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[Romans] Crystal shards


tarask le rouge
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bon avant de commencer.... pour moi l'histoire ce passe plutôt en manga (donc projet manga) mais j'ai fait tellement de pages que je pense que ROMAN lui convient mieux XD... soyez pas trop critique c'est mon premier écrit.... il y a 2 versions pour le chapitre 1 du prologue... la simple et la commenté.... la commentée est en spoiler XD je me suis fait plaisir... (et ce n'est que le prologue c'est-à-dire l'histoire avant l'histoire).... ça fait peu au final mais je voulais faire des étapes dans le prologue.... mais au final les chapitres sont vraiment trop petit :)....

 

Projet : Crystal shards

 

 

 

Prologue :

 

 

Chapitre 1 : Les 7 sages

 

 

 

Il y a fort longtemps, dans un monde de magie et de féerie, un dieu décida de faire un cadeau aux humains. Il leur dit :

 

 

« Hommes et Femmes de par le monde, écouter mon appel : dans 7 ans, je veux que vous rassembliez 7 sages parmi les plus sages d'entre vous au toit du monde, sur le sommet de l'Erraldoï. Eux seuls doivent être présents et je leur remettrais un pouvoir tel que nul homme n'en a jamais possédé. »

 

 

Et c'est ainsi, que pendant 7 longues années les souverains de chaque pays délibérèrent pour savoir qui ils allaient choisir pour aller rencontrer cet être divin. Plusieurs critères furent établis dont, bien sur, l'âge et les connaissances amassées, mais aussi la forme physique et le courage puisque le voyage serait éprouvant pour les élus.

 

 

A la fin des 7 ans, les sages furent choisis : Chronos le doyen, l'un des êtres les plus vieux que l'humanité avait à offrir, Loki, le conseiller du plus puissant roi de l'époque, Shandra, une vielle cheffe de tribut versée dans les arts magiques, Odin, un valeureux guerrier, fin stratège et dont la sagacité et la droiture étaient renommées, Jace, un érudit et le gardien de la plus grande bibliothèque du monde, Shoryu, un ermite des contrés lointaines et Hayka, le renommé maître des arts appliqués.

 

 

Ensemble ils allèrent en haut de l'Erraldoï et, pendant plusieurs mois, ceux qui s'étaient rassemblés au pied de la montagne virent d'étranges phénomènes. On ne vit plus les sages pendant près d'un an..... et puis..... (suite au chapitre 2:D)

 

la version commentée :

 

Projet : Crystal shards

 

 

Prologue :

 

Chapitre 1 : Les 7 sages

 

Il y a fort longtemps, dans un monde de magie et féerie (Quoi ça fait conte de fée pour fillettes de 4 ans.... Qui a dit ça?), un dieu (on c'est pas trop lequel mais c pas grave) décida de faire un cadeau aux humains (bon il y a des humains et des dieux sympa dans ce monde). Il leurs dit (parce que la parole de dieu est entendu par tous ?... ok j'accepte) :

 

« Hommes et Femmes de par le monde (si tu pouvais nommé ce monde ce serait pas mal... creuse toi la tête), écouter mon appel (ils ont pas trop le choix là :mwhaha:) : dans 7 ans (c loin tu pouvais pas faire un truc plus proche on a pas que ça à faire d'attendre 7 ans), je veux que vous rassembliez 7 sages parmi les plus sages d'entre vous (mouais tu es un pervers qui aime les vieux et le chiffre 7 c'est ça :hello:) au toit du monde, sur le sommet de l'Erraldoï (enfin un nom >-< tu fais des progrès). Eux seuls doivent être présents et je leur remettrais un pouvoir tel que nul homme n'en a jamais possédé.(sympa:D... et sinon tu as du pop-corn?) »

 

Et c'est ainsi, que pendant 7 longues années les souverains de chaque pays délibérèrent pour savoir qui ils allaient choisir pour aller rencontrer cet être divin (il n'a toujours pas de nom ton dieu?). Plusieurs critères furent établis dont bien sur l'age et les connaissances ammassés mais aussi la forme physique et le courage puisque le voyage serait éprouvant pour les élus.

 

A la fin des 7 ans, les 7 sages furent choisis : Chronos le doyen, l'un des êtres les plus vieux que l'humanité avait à offrir, Loki, le conseiller du roi le plus puissant de l'époque, Shandra, une vielle cheffe de tribut versée dans les arts magiques, Odin, un valeureux guerrier, fin stratège et dont la sagacité et la droiture sont renommé, Jace, un érudit et le gardien de la plus grande bibliothèque du monde, Shoryu, un ermite des contrés lointaines et Hayka, le renommé maître des arts appliqués. (genre tu as inventé ces noms comme ça Oo.... en faite non, à part Shoryu et Hayka je vois où tu as pêché ces noms :hero:')

 

Ensemble il allèrent en haut de l'Erraldoï et pendant plusieurs mois ceux qui s'étaient rassemblés au pied de la montagne virent d'étranges phénomènes. On ne vit plus les sages pendant près d'un an..... et puis..... (suite au chapitre 2:D)

 

 

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ça a l'air pas mal, intéressant, même si comme tu le dis dans ta version commentée, ça fait très conte traditionnel. envie de savoir la suite^^ L'utilisation de ces noms précisément pour les 7 sages mène à se poser des questions...

Il y a deux-trois fautes aussi, fais toi corriger peut être^^

Bonne continuation

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Merci ça fait plaisir :), en faite ça fait longtemps que je suis dessus mais je ne l'ai mis sur papier que ce matin XD... les noms me sont venu comme ça... à part Chronos dont je voulais faire mention dans l'histoire principale les autres me sont venu au moment où j'ai pensé "a quoi devait ressembler les 7 sage ?" :mwhaha:... la version commentée arrivera plus tard quand j'aurais finis avec le prologue de base.... qui est déjà sur papier XD

 

 

Chapitre 2 : l'appel du cristal

Et donc les sept sages revinrent, presque un an après leur départ.

 

Derrière eux, dans une charrette tirée par aucun animal, se trouvait un cristal énorme d'une grande beauté. Les passants qui le virent, furent émerveillés, autant pas la taille prodigieuse du cristal que par son éclat surnaturel et mystérieux dont il semblait s'illuminer.

 

Les rares personnes qui ont su trouver les mots pour donner un sens à ce qu'ils ont vu, décrivirent le cristal comme un arc-en-ciel, sous forme solide, dont les couleurs étaient changeantes, plus variées et, pourtant, formaient un tout harmonieux et cohérent.

 

Bref, on se disait partout « les sages sont revenus, ils ont avec eux une pierre qui n'est pas d'ici. Que leurs à donner d'autre ce dieu ? ». Et partout les gens affluèrent vers le village en bas de l'Erraldoï, un modeste village ma fois, et de là Chronos, doyen des 7 sages, prend la parole :

 

« Nous, qui avons vu un dieu et reçu sa bénédiction, demandons de voir tous les monarques, ici, dans ce village dans une lune. Nous leurs dirons ce qu'il s'est passé pendant cette dernière année »

 

Ainsi les monarques de par le monde, qu'ils soient rois, tsars, empereurs, princes ou simples chefs de tribut, prirent le chemin de l'Erraldoï les uns après les autres, certains courroucés, d'autres curieux par cette invitation cavalière.

 

Mais quand ils arrivèrent, tous furent bouches bées car, à la place du petit village, une ville de marbre blanc s'était construites en l'espace d'un mois. En son centre, il se trouvait un temple majestueux, où les attendaient le cristal et les 7 sages. Devant eux, un banquet somptueux se présentait et Chronos les invita à se restaurer avant de parler. Après avoir mangé, non sans l'emploi abusif de goûteurs royaux, les visages se tournèrent naturellement vers le doyen qui prit alors la parole...

 

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Là j'ai envie de savoir ce que va dire notre doyen. Sinon pas mal oui :). Vivement la suite.

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Chapitre 3 : le discours de Chronos

 

 

« Bienvenus, Ô grands souverains de ce monde ! nous sommes fiers de voir que vous êtes tous venus. Je m'en vais à présent conter les événements qui se sont déroulés au sommet de l'Erraldoï »

 

 

« D'abord, vous serez ravi de savoir qu'aucun accident n'est venu entacher notre voyage dans la montagne lors de notre ascension, ni dans notre descente d'ailleurs. »

 

 

A ce moment, certaines chaises grincèrent, car on ne se souciait point de l'état de santé de l'équipe puisqu'ils avaient l'air en pleine forme et qu'ils avaient obtenu une chose de la main d'un dieu. Chronos sourit et continua :

 

 

« Arrivé en haut de l'Erraldoï, nous avons fait la rencontre de Sylphide dieu du vent dont la voix porte jusqu'aux confins du monde. »

 

 

On entendit soudain quelques exclamations, enfin on connaissait le nom du dieu qui pouvait parler à l'humanité entière.

 

 

« Il nous a avoué que les dieux, tous les dieux, avait décidé de laisser notre destin entre nos mains en nous accordant un pouvoir immense et que, dorénavant, ils ne s'occuperaient plus directement de nous. Ce pouvoir, » il montra le cristal, « Le voilà ! »

 

 

Un murmure parcourut la salle. Déjà, qu'il fallait digérer le fait que les dieux nous avaient abandonnés et, en plus, leurs dernières bienveillances se résumaient à un caillou , certes magnifique, mais qu'un caillou. Ce fut ce moment que choisit Loki pour prendre la parole :

 

 

« Mes seigneurs ! On ne peut qu'accepter le choix des dieux mais si vous pensez que ce cristal n'est qu'une vulgaire pierre vous vous tromper. Cette pierre peut exaucer presque n'importe lequel de vos vœux »

 

 

« En effet ! », reprit Chronos, « Ce cristal permet à quiconque le touchant de réaliser de nombreux souhaits. C'est d'ailleurs l'une des raisons pour laquelle nous avons attendu un an avant de redescendre, car nous avons éprouvé son potentiel. Le cristal ne peut ni de rendre la vie, ni d'influencer les gens. Cependant, il peut réaliser tout les autres vœux qui n'impliquent pas ces conditions. Hayka, Shandra et Jace ont testé presque toutes les possibilités. »

 

 

A l'annonce de leurs noms les 3 sages inclinèrent la tête en guise d'affirmation et Odin prit la parole

 

 

« Sylphide nous a fait promettre d'apporter la paix et la prospérité grâce à ce pouvoir et nous avons longtemps délibéré pour décider d'une marche a suivre »

 

 

Un silence s'installa et une voix demanda :

 

« Et qu'avez-vous décidé ? Dans quel pays allez-vous vous installer ? Et que ferez-vous du régime de ce pays ?»

 

 

Encore une fois, Chronos sourit :

 

« Nous resterons là ! Voilà ce que nous avons décidé. Nous resterons là et, chaque année, si vous avez correctement aidé à maintenir la paix nous accorderons à chacun d'entre vous un vœu.... dans la mesure du possible. Nous 7 resterons ici pour garder le cristal. Le village deviendra une terre d'asile pour tous et, à partir d'aujourd'hui, nous régirons ces terres. »

 

 

Le silence dura quelques instants, chacun réfléchissant aux possibilités d'un vœu et aux efforts que l'on aurait à fournir pour le réaliser... puis un à un les souverains ce levèrent et crièrent ensemble : « Vive la cité du cristal, vive l'ordre des 7 sages !!».

 

 

Mais cette phrase était un peu amère pour ces monarques, car, bien que beaucoup pensaient que c'étaient la meilleure solution, celle-ci leurs enlevait les possibilités qu'offrait la guerre tel que l'expansion du territoire et laissait un goût de défaite dans leur bouche. Mais fassent à des gens possédant les pouvoirs des dieux, il valait mieux faire profil bas.

 

 

Ainsi, les souverains quittèrent le temple en promettant de revenir dans un an pour qu'on leur accorde un vœu...

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Chapitre 4 : paix et jalousie

 

 

 

Et les monarques revinrent l'année d'après... puis l'année suivante et ainsi de suite pendant de nombreuses années. Les vœux qu'ils souhaitaient leur permettaient de vivre aisément mais dans la grande sagesse des 7, aucun vœu qui fut fait ne nuisait aux autres pays ni au peuple...

 

 

Ainsi, on évita de donner des richesses trop importantes ce qui allait bouleverser les marchés mais on donna plutôt des ressources minières dans certains territoires ou directement un peu d'or dans d'autre, à défaut de jeunesse éternel on fit rajeunir un roi de plusieurs années, on n'élimina pas la maladie ou la pauvreté mais elles furent maîtrisées et minimisées.

 

Le monde était prospère, connaissait un âge d'or et particulièrement l'ancien village qui devint bientôt une mégalopole où il n'y avait nul distinction de classe et où la famine était inconnue. Les sages ne vieillissants plus, on pensait que cette ère ne finirait jamais.

 

 

Mais le cœur des hommes est fragile et aisément corruptible.

 

 

Bientôt les pays éloignés, qui ne pouvaient venir chaque année et dont l'agrandissement de la mégalopole ne bénéficiait à personne vinrent à jalouser les 7 sages et décidèrent donc de s'emparer du cristal. Tout les efforts que ces pays fournirent furent vint, aucun voleur, assassin ou mercenaire ne revint de la mégalopole.

 

Et c'était normal, dans une ville où le pauvre et le riche vivent aisément et où le bien à l'air si solide peu des gens envoyé décidait de continuer et ils restaient. Les quelques personnes continuant leurs missions rencontrèrent l'épée d'Odin, la magie de Shandra, les pièges installés par Hayka ou l'un des sages gardant le cristal et touchant par conséquent celui-ci. On ne revis jamais ces pauvres malheureux.

 

 

Cependant, bien qu'aucun des complots ne réussissent à briser la vigilance des sages, ceux-ci hésitèrent sur la marche à suivre pour en éviter de nouveaux. Hayka voulait augmenter les défenses de la cité et à en vérifier les entrées, chose extrêmement facile avec le cristal. Shandra et Jace, eux, pensaient que marchander avec les pays pour un traiter de non-agression serait une meilleure solution puisque encercler la ville même par magie rendrait le statut d'asile nul et que le commerce en pâtirais. Loki proposa quand à lui une prise contrôle pur et simple des pays mis en cause. A cela, Shoryu, qui avait une grande connaissance de la nature humaine, répondait que cela ne changerait rien : la jalousie est humaine.

 

 

Les jours, les mois, les années passèrent sans que les 7 furent d'accord. Et ils n'étaient pas pressé car ils savaient que même les meilleurs des complots ne pouvaient avoir la chance de réussir puisque jour et nuit Odin veillait sur le cristal et que les autres se relayaient pour veiller avec lui.

 

 

Et pourtant.... et pourtant....

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Chapitre 5 : Effondrement

 

 

Un jour, Chronos se réveilla en sursaut. Une énorme explosion venait de retentir dans la pièce du cristal. Lorsqu'il arriva, il vit que le cristal n'était plus là, Odin gisait sur le ventre devant le socle où reposais le joyaux, une épée planté dans le dos.

 

 

Derrière le socle, un autre sage était étendu souffrant de nombreuses brûlures, Shoryu était mourant. Pendant que Shandra et Jace arrivaient à leurs tours pour voir les causes du désastre qui avait ébranlé les murs de la cité, Shoryu murmura quelque chose à Chronos.

 

 

Nul ne sut jamais ce qu'il lui dit avant de mourir mais quand le doyen se releva, les deux autres sages entendirent les mots suivant « Loki » et « pauvres fous ». Chronos se dirigea alors vers le socle et plongea sa main dans celui-ci. Il y ressorti un petit cristal jaune un peu plus petit que la taille d'un œuf.

 

 

Voyant le cristal disparu, Hayka, arrivé en dernier, dit à haute voix son désarroi :

 

« C'est la fin …. »

 

 

A ces mots Chronos se mit à dévisager chacun des 3 autres sages restants et sourit :

 

« Ce n'est pas une fin, c'est un début »

 

 

Aussi étrange que ses paroles furent pour Shandra, Jace et Hayka, ils ne purent demander la raison pour laquelle ces événements étaient un 'début' car juste après avoir dit ces mots Chronos disparut et lui aussi, comme Loki, ne devait jamais être revu dans la mégalopole.

 

Alors que c'est-il passé après ?

 

La vie à la mégalopole resta la même pendant un certain temps sans que rien ne change vraiment. Bien sur, on ne roulait plus sur l'or et la vie était plus dur mais les 3 sages restants avaient réussi à restituer un calme relatif à la situation de la cité qui avait failli basculer quand le cristal avait disparu.

 

 

C'était compter sans les souverains des autres royaumes pour à qui la disparition soudaine du cristal permettaient de regagner leurs dignités et leurs souverainetés absolues. Ils attaquèrent et détruisirent la cité.

 

 

Shandra ayant retrouvé son jeune âge pendant les années du cristal déchaîna toute sa magie mais admit la défaite lorsque tout ses alliés tombèrent sous le nombre des assaillants et disparu dans un torrent de flamme. Hayka pris la fuite et réussi à se faire oublier. Jace disparut lui aussi, peut de temps après Shandra, quand il eut fini d'écrire son histoire pour les générations futures...

 

Tous voulaient survivre pour comprendre et pour voir.... pour comprendre la fin de leur ville et pour voir le 'début' prédit par Chronos...

 

 

Nul ne sait si aujourd'hui, ils sont toujours vivants mais ayant surement demandé l'éternité au cristal, ils airent probablement encore dans ce monde attendant, encore et encore, ce 'début' promis il y a si longtemps...

 

 

 

Prologue Fin ?

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Aller un petit topo sur cette introduction -_- :

 

bon pour tout dire je voulais ajouter un Chapitre parlant de cristaux... mais je ne savais pas où le mettre et je me suis tellement attaché aux sages que continuer après leurs dissolutions complètes pour dire que quelques lignes ne paraissait pas vraiment aller...

 

le prologue est une histoire avec un début et une fin ouverte qui fait un peu conte de fée.... je considère l'avoir plutôt réussi même si des passages aurait pu être mieux développés...

 

pour ainsi dire, c'etait la partie la plus finalisée du projet... au moins les grandes lignes...

 

au début je voulais nommer la citée 'Atlantis' et elle se serait fait engloutir à la destruction du cristal.

 

J'avais prévu aussi que seul Chronos ne survive au désastre. Mais faire mourir si tôt des personnages dont j'apprécie le nom me paraissait un peu prématuré...

 

pour les noms... vous l'aurez deviné Loki et Odin viennent des dieux nordiques... leurs noms ne sont pas pris au hasard :byebye:

 

Shandra et Jace représentent 2 arpenteurs dans Magic, Shandra est la passion, le feu et la magie destructrice... je trouvais que pour incarner le sage versé dans les arts mystiques et cheffe de tribut le nom était bien trouvé... Jace par opposition devait représenter un érudit, ce qui coïncide avec la version de MAGIC

 

Hayka.... là, la signification est plus simple... je voulais un scientifique... j'ai tapé science dans google trad et j'ai changé les pays... Hayka est l'une de ces traduction :)

 

Shoryu... encore un nom étrange sans vraiment de signification... et bien ce nom vien d'un personnage que j'ai inventé... le nom complets était kakashi shoryu.... le perso était d'ailleurs aussi étrange que son nom car il était petit, gros... pour faire simple c'était un peu un mélange entre chibi sechs de gunnm last order et de warrio... j'ai pris ce nom car il avait un coté nippon et oriental qui collait avec le sage ermite...

 

Cronos... vous comprendrez que cela vient du dieu du temps grec père de Zeus et des titans.. comme je l'ai déjà dit seul Chronos ne devait survivre, il aurait donc du être celui qui reste le même à travers le temps.... d'où son nom... plus quelques petites choses que vous verrez plus tard XD

 

Chacun des noms Hayka et Shoryu à part, représente donc un être de puissance à la fois en dehors du temps (je ne crois pas que les arpenteurs vieillisent dans magic) et représentant une part de la sagesse tel qu'elle pourrait être dans un monde magique ( sciences, magie, experiences de la vie, connaissances, droiture, philosophie et mensonge- le mensonge étant discutable)...

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j'aime toujours bien, c'est plutot chouette pourl'instant, j'ai hâte d'être dans "le gros" de l'histoire

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Chapitre 1 : Le gardien et le cachot

 

22 h, le 24 mai, an 651 (= 651 années après la chute de la mégalopole)

 

 

 

« Hyyyyaaaawwwwwwnnn !!!»

 

 

Kazouya ne put retenir son bâillement. Et pour cause, le jeune soldat d'élite de la famille royale du Breindal s'ennuyait ferme. Lui, qui avait rejoint le corps des soldats royaux en pensant avoir une vie exceptionnelle, était à présent de garde dans l'un des endroits les plus calmes du château et pendant un jour de fête en plus. Venu d'une famille bourgeoise, il avait eu la chance, pendant des exercices militaires, d'être remarqué pour ses exploits à l'épée qui, certes, n'était pas exceptionnel mais était, néanmoins, supérieur à la moyenne.

 

Après trois ans de rude entrainement, il avait pu intégrer ce corps d'épéiste d'élite. Cependant, le poste qu'il occupait depuis ne le satisfaisait pas. Il était gardien dans l'un des cachots du château, un poste peu enviable en temps normal, mais qui lui aurait paru utile. Mais le cachot que la garde d'élite surveillait habituellement était l'ancienne prison du château.

En effet, il y a près de dix ans, cette prison avait été fermée ettous les prisonniers avaient été transférés dans une autre ailedu château. Depuis, personne n'avait le droit d'ouvrir la porte menant à l'ancienne prison et des gardes royaux furent mis en faction devant la porte se trouvant dans une salle de garde.

 

Le travail consistait donc à garder une porte dont personne ne s'occupait puisque, derrière, il n'y avait ni prisonniers, ni butins puisque des gens du château avaient gardé l'oeil pour voir si des objets étaient sortis de la salle du trésor ou apporté discrètement dans l'ancienne prison.

 

Kazouya soupira, « un job inutile, un vie morne... ce n'est pas ce que j'avais pensé en arrivant ici »

 

«YEEEAAAAAH ! LONGUE VIE A LA FAMILLE ROYALE !! »

 

Kazouya prêta l'oreille et soupira à nouveau.

 

«Encore des acclamations venant de la foule, pourtant à cette heure de la nuit on aurait pu penser qu'ils allaient se calmer »pensa-t-il.

 

En effet, toute la journée, la fête avait eu lieu en ville et au château en l'honneur d'un des joyaux du royaume de Breindal. La princesse fêtait aujourd'hui ses 12 ans et comme chaque année des banquets fleurissaient dans les ruelles de la ville jusque dans la salle d'audience du roi. En ce jour, les riches côtoyaient les pauvres, les soldats riaient avec les paysans et la joie se faisait sentir partout.

 

Sauf pour lui, Kazouya était resté seul pendant la majeure partie de la journée car il avait, en plus de son propre tour de garde, accepté de prendre celui de son collègue qui voulait fêter l'anniversaire de sa fille née le même jour que la princesse et il était donc resté dans cette pièce toute la journée avec, pour seule distraction, les acclamations de la foule. Il avait eu quand même le privilège de voir la princesse qui faisait le tour du château pour saluer chacun des gardes en faction. Ses suivantes avaient même apportées une corbeille de fruit qui trainait encore sur la table de garde. Il en avait déjà mangé un des fruits et il s'assit dans l'intention de finir le présent...

 

'DONG !'

 

« Tiens, ils ont même réussi à faire sonner la cloche cette année » se dit-il. Pourtant, son corps se raidit à ce son, quelque chose n'allait pas. Il resta plusieurs secondes à se remémorer l'histoire de la cloche de la ville...

 

'DONG !'

 

Non, décidément ça n'allait pas...

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Chapitre2 : Le son du désastre

Non, en effet, ça n'allait pas, car la cloche ne pouvait avoir été sonnée pour signifier l'anniversaire de la princesse puisque personne, dans le pays, ne pouvait réussir à lui faire émettre le moindre son. Cette cloche magique, qui reposait au milieu du hall d'entré du château, était, avec la princesse, un des trois joyaux du royaume et nul ne se rappelle depuis combien de temps elle se trouvait là. Et personne ne pouvait ni la bouger, ni l'égratigner et encore moins la faire sonner. En temps normal, elle reste muette mais...

 

'DONG!'

 

Un troisième coup, cette fois-ci Kazouya se leva et porta la main à son épée. Dehors, la joie avait fait place à l'effarement et à l'effroi, car tous attendaient de connaître le nombre de coup donnés par la cloche.

 

Car cette cloche avait le pouvoir de prédire les dangers qui allaient frapper le royaume et elle sonnait toujours avant que ceci n'arrivent, alertant ainsi les gens de l'ampleur du désastre qui allait s'abattre sur eux. Chaque coup signifiait un danger plus grands.

 

Ainsi,elle sonna cinq coups pour annoncer le séisme qu'y avait eu lieu 30 ans plutôt. A certains endroits du royaume, il a fallu plus de 10 ans pour réparer les dégâts provoqués par cette catastrophe etles plus vieux évitent encore de parler de cette époque.

 

 

 

L'origine de la cloche :

 

Peu de gens le savent mais la cloche est un des rares vestiges de l'ère du cristal. Elle fait partie d'un des nombreux voeux que les souverains s'étaient vu octroyer. Les ancêtres du roi du Breindal demandèrent aux sages un moyen d'être averti des dangers qui entraient dans leurs royaumes, sachant que la paix instaurée par les sages ne pouvait être éternelle. Les sages approuvèrent et après de nombreuses délibérations décidèrent de créer la cloche. C'est Hayka qui proposa la forme final de celle-ci. Quand elle fut finie et présentée au souverain, celui-ci émis deux souhaits : d'abord il voulait que la cloche soit indestructible, pour que le temps et les aléas de la vie ne détruisent pas cette oeuvre, et qu'une fois installée, elle ne puisse plus quitter son socle, ce qui permettait d'éviter le vol et d'obliger les générations futures de rester dans le château. Ainsi fut-il car les souhaits du souverain paraissait être sages et respectueux. Il du, en contrepartie, attendre sept ans avant de revenir faire un voeu auprès des sages.

 

 

'DONG!' ...'cling'

 

Quel était ce bruit ?..... Kazouya, qui se dirigeait vers l'escalier en colimaçon, pour prendre des nouvelles aux étages supérieurs, s'arrêta net et tendit l'oreille...

 

'cling'....des bruits de chaîne... cela venait des cachots...

 

« Mais...Ce n'est pas possible. Ils sont censé être vide » se dit Kazouya. Il se rapprocha de la porte des cachots et attendit...

 

'cling','cling'... Les bruits se rapprochaient...

 

'DONG!'

 

« HE!!!!» dit une voix dans le dos du garde

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Chapitre 3 : Les hommes de l'ombre

 

« He! Toi là ! Tu es un garde royal, non ? Dépêche toi on a besoin de toutes les fines lames aux portes de la ville ! Le château est attaqué ! »

 

L'interpelé se retourna, un soldat venait de descendre des escaliers et s'apprêtait déjà à remonter lorsqu'il vit que Kazouya hésitait.

 

« Bin quoi ? Dépêche-toi ! C'est un ordre du roi, toutes les personnes qui ne sont pas à des postes essentiels doivent se rendre au plus vite à la porte. »

 

« Mais j'ai entendu des bruits venant des cachots, on devrait peut-être vérifier à l'intérieur. Des assaillants ont pu s'infiltrer »

 

Le nouveau venu regarda en direction de la porte et réfléchit...

 

'DONG!'

 

« Bah! Pas la peine ! Il n'y a aucune entrée menant à cette prison à part ce poste et tu étais là pour le garder, non ? »

 

« Oui. je n'ai pas bougé d'ici et personne n'est entré »

 

Kazouya regardait toujours en direction de la porte des cachots.

 

« Tu vois ! Allez viens on doit se dépêcher d'arriver aux poOOOOOOOoorgh !!! »

 

Kazouya se retourna et vit le soldat s'affaler sur le ventre, la gorge tranchée, dégringolant ainsi les quelques marches qui lui restait à descendre. Profitant de la discussion, un individu habillé de noir et masqué s'était faufilé derrière le pauvre homme et en avait profité pour lui administrer cette blessure fatale à l'aide d'une des deux dagues qu'il tenait entre les mains.

 

Le garde des cachots n'avait même pas le temps de regarder son collègue qui baignait dans son sang et dont la vie quittait ses yeux puisque, déjà, descendaient, en plus du meurtrier, d'autres hommes du même acabits.

 

2,3,4,5... en tous six personnes descendirent des escaliers et se déployèrent dans la salle.

 

Kazouya s'était trompé. Si il y avait des intrus, il n'était certainement pas dans les cachots...

 

 

 

L'alerte du roi :

 

Certains peuvent se demander comment le roi put prendre des directives si rapidement après le premier coup de cloche. Il faut savoir qu'entre chaque coup de cloche une minute entière se passe. Kazouya étant prévenu au 5ème coup seul 5 minutes se sont écoulées... Alors comment ? La raison est simple le premier coup a alerté les gardes de l'enceinte extérieur de la ville. La première chose à faire dans le cas où le cloche sonne est de vérifier si aucun intru ne se trouve à proximité des murs et, à ce moment, l'armée ennemie était en vue depuis l'une des tours de guet. Utilisant des signaux lumineux, l'information d'une attaque arriva en même temps que le deuxième coup de cloche. Il restait donc au roi à informer les soldat de l'attaque et d'envoyer les messagers royaux, toujours prêt à tout heure, pour rassembler les soldats près des portes. Deux d'entre eux furent envoyé avec la mission de prévenir la garde royale..... c'est l'un d'eux qui fut tué devant Kazouya....

 

 

La mort du messagers :

 

Contrairement à ce que l'on peut croire, j'ai longtemps réfléchi à la mort du messager.... au début, il devait être fauché par un flèche mais la configuration de la salle ainsi que la suite avec Kazouya ne pouvait pas fonctionner.... ensuite j'ai pensé à une dague dans le dos, mais généralement ces blessures ne tue pas sur le coup et la vistime a le temps de crier... ce qui aurait alerté des passants éventuels.... en fin de compte, j'ai choisis un meurtre plus professionnel.... tranché la gorge permet d'éviter les cris et c'est une mort reprise dans de nombreux films....

 

 

 

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Chapitre 4 : La voix

 

 

six contre un... Kazouya songea que c'était peine perdue. Il avait beau être un soldat d'élite au vue de l'efficacité qu'avait fait preuve les assassins pour se faufiler dans la pièce et tuer le soldat, ce n'était pas non plus des débutant.

 

 

Dans sa chance, l'uniforme du gardien de la prison, contrairement à l'habit habituel des gardes royaux, ne le différenciait pas d'un simple soldat. Il pourrait ainsi surprendre un adversaire, voir deux, qui penseraient avoir une proie facile. Mais il était impossible que les six tombent dans le panneau et qu'ils continuerait à baisser leurs gardes après la mort de deux de leurs camarades.

 

 

Ils s'approchèrent doucement de leur prochaine victime...

 

"Non !", pensa Kazouya, "même pas la peine d'espérer un relâchement, auraient-ils fis face à la totalité de la garde royale, ils n'auraient pas été plus concentré".

 

Il se rapprocha du mur pour éviter d'être encerclé et dégaina son épée...

 

'Boum ! Boum ! Boum !'

 

On frappait à la porte du cachots !

 

Surpris, mais pas autant que Kazouya, les ennemis stoppèrent momentanément leurs avancés... ils n'était plus qu'à trois mètres de leur proie...

 

Alors une voix forte résonna derrière la porte :

 

«Ô jeune soldat ! veux tu mourir ici au combat ou préférais tu vivre encore quelques années ? Ouvre moi ! Je dois remplir une promesse que j'ai faites il y a longtemps. Ouvre moi et je me débarrasserais de ces gêneurs... »

 

Ouvrir la porte ? Rien de plus facile puisqu'il suffisait d'abaisser le loquet, la porte n'étant pas fermé à clé (et pour cause il n'y avait pas de serrure). Celui-ci était d'ailleurs à porter de main car en reculant, le jeune soldat c'était rapproché de la porte que se tenait maintenant à sa droite. Mieux encore, il n'était même pas nécessaire d'arrêter de faire face à l'ennemis ou d'abaisser sa garde, Kazouya tenant son épée de la main gauche.

 

'DONG!'

 

Mais cela était-il sage ? Kazouya ne connaissait pas l'identité de la personne, mais il savait, par les bruits entendus plutôt, qu'elle avait été surement enchainée.... Pourquoi ? Comment était-elle arrivée là ? De nombreuses questions encombrèrent l'esprit de Kazouya...

 

C'est à ce moment que l'un des ennemis s'approcha, rappelant ainsi au jeune homme la situation précaire dont il était mélé...

 

Un seul constat suffit à le décider, il voulait survivre et seul, il n'avait aucune chance...

 

Il abaissa donc le loquet de la porte qui s'ouvrit d'elle-même et, instantanément, il regretta son geste.

 

Pendant qu'une ombre immense s'engouffrait dans la pièce semblant avaler tout même la lumière des torches, Kazouya lacha son épée...

 

et sombra dans les ténèbres...

 

'DONG!'

 

note de l'auteur :

 

Voici encore un pan de mon histoire avec la présentation de Kazouya... j'avais prévenue : l'histoire principale met en scène des personnages ayant les mêmes noms que les personnalités que j'ai inventé sur ce forum...

 

Cette partie est le début avec lequel je voulais commencer le manga... Elle ne comporte pas de scène de combat même si je pensais que la mort d'un des assassins par kazouya pourrait fonctionner (le stratagème de base étant expliqué) mais le fait qu'après avoir tué un assassin, il puissent avoir le temps d'aller vers la porte et de l'ouvrir me paraissait tiré par les cheveux.... (un peu plus que le reste du récit dirons nous)

 

D'un autre coté je mis connais pas assez bien en récit de combat d'épée pour faire une description acceptable (a par Eragorn j'ai pas trop lu de livre ou cette partie était développé).

 

Certains se demande en quoi le prologue nous sert ? On comprend pourquoi la cloche existe mais à part ça ? J'ai prévenu l'histoire de base est bien plus longue que le prologue mais les liens avec celui-ci apparaitrons avec le temps...

 

Je suis plutôt content de mon oeuvre, j'ai organisé pas mal d'idée en très peu de temps et j'espère que le tout n'est pas trop artificiel...

 

Qui est l'homme présent dans le donjon ? Vous le saurez bien assez tôt mais sachez que c'est un personnage qui gardera une part de mystère jusqu'à la fin :)

... Par rapport à ma première version (celle que je fait sur papier) quelques passages ont été rajoutés et d'autre enlevés... Ainsi je voulais que Kazouya s'aperçoive que l'un des fruits de la corbeille que lui avait donné Sakura avait disparu... je voulais aussi parler un peu de l'entourage du héros mais j'ai gardé ces détails pour plus tard *0*

Les passages en spoil ajouter dans le récit ont été inventé sur l'instant et répondait à des interrogations que je me posais moi-même... Je trouve avoir fait une bonne impro :d

de nombreuses fautes parsèment surement les derniers chapitres puisque je ne me suis presque pas relu.. je les corrigerais avec le temps.....

... Pour information, la cloche sonna 10 fois ce jour-là... mais seulement 9 coups purent être entendus par Kazouya... 9 minutes... cela parait bien peu.... et pourtant quand les chose vont mal cela peut être une éternité....

Que dire d'autre ? Ce début a été... comme d'autre scène qui seront présente presque entièrement imaginé (on peut dire même tourné) avant même que je ne pense au prologue.... d'autre passages comme celui-ci viendront mais je suis plutôt inquiet sur les autres... les passages charnières comme je les appel car je ne sais pas encore comment ils vont s'articuler.... La prochaine partie d'ailleurs en est un très bonne exemple... je pense l'avoir réussi mais les idées me sont venus au fur et à mesure et j'ai même changé la conception que j'avais de l'un des personnages principaux...

Enfin, j'aimerais avoir un avis pour savoir si l'histoire principale à l'air intéressante ou non ? Ce n'est que le début mais c'est une phase importante dans un projet puisque c'est la partie qui donnera l'envie au lecteur de continuer ou non....

 

 

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Cette fois-ci je vais ajouter, en plus, un chapitre parallèle.... je pense que les 2 sont bien mais j'arrive pas a me décider si je dois ajouter le chapitre bonus ou non à la trame principal.... je pense que les 2 chapitres vont bien ensemble mais, du coup, on a une redondance des informations....

 

Le Chapitre 4 1/2

 

 

Chapitre4 1/2 : Le bibliothécaire (ce chapitre est optionnel… c'est àvous de me dire s'il doit être gardé ou non.... les informationsmis en double entre le 4bis et le 5 seront garder dans le 4bis... etla numérotation sera corrigé si on décide de le garder)

 

 

'DONG!'

 

 

L'homme arrêta sa course...

 

Encore une fois, il mis la main dans sa poche, toucha un morceau de papier et récita une formule. Il ferma les yeux et entendit distinctement des bruits de lutte.

 

 

Pourtant, quand il ouvrit les yeux, il n'y avait personne dans le couloir du château du Breindal où il se trouvait.

 

 

« C'est bon ! J'ai encore une chance de l'aider ! » murmura-t-il et il reprit sa course dans le dédale que formait les nombreux couloirs du château. A chaque nouveau tournant, il pensait tomber nez-à-nez avec un des intrus, mais jusqu'ici la chance lui souriait.

 

 

L'homme se rappelait le moment où tout avait basculé. Lorsqu'il avait entendu le premier coup de cloche, il était, comme à son habitude, à la bibliothèque royale, penché sur l'un des livres les plus ancien de la collection.

 

 

Quelle mouche avait piqué le roi pour qu'il demande à un simple bibliothécaire de faire le compte rendu d'un livre traitant de la construction du château ? et le jour de l'anniversaire de la fille du même suzerain en plus !

 

 

Non pas que cela lui soit difficile puisque le jeune homme avait déjà lu pratiquement tout les livres de la bibliothèque et celui là ne faisait pas exception, c'était d'ailleurs la raison majeure pour laquelle il faisait ce travail, mais aujourd'hui il aurait bien aimé prendre un verre avec son ami pour un fois. Remarque, le dit ami n'était pas dans une situation beaucoup plus confortable.

 

 

Et puis, il avait entendu la cloche sonnée une deuxième fois et avait tout de suite réagi de la meilleure façon possible : Il était aller à la pêche aux informations. Il apprit vite, un peu avant Kazouya, que la ville était attaquée. Ne craignant rien dans la pièce où il se trouvait, il allait retourné à son livre.

 

 

Mais juste avant de refermer la connexion et de replonger dans son travail, il avait entendu une rumeur comme quoi des assassins se trouvaient dans le château. Il avait donc entrepris de vérifier tout son réseau d'information et pas seulement les quelques nouvelles qui avaient lieu à la salle d'audience du roi.

 

Si bien qu'au cinquième coup, il avait eu une bonne estimation de la situation du royaume. Ce n'était guère brillant à vrai dire puisque des soldats ennemis, surement des assassins au vue de leur capacité, c'étaient glissés parmi la population pendant les fêtes et en avaient profité pour empoisonner la nourriture des banquets. Ils s'étaient ensuite déployer dans toute la ville et dans le château pour y commettre des troubles et éviter ainsi que des renforts soit envoyer à la porte de la ville qui subissait l'attaque d'une armée. Certes le poison n'était pas fatal et était plutôt lent à agir mais associé à la crise actuelle cela n'arrangeait pas la situation.

 

 

Dans les nombreuses paroles et bruits étranges qu'il avait entendu, il lui était aussi arrivé les bruits d'une porte que l'on tape 'BOUM ! BOUM ! BOUM !' cela aurait passé inaperçu s'il ne savait pertinemment que personne n'aurait frappé à cette porte en temps normal et que l'un de ses amis, son meilleur ami pouvait-on dire, se trouvait probablement dans cette pièce.

 

A ce moment, il avait pris son sac contenant quelques parchemins et le livre dont il ne se séparait jamais et était partie en courant vers la direction du cachot.

 

'DONG!' encore !!! ... C'était le dixième coup... Jamais dans les annales du château, on ne faisait mention d'une catastrophe qui aurait requis autant de coup... le record enregistré dans les annales étant sept coups, pour une épidémie qui avait touché toutes les tranches de la population... même le roi et la reine étaient tombé malade... le roi en était mort d'ailleurs...

 

cinq minutes passèrent encore sans que l'homme ai vu qui que se soit. Ce qu'il avait attribué à la chance, au début, commençait à le rendre nerveux...

 

Et puis, au détour d'un des couloirs, il aperçut enfin son but...l'escalier menant à l'ancienne prison.

 

 

 

 

Chapitre5 : L'ami d'enfance

 

« Kazouya... »

 

Qui l'appelait par son nom ? Kazouya ne se rappelait pas de la voix mais elle lui était familière comme si elle lui était connue depuis longtemps...

 

« Hé ! Kazouya ! »

 

Oui, ça lui revenait... cette voix... C'était celle d'un ami de longue date...

 

On le secoua

 

« Kazouya!! C'est pas le moment de bailler aux corneilles !! Qu'est-ce qui s'est passé ici ? »

 

Kazouya ouvrit les yeux. Un homme se trouvait devant lui... lui était assis, adossé à un mur...

 

« Irui... » murmura le soldat.

 

« Ha ! Enfin, tu vas me dire ce qu'il t'est arrivé, oui ou non ? »

 

« Ou suis-je ?... » répondit Kazouya en se massant les tympans. Il avait mal au crâne.

 

« Dans la salle de garde... Tu ne te souviens de rien ?»

 

Le jeune soldat regarda de nouveau Irui, puis la salle où ils se trouvaient. C'était bien la salle de garde. La table en bois avait été fracassée et le corps d'un des assassins se trouvait au milieu des débris. La corbeille apportée par la princesse avait été renversée. Par contre, aucune trace des fruits. Trois autres corps étaient empilés dans un coin de la pièce. Tous présentaient des marques violacées comme des traces de coups énormes ainsi que des griffures sur la corps, comme si un monstre de plusieurs tonnes avait joué avec eux jusqu'à ce que mort s'ensuive.

 

Le corps du soldat tué plutôt par les Assassins avait été mis, quand à lui, sur le dos à coté de Kazouya. Le sang sur le visage avait été essuyé, les bras croisés, les yeux fermés... De plus, à ses pieds reposait un des poignards des assassins comme si la chose qui avait tué les ennemis avait dédié une de ses victoires au soldat.

 

 

« Bon! Tu vas me repondre Kazouya, oui ou non ? », insista Irui,« Que c'est-il passé ici ? »

 

Kazouya se redressa et regarda à nouveau son interlocuteur... quelque chose n'allait pas...

 

« Irui !? Qu'est-ce que tu fais là ? Ton coin c'est plutôt la bibliothèque, pas un poste de garde ! Dis moi plutôt quelle est la situation dehors ? On m'a dit que les portes de la ville avait été attaquées ! » Il pointa le corps de l'assassin reposant parmi les débris de la table, « Et que font les gardes ? Comment ces individus ont-ils pu entrer aussi loin dans le château ! »

 

Irui soupira, il savait que Kazouya n'allait pas répondre avant que l'on lui explique la situation.

 

« Pour tout te dire, Les gardes sont un peu débordés. La situation n'est pas brillante ici. Je pense qu'une petite centaine de ces individus ont pénétré dans le château... et à peu près autant en ville. Ils ont mélangé un poison dans la nourriture des banquets si bien que les gardes sont surtout en train de distribué un antidote. »

 

En voyant la mine de Kazouya s'assombrir sous le terme de 'poison', Irui ajouta vivement :

 

« T'en fais pas trop. Le poison utilisé n'est, à première vue, pas mortel... Ils voulaient surement détourné l'attention des gardes pendant qu'ils allaient faire d'autre méfaits. Mais la cloche a du les surprendre et certains ont grillés leurs couvertures... Les dégâts sont minimes du coup »

 

Kazouya regarda son ami.... Il lui cachait quelque chose de plus important...et de plus problématique.

 

 

« Et la situation à l'enceinte extérieure ? On m'a dit que la ville était attaquée »

 

Cette fois-ci, ce fut Kazouya qui vit la mine de son ami s'assombrir.

 

« Là,c'est carrément une cause perdue. Même en temps normal, je ne pense pas que la ville aurait pu résister longtemps à une armée de cette ampleur. Au début, seul un petit groupe est arrivé mais on en a aperçu d'autres, plus loin. Heureusement, grâce à la cloche, et malgré la fête, la première troupe n'a pu s'approcher de la ville. Mais sans renfort, les murs ne tiendront pas longtemps et avec la pagaille en ville, les hommes libres et valides sont trop peu nombreux. »

 

Comme toujours, Kazouya s'étonna de la fraicheur et de l'importance des informations que son ami détenait. Comment lui, un simple bibliothécaire du château pouvait connaître toutes les nouvelles et les rumeurs de la ville ?

 

Enfants déjà, alors que Kazouya jouait à l'épée, Irui restait plongé dans les livres et plus particulièrement dans un livre bleu qui ne le quittait jamais. Ce livre, qu'Irui avait acheté à un antiquaire ambulant, fascinait encore le jeune homme mais, pour Kazouya, ces histoires de sages, de dieux et de joyaux était un simple conte pour enfant et il avait arrêté de s'y intéresser depuis bien longtemps. Cependant, c'est grâce à sa passion des livres qu'Irui avait pu étudier auprès des grands érudits du royaume pour finir, trois ans plutôt, par être engagé dans la bibliothèque du château. Depuis,Irui ne sortait que très rarement de son lieu de travail et restait souvent plongé dans les livres anciens de la bibliothèque royale. Malgré tout, il avait connaissance de presque tout ce qui se disait au château et en ville.

 

Kazouya soupçonnait d'ailleurs son ami d'avoir placé dans tout le château des cercles magiques, lui permettant d'entendre les conversations. Connaissant la facilité qu'avait Irui pour retenir et recopier les schémas les plus complexes, il était probable qu'il avait reproduit un cercle vu dans l'un des très nombreux livres du château.

 

Cependant, aujourd'hui c'était une aubaine. Son ami avait du entendre des bruits anormals dans la salle de garde et avait accouru sachant, évidemment, que Kazouya était de garde aujourd'hui.

 

Irui le dévisaga, « Bon maintenant que j'ai fini... vas-tu enfin me dire ce qui s'est passé ici ?! »

 

Kazouya raconta donc ce qu'il avait vécu depuis le premier coup de cloche.Mais pendant le récit, un malaise s'installa progressivement en lui.... les assassins, le poison... l'attaque...

 

Quelque chose clochait dans l'attitude de l'ennemi.... Irui avait manqué quelque chose....

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Chapitre 6 : La princesse et le diadème.

 

Lorsqu'il eut fini de raconter les évènements de la soirée, et surtout l'ombre qu'il avait vu sortir des cachots, Kazouya essaya d'expliquer la raison de son malaise à son ami.

 

« Irui, quelque chose me chiffonne. Pourquoi les assassins se sont déployés dans tout le château et la ville ? Encore pour la ville ça peut se comprendre puisqu'ils peuvent éliminer les soldats et désorganiser la défense du coté du mur extérieur mais pourquoi le château ? C'est un bâtiment aussi grand que la ville et il est facile de s'y perdre. Que des assassins aillent à l'entrée ou dans les parties habitées du château pourquoi pas ! mais ici ! Bien que l'on soit relativement proche de la salle d'audience, il n'y a qu'une dizaine de soldats dans toute l'aile et une vingtaine de serviteurs. Le groupe de tout à l'heure me paraît disproportionné pour s'occuper de quelques soldats peu entrainés et de quelques femmes de ménages.Tu aurais fait quoi toi avec 100 personnes infiltrées dans lechâteau ? »

 

Irui réfléchit quelques instants et répondit d'un ton ferme :

 

« J'aurais surement attaqué le roi dans la salle d'audience. Il y a environ 50 hommes de la garde royale autour de lui donc même avec les convives présents dans la salle, les assassins auraient eu l'avantage de la surprise et du nombre. Et maintenant que j'y réfléchis, il aurait été plus simple pour ceux en ville de mettre un poison plus puissant et de se diriger ensuite vers les portes pour prendre les soldats qui défendent la ville de revers. Au lieu de ça, ils déclenchent des incendies et tuent quelques passants mais pas de confrontation direct avec l'armée... C'est comme s'ils voulaient faire diversion... les soldats s'occupent des intrus qui font des troubles dans le château et en ville. Mais il y a peut être un groupe plus discret avec une mission précise... »

 

Irui se tut et ils continuèrent de raisonner en silence...

 

Cela ne pouvait pas être pour le roi, Alexandre II, puisqu'il aurait fallu une centaine d'assassins pour l'atteindre... pour ouvrir une brèche dans le château ?... Non impossible, la situation était déjà suffisamment en faveur de l'ennemi pour que celui-ci ne se fatigue pas avec des détails comme cela. Si le mur extérieur était pris, ce ne serait qu'une question d'heure avant qu'ils ne prennent aussi le château et que la ville soit la proie des pilleurs et des soldats enivrés par la victoire et les combats... que reste t'il donc ? ... un moyen de pression sur le roi et le peuple ? Pourquoi pas, mais la seule chose qui pourrait faire se courber l'échine du roi serait...

 

« La princesse !!! » s'écrièrent-ils ensemble.

 

En effet, à l'instar du roi, la princesse ne possède pas de garde rapprochée. Les conseillers du souverain avait pourtant insisté plusieurs fois pour lui en donner une mais Alexandre avait répondu que cela était inutile et qu'ils risquaient plus de gêner plutôt qu'autre chose. Pourtant la princesse, qui était pour le roi et le peuple le plus beau joyaux du royaume, possédait quelque chose de même importance que la cloche : Le diadème d'Isis.

 

Ce bijoux en argent, qui ne quittait jamais la princesse, était un des trésors de la famille royale depuis seulement une centaine d'années, ce qui est peu vis-à-vis de la cloche. Il fut créé sur ordre du roi après que l'on est découvert une pierre fort étonnante. Une petite pierre d'une dureté surpassant celle des diamants et dont l'éclat lui était semblable quoi que plus brillant. Le diadème servit donc d'écrin à cette pierre que beaucoup considéraient comme magique. Mais avec le temps, comme rien d'étrange ne sepassait, les gens conclurent que ce n'était, en fin de compte, qu'une belle pierre.

 

Mais depuis la mort de la reine il y a 8 ans, les rumeurs avaient commencé à remonter. En effet, la princesse, qui portait dorénavant le diadème, semblait avoir quelques pouvoirs. D'abord, la princesse n'avait eu, depuis 8 ans, ni maladies ni égratignures, bien qu'elle tomba souvent et qu'elle ne faisait pas vraiment attention à sa santé. Ensuite, nombre de gardes et de domestiques qui entouraient la princesse semblaient bénéficier d'une protection similaire. Sans qu'ils puissent savoir pourquoi certaines de leurs anciennes blessures s'étaient cicatrisées sans laisser de trace apparente et il y avait que très peu de malade dans tout la ville. Ceci ajouté à la gentillesse de la princesse expliquait en grande partie pourquoi le peuple l'adorait.

 

Que les assassins en ai après ce pouvoir ou qu'ils veulent un moyen de faire chanter le roi et le peuple, cela n'étaient pas vraiment important. Ce qui comptait c'était qu'une cible potentielle de l'ennemi était sans garde contre des assassins qualifiées et en nombre.

 

« Dit moi que tu as un moyen de la localiser. » supplia Kazouya.

 

Irui le regarda, hésita et, finalement, soupira.

 

« Attend une seconde. je vérifie. », répondit-il. Il mit ensuite une main dans sa poche, marmonna quelques mots et ferma les yeux. Pendant près d'une minute, on entendit plus rien dans le cachot, puis Irui rouvrit les yeux.

 

« Je pense savoir où elle est. » conclut-il.

 

« Tu penses ? » remarqua Kazouya en haussant les sourcils.

 

« J'ai toujours eu du mal à la localiser mais je sais où sont les suivantes qui étaient avec elle plutôt. Leurs caquètements sont reconnaissables entre mille. Elle devrait être avec elles. Vu leurs charabias, elles n'ont pas encore été attaquées et n'ont pas vraiment connaissance de ce qui se passe dans la ville. Je pense que l'on a encore un peu de temps mais on doit faire vite. Suis-moi ! »

 

Ils partirent donc de la pièce en montant les escaliers le plus vite possible. Derrière Irui, on pouvait voir Kazouya arborant un léger sourire. Il avait vu juste en ce qui concernait son ami. Il n'avait cependant pas le temps de savourer cette petite victoire personnelle...

 

Ils devaient se dépêcher... le temps était comptés...

 

 

Note de l'auteur :

 

Voici encore un chapitre.... encore un chapitre charnière comme je les appelle... j'en suis pas très fier... la description de la princesse et du diadème semble un peu trop longue et hors sujet... ça casse la rythme un peu... mais j'ai pas réussi à faire mieu donc je le poste comme ça... J ai un peu de mal à mettre en forme les idées a partir d'ici jusqu'a la fin, je pense, de l'arc de l'attaque du chateau... le prochain chapitre me va mieux je pense...

 

Le diadème d'Isis... Isis est une déesse égyptienne qui ressuscita Osiris découpé en morceau par Seth... elle représente des forces bienfaitrices et est très présente dans la royauté des pharaons... Pour un objet qui devait symboliser un pouvoir de soin... et qui appartenait a la royauté je pense que le choix était bon... J'ai pris un dieu existant car la signification est plus simple mais ce sera pas toujours le cas...

 

Pourquoi Irui et Kazouya sont les seul à s'apercevoir du subterfuge ? C'est assez simple, ils ont les infos (certaines que même le roi ignore) et ils sont dans une pièce calme (avec des corps mais calme). Le roi doit surement aussi se douter de l'objectif des assaillants mais il ne fait rien pour une raison simple... que je ne dévoilerais pas tout de suite pas de spoil o:-). Quand aux conseiller ? ils sont trop occuppé avec de gros poste pour réfléchir calmement... C une guerre surprise et il y a beaucoup de boulot...

 

 

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  • 2 weeks later...

Pardon! j'ai mis beaucoup plus de temps que prévu pour lire cette suite mais c'est finalement fait. J'aime vraiment beaucoup. C'est frais, et fluide. Le thème, bah c'est du fantasy je dirais mais pas banal ni trop lourdeau. le fait que les chapitres soient courts devient en fait un avantage, on lit petit bout par petit bout. C'est agréable. et j'ai vraiment envie de connaitre la suite, ce qui arrive à la princesse, tout ça. tu n'a pas l'intention de t'arrêter au milieu au moins? Il reste quelques fautes deci delà, si tu veux je pourrais prendre le temps de les corriger une fois la rentrée enquillée.

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  • 2 weeks later...

Non je m'arreterais pas mais je suis le genre de personne qui fonctionne par période... là je suis surtout sur un MMO donc je pense moins a l'histoire.... mais ça reste dans une petit coin de ma tete :d

 

.... La suite est prévue mais j'hésite encore un peu sur la marche a suivre.... J'ai 2 ou 3 idées différentes ce qui fait que je sais pas trop laquelle choisir :d.... j'ai les grandes lignes mais je ne suis pas trop sur de comment les articuler ... mais la suite devrais arriver bientot :d

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  • 2 months later...

Chapitre 7 : les traces du massacre

 

 

Kazouya s'arrêta juste avant d'arriver au bout du couloir à l'endroit où il se séparait en trois embranchements. Sur ces trois chemins deux formait en fait un deuxième couloir qui ce superposait à celui où se trouvait les deux amis. En face d'eux, des escaliers menant à l'étage supérieure n'auguraient rien de bon.

 

 

Tout le long de leur 'course' contre la montre qui n'était pas aussi rapide qu'ils l'auraient voulu (pour des raisons évidentes de prudence), Irui et Kazouya avaient vu de nombreux cadavres égorgés ou criblés de flèches le long des couloirs. Puisque cette aile était généralement peu gardée, les assassins avaient tué de nombreux domestiques soit pour éviter qu'ils donnent l'alerte, soit plus probablement par pur cruauté puisqu'ils ne s'étaient pas embarrassés de cacher les corps. Quelques soldats se trouvaient parmi eux mais aucun membre du groupe d'assassins de la garde royal ne figurait parmi les victimes. Le fait qu'il n'y eu aucun soldats d'élites ne surprenait pas Kazouya puisque lui-même avait reçus l'ordre plutôt de renforcer les défenses aux portes de la ville, il supposait que la quasi-totalité des effectifs devait se masser soit au mur extérieur de la ville soit autour du roi. Par contre le fait qu'aucun corps d'assassin ne se trouvait parmi leurs victimes, et surtout avec ceux des soldats, l'impressionnait. Soit ils étaient beaucoup plus nombreux que l'effectif qu'avait estimé Irui soit ils étaient beaucoup talentueux que ce que Kazouya avait pu constater dans les cachots. Cependant, au niveau de l'escalier, les événements avaient suivi un autre cours. Sur des marches ensanglantées, se tenaient dix assassins ou plutôt ce qu'il restait d'eux. Les corps avaient été démembrés pour certain et d'autre ce tenaient le dos contre les murs sur lesquels les traces de sang suggérait que les victimes avaient été écrasées sur ceux-ci comme si les murs avaient servi d'enclume… Mais pas de trace de la personne qui avait joué le rôle du marteau…

 

 

Pendant que Kazouya étudiait les traces et vérifiait les abords immédiat de l'escalier, Irui mis la main dans sa poche et récita la formule pour retrouver la princesse. Elle était encore assez loin mais une chose était sur : pour la rejoindre il faudrait passer par cette escalier et peut être croisé la chose qui avait fait ça… C'était peut-être un allier mais il valait mieux ne pas vérifier car dans le cas contraire ils risquaient de ne jamais secourir la princesse… ni même de faire quoi que soit d'autre.

 

 

Irui se rapprocha de Kazouya.

 

 

« Je crois que tu sais ou nous devons passer… », dit Irui sombrement.

 

 

« Je m'en doute, d'après les traces, les 10 assassins n'était là que pour défendre l'escalier pendant qu'un autre groupe continuais. Je ne peu pas dire exactement combien mais il y a quelques traces faites avec le sang de leurs victimes qu'ils ont laissé… aux moins une autre dizaine… mais ils pourraient aussi bien être 40 je n'en serais rien… En tout cas ils ont l'air de savoir ou aller… ce qui m'inquiète… tout comme ce carnage, il n'y avait qu'une personne mais ils n'ont rien pu faire… elle semble suivre l'autre groupe d'après les traces mais celles-ci disparaissent après quelques marches… De toute façon nous devons continuer »

 

 

Irui et Kazouya gravirent l'escalier et s'engouffrèrent dans le nouveaux couloir… au fur et à mesure

 

Qu'ils avançaient ils voyaient de nouveaux corps... ceux d'assassins… sachant qu'ils approchaient de la princesse, dans un peu moins que 10 minutes leurs suffirait pour la rejoindre d'après Irui, ils ne firent plus attention à leurs propre sécurités et pressèrent le pas. Que se soit le monstre ou les assassins, ils s'approchaient dangereusement de la princesse... il fallait les rattraper...

 

 

Encore, une intersection... pensa Kazouya

 

 

« à droite », précisa Irui.

 

 

Ils coururent jusqu'à l'embranchement et prirent à droite.... et se pétrifièrent...

 

 

Sur le sol à damier noir et blanc, une marre de sang se formait à mesure que du sang sortait des corps inertes d'une vingtaine d'assassins... des corps littéralement en bouillie... au milieu du carnage un homme se tenait debout levant un bras en l'air.... au bout duquel était maintenu par la tête un assassin...mort... L'homme aperçu les deux jeunes gens et lâcha sa victime... il se tourna vers les deux jeunes gens... ouvrit la bouche...

 

 

« Irui ! Kazouya ! Vous en avez mis du temps pour venir. J'ai du m'occuper des intrus du coup... »

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