Aller au contenu

Mizumi

Membre peu Actif
  • Compteur de contenus

    13
  • Points

  • Inscription

  • Dernière visite

  1. Shaft : c'est vrai qu'il n'est pas tant Shonen que ça mais y a quelques éléments, après Kermir a aussi raison en disant que c'est un Seinen car il est assez psychologique et tout. Enfaîte, j'pense qu'on peut dire qu'il n'appartient pas à un genre précis mais qu'il se base sur la magical girl en s’inspirant des autres genres mangatesque xD Kazaku, c'est sur que Puella MAdoka n'est pas le premier magical girl mais il est un des premiers dans ce genre là qu'on ne peut pas vraiment définir xD
  2. C'est sur que le sexe c'est secondaire, mais que ce soit une fille ou un garçon change souvent les enjeux puisque les deux n'ont pas toujours les même réactions, questions, ou visions des choses :d C'est vrai que certains sont vraiment pour les lolicons et n'ont pas forcement un scénar très travaillé xD *repense à l'épisode du joueur du grenier* xD J'en connais aucun kami-sama xD A part Psycho Pass dont j'ai déjà pas mal entendu parler, c'est quoi l'histoire?
  3. Merci pour ton avis Daisukare ça m'a fait plaisir :3 Dagoba11 (ou Kira je sais pas xD) merci pour ton avis aussi. Je suis d'accord avec toi sur le côté Shonen de l'histoire, mais bon là où il y a de l'originalité même si c'est un shonen c'est que du coup les héros sont des héroïnes xD Après, j'ai aussi adoré CArd Captor Sakura (Sailor Moon je ne connais que de réputation) et même si tout deux rehausse le magical girl, ils ne l'étudient pas de la même façon que Puella Madoka Magical Girl. Même si tout deux sont plus matures, les trois étudient des choses différentes :d (c'est cool de pouvoir débattre sur ça xD)
  4. Puella Magi Madoka Magica (> à écouter le long de l'article : ) Studio : Shaft et Aniplex Date : 2011 Réalisation : Akiyuki Shinbo Scénario : Gen Urobuchi Compositeur : Yuki Kajiura Nombre d'épisodes : 12 + 3 films Licencié par Wakanim Je vais vous présenter aujourd'hui Puella Magi Madoka Magica ou Mahô shôjo Madoka Magika, cet anime faisant au premier abord penser à un banale magical girl révèle certaines surprises inattendues que je vais me faire un plaisir de vous révéler;) Histoire : Madoka, une collégienne normale, rêve une nuit d'un monde étrange où une jeune fille combat un monstre terrible, apparaît alors une étrange créature qui lui dit qu'elle est la seule à pouvoir changer le cours des choses. La jeune fille sera étonnée le lendemain de voir que la fille de son rêve est transféré dans sa classe. Finalement, Madoka va découvrir l'existence des Puella Magi (ou Mahou Shoujo) qui sont des jeunes filles qui combattent les sorcières en échange d'un vœu. L'héroïne, et sa meilleure amie, vont être approché par Kyubey, un familier permettant cette transformation, qui leur propose de passer un contrat. Pourtant, la nouvelle élève, dont Madoka a rêvé, fait tout pour empêcher celle-ci de passer ledit contrat avec Kyubey. Mais pourquoi ? Personnages : Madoka Kaname est une jeune collégienne sans histoires, elle est l'exemple même de la petite fille parfaite. Pourtant, Kyubey décèle en elle un fort potentiel et cherche à lui faire passer un contrat mais celle-ci hésite à engager sa vie dans ce terrible combat. Homura Akemi est une une puissante Puella Magi pourtant elle empêche constamment Madoka de passer un contrat. Kyubey la désigne comme une 'irrégulière', on ne sait pas grand chose d'elle à part qu'elle a l'air de connaître Madoka. Quand elle active son pouvoir un disque apparaît sur son bras gauche et lui permet d'invoquer des armes à feu et des explosifs, ainsi que de manipuler le temps. Sayaka Miki est la meilleure amie de Madoka, elle sera la première dans l'anime à passer le contrat avec Kyubey pour devenir une Puella et réaliser son vœu. Quand elle utilise son pouvoir elle a une épée comme arme et possède une capacité de guérison impressionnante. Mamie Tomoe est la première Puella Magi que rencontrent Madoka et Sayaka. Elle est plus âgée qu'elle et très gentille, elles se lient très vite d'amitié. Son pouvoir permet de faire apparaître des mousquets (épées) et des rubans, elle peut aussi soigner. Kyubey est une sorte de créature inconnue et mignonne qui passe des contrats avec les jeunes filles en leur réalisant un de leurs vœux, n'importe lequel. Il semble immortel et ne peut être vu et entendu que par les puella magi. Kyôko Sakura est une peulla magi rivale qui en apprenant le nouveau statut de Sayuka en fait sa rivale. Elle est toujours entrain de manger, même pendant ses combats. Elle est d'ailleurs très puissante et utilise une lance qu'elle peut fractionner. Son but est de collecter le plus possible de griefs seeds (ce que deviennent les sorcières une fois battues). Critique: Puella Magi Madoka Magical, en plus d'un nom affreusement long et impossible à retenir, a un scénario en béton. Cet anime ressemble à s'y méprendre à n'importe quel magical girl de base avec une jeune héroïne naïve qui aime tout le monde et qui s'habille en rose. Mais ça, c'était durant les deux minutes où on voit l'image de présentation de l'anime. Car dès les premières minutes de l'épisode 1 quand Madoka rêve on sent tout de suite que l'atmosphère n'est pas aussi rose bonbon que ce qu'on pensait. Le scénariste reprend tout les éléments de base d'un magical girl mais en amplifiant le côté malsain que peut avoir ce genre de pacte avec un gentil mignon animal. Car, au fur et à mesure de l'anime, on sent que quelque chose cloche et même le visage tout mignon de Kyubey finit pas être dérangeant. Le scénariste arrive à garder les éléments de magie, de costumes mignons, de jeunes filles qui ont des pouvoirs magiques pour protéger le monde contre les vilains (ici les sorcières) mais en rendant cela beaucoup plus mature et psychologiquement intéressant. Car Kyubey offre n'importe qu'elle veut aux jeunes filles et en échange elles deviennent des Puella Madoka, mais quand on y réfléchit il les condamne à une mort certaine au combat alors que ce ne sont encore que des jeunes filles. Et cela est montré très vite, dès l'épisode 3 avec la mort d'une des protagonistes. Au niveau des dessins cet anime est très admirable ! Les dessins des filles sont assez shojo avec des costumes bien fait et de grands yeux pour les héroïnes, mais les combats restent tout de même très fluides. Les affrontements, que ce soit entre Puella Magi ou contre les sorcières, sont toujours très bien dessinés, et les armes sont aussi très bien faites. Mais, même si les dessins restent très enfantins, ce qui est très sympa ceux sont les univers des sorcières qui sont dessinés de façon étrange mais qui renforce le côté fou de ces créatures. A chaque fois qu'une Puella Magi affronte l'une de ses sorcières on se retrouve plongé dans un univers assez glauque et dérangeant mais qui colle du coup parfaitement avec ce que le scénariste cherche à démontrer avec les côtés assez malsain de ce genre de pacte. De plus, quand l'histoire devient 'plus sérieuse' les dessins suivent en montrant que ce n'est pas qu'un simple shojo. Au niveau des musiques la performance est aussi à la hauteur en mêlant des sons à la fois dramatique, terrifiant et beau qui donnent des frissons. C'est un vrai plaisir pour les oreilles qui nous accompagne tout le long de l'aventure et réussis à transmettre les émotions exactes de ce qui se passe devant nous. Bilan : Même si au premier abord Puella Magi madoka Magica peut passer pour un magical girl basique il nous fait revoir ce genre sous un nouvel œil (pour tout ceux qui l'ont vu, ils ne verront plus jamais les mangas de magical girl pareil, jamais). Cet anime arrive à aborder des thèmes importants comme l'amitié, le sacrifice, l'adolescence et les doutes, voir même la manipulation en restant tout de même dans les grandes lignes du genre ce qui est du très bon boulot ! C'est un des anime à voir au moins une fois dans sa vie.
  5. Titre original : The legend of Zelda : Twilight Princess Développeur : Nintendo Editeur : Nintendo Support : Gamecube/Wii Genre : aventure, jeu de rôle Classification PEGI : -12 ans Dans cet article je parlerai du treizième volet de la saga des The legend of zelda, une des sagas phares de Nintendo, sortie en décembre 2006 en France. J'ai fait ce choix car je pense que ce jeu a l'univers le plus aboutie de la série, car il reprend une grande partie des idées des opus précédents, et notamment d'Ocarina of time, tout en ajoutant des éléments plus sombres tels que le Crépuscule pour approfondir l'histoire. Il se joue en 3D avec des graphismes plus adultes que le volet précédent de la Gamecube, The Wind Waker Introduction : L'intrigue se passe en Hyrule, le royaume dans lequel se passe la plupart des « the legend of Zelda », où le pouvoir royale a été renversé par des êtres venus d'une autre dimension, le Crépuscule. On retrouve la plupart des races et des lieux du précédant opus, même s'ils ne sont jamais situés au même endroit dans Hyrule. Les personnages : Link, le héros élus des déesses d'Hyrule, que l'on incarnera dans cette aventure. Il a la faculté de se transformer en loup dans le Crépuscule grâce à la triforce du courage, un triangle formé de trois triangle présent sur sa main, et possède divers objets qui l'aideront dans sa quête, le plus connu étant l'épée Excalibur, qui lève l'obligation d'être loup dans le Crépuscule, et permet donc de se transformer à volonté. Midona est d'abord un petit être mystérieux qui va rencontrer Link en prison et l'aider à s'échapper. Elle deviendra ensuite une alliée précieuse permettant de se téléporter et elle coopère avec Link en forme de loup pour attaquer et franchir les obstacles. On comprend plus tard ce qu'elle est vraiment. La princesse Zelda est la dirigeante du royaume d'Hyrule. Elle possède la triforce de la sagesse, lui donnant certains pouvoirs en rapport avec la lumière. Elle s'est rendu à Xanto après que celui-ci aie plongé Hyrule dans le Crépuscule. Elle est soumise à sa volonté et ne peut quitter le château. Ganondorf est le responsable du chaos qui s’abat sur Hyrule. Il était exilé dans le Crépuscule et s'est servit de Xanto pour revenir en Hyrule et prendre le pouvoir. Xanto est l'usurpateur du royaume de Crépuscule qui s'est allié à Ganondorf pour prendre Hyrule. Il a vaincu les Esprits de la lumière qui empêchaient le crépuscule de venir sur Hyrule. Histoire : L'épopée va commencer dans le petit village de Toal, où Link n'est qu'un jeune villageois. L'élément perturbateur est l'arrivée d'une troupe de Bulblins, sorte de gobelins qui enlèvent des amis de link alors qu'ils partait pour la capitale : la cité d'Hyrule. Link, quant à lui, est fait prisonnier par des créatures d'un autre monde, et il subit sa première transformation en loup. Elle intervient en réaction au Crépuscule, une sorte de dimension onirique qui a envahit Hyrule. Il est fait prisonnier dans le château d'Hyrule et rencontre Midona ainsi que Zelda pendant qu'il s'échappe. Elle lui explique que le royaume est maintenant aux mains de Xanto, le roi du crépuscule. De retour à son village, Link va devoir libérer Hyrule du Crépuscule en sauvant les Esprits de la lumière. De nouveau humain, il obtiendra les habits verts traditionnels. Parallèlement, Midona se prépare à vaincre Xanto en trouvant les cristaux du crépuscule, qui se rassemblent en une puissante relique. On les trouve dans des donjons, ou les temples. Une fois Hyrule libéré, il faut rassembler le miroir permettant d'accéder au royaume du Crépuscule pour vaincre Xanto, et finalement le véritable ennemi, Ganondorf. Avis Personnel : Les graphismes de la Gamecube sont utilisés à leur maximum et sont dignes d'eco ou de shadow of the colossus de la console concurrente. Et même si c'est l'un des premiers jeux de la wii, c'est également l'un des plus abouti graphiquement. Le rendu est très beau même comparé aux consoles actuelles. La bande-son de cette saga est rarement décevante. Elle reprend en effet les thèmes déjà existant en les améliorant, et on aperçoit quelques nouvelles musiques, comme celle des plaines d'Hyrule correspondant à la chevauchée sur de longue distances, ou celle du crépuscule, oppressante, qui correspond bien à cette dimension. Critique : J'ai apprécié ce « the legend of Zelda » car il offrait un univers assez sombre et mature, tout en conservant l'aspect féerique de la série. On observe une diversification des objets et surtout de nouvelles possibilités données par le loup. L'environnement de jeu incite à l'exploration et on est rarement déçu de retourner dans certains endroits, l'apothéose de l'exploration étant de trouver la grotte la plus difficile du jeu, où l'on enchaîne les combats sans régénération de santé. Ce jeu possède donc une durée de vie très élevée. On peut toutefois reprocher aux « Zelda » une certaine exigence pour le joueurs qui peut surprendre certains lors des énigmes et des combats de Boss, même si moi je considère plutôt ceci comme un point fort. Bilan : Twilight Princess est la conclusion de la Gamecube, et l'introduction de la Wii. Il joue ce rôle à merveille en nous offrant une aventure longue, immersive, et pleine de surprises grâce à un scénario réfléchi. C'est sans doute l'un des « Zelda » les plus accessible car on est captivé dès le début par le côté tragique des évènements.
  6. Je voudrais savoir si mon article n'est pas vu que personne ne l'a encore validé ><
  7. Area D, un talent inhabituel Titre Original : 異能領域 ou Area Dī inō ryōiki Année de parution : Mars 2012 Genre : Action, Fantaisie, Surnaturelle et bien sûr Shonen (su Wikipedia il est marqué en Seinen mais je pense qu'ils se sont trompés) Auteurs : Nanatsuki Kyouichi (scénariste) & Yang Kyung-il (dessinateur) Éditeur : Pika (en France) Nombre de volumes : 2 avec le 3 qui sortira courant août (7 sont sorti au Japon, la série est toujours en cours) Introduction : Aujourd'hui, je vais vous parler d'Area D, ce manga, encore peu connu (et toujours en cours), est l’œuvre de Yang Kyung-il, en tant que dessinateur, et de Kyouichi Nanatsuki, en tant que scénariste. C'est juste mon coup de cœur des vacances, donc je vais me faire un plaisir de vous le présenter sans attendre! « Sois témoin de mon crime » Histoire : Douze ans avant le manga il y eu l'explosion d'Antarès, une étoile, personne n'a pu l'expliquer, et personne ne pouvait prévoir ce que cela allait déclencher. Après cet événement, dans les secondes qui suivirent, certaines personnes se mirent à développer d'étranges pouvoirs de toutes sortes, plus ou moins dangereux. Ces personnes sont appelés des atteints, ou altered (pour la version manga papier), ils sont craints et pourchassés dans le monde entier. Une île-prison a été crée spécialement pour eux : Area D, un lieu sans foi ni loi ou seuls les plus fort survivent. C'est sur le bateau qui mène à cette île que nous découvrons Satoru Îda, un atteint qui va devoir se battre pour survivre, avec l'aide d’allier tous plus inattendus et sympathiques. Tous ensemble ils lutteront pour pouvoir affirmer leur statut d'êtres humains et découvrir ce qui se trame sur cette mystérieuse île. Personnages : Satoru Îda : C'est un atteint qui peut détruire tout ce qu'il touche, son pouvoir est appelé l'Horloger, ou Watchmaker, ou Auto-mécano (dans la version papier, mais c'est vraiment pas beau). Il est peureux et trouillard, pourtant quand il est acculé il peut se montrer déterminé et prêt à tout. C'est lui qui libérera Jin au début du manga et lui permettra de former leur groupe d'amis. Jin Kazaragi:C'est un atteint de rang-S (donc très très puissant et dangereux), c'est Sotaru qui le libérera de son conteneur. Son pouvoir est celui de copier le pouvoir des autres, Mimétisme, mais en plus de ça il a une capacité d'analyse qui lui permet de contrôler rapidement les pouvoirs des autres au même niveau qu'eux, voir parfois mieux que son propriétaire. Il semble très attaché à Mika, une petite fille, et est venu sur cette île à la recherche de quelqu'un. Personnage mystérieux, mais pourtant droit dans ses bottes, on découvre son passé au fur et à mesure des tomes sans se lasser. Kaito Yuuki : Il paraît très manipulateur au début du manga mais se révèle être quelqu'un de très gentil qui s'attache à ses amis, d'ailleurs il deviendra très proche de Mariko au fur et à mesure des tomes. Sa capacité est appelé la Maison Vide, qui lui permet de faire rentrer des choses dans son corps dans les même proportions que celui-ci. On apprend finalement qu'il est lui aussi dans cette prison dans le but de retrouver quelqu'un. Rio : C'est une jeune fille plutôt mystérieuse qui aide à plusieurs reprises Sotaru et les autres, mais on ne sait pas vraiment pour quel camps elle est. Son pouvoir Shadow Play, lui permet (littéralement) de jouer avec les ombres, passant dedans et se déplaçant de l'une à l'autre. Sinon elle a la fâcheuse manie d'en sortir nue, ce n'est pas précisé si c'est à cause de sa capacité, (espérons le, sinon c'est juste une nudiste). Mika : C'est une petite fille que l'on a enfermée dans un conteneur en lui faisant croire qu'elle était un monstre uniquement là pour tuer, ce qu'elle du coup s'appliquait à faire jusqu'à ce que Jin lui montre la vérité : qu'elle est toute aussi humaine que tout le monde. Depuis, elle voue une grande admiration pour Jin et l'aime comme un grand frère. Sa capacité Space eater, permet (littéralement) de dévorer ce qu'elle veut dans des sphères dimensionnelles, pour faire clair : tout ce qui se trouve dans un de ses sphères disparaît dans une autre dimension. Il y a bien entendu beaucoup d'autres personnages que l'on découvre au fur et à mesure des tomes, et qui sont bien entendu tout aussi intéressants que ceux que je vous ai déjà présenté. Mais ce serait trop long de tous les évoquer. Chaque personnage est intéressant,et a son intérêt propre pour l'histoire,de plus on n'est jamais déçu par un nouveau personnage. Et puis, je pense que comme c'est un manga en cours, il est mieux, dans votre intérêt, de les découvrir en lisant pour vous laisser la surprise (et surtout le suspense). Critique : Ce manga, typiquement shonen, ne compte encore que 3 tomes en France pour 7 au Japon (le 3 sera sortit d'ici à ce que cet article soit publié j'imagine, dans tout les cas il sort en août). Quand on découvre ce manga, et que l'on remarque 'atteint' et 'mutation' on se dit "Encore une histoire répétitive avec des mutants, un remix de X-men". Mais, c'est tout le contraire, déjà, pour reprendre le point principale de l'histoire, les mutations, celles-ci ne sont pas comme on a pu le voir dues à l'évolution, mais bien dues à l'explosion de l'étoile. Chaque mutation est surprenante et intéressante, et c'est à chaque fois une nouvelle découverte. Même ceux qui se transforment en bête ne sont pas laissés pour compte, (certains ne sont vraiment pas beaux, mais c'est généralement fait exprès), si on prend Gozu, le boss du Sud de la prison Area D, sa transformation en bête est juste très belle et très bien dessiné, et surtout très bien développé n'étant pas juste du bourrin pour du bourrin. A propos des dessins, vu qu'il y a un dessinateur et un scénariste, ils sont très beau, très minutieux sur les mutations et sont un vrai plaisir pour les yeux. Les illustrations de couvertures sont souvent très simples, (à part la 6) mais quand on regarde les illustrations en début de tomes, ou à la quatrième page de couverture (comme celle au début de la partie 'Histoire' ou celle sur ci-dessus), c'est juste une explosion de couleurs bien choisies et qui sont ravissantes. Et puis, vive le fan-service (personnellement, je ne suis ni vraiment pour ni vraiment contre tant qu'il y a des limites) et dans ce manga : il y en a, mais autant pour les hommes que pour les femmes ! Et ça, ça fait plaisir ! Je veux dire, il n'y a pas juste le héro super beau, Jin, il y en a pour tout les goûts ! (et pourtant je suis compliquée). Si je devais reprocher une chose au dessin, et encore c'est vraiment pour trouver quelque chose à y redire, ce serait que les tablettes de Jin sont exagérées. Mais, le dessin ne fait pas tout, le scénario a aussi son importance. Venons en au scénario, Area D reste un shonen, ce qui fait partie des « mauvais côtés », on enchaîne combats sur combats avec notre super-héro : Jin. Pourtant, les combats restent justifiés et font tous avancer l'histoire et permettent même d'apprendre certaines choses. Je pense, pour ceux qui liront, que le combat de Jin contre Goz reste un des meilleurs et un des plus touchant, parce que dans les combats ce n'est, généralement, pas juste deux adversaires qui s'affrontent mais deux idéologies et deux personnes. L'intérêt est donc que ce n'est pas du combat pour du combat comme on pourrait le craindre. Et puis, pour un héro Jin a plutôt la classe, il a un pouvoir intéressant et plutôt inattendue pour le personnage principale, on s'attendrait plus à ce qu'il détienne le pouvoir le plus puissant du manga alors qu'il se contente de copier celui des autres. Il en est de même avec son background très original, et travaillé qui ne tombe pas dans le cliché tout en gardant une part d'émotions importante pour le lecteur. Kyouichi, le scénariste, fait du très bon travail en réussissant à mêler un univers de combats et de sang sur fond de lutte pour les droits des atteints à être reconnus comme des êtres humains avec un cœur et des sentiments. On voit ça dès le premier tome, ce qui est quand même très impressionnant quand on y pense ! Le chef du bateau est présenté comme un anti-atteint profond, pourtant à la fin il en vient à les considérer autrement, car on voit qu'au final atteints ou humains il y a du mauvais dans les deux, et aussi surtout du bon ! Je ne vais pas m'étendre plus pour ma critique, sur la question des personnages j'ai distillé un peu tout le long, je m'arrêterais seulement sur un point : j'ai lu des commentaires disant qu'Area D reprenait beaucoup Deadman Wonderland. Intrigué et un peu déçu que ce manga soit juste un plagiat d'un autre, je suis allé regarder cet anime pour me faire ma propre opinion et vous donner un avis objectif sur les deux mangas. Et franchement, je n'ai pas du tout trouvé que c'était repris, donc je vais vous montrer les différents points qui ont été reprochés : -les capacités : dans Area D les personnes atteintes contrôlent tous un pouvoir différent plus ou moins puissant, dans Deadman, il existe certaines personnes pouvant contrôler leur sang. Là, objectivement on peut peut-être y penser parce qu'ils ont des pouvoirs mais dans Deadman il est unique et encore pas acquis dans les même circonstances (pour ne pas trop spoiler) ! -la prison : effectivement les atteints et les deadmans sont enfermés dans une prison, mais, à part que dans les deux c'est sans règles et que celles qui existent sont tordues, c'est très différents : dans Deadman la prison est un simulacre de grand parc d'attraction alors que dans Area D on dirait simplement un quartier mal famé. J'ai cherché et le seul parc d'attraction d'Area D est abandonné comme vous pouvez le voir ci-dessus. -le personnage traumatisé et apeuré : c'est vrai que Sotaru et Ganta (dans Deadman Wonderland) se ressemblent mais ne se trouvent pas là pour la même raison ! Et n'auront d'ailleurs ni les mêmes réactions ni les même actions. Il est vrai qu'Area D reste un manga assez banale dans le scénario avec un phénomène étrange qui crée des capacités tout aussi étrange, un héro pour changer le monde, une fille kawaï (ça aussi c'était dans les reproches d'ailleurs alors que oui il y a bien deux filles toutes nues dans les deux mais dans ce cas là autant faire aussi un rapprochement avec Neko dans K-project tant qu'on y est), et un monde obscure et vraiment horrible envers eux. Pourtant, il reste intéressant par les différentes actions et réactions des personnages qui ne sont pas forcement celles auxquelles on pouvait s'attendre. Avec aussi des thèmes repris mais travaillés de façon intelligente et intrigante qui donnent envie de voir comment l'histoire va évoluer tout du long. Avec un début un peu lent, Area D finit par prendre son rythme de croisière (sans mauvais jeu de mots) et nous entraîne d'actions en actions tout en parsèment quelques informations qui ne donnent qu'envie d'en savoir d'avantage. Bilan : Area D reste un shonen ponctué de beaucoup de combats ce qui ne plaira pas forcement à tout le monde, mais après quand on signe pour un shonen faut assumer (regardez Dragon Ball, j'adore mais j'ai envie de dire les combats y a presque que ça). L'univers reste assez étrange, mais la multitude de personnages et la divergence des caractères et des background de ceux-ci laissent une grande place aux choix du lecteur qui ne peut que finir par trouver son bonheur. Le manga n'est pas finis et on ne peut que croiser les doigts pour que cela continue aussi bien, en espérant qu'il ne finisse pas par tourner en rond, en tout cas les derniers scans montrent le contraire avec de nouveaux rebondissements des plus inattendues !
  8. Nouvelle question xD j'ai regardé l'article ayant gagné l'année dernière et le style est celui exactement de votre site, donc je me suis dis que j'allais le construire dans la même idée, mais pour faire l'édition comme lui, avec les bannières et tout, comment on fait? ^^"
  9. ok, parce que du coup j'ai envie d'en faire un dans chaque xD Donc j'pense que je vais commencer par faire sur Area D en manga ;)
  10. Hey ^^ je me suis crée un compte pour le concours ;) Je voulais demander, si on participe avec un article pour chaque catégorie, là aussi seul l'article le mieux placé sera retenue? Et pour les jeux vidéos il faut forcement que ce soit un jeu vidéo manga? Merci d'avance ;)
×
×
  • Créer...