◘
 
 
 
 

 
◘ Onimonogatari - Shinobu Time ◘
 
 
 
 

 
◘ Koimonogatari - Hitagi End ◘
 
 
 
 

 
◘ Hanamonogatari - Suruga Devil ◘
 
 
 
 
► Avis
 
Difficile de juger cette adaptation sur les deux premiers épisodes sortis à cette heure (16/07), cependant on peut déjà y retrouver ce qui a fait le charme de cette série : des décors originaux, beaucoup de dialogues et des phénomènes surnaturels. Malgré deux saisons et un film, on découvre encore les personnages, notamment Senjougahara, certes toujours déroutante mais beaucoup moins froide qu’auparavant.
Etant un grand fan des Monogatari, c'est avec impatience que je me suis jeté sur ces épisodes.
Il faut dire que depuis le 1er janvier (Nekomonogatari Kuro), j'étais en manque :3
 
J'aurai le plaisir d'éditer cette fiche au fur et à mesure de l'avancement de la série.
 
Allez-vous suivre cette série ? Qu'en pensez-vous ?
 
 
Sources:
 

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Monogatari Series Second Season

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Dernière mise à jour de la fiche : 14 octobre 2015
 
► Informations
 
Genre : Fantastique & mythe, comédie, aventure
Site officiel - Bande d'annonce
 
Nombre d'épisodes : 26
Date de première diffusion : 7 juillet 2013
Diffusé sur : Tokyo MX
Licencié par : http://www.wakanim.tv/
 
Staff :
Réalisateur en chef : Akiyuki SHINBŌ
Réalisateur : Tomoyuki ITAMURA
Auteur original : NisiOisin
Scénariste : Akiyuki SHINBŌ ; Fuyashi TŌ
Script : Yukito KIZAWA (ép 1-7) ; Muneo NAKAMOTO (ép 8-11)
Compositeur : Satoru KŌSAKI
Character designer original : VOfan
Character designer : Akio WATANABE
Directeur en chef de l’animation : Akio WATANABE
Directeur artistique : Hisaharu ĪJIMA
Directeur de la photographie : Takayuki AIZU
Ingénieur du son : Yōta TSURUOKA
Producteurs : Atsuhiro IWAKAMI (Aniplex), Mitsutoshi KUBOTA (Shaft) et Takuya MATSUSHITA (Kodansha)
 
► Contexte
 
Monogatari series est à l'origine une collection de light novel écrite par Nisio Isin.
L'histoire tourne autour de Koyomi Araragi, un lycéen, qui a survécu à une attaque de vampire et se retrouve mélé à des histoires d'apparitions, sorte de dieux ou de fantômes.
Après la première partie de Monogatari series constitué de Kizumonogatari (film annoncé pour 2016), Bakemonogatari, Nisemonogatari et Nekomonogatari (Kuro),
nous avons le droit cet été de découvrir l'adaptation en animé de la deuxième partie. Celle-ci est constituée de Nekomonogatari (Shiro), Kabukimonogatari, Hanamonogatari, Otorimonogatari, Onimonogatari, Koimonogatari.
 
La troisième partie de la saga est actuellement en train de sortir sous forme de light novel au Japon.
 
► Description par arc
 
 

 
◘ Nekomonogatarti (Shiro) - Tsubasa Tiger ◘
 
 

 
◘ Kabukimonogatari - Mayoi Jiangshi ◘
 
 
 

 
◘ Otorimonogatari - Nadeko Medusa ◘
 
 
 
 

 
◘ Onimonogatari - Shinobu Time ◘
 
 
 
 

 
◘ Koimonogatari - Hitagi End ◘
 
 
 
 

 
◘ Hanamonogatari - Suruga Devil ◘
 
 
 
 
► Avis
 
Difficile de juger cette adaptation sur les deux premiers épisodes sortis à cette heure (16/07), cependant on peut déjà y retrouver ce qui a fait le charme de cette série : des décors originaux, beaucoup de dialogues et des phénomènes surnaturels. Malgré deux saisons et un film, on découvre encore les personnages, notamment Senjougahara, certes toujours déroutante mais beaucoup moins froide qu’auparavant.
Etant un grand fan des Monogatari, c'est avec impatience que je me suis jeté sur ces épisodes.
Il faut dire que depuis le 1er janvier (Nekomonogatari Kuro), j'étais en manque :3
 
J'aurai le plaisir d'éditer cette fiche au fur et à mesure de l'avancement de la série.
 
Allez-vous suivre cette série ? Qu'en pensez-vous ?
 
 
Sources:
 

Je viens de lire ton message, j'ai un sourire qui part d'une oreille à l'autre.
Merci pour toutes ses informations.
Mais je t'avoue que la plus importante reste quand même qu'il y a vingt six épisodes ! Rien que pour cela et le fait que j'adore cet anime ! Je vais pas réussir à dormir sans y penser !

Ca faisait déjà un petit temps que je voulais matter ct'anime et c'est fait.
 
Les dessins ne m'ont pas rebuté. Pas le moins du monde.
Comme l'a dit Zapiok, le mélange entre l'aquarelle et l'animation met plus de puissance dans les émotions.
On l'aime ce petiot.
On le comprend ce petiot.
Enfin je serais quand même pas super à l'aise d'être sa pote vu comment il arrive à sauter au cou des gens.
 
Je trouve que le film est lent mais en même temps, on a besoin de ca pour justement pour se poser et réflexionner.
Oui, c'est une bête.
Oui, il tue des gens.
Oui, il est agressif.
Mais pourquoi?
Mais comment?
Mais quoi?
 
VOila. Tout ca pour dire que l'animation est particulière mais tout à fait approprié.
L'histoire est "gore" mais tellement profonde.
Et asura.. C'est asura.

c'est un peu scandaleux cette vision de hatsune miku la pour le coup
surtout que la journaliste qui est "spécialisée" dans la pop musique
à une façon plus que douteuse de prononcer gorillaz d'une part
et d'autre part elle se renseigne pas du tout sur le sujet elle présente
un personnage qui n'est pas hatsune miku et bien sûr elle présente une
chanson qui est je pense réservé aux vrais fanatiques... On donne
une très bonne image des japonnais dans ce reportage c'est hallucinant
(pas parce que je suis fan du japon mais d'un point de vue extérieur)
on passe vraiment pour des cons et c'est pas près de s'arranger avec ce
genre de journaliste qui a du réussir par par ses compétences
journalistiques ... Oui je suis méchant mais à des moments faut savoir
s'arrêter on perd de jour en jour notre crédibilité et c'est pas près de
s'arrêter aussi insignifiant que puisse être ce reportage il nous représente
bon grès mal grès.

[En réponse au défi de Ness]
 

 
- Titre original: Mobile Suit Gundam SEED
- Titre alternatif: Kidô Senshi Gundam SEED
- Genres: Cyber & Mecha, Espace & Sci-fiction, Drame, Action, Aventure
- Studio d'animation: Sunrise
- Année de production: 2002
- Pays d'origine: Japon
- Nombre d'épisodes: 50 x 25 min
- Histoire originale: Yoshiyuki Tomino, Hajime Yatate
- Site internet: http://www.gundam-seed.net
- Licencié par Beez Entertainement
 
 
Prologue
Ère Cosmique, année 70. Les relations se sont envenimées entre la Terre et ZAFT. Suite à la tragédie de la Saint Valentin Sanglante, les tensions initiales dégénèrent rapidement en conflit militaire de grande envergure. Alors que tous prévoyaient une victoire des forces fédérales terriennes, numériquement supérieures, les faits allaient démontrer le contraire. Onze mois après le début des hostilités, le conflit s'est enlisé en statut-quo.
 
Histoire
Les Naturels (les terriens, les humains venus au monde naturellement) et les Coordinateurs (les habitants des colonies dont les gènes ont été modifiées à la naissance, leur armée se nomme ZAFT) sont en guerre en raison de différences d'aptitudes physiques et mentales. En effet, les Coordinateurs sont plus évolués que les Naturels car ils bénéficient d'une meilleure endurance physique et réfléchissent mieux. Les premiers envient les seconds pour leurs capacités et ces derniers on dû se retrancher pour la plupart sur les PLANTs (les colonies spatiales), ce qui induit les deux races à se haïr mutuellement et cela engendre inéluctablement des conflits.
 
Tout commence sur la colonie d'Heliopolis qui appartient à la nation neutre souveraine d'Orb. Le jeune Kira Yamato, âgé de 16 ans, y coule des jours heureux avec ses compagnons étudiants sans se soucier des confits qui font rage à l'extérieur entre les Naturels et les Coordinateurs. Vient alors le jour fatidique... ZAFT (Zodiac Alliance of Freedom Treaty) lance un assaut sur la colonie visant à s'emparer des dernières armes G, des Mobile Suits dernier cri fabriqués par Morgenroete. Quatre modèles tombent aux mains de l'ennemi mais suite à une spirale d'évènements imprévus, Kira sera aux commandes du dernier Mobile Suit et se retouvera face à face avec son meilleur ami, Asran Zala, qui est hélas passé du coté ennemi. Ce dernier est un Coordinateur, tout comme Kira. Kira et Asran étant dans des camps opposés, ils vont devoir s'affronter à bord de leur MS et seront pris, à leur insu, dans les engrenages de la guerre...
 


 
Critique
Dès le début de l'histoire, on assiste à un enchevêtrement d'évènements où les situations qui en découlent auront une incidence majeure plus tard dans l'anime, voire même durant tout le long de la série, régulièrement tout du moins. On peut dire que la fatalité est prépondérante durant la plupart des retournements de situation qui jalonnent les 50 épisodes de Gundam SEED. Certains évènements sont fortuits mais la plupart ne sont pas dus au fruit du hasard, et se retrouvent liés de façon logique et cohérente car le scénario reste bien ficelé et est mené tambour battant. Et quand bien même certaines questions demeurent en suspens ou certaines zones d'ombre subsistent lorsqu'on visionne l'anime une première fois, on a droit à des résumés en guise d'entracte entre quelques épisodes pour se rafraîchir la mémoire. Sans parler que certains épisodes importants sont récapitulés durant certains flashbacks. Mais en principe, le récit reste très bien construit et on arrive à suivre son déroulement sans trop perdre ses repères. À la fois complexe et bien structurée, ainsi va l'histoire de Gundam SEED. Et nul doute qu'il s'agit là du plus gros point fort de l'anime.
 

 
Mais ce qui élève Gundam SEED au rang de chef-d'oeuvre de l'animation japonaise (et plus particulièrement dans le domaine du mecha), c'est notamment sa brochette de personnages. En effet, les protagonistes (les gentils comme les méchants) confèrent une grande identité à Gundam SEED, peu importe les camps dans lequels les antagonistes se trouvent. Mais c'est justement là qu'il est difficile de distinguer les gentils des méchants, tellement la frontière reste floue entre les deux camps qui se battent. On vit l'horreur de la guerre dans toute sa splendeur dans la peau de Kira, qui est un Coordinateur et qui, par la force des choses, ressent le besoin de protéger ses amis (qui sont des Naturels) contre son propre genre. Il est l'un des personnages qui évolue le plus, parallèlement à Asran, son meilleur ami qui par comble de malchance se trouve dans le camp ennemi. L'un répugne à tuer son prochain et fond en larmes facilement mais est doté de compétences hors-pair qui lui sauveront la vie à lui et ses compagnons à maintes reprises. L'autre est plus ferme, possède également des facultés exceptionnelles et est plus habitué à faire la guerre, mais il reste sensible et évoluera également avec la tournure des évènements et les doutes qui l'assaillent par moment.
 
De fait, plus l'anime évolue et plus le contexte se complique sensiblement, si bien qu'il y aura de plus en plus de factions qui se livreront une guerre sans merci. Kira devra souvent faire des choix difficiles pour défendre les siens et ses idéaux. Il est épaulé par l'équipage du tout dernier croiseur des forces terriennes, l'Archangel. Des amitiés et des relations vont se faire et se défaire, histoires de coeur, rivalités, des crises de larmes et de joie... seront alors le quotidien de Kira et de son entourage en dehors des conflits et des épreuves auxquels ils devront faire face. Le héros sera souvent torturé psychologiquement face aux cruels dilemmes et aux scènes poignantes qui se présenteront à lui. Il n'a jamais souhaité faire la guerre mais les circonstances le poussent à prendre les armes. À noter le développement psychologique troublant de Flay, un des personnages les plus évolutifs, et le caractère de garçon manqué de Cagalli et les étranges liens qui semblent l'unir à Kira. Sans parler de la chanteuse Lacus Clyne qui aura une certaine connection importante avec Kira mais dont les actions auront un certain poids dans l'intrigue.
Dans l'ensemble, même les autres personnages comme Mu La Fraga et Raw le Creuset ont des rôles capitaux à jouer. Pour ne citer que ces deux exemples car tous les personnages ont leur part importance.
 

 
Et parlons en de cette guerre, elle a pour but de transcrire plusieurs thématiques bouleversantes et des émotions propres de l'être humain: le racisme, la jalousie, les idéologies, les avancées technologiques. Gundam SEED baigne dans une ambiance relativement mature, son scénario est poignant et bourré de réflexions sur la guerre et ses différentes causes. Tout le long, on est attentif aux personnages dont on s'y attache aisément, à tel point que l'on regrettera de ne plus en revoir certains à certains stades de l'histoire. En effet, l'anime se veut parfois très dur dans son déroulement scénaristique où les personnages que l'on a juste eu le temps de connaître suffisamment périssent pour une raison ou une autre, et c'est souvent dû à la fatalité. Leurs morts peuvent heurter un peu la sensibilité du spectateur pour peu qu'il s'y attache, mais cela n'en rend pas moins Gundam SEED assez réaliste et émouvant. Le background, déjà d'une grande richesse, devenant plus crédible par ce fait. On se surprendra même à verser quelques larmes pour des personnages qui disparaissent. Et ce, peu importe dans quels camps ils se trouvent et quelles causes ils servent. En cela, l'anime frappe fort, très fort.
 
Les combats de Mobile Suits sont une véritable orgie d'effets spéciaux pour les yeux. Si au début ils font montre d'une animation un tantinet lente, cela va en s'améliorant au fil des épisodes. On en prend plein la rétine et même si aujourd'hui les affrontements ont pris un léger coup de vieux, gageons que pour l'époque, l'animation était d'une fluidité remarquable. Le dessin, que ça soit au niveau des personnages et des multiples environnements, fait honneur à la série, arborant un chara-design aux tons un peu naïfs mais avec des expressions faciales qui s'adaptent singulièrement à chaque situation. On a un peu l'impression que les personnages sont jeunes, et malgré quelques traits de ressemblance entre certains personnages, le graphisme reste de toute beauté. Les couleurs sont vives et très jolies. Le design des mechas est plutôt alléchant. Au départ, les Mobile Suits sont un peu basiques mais à mesure que la série se développe, d'autres nouveaux modèles font leur apparition même si certains manquent d'originalité.
 

 
En bref, Gundam SEED est une bombe. Son scénario est une véritable montée en puissance et les coups de théatre sont de plus en plus présents au fur et à mesure que la trame évolue. Les protagonistes sont inoubliables, ils ont chacun une âme, une vraie personnalité et constituent à ce juste titre des personnages fascinants. Les émotions sont au rendez-vous, et la fantastique bande-son se prête merveilleusement bien aux diverses situations, en plus d'évoluer avec le cours des évènements. Sans parler des Insert Song très éloquents qui avivent le sentiment de vivre une odyssée hors du commun. Les différents aléas, équivoques et évènements naissant à travers l'histoire vous bouleverseront et les musiques jouées n'en feront que fortifier davantage ce sentiment, ô combien fort présent. La musique est l'une des plus belles réussites de cet anime, et les openings et les endings (mais surtout les openings) décoiffent tant sur l'aspect visuel que sonore, de la J-Pop qui est en parfaite harmonie avec les images.
 
Gundam SEED est pour beaucoup de français leur premier Gundam et coup de coeur dans la sphère des animes Cyber & Mecha. Aussi, le Gundam préféré pour de nombreuses personnes. Même 11 ans après sa sortie, Gundam SEED reste une valeur sûre et un emblème de la japanimation. Et on continuera d'en parler dans une dizaine d'années. Si vous recherchez un anime avec un scénario prenant et passionnant, un background étoffé, des personnages criants de réalisme, des musiques épiques et émouvantes, un graphisme soigné qui a très bien veilli, ainsi qu'une animation encore assez bonne de nos jours, ne cherchez pas plus loin et plongez-vous dans l'univers de Gundam SEED !
 
 
Fiche connexe Gundam SEED Destiny
 
Article connexe Gundam SEED Destiny

Description rapide du groupe gentiment emprunté à wikipédia :
 
Die Antwoord (en afrikaans : « La réponse »), se prononçant [di 'antvɔrt], est un groupe de hip-hop Zef du Cap, composé de trois membres : Ninja (Watkin Tudor Jones), Yo-Landi Vi$er (Anri Du Toit) et DJ Hi-Tek. Le groupe se décrit lui-même comme un mélange de plusieurs cultures différentes et comme « une adorable entité bâtarde d'Afrique du Sud, issue de l'amour de plusieurs cultures, noires, blanches, colorées ».
 
 
les musiques/clip :
 


 


 


 


 

 
 
Mon avis rapido :
 
Comment ne pas céder aux charmes de Yo-Landi :3 ?
 
Plus sérieusement, j'ai découvert ça il y a 2 ou 3 semaines et j'avoue ne pas décrocher je trouve qu'ils font des choses complètement à contre courant en gardant de bonnes influences et puis en regardant les clips vous comprendrez rapidement que le groupe est déjanté sur de nombreux points. La musique peut paraître vraiment barré au début et dans certain clip tarde un peu à commencer mais très sincèrement une fois passé le cap c'est que du bon.
 
En espérant vous faire passer un bon moment et un bonne découverte ou re découverte ^^
 
(découvert grâce à la moustachue et au Belge number 1 du fow')
 

C'est comme les clopes...
 
- Toi qu'est-ce que tu fumes?
- Un manga par jour.
- Ah ouais quand même, ça fait un budget.
:sarcasme:
 
*Le soleil m'a tapé sur la tête*

Interdit aux trop jeunes.

Titre original : Asura
Titre alternatif : Ashura
Année : 2012
Studio d'animation : Toei Animation
Production : Sato Keiichi
Genres : Action, Drame, Historique, Horreur, Violence, Pscychologique
Auteur de l'histoire d'origine : Akiyima George
Site officiel : http://www.toei-anim...ovie/index.html
 


Histoire :
L'histoire se passe au XVe siècle, dans le chaos d'un Japon Médiéval en crise, souffrant de famine et ravagé par les catastrophes naturelles.
Un enfant qui vient de naître survit à sa mère affamée et qui, aveuglée par la folie, a tenté de le brûler et de le manger.
Quelques années plus tard, un jeune garçon, les cheveux en pagaille, les yeux fous et à la sauvagerie et l'adresse inégalables parcourt les villages en transportant une lourde hache, semant la terreur et dévorant tous les êtres vivants qui croisent sa route, dans le simple but de survivre à la famine causée par des raz de marées, tsunamis, et autres guerres.
Mais voila que deux rencontres, un prêtre et une jeune femme, vont peut être lui permettre de retrouver en lui une part d'humanité... Avec un nouveau nom, Asura, l'enfant sauvage, le "démon" recherché, est né.
 

Critique :
 
Une sacrée histoire...
Tout d'abord, les graphismes. Je ne vous le cacherait pas, au départ, le chara-design d'Asura m'a un peu rebutée. Il ne ressemble pas à ce que l'on a l'habitude de voir dans les longs métrages d'animation... Cependant, j'en ai pris mon parti et je ne l'ai pas regretté. Il est finalement très attachant, à sa manière, et surtout son apparence est en harmonie parfaite avec l'histoire. Une petite précision sur les graphismes de ce film : il utilise de l'animation "hybride", c'est à dire une fusion superbe d'animation 2D avec des images digitales dans le but de recréer un effet "aquarelle". Très belle réussite du studio Toei, des graphismes très personnels, qui finalement ne font que mettre en valeur l'histoire.
 


Ensuite, le scénario.
...
Âmes sensibles, s'abstenir. Une rare violence humaine mêlée aux catastrophes engendrées par la Nature et la guerre. Un film dont les principaux décors sont la foret, une petite maison et sinon, des paysages de destruction, du feu et du sang. Il n'y a pas beaucoup de paroles ici, tout simplement parce qu'elles sont inutiles. Nous sommes suffisamment envoutés par les graphismes et leurs significations. Le dénouement est à mon sens plus que satisfaisant, et se fait, encore une fois, sans réelles paroles, mais avec des images et des gestes lourds de sens, surchargés d'émotions.


L'ambiance n'est bien entendu, pas à la joie et à la bonne humeur. Plutôt le contraire, même. Elle se joue beaucoup sur des contrastes espoir/désespoir, haine/amour ou redevance. Asura "Petite bête", est un mélange réellement poignant de maturité et d'innocence enfantine. Car ne l'oublions pas, malgré ses crimes, Asura est bel et bien un enfant...
Il y a une morale dans ce film. Are humans the worst ? Dunno. Mais c'est le prêtre que rencontre Asura, qui n'apparait qu'à intervalles réguliers, qui à la fois dicte reflexions humaines et sentiments personnels. D'apparence tout d'abord insignifiante, on se rend vite compte qu'il représente le fond et le principe de l'histoire...
 


En résumé, Asura est à voir. Un film poignant, inoubliable et dérangeant, avec un personnage principal qui tout d'abord met mal à l'aise, mais auquel on s'attache très vite... Des musiques et des rythmes splendide, qui nous plongent dans le film... Un final éblouissant qui nous laisse sans voix et avec un léger gout amer dans la gorge... A voir !
 

Eureka Seven

Miku nous l'avais montré, Eureka nous le confirme : les cheveux azurs, c'est la classe !
 
 
C’est quoi ?
Eureka Seven (le nom complet est d’ailleurs Psalm of Planets Eureka Seven) est un anime sorti en 2005 et conçu par les studios Bones. Ces derniers sont connus notamment pour avoir réalisé les versions animés de Soul Eater, Fullmetal Alchemist, Darker Than Black ou encore Gossick. Composé de 50 épisodes, il s’agit d’un anime qui appartient résolument au genre Mecha. Suite au succès de la série, un film a vu le jour, narrant une histoire alternative à cella racontée dans la série. De plus, en 2012, une suite est parue : Eureka Seven AO.
En France, l'anime est licencié par BEEZ, tandis que le film peut être trouvé aux éditions Kazé.
 

Mon robot à moi, il peut surfer sur des flux d'énergie invisibles présents dans les airs.
 
De quoi ça parle ?
Eureka Seven nous propose de suivre l’histoire de Renton, un jeune homme enfermé dans une vie monotone qui rêve de liberté et de pouvoir rejoindre le groupe révolutionnaire Gekkostate, mené par ses idoles. L’occasion se présentera à lui lorsqu’Eureka, une pilote de LFO (le nom des mechas, dans la série) membre de Gekkostate s’écrase à proximité de chez lui et que son grand-père profite de l’occasion pour l’envoyer faire une livraison auprès des rebelles.
Nous aurons donc l’occasion de suivre son intégration parmi les rebelles ainsi, la lutte de ces derniers contre le gouvernement totalitaire et très militarisé qui contrôle la majeure partie du monde ainsi que la révélation des mystères entourant Eureka et les Coraliens.
 

Que ne ferait-on pas pour protéger celle à qui on tient ?
 
Et ça vaut le coup ?
Si l’histoire peut paraître de prime abord simple et basique, on se rend rapidement compte de la volonté d’originalité et de subtilité dont ont voulu faire preuve les créateurs de l’anime. La thématique et la symbolique ont une place importante dans Eureka Seven, à l’instar d’un Evangelion. Et comme Evangelion, il est assez difficile d’appréhender l’ensemble des concepts qu’on essaie de nous transmettre.
Pourtant, l’information est distribuée petit à petit. On commence par nous présenter un monde qui pourrait être similaire au notre avant d’y introduire les LFOs, sorte de mechas ayant la capacité de surfer sur des flux de particules en suspension dans les airs. Puis la série prend le temps de nous présenter les différents personnages qui feront partie du quotidien de Renton en intégrant progressivement la situation politique actuelle. Il faut ensuite plusieurs épisodes avant qu’on ne commence à s’intéresser au Coraliens et à ce qui les entoure. Concrètement, si l’anime dans sa globalité peut être assez délicat à cerner, les différents arcs scénaristiques sont très bien découpés et peu confus.
 
Esthétiquement, il n’y a pas de réels reproches à faire. Le dessin est beau, les scènes de combat rythmées et détaillées et les paysages grandioses. Même traitement pour ce qui est de la musique qui n’a aucune difficulté à s’adapter aux différentes scènes et aux différents thèmes de l’anime.
En ce qui concerne la galerie de personnage, on a droit à quelque chose de beaucoup plus épars. Si certain sont absolument mémorable, un grand nombre risque fort de ne pas vous laisser de fortes impressions. Au moins parviennent-ils à être attachants…
 


La bonne nouvelle, c'est que c'est de la confiture. La mauvaise nouvelle, c'est que connaissant la fille, ça pourrait tout aussi bien être votre sang.
 
Et toi, tu en penses quoi ?
J’avais entendu beaucoup de bien d’Eureka Seven et avait commencé l’anime en étant relativement confiant. Au final, je dois reconnaître avoir été déçu. Je peux comprends la volonté du studio d’avoir voulu faire preuve d’originalité. Je comprends également qu’ils aient désiré faire passer un message. Mais ils n’ont malheureusement pas choisi la meilleure façon de le faire. Entre les événements évoqués lors d’un épisode et qui ne sont expliqués que beaucoup plus tard, les séries d’épisodes qui, sous couvert de s’intéresser à un personnage, nous coupent complétement de la situation globale (qui continue bien entendu à évoluer) et le personnage de Renton qui passe davantage de temps à se lamenter sur son sort plutôt que de faire face à la situation dans laquelle il se trouve, on a du mal à rester accroché à l’anime du début à la fin.
Pourtant, Eureka Seven est loin d’être mauvais. Certain aspect de l’anime sont mêmes tout bonnement excellent : le personnage d’Anemone par exemple. Elle a beau être détestable en tout point, on ne peut s’empêcher de l’apprécier. A plus forte raison quand on inclut la relation (singulière) qu’elle entretient avec Dominic Sorel. Même traitement pour Eureka : si au début, on l’imagine comme un ersatz de Rei Ayanami, on se retrouve vite en présence de quelqu’un de chaleureux et de bougrement sympathique. Et cet état des choses ne fait que se renforcer au fur et à mesure de la série.
Je ne vais pas commettre l’affront de spoiler certains épisodes de l’anime, mais là encore on a deux poids deux mesures. D’un côté, les passages confus et ne faisant pas avancer le scénario, de l’autre les épisodes faisant preuve d’une véritable originalité et d’une force émotionnelle non négligeable.
 
Au final, je dirais que l’anime a voulu en faire trop. Trop de messages, trop de concepts abstraits, trop d’événements, trop d’histoires parallèles. Et en général pas assez d’explications. Je ne dis pas qu’il faut l’éviter, bien au contraire. Mais il vous faudra probablement au moins deux visionnages pour effacer le gros des doutes et des confusions.

C'aurait été fun un petit enregistrement de ton petit poeme lyrique xD
Genre pour avoir une idée quoi
 
*n'a pas essayé de chanté en le lisant*
:timide:
 
Sinon, j'avoue que je n'ai pas trop super accroché.
J'avoue que ce poeme ne m'accroche pas du tout.
J'avoue que je ne trouve pas le rythme non plus.
J'avoue que voila, j'attends de voir la suite pour juger :P

Sigur Rós
 
Sigur Rós, ce sont quatre garçons venus d’Islande, avec pour tête d’affiche, Jón Þór Birgisson alias Jónsi. Ce groupe précurseur du rock progressif ou post-rock se base beaucoup sur l’instrumental, et la musique classique. Il est surtout reconnu pour la voix de fausset de Jónsi et pour le langage créé spécialement par eux, le vonlenska, qu’ils utilisent fréquemment dans leurs chansons. Ils ont l'art de faire des clips assez bizarres mais que je trouve très poétiques (notamment celui de Fjögur píanó)
 
Leur dernière chanson Brennisteinn est celle du trailer du nouvel assassin's creed
 

 
D'autres que j'aime bien :
 

 

 

bonsoir les gens o/ Comme vous le savez tous, nous avons aujourd'hui la première journée de la J-E au parc des expo à Villepinte :d ... bien sur puisque tout le monde n'a pas pus venir, il faut vous en faire profiter xD
 
bon j'ai un petit problème avec mon appareil photo (j'ai oublié le chargeur en normandie ) donc je ne vous mettrez aujourd'hui que les achats du jour ;p
 
mais je vous préviens aujourd'hui était ma journée achat :P normalement je devrait pour les prochains jours, ne pas depasser les 50 euros d'achat xD (en gros tonkam, des nendroids, les posters de chez ototo et enfin les fanzines qui m'ont conquis un peu aujourd'hui :P )
 
je commence donc par le non manga..; peluche, figurine lightning, strap pour telephone, poster, sac, cartes, et goodies en tout genres voici ce que vous pouviez avoir en suivant la liste de notre york :P (avec en plus quelques achats xD) (et oui j'ai mis tout ça sur mon lit xD)
 
 

 
 
 

 
 
 

 
de façon plus précise voici mes achats square enix
 
 

 
 

 
mon loot pour sun ken rock (doki doki)
 
 

 
 
mon kro meugnon et mes cartes (fairy tail gratuite et princesse mononoke à 1 euro)
 

 
pour donner une idée... voici mon mur ce matin :
 
 

 
le voici maintenant xD
 
 

 
 
enfin je passe à la section lecture plein de chapitre 1 gratos ... et le reste xD
 
 

 
 

 
 

 
 
..... je n'ai plus un sous mais je ne regrette rien xD
 
EDIT : désolé pour la qualité de l'image >.<

Après la dissolution de Nirvana en 1994, suite à la mort de son leader Kurt Cobain, Dave Grohl, batteur de cette formation, décide de se lancer dans son projet Foo Fighters.
L'origine du nom vient de phénomènes paranormaux du temps de la seconde guerre mondiale, les chasseurs fantômes, dont Dave Grohl est fan.
 
Line up actuel :
-Dave Grohl, guitare et chant.
-Nate Mendel, basse.
-Pat Smear, guitare.
-Chris Shiflett,guitare.
-Taylor Hawkins,batterie.
 
Comme vous pouvez le voir, le groupe se démarque par la présence de 3 guitares.
 
quelques clips:
 




 
le dernier album "Wasting Lights" en live :


 
En espèrant que ce groupe vous plaise. :d

Salut,
 
Je profite de lancer le débat pour faire tourner le lien d'un article qui a beaucoup fais parlé de lui y a quelques mois sur la question du sexisme au sein de la communauté geek :
http://cafaitgenre.org/2013/03/16/sexisme-chez-les-geeks-pourquoi-notre-communaute-est-malade-et-comment-y-remedier/
 
La communauté otaku étant à peu près aussi sexiste que la communauté gamer je pense que ça en intéressera plus d'un ;)
 

pas besoin de la remettre :mef: mais....
 
Ma nouvelle sign est finie :chuchotte:
 
Black ; :sarcasme:
 
Irui : :niark:
 
Kazuya : :happywalk:
 
Asula : :yeah:
 
 
Ramdo : :hinhin:
 
 
Sakura : :lovu:
 
 
bon on en ai plutôt fier mais vous qu'en pensez vous ? :3

J'ai pris quelques minutes pour reprendre vite fait ton dessin pour te montrer ce qui ne va pas et pas être améliorable. :)
 

 
J'ai commencé par essayer de déterminer les proportions de ton personnage au travers de son vêtement. Je pense que c'est plus flagrant pour voir où ça cloche.
Dans l'ensemble, ça tient la route, il n'y a pas d'erreur grossière, mais c'est au niveau du posing que ça pêche. Le plus gros souci, c'est que le perso ne tient pas debout, il penche légèrement sur le côté. C'est primordial quand tu dessines un personnage, pose le bien au sol. Dans ce cas précis, les pieds auraient dû être dans l'axe bleu que j'ai tracé pour que ça tienne debout.
Les bras sont un peu trop raides, j'en reviens à la même remarque que j'avais fait sur ta fille qui courait de dos : casse un peu les articulations pour donner plus de vie, là ce sont deux piquets complètement rigides.
Finalement, c'est une jeune fille, un peu plus de formes que diable. Même si elle porte un vêtement ample, il y a moyen de marquer le corps à certains endroits, comme les hanches par exemple.
 
La remarque d'ensemble c'est que c'est un peu raide tout ça. Mais pas de panique, c'est normal, c'est probablement l'une des choses les plus difficiles à acquérir en dessin. Pour débloquer ça, rien de tel que de faire du dessin d'observation de sujets en mouvement, ou alors analyser des séquences de dessins animés. (les cartoons du genre Tom & Jerry sont parfaits pour ça) Et surtout, se lâcher quand on dessine, faire de grands gestes avec le crayon, et ne pas se crisper. ^-^
 

 
En appliquant ce que j'ai dis, ça donnerait à peu près ça. Je n'ai pas cherché à faire du détail, c'est vraiment juste pour te donner une idée de comment améliorer le posing.
Après pour ce qui est de l'ambiance du dessin, je ne sais pas trop vers quoi tu voulais te tourner à la base. Je suis parti sur quelque chose de plus doux et calme. La longue toge de ton perso reposant par terre, lui faire une expression faciale plus neutre collait mieux. Après si tu veux au contraire insister sur le fait qu'elle ait bien l'air en pétard avec la bouche ouverte etoo, tu donnes un petit coup de vent dans les cheveux et la toge, pour qu'il y ait du mouvement, et là ça changera du tout au tout, et on aura quelque chose de bien agressif. Et ce tout en gardant exactement le même posing. C'est sur les détails que tu poses ensuite que l'ambiance générale va se jouer.
 
 
Voila tout, bonne continuation, et continue de t'exercer ! :)

Bah aimer les mangas, anime, JV c'est assez différent que d'apprécier du Tanizaki, les films d'Ozu et les courbettes.
Enfin je fais partie de ceux qui pensent qu'aimer la culture japonaise ça veut un peu rien dire, comme les japonais qui disent aimer la culture française et qui limite celle-ci à cathédrales, baguette, fromage et mode (en gros ce qu'ils aiment c'est l'image qu'on leur vend : l'élégance et le luxe). C'est dans les deux cas assez caricaturales en générale.
 
Puis pour être en fac de japonais y a une grosse hypocrisie autour de ça. Genre tous les mecs qui se la jouent cultureux et qui affichent du mépris pour ce qui est otak en mode "moi ce qui m'intéresse c'est pas Naruto mais Soseki". Bien hypocrite car ces gens là ont pas du tout découvert le Japon grâce à sa littérature mais bien grâce à ces mangasses (bah oui sinon on serait pas 600 en L1 de japonais et 15 en L1 d'indonésien alors que l'Indonésie a rien à envier au Japon sur le point de vue la culture mais je connais étrangement qu'un seul jeune qui se dit "passionné par la culture indonésienne").
Bref je les imagine bien chez eux en se donnant des coups de fouet pendant qu'ils matent des anime lolimoe en culpabilisant :sarcasme:

Eh bien eh bien...
J'ai décroché des shojos il n y a pas longtemps, il y en a peu qui arrivent dans ma pile de lecture...
Et celui là, totalement par hasard, est tombé devant mes yeux... Littéralement.
Je vous le présente donc, je pense qu'il trouvera quelques amateurs !
 

 
Année : 2007
Genres : Comédie, Romance
Dessinateur : Yuka Fujiwara
Scénariste : Yuka Fujiwara
Pays d'origine : Japon
Série en cours : 11 en France, 15 au Japon
Aucun site officiel


 
Synopsis :

La mère d'Hana tient une agence de "jeunes talents". Alors forcément, il y a un ou deux trucs qui se transmettent. Hana est donc officiellement découvreuse de talents !
Pourquoi elle ? Eh bien, elle possède un don légèrement spécial... Quand un jeune talent se trouve devant elle elle... saigne du nez. Et asperge tout les gens alentour.
Et ce qui devait arriver arriva...
 
Hana fait une syncope en rencontrant cinq garçons très atypiques et tous différent les uns des autres... et se met en tête de les retrouver pour former le boys band parfait, à l'occasion de l'anniversaire de l'agence.
Le tout étant :
-de les retrouver, sachant qu'elle ne connait même pas leur nom
-de les convaincre de se faire engager dans l'agence, et accessoirement de convaincre sa mère de les engager
-de faire en sorte qu'ils se supportent...
-de les former, ce qui n'est pas de tout repos
-Et...ah oui ! De les rendre, en très peu de temps, hyper connus ! Bonne chance Hana !
 

Critique :
Manga conseillé par l'auteur de One Piece
Un manga... Surprenant.
Le concept est en soi original... Saigner du nez quand on voit une star, voila qui n'est pas banal.
J'ai assez apprécié le fait que ce soit tout de même assez renseigné sur le monde du show-bizz, que l'auteur ait fait des recherches, ça se sent.
Niveau graphismes, tout est fin, soigné, après, c'est également typique shojo... Les grands yeux et l'idéalisation des personnages sont au rendez vous ! Mais il faut avouer que les gars dedans sont sacrément beau gosses ! =D
 


J'ai assez accroché, mais j'ai été je l'avoue assez surprise par le fait qu'au tome 8 on..change de personnage principal. C'est assez déboussolant, et je n'ai pas autant été plongée dans le manga par la suite...même si le groupe est toujours là.
 
Enfin. Un manga qui contient beaucoup d'humour, un vrai bol de fraîcheur, qui, bien que je l'ai apprécié, ne m'aura pas non plus transcendée !
Mais qui j'en suis sûre plaira à beaucoup d'entre vous !
 
Alors maintenant, bonne lecture~
 

Wow ... 200 000 messages, je pensais m'en rendre compte le moment venu, je surveillais le compteur depuis quelques mois, mais finalement j'ai été dépassé et j'arrive donc 465 messages plus tard, tel un cheveux sur le bol de ramen :happywalk:
 
Bref, je tenais donc tous à vous féliciter pour ce flood ces messages de qualité, l'animation et tout simplement la vie que vous apportez à ce forum et la communauté qui en résulte, bientôt 5 000 otakus.
 
Un grand merci à tous d'avoir fait de O-A ce qu'il est aujourd'hui, si quand j'avais ouvert O-A en février 2006 on m'avait dit que l'on se retrouverait 7 ans plus tard avec 200 000 messages, je n'y aurait pas cru un instant.
 
Une merveilleuse aventure qu'hélas je ne peux plus suivre comme par le passé, mais O-A reste et restera mon bébé, mon plus gros défi et l'une de mes plus grandes fiertés.
 
 
Merci.

Bonjour chere communauté d'otaku.
 
Aujourd'hui je m'adresse à vous avec une idée derrière la tête.
De part mes études je suis amené à regarder beaucoup de reportages et autres trucs diverses sur des sujets tels que : Conditions climatiques, Gestion de ressources, Conditions de travail...En gros tout ce qui est avancé technologique, accidents ou simplement des bilans qui touche à l'hygiène, la sécurité et l'environnement.
 
Ayant fais un peu le tour de la question, je vous sollicite pour savoir si vous en avez sous la mains :)
 
D'où ma petite idée de faire de ce topic, une petite base de référence de reportage, avec vos commentaires sur ces derniers anfin d'avoir des mini-débats.
 
PS : Je tiens à préciser que je ne porte aucun jugement politique et que je n'appartient à aucun mouvement écologiste. Quand je regarde ce genre de reportage je le fais avec un minimum de recul afin d'analyser les situations sans préjugés.
 
Donc voilà je me lance :
 
Voici dans un 1er temps un reportage qui traite d'une ressource très importante c'est à dire le sable. En effet après l'air et l'eau, le sable est l'une des matières premieres les plus importante de notre société. Je vous laisse découvrir un reportage qui aborbe un sujet encore méconnu.
 

http://www.youtube.com/watch?v=XfwspaTqRWg

Bonjour,
 
Je vous préviens simplement que ce que vous allez lire n'est pas l'histoire finie. En réalité, j'ai l'histoire dans ma tête depuis assez longtemps mais je ne me suis jamais motivé à l'écrire, je me suis donc dit que la poster sur divers forums/sites/blogs en petites bribes pour avoir des avis au fur et à mesure serait sans doute plus motivant. Je suis ouvert à toutes les suggestions pour rendre l'histoire meilleure et un peu plus originale. Ce premier jet vise surtout à savoir ce que les gens pensent de l'idée de base. Si je vois que certaines personnes sont intéressées parmi celles qui lisent, je posterai de temps en temps un morceau de l'histoire. Mon idée est de faire un petit conte feuilleton si on peut dire ça comme ça. L'histoire est assez (même très) classique : c'est fait exprès, c'est ce genre d'histoires que j'aime, mais justement, j'aimerais le changer un peu. Et pour ceux qui se demandent, oui c'est très largement inspiré d'autres choses existant déjà - beaucoup de contes notamment (dont La Petite Sirène et Alice au Pays des Merveilles pour ce qui se verra sans doute le plus, dans leurs versions littéraires, pas les adaptations Disney ...) mais aussi à peu près tout ce que j'ai pu lire/voir/jouer.
 
 
 
 
Merci beaucoup à ceux qui ont lu.

Douces émotions
 

 
Ô toi mon petit sucre d'orge
Tel le doux miel fondant dans ma gorge
Quand je sens ta frimousse près de moi
Je ne peux m'empêcher d'être en émoi
Ton regard de braise me laisse béat
À tel point que je reste pantois
Je ferme les yeux en respirant ton parfum
Désirant caresser tes longs cheveux bruns
Mon regard se reflètant sur une flaque
Me dit de t'enlacer tendrement car je craque

Chapitre 03 : Méditation
 
Un silence glacial règne dans les lieux pendant quelques instants. Mais les voix que Chlo entend semblent la perturber au plus haut point. Un jargon qui lui est inconnu... Pourtant, elle sent au plus profond de son coeur qu'il s'agit d'un appel à l'aide, car les voix lui inspirent tristesse, solitude et lancinement. Dans la cacophonie qui s'ensuit dans son esprit, Chlo se bouche les oreilles par réflexe car elle semble troublée par ces voix étranges. Cependant, elles cessent dès que l'intensité du rayon de lumière diminue. Dans le même temps, une sorte de portail temporel qui se trouvait au centre du rayon lumineux disparaît en l'espace de quelques secondes. Et à l'endroit même où se trouvait le portique magique, repose un roc hyalin.
 
Tiikeri s'approche de la jeune femme en se présentant, et la rassure en lui disant que tout va bien, que le danger est passé et qu'elle n'a plus rien à craindre. Chlo reprend ses esprits et bien que le jeune homme lui semble être une personne de confiance de prime abord, pour elle c'est la première fois qu'un humain pénètre dans ses terres, ce qui l'incite à se méfier de lui en même temps.
 
Il faut savoir que jadis, les peuples des Cépédra et des humains étaient en guerre, il y a 300 ans de cela. Mais il n'y eut aucun vainqueur, dans un camp comme dans l'autre. Cependant, au jour d'aujourd'hui, les véritables raisons de ce conflit restent encore floues. Tout ce que les remous de l'histoire ont laissé derrière eux, c'est la création de la terraformation, qui a changé à jamais l'ecosystème de la planète. Des déserts se sont formés, des forêts ont poussé à certains endroits, mais la terre verdoyante d'antan n'est plus et les océans se sont divisés, créant ainsi des rivières. L'atmosphère est délétère pour les humains mais pas pour les Cépédra qui y sont totalement immunisés.
 
Dès lors, les Cépédra se sont retranchés dans des vallons forestiers et des régions boisées, à la surface. Les humains, quant à eux, habitent des colonies souterraines, enfouies dans les profondeurs des déserts.
 
 
À suivre...