MilkyLove

même pas de moi? *aiguise son couteau à sashimi en sifflotant*

Faut savoir que c'est surtout une raison de culture.
 
Dans la vie de tous les jours et dans la société les Japs'sont bridés (pas de mauvaise blague svp :P), il y a une frustration permanente, un "bon paraitre" obligatoire, mais dans la vie privée ce sont de gros débauchés qui partent dans des délires très malsains.
Dixi mon ex, les japs' sont de gros gros obsédés et sont bien moins farouches que nous occidentaux sur le plan sexuel. Mais que dans le cercle privé.
 
Puis n'oublions pas que c'est une réalité et non une légende les japs' sont connus pour avoir aussi bien des seins de taille modéste que des atouts de petite taille.
Du coup au travers des animes and co ils assouvissent certains de leurs fantasme, ni plus, ni moins.
 
Pour ma part pas de taille idéal, j'ai eu tous les cas de figure possible, mais tant que c'est ferme et que ça tombe pas c'est nickel o/ Mais j'avoue qu'un bon bonnet c'est fort plaisant :)
Par contre pas de faux seins, ça c'est juste too bad.

J'ai toujours trouvé les japs en général totalement tarés question poitrine féminine. Bon dans les hentai ont a souvent des exagérations tellement monstrueuses que ça en devient immonde, mais même dans l'ensemble, on dirait qu'au pays du Soleil Levant, les grosses poitrines ça leur dit tellement rien qu'ils imaginent les pires aberrations possibles...
 
Même lorsque qu'il ne s'agit pas d'hentai voire même d'ecchi, ça va assez loin. Par exemple (pas d'offuscation, je vais pas linker des boobs à l'air, et je mets des balises spoils ^-^), je reste encore choqué par le tournant qu'a pris le designer de chez Vanillaware (Odin Sphere, Oboromuramasa) sur leur dernier projet, Dragon's Crown :
 
 
 
Bon, je passerai sur le fait que je trouve déjà le dessin absolument raté (la fille tient pas debout, wtf la pose quoi...), ses seins sont gigantesques, ils sont pas à moitié couverts, c'est juste laid quoi...
En comparaison à Velvet d'Odin Sphere, c'est quand même triste, parce que dans son design, c'est une fille avec des gros seins. Mais c'est visuellement normal.
 
 
 
Dans le même genre d'exemple, y'a Dead or Alive, où non contentes d'avoir des poitrines gigantesques, les filles ont des seins qui défient les lois de la gravités. Ou alors les japs sont persuadés que les nénés c'est des gros flans qui bougent dans tous les sens ?
Dans cet ordre d'idée, le générique des OAV de To love ru m'a fait pleurer de rire et de dépit à la fois :
 
 
Dans le genre animation à peiiiiine exagérée, ça fait fort... Même les persos avec des poitrines "normales", ça ballote comme pas possible.
 
 
Personnellement, j'ai toujours eu une préférence pour les personnages proportionnés normalement, voire même avec des petites poitrines. Les espèces de vaches laitières, je peux pas. A moins que l'exagération n'aille pas trop loin et que le perso soit basé là-dessus, comme Toroko dans GTO, ou bien plus récemment Sena dans Boku wa tomodachi ga sukunai qui se fait traiter de viande. x)
 
Bref, je dis stop aux 120F et + ! :d

Parce que y en amarre des minotauresse avec des seins tellement énorme qu'elle marchent dessus! (minotauresse= mi-vache laitière, mi-femme)
 
aussi j'aimerais connaître vos avis!est il selon vous normal qu'on représente systématiquement une femme par ses attributs mammaires? (même question pour le genre du ecchi qui est souvent pas mal non plus à ce niveau là)? préféreriez vous qu'il en soit atrement (lolicon à part je vous prie)

[Lieu : Ryoku, Auberge "Au Dragon Cuit" / Temps : dégagé / Nuit]
Personnages évoqués :Saluky, Iris, Ryô, Eva, Kazugaya, Tyrael




 
 
« As-tu de quoi te protéger seule ici ? Ce qui vient d’arriver est loin d’être inoffensif… »
 
Elle jette un rapide coup d’œil à son arc et hoche la tête positivement. Ses tremblements ont cessés, aussi rapidement qu’ils étaient apparu. Est-ce la marque qu’elle a vu apparaitre sous l’œil de l’amnésique qui lui fait cet effet ? Elle chasse les souvenirs qui imbibent lentement son esprit et se concentre sur la situation.
 
« - Je sais me défendre, ment-elle plus ou moins, va.
- Fais attention. »
 
Et l’homme disparaît rapidement derrière la porte après cette dernière mise en garde. Saluky ne traine pas plus. A peine entend-t-elle le cliquetis de la porte qui se referme qu’elle s’active pour rassembler ses affaires. Elle est prête quelques minutes plus tard, carquois et arc sur le dos, capuchon rabattu sur sa tête. Elle coule un dernier regard à la tablette. Elle hésite.
 
« Depuis que je l’ai, les problèmes s’accumulent… et puis, j’ai trop souvent tendance à m’encombrer d’objets inutiles ! »
 
Sa décision est prise. Elle a tout noté dans son carnet, la tablette ne lui est plus d’aucune utilité. Et Kazugaya saura surement mieux quoi en faire qu’elle.
 
« Quel dommage qu’aucune magie ne soit capable d’éterniser des images, ce serait drôlement pratique. » soupire-t-elle pour elle-même.
 
D’un mouvement rapide, la jeune elfe ouvre la fenêtre et monte sur le rebord. Elle baisse les yeux en réprimant un bâillement.
 
« Ouhlà ! Je suis loin du sol tout de même… »
 
L’idée de se servir des draps come une corde lui traverse l’esprit, mais la bonne conduite lui interdit d’abimer la propriété des autres. Sans plus de questionnement, elle se suspend à la fenêtre, les jambes dans le vide. Le vent froid vient mordiller le bout de ses doigts. Ses membres faiblissent déjà. Si l’agilité de Saluky n’est plus à démontrer grâce à l’habilité naturelle de sa race et à son glyphe aguila, sa force reste pour le moins très…limitée. Ses lèvres murmurent un secret au vent et, accompagnée d’une bourrasque violente, elle lâche prise. Un coussin d’air vient amortir sa chute, en plus de la neige qui s’affole avant de retomber au sol mollement. Malgré tout, ses fesses sont un peu douloureuses. Elle se redresse, frotte ses mains, enfile ses gants et s’époussette le bas du dos.
 
Elle remercie le vent et tend l’oreille. Plusieurs sons provenant de l’intérieur de l’auberge se font entendre, mais elle ne parvient pas à les identifier. Elle ferme les yeux et pense à la propriétaire, à la petite servante, à Iris et aux guerriers qu’elle a croisé. Mais quelque chose de sombre est ici. Trop noire est son aura pour que Saluky prennent le risque de le croiser. Le serpent siffle le danger.
 
« Pardonnez-moi, je ne peux pas rester » souffle-t-elle dans sa langue natale avant de rouvrir les paupières, déterminée.
 
Sans un bruit, elle prend la direction des écuries où l’attend sa monture.
Sans laisser la moindre trace supplémentaire dans la neige fraîche, elle fuit.
Sans un regard en arrière, elle se volatilise dans la nuit.

Ah ouais. c'est sur qu'un lynchage collectif pour un gars qui "fout la merde" ça c'est de la justice, par rapport à ces "mous du glands peace and love"
 
à partir de quel stade tu décide que le fouteur de merde peut crever? Pillage de magasin, crevage de pneus en série, sale gueule?
 
Ta justice, c'est décider de buter quelqu'un sur un coup de tête si tu veux, parce que ça part trop vite comme tu dis. Des lynchages collectifs de "justices" y en a eu pas mal en France encore au XXe siècle (même sans compter l'épuration sauvage d'après guerre qu'est un cas plutôt extrême). Dans la très grosse majorité des cas, c'était des villageois d'un bled sur les nerfs à cause d'un drame local qui se sont trouvés un bouc émissaire coupable de sale gueule, d'être étranger, d'être celui qu'on aime pas. Bref, c'est pas pour rien que la justice est aussi chiante sur le point "on prend pas les choses en mains tout seuls comme des cowboys qui vont buter quelques indiens"
Arpès je dis pas que je suis d'accord avec tout ce que fait la justice, très loin de là. l'histoire du père dont a parlé zorba par exemple, tant qu'il y a pas eu sévices à l'occasion. mais tu fais pas "justice" toi même sans rien demander à personne. ou loin de se sentir protéger, les gens oseront plus foutre le bout de leur nez en dehors de chez eux à moins d'avoir un bon flingue tout près à l'emploi contre d'autre "justiciers" qui pourraient leur chercher des cognes.
 
 
 
S@dmad: puisque je poste un message dans ce sujet, je te le dis: je te soutiens \o/
Je suivais depuis un moment l'avolution est tu as rudement bien géré je trouve. Amrès si je te l'avait pas encore dit, c'est que j'avais l'impression que tu aurais plus besoin du soutien de tes amis que de savoir qu'une énième personne fort peu connue s'inquiétait pour toi etc. je pense que je suis pas pla seule dans ce cas là. Voilà ^^

[Lieu : Ryoku, Auberge "Au Dragon Cuit" / Temps : dégagé / Nuit]
Personnages évoqués :Saluky, Iris, Ryô
(Je n'ai pas l'image de Ryô sous la main, je la rajouterai en rentrant chez moi)

 
 
« Non... » Elle se dérobe au contact d’Iris, et laisse sa chemise de laine la recouvrir cachant l’étrange reptile aux yeux du monde. Sans se retourner, elle continue :
 
« Mais il ne s’est pas vraiment éveillé non plus totalement » La jeune elfe se tait un instant, pesant ses mots, réfléchissant à ce qu’elle racontera et ce qu’elle gardera pour elle. « Je dirai plutôt qu’il veille. Quand je suis menacée, il s’agite. Quand je me bats, il me soutien. Quand je blesse quelqu’un, il… Je crois qu’il rit. Le sang l’attire toujours autant. Le reste du temps, il ne bouge pas.»
 
La voix de Saluky est basse, hésitante. Son corps tremble, presque imperceptiblement. « C’est à cause du froid » se dit-elle mais elle sait pertinemment que c’est la peur qui affaiblit ses membres et lui hérisse les cheveux sur la nuque. Elle doit se ressaisir. Elle refoule les souvenirs et fait semblant d’aller bien. Elle fait semblant, mais n’y arrive pas totalement. Elle enroule une mèche de cheveux autour de son doigt dans un geste nerveux, tout en pivotant pour elle-même pour faire face à Iris. Il ne sait pas redressé, et elle doit baisser les yeux pour observer l’homme. Un soupire franchit la barrière de ses lèvres. Elle le connait si peu mais elle se sent un peu comme liée à lui car il est le gardien d’un secret qu’elle ne veut même pas s’avouer à elle-même. Une « malédiction », qui l’avait séparée de ses parents, un mal qui ne faisait rien d’autre que la rendre plus faible. En quelque sorte, elle était l’hôte d’un virus qui ne pouvait survivre par lui-même.
 
« Iris….
- Oui ? »
 
Il plongea le regard dans le sien, un sourcil levé en signe d’interrogation. Saluky sent le serpent se déplacer lentement et descendre le long de sa jambe pour se rapprocher d’Iris. Son sifflement raisonne dans son crâne, tellement bas qu’elle l’entend à peine. Mais elle n’a pas besoin de le comprendre pour savoir.Dire qu'elle essaye tellement d'éviter les problèmes, d'avoir une vie relativement calme, de prendre son temps pour voyager et apprendre, car après tout, elle a l'éternité devant elle pour retrouver son peuple.
 
« Je crois que quelque chose vient d’entrer dans l’auberge. J’en suis sûre. Et ça n’a pas l’air gentil. Ca ne l’est pas. J’ai envie de dormir. Ce n’est pas le moment. »
 
Elle ne cherche pas à déchiffrer le regard que lui adresse l’homme en se relevant. Elle lui sourit franchement, avec une sincérité mal placée.
 
« J’ai froid Iris. J’ai froid et j’ai peur. »

[Lieu : Ryoku, Auberge "Au Dragon Cuit" / Temps : dégagé / Nuit]
Personnages évoqués :Saluky, Iris, Ryô
(Je n'ai pas l'image de Ryô sous la main, je la rajouterai en rentrant chez moi)

 
 
« Non... » Elle se dérobe au contact d’Iris, et laisse sa chemise de laine la recouvrir cachant l’étrange reptile aux yeux du monde. Sans se retourner, elle continue :
 
« Mais il ne s’est pas vraiment éveillé non plus totalement » La jeune elfe se tait un instant, pesant ses mots, réfléchissant à ce qu’elle racontera et ce qu’elle gardera pour elle. « Je dirai plutôt qu’il veille. Quand je suis menacée, il s’agite. Quand je me bats, il me soutien. Quand je blesse quelqu’un, il… Je crois qu’il rit. Le sang l’attire toujours autant. Le reste du temps, il ne bouge pas.»
 
La voix de Saluky est basse, hésitante. Son corps tremble, presque imperceptiblement. « C’est à cause du froid » se dit-elle mais elle sait pertinemment que c’est la peur qui affaiblit ses membres et lui hérisse les cheveux sur la nuque. Elle doit se ressaisir. Elle refoule les souvenirs et fait semblant d’aller bien. Elle fait semblant, mais n’y arrive pas totalement. Elle enroule une mèche de cheveux autour de son doigt dans un geste nerveux, tout en pivotant pour elle-même pour faire face à Iris. Il ne sait pas redressé, et elle doit baisser les yeux pour observer l’homme. Un soupire franchit la barrière de ses lèvres. Elle le connait si peu mais elle se sent un peu comme liée à lui car il est le gardien d’un secret qu’elle ne veut même pas s’avouer à elle-même. Une « malédiction », qui l’avait séparée de ses parents, un mal qui ne faisait rien d’autre que la rendre plus faible. En quelque sorte, elle était l’hôte d’un virus qui ne pouvait survivre par lui-même.
 
« Iris….
- Oui ? »
 
Il plongea le regard dans le sien, un sourcil levé en signe d’interrogation. Saluky sent le serpent se déplacer lentement et descendre le long de sa jambe pour se rapprocher d’Iris. Son sifflement raisonne dans son crâne, tellement bas qu’elle l’entend à peine. Mais elle n’a pas besoin de le comprendre pour savoir.Dire qu'elle essaye tellement d'éviter les problèmes, d'avoir une vie relativement calme, de prendre son temps pour voyager et apprendre, car après tout, elle a l'éternité devant elle pour retrouver son peuple.
 
« Je crois que quelque chose vient d’entrer dans l’auberge. J’en suis sûre. Et ça n’a pas l’air gentil. Ca ne l’est pas. J’ai envie de dormir. Ce n’est pas le moment. »
 
Elle ne cherche pas à déchiffrer le regard que lui adresse l’homme en se relevant. Elle lui sourit franchement, avec une sincérité mal placée.
 
« J’ai froid Iris. J’ai froid et j’ai peur. »

Merci pour vos réponses^^ ça me fait toujours très plaisir de recueillir des regards extérieurs sur ce que je vous expose
 
@ Saluky: Ben les césures.... t'avoueras quand même que c'est hyper galère alors j'avoue qu'il a pu arriver qu'elles sautent quand j'avais pas le choix (il arrive que la langue française prenne un plaisir sadique à briser mes aspirations de poétesse) Pour autant j'adore la forme de stricte du sonnet qu'il permet de condenser les émotions. Sans ces formes pourtant difficile à respecter, je m'étiole, étale, m'attarde sur les détails qui finissent par supplanter l'émotion. tantdis que dans une forme fixe, chaque mot, chaque détail, peut difficilement supplanter sa place dans l'émotion que je cherche à exprimer. et il y a le rythme aussi. après les césure... Grands Dieux, qu'elles sont galères... et si tu me donnait ton avis sur le reste pour que ta pauvre ami puisse voir son misérable travail par tes beaux yeux verts d'elfe?^^
 
@ Cephi: Ton avis étais très développé, et, bien que tu dise qu'il n'est pas constructif pour deux sous, je n'en suis pas si certaine. Tu met au contraire en lumière les choses sous des angles que je ne voit pas forcément, en expliquant ton sentiment, ce qui est précieux pour ciseler d'autant plus les prochains. Heureuse que tu ai aimé ce poème sur cette prof, j'avais besoin de l'écrire pour me défouler ce jour là, je l'execrais beaucoup. (fait sans rapport mais qui l'a montre sous son jour de vicitude incarnée, ses chats passaient leurs journées attachés à un piquet dans sa cour, et les nuits enfermés dans une pièce.) j'en a écrit d'autres sur elle, mais je vais pas non plus en faire le sujet principal de ce topic, et ils étaient souvent moins bons.
J'espère ne pas te décevoir par mes prochains écrits puisque tu as l'intenttioni de les lire^^
 
@Mordakan: Bien sûr que non la poésie n'est pas réservée à l'amour (mais c'est peut être une forme d'amour que d'en faire ou d'en apprécier va savoir X))
Merci beaucoup de ta réponse. Pour ce qui est de la "mode" récente des topics à poèmes, je dirais qu'eva à incité/motivé beaucoup de gens à la poésie avec l'event de la saint valentin. en tout cas, c'est ce qu'il m'a semblé.

Mince..
 
J'en reviens pas d'avoir loupé tes poèmes Drei-M. C'est incroyable comment je loupe toujours ce qui est intéressant!
 
Bref, vu qu'il y a eu beaucoup de poèmes qui sont passé, je vais d'abord faire un avis global..
Il y en a que j'aime énormément, qui sont fluides, intenses, avec un rythme du feu de dieu, qui nous transportent dans les recoins de la personne qui seraient "l'auteur" (Si tu comprends ce que je veux dire.. En gros on est transporté dans l'univers du sujet).
Par contre il y en a d'autre que je trouve plus long, moins accrocheur, moins profond dans la lecture.. La encore, c'est un avis très subjectif, surtout quand je vois que certains de tes oeuvres que je n'apprécie pas particulièrement sont grandement appréciés par d'autres personnes xD Donc tout ca pour dire que mon avis n'est qu'un avis parmi tant d'autre et qu'il n'est pas constructif pour un sous. Par contre j'aimerais vraiment continuer à te lire parce que tu m'as apporté un grand moment d'émotion avec tes écrits!
 
 
Sinon j'aimerais mettre un commentaire sur ton tout premier poeme... Je l'ai lu avant de lire la remarque au dessus comme quoi tu l'avais écris en cours de francais.. Et bien j'ai trop ri, j'ai trop imaginé une scene similaire! Ce n'est qu'après avoir lu cette remarque que je me suis dit "Oh j'étais trop dans le juste" (Pour la petite histoire, quelque fois j'ai l'imagination débordante et ce que je pense d'un écrit est parfois loin du sujet que veut faire passer l'auteur).
Bref, t'as parfaitement réussi a faire passer toute l'émotion que tu ressentais! Je l'ai trouvé extraordinaire, j'ai adore!
 
Les deux derniers par contre m'ont moins plus, comme je l'ai dit plus haut, je pense que c'est parce que je les trouve trop long. J'ai plus l'impression que c'est ce qu'un hypnotiseur dirait à son patient pour le relaxer ou autre xD
 
Je vais m'arrêter la pour le moment... :P
 
En tout cas merci pour ces moments de pur bonheur! J'espere te relire très bientôt!!!

Celui là parle d'une fille mère, mais je l'aime un peu moins, je le trouve lourd :)
 
 
 
Son pas est lancinant, les regard sur elle lourds
Pourtant son port de tête est droit et reste fier
Par les condamnations ne se laisse pas faire
Elle avance. Comme une petite reine aux yeux sourds
 
Les mignonnes de son âge sont des princesses
Elle, plus jamais. Les yeux d’un homme l’ont faite reine.
Jeune, elle partage des cygnes la peine
Solide, malgré les ailes que les becs blessent
 
Sa fragilité est là, mais dissimulée
L’enfant tétant son sein l’empêche de faire de même
Plus jamais dans le giron de sa mère qui l’aime
 
Elle a repris son rôle et nourrit de lait
Le bébé qui a son enfance transformé
Il grandissent ensemble depuis le mois de mai

à MrChiron: Merci beaucoup, heureuse que ça t'ai plu^^

La fébrilité dans tous les gradins
Parcourt une foule toujours plus intense
Le noir fait, l’attente assourdit les sens
Imperceptiblement tremble ma main
 
Là ! L’obscurité s’est mise à grincer
Semblant venue d’un étrange monde
Au sein d’une épaisse fumée blonde
La passerelle en scène s’est placée
 
D’autres part, illuminés par un halo
Ils viennent. Portant flambeaux et fanions,
Leur place est au centre : ils y vont
L’unique note devient son beau
 
Tout est en place, le concert commence

pardon pour le double post mais c'est pour updater...
 
Ce poème, c'est une image qui me l'a inspiré, en cours de français:
 
 
 
La silhouette gracile à la nuque fragile
Porte, comme marquée, ce serpent acéré
Qui, couleurs bariolées, est dans la chair gravé
Ornement refleuri plutôt que vil reptile
 
Ses grands crocs luisants jaillissent de la douceur
Ainsi l’intrigante ; sous jacent l’ingénue
Innocente. Sourire charmant au dents nues
Qui attise et tente ceux qui voyaient leur sœur
 
Cet hideux serpent éclate sa face au ciel !
Il dit son propre mal, et parce qu’il se révèle
Son hypnotisante danse est liée de fleurs
 
On peut à la courtisane avec sourd bonheur
Se livrer, se laisser bercer dans un râle
Et n’être blessé par le couteau de pétales

petit up: un poème sur le choix, à un moment ou j'avais du mal à en faire un
 
On le dit symbole de liberté
Mais il m’enferme dans une terreur
Et apparaît mon incapacité
A le faire mien, pour mon pis malheur
Et toujours me paralyse l’horreur
Je recule, cours vite et je m’enfuie
Laisse l’immobilité prendre l’heure
Oublie le regard de lui qui me suit
Je me détache pour mieux être seule
Pour oublier ce choix et tout ceux là
Qui m’arrachent et mon bien seul veulent
Tous ces biens qui se contredisent là
Et moi, incapable, je les veux tous.

merci à toutes les trois!! vous m'encouragez^^
 
Par contre milky, le dernier, tu l'as trouvé... chouette? pas le qualificatif que j'aurais employé mais c'est pas grave!! (plutôt torturé, un peu gauque mais chouette? dans le sens petites fleurs, n'oiseaux toussa toussa?)
 
Artyk, je parie que t'as pas trouvé dans lequel je t'évoque (très) brièvement X)
 
quant à toi Kana, heureuse que ça t'es plu, celui sur la capucine m'a donné du mal je me rappelle. J'en ai d'autres que m'ont inspiré ce même cours tout au long de l'année, avec cette prof si exaspérante qu'elle en détruisait sa propre matière à mes yeux.

en fait... oui -_-' pardon... :fail: mais c'est vraiment arrivé en plus, une fleur dans le plan devant la maison que j'avais trouvé trop belle et je t'ai cherché e partout pour te dire de pas la bouffer celle là et quand je suis repassée... zu spät

petit up pour deux nouveaux poèmes
 
Le premier:
 
 
Imagine toi tranquillement au soleil
Allongé. La chaleur te taquine la joue
Les chatouilles des brindilles sur ton mollet jouent
Sous tes paupières, la lumière devient vermeille
 
Imagine toi aussi dans ton canapé
Les pieds au chaud, sous un plaid épais et douillet
Socialisant de ton cocon, sur ton PC
Proche de toi un chocolat chaud et épais
 
Arrête toi !Tu es inefficace. Regardes :
La pile de papiers. Le regard de reproche.
Tu ne dois pas rêver. Et c’est peut être moche
 
Mais n’oublie plus ce que tu es : un pion qu’on garde
« on » est ton système, et la détente illusion
Pour te faire accepter ton travail. Petit pion.
 
 
 
 
Le second, m'a été inspiré par une peinture de bateau, que je n'ai pas trouvé sur internet, Bassin Vauban, de ronan olier.
 
L’eau immobile est grise, le ciel épais de silence
Là guette le chemin de ronde d’un contrefort
Et se reflète, flou, dans le mouillage du port ;
Les mâts des voiliers vers les nuages s’élancent.
 
Sur le côté : parpaings, containers et ciment
Paquebots et camions sont ici imbriqués ;
Des ombres entre les blocs se coulent, comme marquées
Par la peur ; s’évaporent inexplicablement
 
Dans le creux d’un bateau, un rire est étouffé
A Calais, on a pas remarqué leur « méfait »
La France les a rejeté malgré leurs efforts
 
Alors ils chercheront leur chance en Angleterre
Aussi inlassable que d’anciens chercheurs d’or
Le bateau part. Ils rient. Là bas, les gardes frontières…

Du YAOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIii :wow:

J'en suis qu'a l'épisode 166 de shippuden je suis bien loin de vos épisodes (faux que j'arrete de regarder en vf moi :ninja: ) Juste pour dire que Pain a décidément trop la classe avec ses phrases :(
 
 
 

HRP : Je veut bien qu'on puise jouer un peu les persos des autres, mais là tu m'à carrément embarqué sans crier gare Master...
 
[Lieu : Ryoku, Auberge "Au Dragon Cuit" / Temps : dégagé / Nuit]
Personnages évoqués :


 
Il semblait qu'Iris s'était de nouveau trompé de chambre... Celle à laquelle il venait de taper était déjà occupée par un jeune homme, visiblement surexcité puisqu'il ne laissa guère le temps au vagabond de s'expliquer qu'il s'était déjà fait embarquer par l'inconnu qui vraisemblablement n'était pas sur que ce soit sa chambre à lui non plus...
Le duo était donc repartit dans les couloirs de l'auberge jusqu'à ce que Tyrael, qui s'était présenté entre-temps, s’arrête devant une porte disant avoir quelque chose à faire... Tapant à une porte, cette dernière s'ouvre quelques minutes un peu plus tard, laissant paraître une jeune demoiselle...
 
* * * * *
 
Un village à l’orée d'une foret... Un village tout ce qu'il y avait de plus ordinaire... Telle était la vision qui se déroulait actuellement dans l'esprit d'Iris, il n'aurait pas su dire ce qu'il se passait, mais ce qu'il voyait semblait lui être lié puisqu'il pouvait se voir lui même quelques mètres au sol sous son lui actuel...
 
-Je suis à la recherche de quelqu'un. Est-ce que vous pourriez m'aider ? Elle...
 
La vision se fit floue... tout ce qu'il pu voir avant qu'elle ne s'efface, c'était une personne, une petite fille pour être exact...
 
* * * * *
 
La même personne qui actuellement était pendue au cou de l'amnésique... Son visage lui était familier, bien plus que familier même. Il n'aurait pas su dire qui ou pourquoi, mais une phrase lui remonta dans la gorge à peine entendit-il de l'elfique parvenir à ses oreilles.
 
-Elen síla lúmenn' omentielvo*
 
Cette phrase lui disait aussi quelque chose, il était certain qu'elle avait un sens. Le temps semblait s'élargir alors que la scène sous ses yeux se figeait. Sa mémoire lui jouait des tours bien trop souvent, et il avait beau être à la recherche d'indices, il finissait toujours par tout oublier. Il ne savait donc pas quoi faire dans la situation actuelle, il était certain de connaître la demoiselle qui se pendait à son cou, mais ne parvenait pas à remettre un nom sur ce visage, pas plus qu'il ne se souvenait de... de qui déjà..?
 
-Je... Je craint que non... Je suis navré...
 
*Une étoile brille sur l'heure de notre rencontre, Quenya également (J.R.R Tolkien)

[Lieu : Ryoku, Auberge "Au dragon cuit" / Temps : dégagé]
Personnages évoqués :


 
Eva retrouve ses draps et le calme de sa chambre. Le clair de lune bienveillant darde ses rayons sur la neige étincelante. Eva se retourne dans ses draps mais n'arrive pas à trouver le sommeil. Trop de questions encombrent sa tête. Pourquoi les spectres ont attaqué l'auberge d'une manière aussi organisée, dédaignant toutes les autres maisons du village ? Alors, là c'est simple, il y a quelque chose qui les attirent ? Quoi ? L'elfe ou sa tablette ? Si c'est l'elfe, alors pourquoi ? Si c'est la tablette, alors de quoi il s'agit ? Une intuition susurre à Eva que la tablette ,'est vraiment pas un objet anodin. Mais la tablette ne m'appartient pas, alors comment percer son secret ? Si je demande à cette jeune elfe, est-ce qu'elle acceptera de me dire de quoi il s'agit ?
 
Eva se met en position du lotus et ferme les yeux. Elle inspire profondément en psalmodiant un mantra. C'est la méthode que son maitre Arachnea lui a appris pour entrer en contact avec Târâ, la déesse de la lumière.
 
Ô Târa, éclaire moi
Montre moi le chemin
qui me mène à toi
 
Ô Târâ, aide moi
Révèle la vérité
A ceux qui ont besoin de toi
 
Une vision s'impose à Eva. La vision d'un être des ténèbres, d'une peau aussi blanche que la neige qui enserra la terre fertile et portant des ailes aussi noires que le rideau d'une nuit sans lune. Eva s'éveille de sa vision terrifiée ! L'elfe, la tablette ainsi que toutes les personnes demeurant dans l'auberge sont en danger de mort.

Oh mon dieu les gens! Regardez ça! L'ours a pénétré sur mon ordinateur! Google chrome ne sera plus jamais le même!
 

[Lieu : Ryoku, Auberge "Au Dragon Cuit" / Temps : dégagé / Nuit]
Personnages évoqués :




 
 
La jeune elfe tend l’oreille. Ils sont deux. Bizarre. Et ils se dirigent bien vers sa chambre. Bizarre bizarre.
 
Trois coups léger sont frappés à la porte, juste assez fort pour qu’une oreille humaine les entende. Surement que ses visiteurs ne veulent pas la réveiller. Peine perdue. Elle lève les yeux au ciel.
 
« Entrez, c’est ouvert. »
 
Tout en parlant, elle se redresse et s’assoit dans son lit, les yeux rivés vers la porte.
 
Saluky a toujours eut ses petites manies de princesse : elle aime prendre un bain tous les jours, préfère monter à cheval que marcher à pied et ne rate jamais un de ses repas, surtout s’il y a des gâteaux au miel en dessert. Ce n’est pas une personne courageuse, ni une très bonne aventurière : elle a horreur de se salir et a très peu d’endurance. En réalité, elle se promène plus qu’elle n’explore et seule sa grande curiosité la motive à bouger ses petites fesses. De plus, elle n’a pas encore atteint l’âge où le temps ne la marquera plus, elle a donc besoin de dormir contrairement aux adultes de sa race qui ne font que « méditer » la plupart du temps.
 
Mais sa nuit de sommeil est plus que compromise.
 
Elle va finir par être de mauvaise humeur.
 
On ouvre la porte de manière hésitante, et elle aperçoit Tyrael suivit d’un autre homme.
 
Abruti d’humains.
 
Abruti de guerriers.
 
Abru…Iris ?
 
Saluky cligne des yeux, oubliant d’écouter ce que lui dit Tyrael. Progressivement, un immense sourire se dessine sur son visage. D’un bond, elle se retrouve sur ses pieds et se jette au cou de l’homme, se moquant que sa chemise de laine ne la couvre qu’à moitié. Elle ferme les yeux et appuis son front contre l’épaule d’Iris qui s’est légèrement crispé.
 
« Tu m’as manqué mellon en amin* !» murmure-t-elle.
 
Il ne lui rend pas son étreinte. Tyrael s’est tut et observe la scène sans comprendre.
 
Cela fait presque trois ans qu’elle ne l’avait plus vu. L’homme qui lui a donné des ailes. Elle se sépare de lui sans pour autant le lâcher, et détaille son visage surpris. Son sourire fane pour devenir un rictus peiné. Elle est heureuse de le voir mais elle sait…
 
« Tu ne te souviens pas de moi, pas vrai ? »
 
*Mon ami, en quenya (J.R.R. Tolkien) mais c’est à vérifier.

[Lieu : Ryoku, Auberge "Au Dragon Cuit" / Temps : dégagé / Nuit]
Personnages évoqués :




 
 
La jeune elfe tend l’oreille. Ils sont deux. Bizarre. Et ils se dirigent bien vers sa chambre. Bizarre bizarre.
 
Trois coups léger sont frappés à la porte, juste assez fort pour qu’une oreille humaine les entende. Surement que ses visiteurs ne veulent pas la réveiller. Peine perdue. Elle lève les yeux au ciel.
 
« Entrez, c’est ouvert. »
 
Tout en parlant, elle se redresse et s’assoit dans son lit, les yeux rivés vers la porte.
 
Saluky a toujours eut ses petites manies de princesse : elle aime prendre un bain tous les jours, préfère monter à cheval que marcher à pied et ne rate jamais un de ses repas, surtout s’il y a des gâteaux au miel en dessert. Ce n’est pas une personne courageuse, ni une très bonne aventurière : elle a horreur de se salir et a très peu d’endurance. En réalité, elle se promène plus qu’elle n’explore et seule sa grande curiosité la motive à bouger ses petites fesses. De plus, elle n’a pas encore atteint l’âge où le temps ne la marquera plus, elle a donc besoin de dormir contrairement aux adultes de sa race qui ne font que « méditer » la plupart du temps.
 
Mais sa nuit de sommeil est plus que compromise.
 
Elle va finir par être de mauvaise humeur.
 
On ouvre la porte de manière hésitante, et elle aperçoit Tyrael suivit d’un autre homme.
 
Abruti d’humains.
 
Abruti de guerriers.
 
Abru…Iris ?
 
Saluky cligne des yeux, oubliant d’écouter ce que lui dit Tyrael. Progressivement, un immense sourire se dessine sur son visage. D’un bond, elle se retrouve sur ses pieds et se jette au cou de l’homme, se moquant que sa chemise de laine ne la couvre qu’à moitié. Elle ferme les yeux et appuis son front contre l’épaule d’Iris qui s’est légèrement crispé.
 
« Tu m’as manqué mellon en amin* !» murmure-t-elle.
 
Il ne lui rend pas son étreinte. Tyrael s’est tut et observe la scène sans comprendre.
 
Cela fait presque trois ans qu’elle ne l’avait plus vu. L’homme qui lui a donné des ailes. Elle se sépare de lui sans pour autant le lâcher, et détaille son visage surpris. Son sourire fane pour devenir un rictus peiné. Elle est heureuse de le voir mais elle sait…
 
« Tu ne te souviens pas de moi, pas vrai ? »
 
*Mon ami, en quenya (J.R.R. Tolkien) mais c’est à vérifier.