Ruyan 2 Posté(e) le 24 août 2007 J'invite tous les poétes, tous les apprentis lettres et tous ceux qui désirent partager leurs humeurs fugaces aux travers de quelques vers, de se manifester ici et sans plus tarder. :ronfl Bon, j'ouvre le pas avec quelques uns de mes poémes, dans l'espoir que vous apprécierez: Pour bientôt Je rêve sous la pluie de te serrer très fort. Je rêve chaque nuit à l'ôdeur de ton corps. De nos rires à nos larmes, je me souviens de tout, Chaque jour, de t'avoir aimé comme un fou. Te rappelles-tu encore de toutes nos promesses, De nos baisers, nos étreintes de tendresse. Te rappelles-tu de nos promenades improvisées Où pour la première fois nos mains se sont croisées. Attend moi ma mie, mon amie, mon âme soeur, Toi ma dulcinée pour qui je courbe l'échine. Mon amour qui chaque jour fait battre mon coeur!... Loin de toi, mon être tout entier crie famine. Sans regret ni remord, je sors le couteau, A l'ombre de la mort, je te rejoins bientôt... Petit poème Elle a fermé les yeux, elle a tendu l'oreille, Le temps d'un 'pardonne-moi, m'aimes-tu encore?'. Elle pleure comme une enfant, blessure de la veille Priant que je la délivre de tous ses torts. Elle me dit tout bas qu'elle a très très mal au coeur Qu'elle pourrait mourir si j'en exprimais l'envie. Que sans moi, sa vie n'est qu'un berceau de malheurs, Qu'elle a besoin de moi pour marcher dans sa vie. Touché, je serre le poing comme on serre la douleur, Dans son étau, avant qu'elle ne décourage. Blessé, je m'en vais avec seul mon deshonneur. J'ai beau la détester, comment tourner la page. De celle que j'ai aimé, elle est restée la même; Va petit poème, dis lui ô combien je l'aime. Tel est pris qui croyait prendre C'est l'regard determiné qu'il s'en va en guerre Jurant de mettre à terre l'objet de sa colére. Le fusil par dessus l'épaule, l'oeil effronté, Le voilà prêt à tuer son ennemi juré. ------------ Discret mais fugitif, le voilà attentif Aux moindres faux pas d'un homme à l'offensif. Il a peur de mourir, il a peur de souffrir Car beaucoup de ses frères il a vu périr. Alerte et intuitif, il cherche à se cacher, Non sans peine, il court à travers tous les dangers D'un homme qui veut à tout prix le capturer. ------------ Debusqué, il tira une balle efreinée. 'Raté' mais pas grave, il reviendra demain Non sans peine, pour tuer ce satané lapin! Inspiration du poète Je léve les yeux, je rêve et mon coeur s'éleve D'amour et d'évasion, caresse à la passion; Tu esquisses ma vie, tu dessines mes rêves, Être ton ange gardien, telle est ma mission. Mais fugitive, douce illusion, je t'imagine. Je ferme les yeux, je rêve et mon coeur s'anime, Car tout chez toi est merveille qui me fascine, Voila ce qui me pousse à écrire ces rimes. Dans un monde éternel emplit de mystères Est mon âme, dont tu en es l'unique héritière Inspiration du poète, Élue de mon coeur. Douces confidences tendrement murmurées, Qui ne se résume qu'en un très chaud bonheur D'un amour à jamais couché sur le papier... J'en posterai surement d'autres plus tard. ^^" Maintenant, à vous de jouer! Exprimez votre fibre littéraire! Hancock a réagi à ceci 1 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mayuko 26 Posté(e) le 24 août 2007 Joli, joli. Pour ma part je suis assez nul en poème et mes rîmes sont rarement voulue. Par contre je bouge ce topic dans Fanfiction, je trouve que c'est plus sa place. *Téléportation* Hé op ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
rin 7 Posté(e) le 31 août 2007 mes rîmes sont rarement voulue. Bha et la rime libre alors? Perso je préfère, que ce soit dans les poèmes ou dans les chansons (surtout dans les chansons en fait). Ruyan : j'ai lu les deux premiers, suis pas très fan, je trouve ça parfois maladroit, puis je suis pas très touchée. Enfin c'est bien de partager ses poèmes. Moi mes derniers remontent à la primaire xD Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ice-Q 79 Posté(e) le 31 août 2007 franchement pas mal du tout!! moi aussi j'en avais fais quand j'étais plus jeune mais il faut que je les cherche! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
S@dMad 731 Posté(e) le 6 septembre 2007 Vraiment très sympa, perso ça m'a touché et je trouve que c'est du bon boulot, chapeau bas :P Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shisaï 494 Posté(e) le 11 octobre 2007 Yep très joli, ça touche bien, j'aime beaucoup, t'écris bien ^^ Bon j'ai retrouvé ça, ça date de un ou 2 ans, je trouvais ça pas trop mal, même si j'avoue, le thème est un peu le même et n'est pas pour le plus joyeux ^^' Ya pas de titre, j'en avais pas donné à l'époque et ça dénaturerait d'en donner un maintenant *0* *** Il a osé sourire à la mort En chuchotant que nous nous reverrons, Alors qu’une lame a transpercée son corps, Il nourrit cet espoir de réunion. Doucement ses yeux ont perdus cette lueur, Comme un seul regard pour l’éternité, Devenu terne par trop de douleur, Lorsqu’aux larmes, le sang s’est mêlé. Dans ses poings serrés, il retient sa vie, Murmurant doucement des mots d’adieu, Mais entre ses doigts, telle l’eau, elle s’enfuit, Brûlant avec elle tout ces jours heureux. Après la nuit l’aube renaît toujours, Sous les étoiles, un héros est mort, Pour te protéger, au nom de l’amour, Pour qu’un jour, te puisses sourire encore. *** Des cris, des coups de feu dehors. Dans les ténèbres et la peur, Que tes deux bras me soient un fort. Serre moi encore contre ton cœur, Que je ne craigne plus la mort, Que je ne sente plus cette terreur. Tes doux baisers sont rassurants Me font oublier tous ces pleurs, Et je joue même pour un instant, A croire encore au bonheur. Mais la vie est toute autrement … Ils vont fouiller notre demeure. La porte ne tiendra pas longtemps Oh Dieu, gardez-moi près de lui. Les voilà qui entrent triomphant, Moqueurs et la main au fusil. Dans cette langue que je ne comprends. Ils bavardent sur le sort de vie. L’un calle son arme sous son menton. Je veux voir ton sourire qui luit, Ne pas avoir d’autres horizons. Dieu, que la mort nous garde unit Lorsque nos âmes s’échapperont. Ils vont nous abattre sans merci. Je veux encore te sentir là, Dans l’ultime nuit que nous vivons. Pour moi, il n’y a plus que tes bras. Le tir fait un terrible son. Cette douleur ne durera pas … L’amour triomphe toujours, dit-on … Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
ChouK 4 Posté(e) le 11 octobre 2007 OOoh oui, j'adore les poemes !! j'en écris souvent, et ils sont tous sur mon blog. J'en met un moi aussi. Juste un blocage Un blocage. Comme un mouvement d'arret. Un arret indefinie. Un blocage. Comme une image figée. Une image sans vie. Des ravages. Comme un souffle aprés la guerre, Le coeur en lambeaux. Un geste incinifiant. Un vaste empire Fuit par la vie Habitée par le desespoir. La vie devient incinifiante. La respiration devient pesante. On ne pense plus à rien. La vision se perd dans un ciel immense. Les pensées disparesse dans un brouillard infinie. On ne sais même plus pourquoi on vie. Livrée à un désespoire sans frontière Un trou sans fond Tomber, sans jamais se relever. Regarder en haut. Les étoiles apparaissent . . . Un coeur s'est perdu. Il ne retrouve plus le chemin. Et comme une impression de déja vu, Je m'apperçois que c'est le mien. . . . .Blocage des écrouages du temps. .Le temps est impitoyable. .Il ne te le ramènera pas. :nyaa: Voila, je pense pas que ce sois le meillieur, mais je l'aime bien qd mm Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
shacka 3 Posté(e) le 10 novembre 2007 ba je mets un des miens ^^. C'est un nouveau non retravailler. Je l'ai ecris dans le train, il est spécialement écris pour une personne que j'adore et avec qui pour le moment on a un peut de mal à communiquer. Et enfin il n'as aps de titre Ceci est notre histoire. Nos pleures et nos rires. Nos malheurs et nos joies. Ce n’est peut être pas la plus belle aux yeux des autres. Mais c’est la notre. Nous avons traversé les obstacle, appris à nous connaître et nous construire. Ce n’est qu’avec toi que je désir continuer à faire toutes ces choses. Je ne sais si je saurais les écrire correctement, mais laisse moi au moins essayer. Laisse moi continuer à écrire pour nous deux cette histoire. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tenshi 0 Posté(e) le 12 novembre 2007 Trop magnifique vos poème à tous je vous félicite si vous en avez d'autres n'ésiter pas à les poster sa fait toujours plaisir de voir come des personnes sont doué ^^ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
ChouK 4 Posté(e) le 12 novembre 2007 A oui, j'avais oublié ce topic ^^" j'en ai un que j'ai écrit il y a 2 semaines. C'est toi que je veux. Son regard m'a transpercé le coeur Je n'est jamais ressentit une tel profondeur Un regard qui veut tout dire Au plus loin que l'ont puisse ressentir Un moment simple et magnifique D'une durée courte mais magique Ce bref instant qui n'a duré que quelques secondes A boulversée le tournant de mon monde Une seule pensée Une seule destinée Mais ce sont les mêmes Le légé tracé d'un "je t'aime". Un simple regard poutant si intense Deux pensées qui se croisent C'est la même.... Toujours la même... . La pensée du: It's YOU that I WANT :welcom: on ne se moque pas, dacore ? Ce sont des mots qui sortent du coeur.... >< Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
shacka 3 Posté(e) le 12 novembre 2007 Aller je vais en remettre d'autres. Je sais pas si chacha se souvien de ceux que j'écrivais dans le geudin, mais si elle s'en souvient elle peut vous confirmer que j'écris souvent des chose assez sombre. Enfin voilà La vie s’éloigne, Me laissant seule face à la mort, Pourrissant ma chair et mon âme. Je suffoque dans cette souffrance qui me ronge Et rien ne peut me sauver de ce paradis de noir qu’aiment les démons. Qu’ils prennent plaisir à jouer avec nous. Oh toi, qui est là, en cette instant, abrége mon tourment, m’ouvrant les porte de l’éternité blanc. ____________________________________ Dans les heures sombre, les hommes se sont toujours retourner vers nous. Croyant qu’on est capable de les sauver. Espérant que nous leurs donneront la rédemption tant attendu. Mais pourquoi aiderons nous ceux qui ce sont détourner. Croyant en nous quand cela les arranger. De quel droit réclament ils notre aide. Ils se sont détournés, maintenant c’est à nous de nous détourner de l’homme. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Razengan 0 Posté(e) le 1 décembre 2007 je suis solitaire je suis seul comme le vent qui souffle sur les jours(je sais pas comment ça s'écrit^^ )la brise qui relève les feuilles je suis...libre liberté comme mon pays a qui je suis rattaché au bitume grâce auquel il a pu naître je mourrai ici en guerrier de ma conscience youpi^^(désolé je tape un délire^^)si ça vous plaît pas dites le moi^^ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
cécélight 0 Posté(e) le 8 décembre 2007 POurquoi tu m's quittée M'as tu donné,une funeste destinée? POurquoi pleures tu? Abhération de la nature. Un au revoir pathique, N'aura rien d'une pique. Une vie perdue, éffacée dans la rue. un chemin vide, des gestes torrides, Tu n'es rien à mes yeux, Ton souvenir trop vieux, N'est que la haine que j'éprouve, pour toi mon premier amour... Mon délire du moment, c'est les haikus... Nul goutte Nul sanglots dans l'océan de mes larmes... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
shacka 3 Posté(e) le 8 décembre 2007 C’est au rythme des bruits que mon existence à vue le jours et que ma jeunesse s’est construit avec ces pierres qui étais et qui sont terrain de jeux. Puis viens le temps ou je puis à mon tour, comme mes pères et mes frères, que j’appris à les maîtriser. Jusqu’au jour de l’épreuve final est arriver. Ce jour ou Frénésie nous accompagne dans ce nouveaux jeux en compagne de es corbeaux affamer. Soudain, un tomber et ses oiseaux noirs se précipitent sur lui. Ah ! Les charognards, ils n’éprouvent aucune honte à cette gourmandise infâme. Et moment d’inattention, je sens mon corps fléchir et la étendu dans une position qui mets étrangère, je sens cette vie chaud et mouate glisse de mes penser et mon enveloppe s’arracher à moi. Adieu ruine qui amusa tant mon enfance qui ne faisait aucune distinction. Adieu terre rouge tant aimer et déchirer dans se conflit. Adieu cruel destin que m’a réservé cette patries. C’est pour vous que je suis tombé et combien maintenant je comprends maintenant que tout cela est sans sens. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
ChouK 4 Posté(e) le 13 décembre 2007 J'aime bien ton poeme Shacka, il est beau ^^... un peu triste... Il y en a un que j'avais écrit y a un moment maintenant... Une derniere fois Mais dis moi Ça fait combien de temps Que je n'est pas pensé à toi... ? ...Le temps ? Mais le temps passe tellement vite Les seconde se planque Et les journée s'éfrite Pendant que d'autre manque. Toi tu manque à mon appel Et même en criant Je ne vois plus rien de réel Tout est différent... Je ne pense pas aimer cette vie... Je ne te demanderai que quelques secondes Avant de te laisser partir au grés du vent de tes envies Juste une dernière fois, encore, parti dans cet autre monde Une dernière fois ... Juste une dernière fois ... . Il me sufisait de penser à toi pour faire battre mon coeur Il ne me manquait plus que ta présence pour me faire vivre Mais ton absence brusque à déchiré les dernières couleurs Que tissait entre les différent monde, les derniers files de survie. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lucy-Monostone 0 Posté(e) le 16 juillet 2008 Voici des autres poèmes de moi ^^ a vous de jugez !! À la Lueur d'une Rivière C'est à la lueur d'une rivière que je vous écrit. Ces quelques mots comme le sage sentant la fin de sa vie. Je ne trouve pas les mots pour décrire ce silence. Cette absence de vie qui m'entoure m'adoucit. Je ne sais que penser de cette nature modeste. Elle me manqueras au plus profond de mon ètre. Comme la mélodie célèste qui annoncerat l'heure de mon jugement. Voici enfin le Messager d'une passion infinnie. Le feu qui brûle en moi comme un désir inachevé . Et c'est la la lueur d'une rivière que ma vie se fini. Mon Amie Mon Amie jamais je ne t'oublirais. A travers ces mots tu resteras. Comment aurais-je pus t'oublier mon Amie. Comme un Amour Fendue. Mon Amie comme une lumière qui s'éteint. Comme une trace qui s'efface au fil du temps. Mon Amie jamais je ne t'oublirais. A jamais dans mon coeur tu resteras. Hommage Hommage à toi Grand-père. Pour m'avoir apris la vie. Hommage à toi Grand-Père. Pour m'avoir apris l'amour. Hommage à toi Grand-Père. Pour m'avoir montré le Chemin. Vers le monde Meilleur dans lequel tu vis. En Esperant que tu pense encore a moi de tout là haut. Merci Grand-Père pour m'avoir compris. Dans ce monde de Haine et de Désèspoir. Repose en Paix la ou tu vis. Abandonnée Quelque chose brûle au fond de mon Âme. Comme le feu ardent des Enfers. Sans doute mon Amour perdu. Comme une Enfant égarée. Tu cherche ton chemin. sans jamais le trouver. Ainsi donc ta vie c'est Terminée. Comme un livre délaissé. Dans ma Chambre Dans ma chambre il y a. Une fenètre qui s'ouvre. pour laisser place au rêves. qui font de ma vie un bonheur. qui ne cesse de grandir de jour en jour. Ces rêves me réchaufent comme un amour brulant. Que je ne cesserait d'oublier. Dans ma chambre il y a. Une porte qui s'ouvre. pour laisser place au monde. qui fait de ma vie un tumultueux ouragan. de tristesse parfois de solitude toujours. Que j'ai tant de mal a oublier. Dans ma Chambre il y a. Un lit qui m'aceuille a bras ouvert. Quand la solitude se fait sentir. La douceur du coton comme seul réconfort. Dans ma Chambre il y a. Du rêves, du désespoir et du réconfort. Comme un coeur parfait mais malade. Vue sur la Rue Assis sur la rambarde de mon balcon je vois. Des gens qui s'activent en vaint. Comme pour chercher l'introuvable. Et comme seul réconfort la chaleur d'un foyer. Dans ma rue il y a des Magasins. Froid et désert sans aucune trace de Chaleur humaine. Dans ma rue il y a des Chats des Chiens des Rats. Sans doute les seuls qui soient heureux en ce bas monde. Dans ma rue comme toutes les rues de la ville. Il n'y a rien. Comme au plus profond de chacun de vous. Félicitation Félicitation vous êtes Humains c'est donc celà que vous avez choisi. Sans doute la seul vraie erreur qui vous a conduit. A devenir comme eux . Âmes erantes sans but. Comme moi ou lui ne sommes que des insectes. À vos yeux cupides et froids. Avide de richesses et de pouvoir vous vous perdez. Dans l'horreur de vos pensées. Si absurdes qu'elles soit. Nous courront tous a notre perte ainsi va la vie. Ainsi nôtre destin est scellé. Nous disparaiterons comme un vieux bout de papier. Martyre Chaque soir quand le desespoir m'envahit. Chaque nuit ou mon amour s'enfuit comme un cri. Je ne suis plus Homme à penser. je ne suis plus que le Songe d'un rêve brisée. L'épave d'un amour abandonnée. Par la tristesse d'un coeur épié. Par toute cette souffrance que j'ai endurée. Alors chaque nuit je meurs. Pour Vivre au travers d'un monde Cassé. Par tant de Haine et de Souffrance. Qui se diffuse comme un Parfum. Comme un âme qui ère dans un corps sans vie. Je m'en vais pour Vivre ou mourir, Peut importe la Raison. Hanté par le désir de Fuir, je ne sais que Faire, je suis Martyre Ce Matin Ce matin a l'aube d'une Ère nouvelle je me suis réveillé.Quand soudain on frappat à la porte, c'était Dieu. Il entrat comme un invité inatendue et m'écrivit ses mots:Va pareil à l'oiseau phoénix et Brule le Sceau afin de liberer ton esprit enfermée dans ce monde dans lequel tu vis et ainsi libereras tes rêves qui emprisonnés à la lueur du lendemain ne sessent de chercher un refuge et alors tu comprendras le sens de ta vie. Inconnue Tu étais là devant moi seul objet de mon désir. Ardent et Vif come un feu éternel. J'étais prisonnier de ta beauté. tu me parraissaint Perfection inhumaine. Belle inconnue au cheveux d'Or. Eternelement belle et Sauvage. Passionné par ton visage je me lance. Dans une aventure sans retour. Mais c'est heureux sans-doute que je rentrerais de mon Voyage. Avec toi mon inconnue. Paradis Perdu Le Paradis perdu tu pense l'avoir trouvé. Mais Il disparait aussitôt comme nos Rêves. Le Paradis perdu est comme un Secret. Difficile à trouver mais pas Introuvable. Je cherche en vain ce Paradis. Qui guiderat mon âme vers un autre chemin. Celui de la vérité et du bonheur. Peut-être le retrouverais-je ? Ou Suis-je coincé à tout jamais. Dans cet enfer qu'est ma vie. Mais je suiverais la Voie. Pour vivre en paix. Au Paradis Perdu. Mon Désespoir Mon désespoir et comme tout. Il vit il Meurt il renait. Il me Hante chaque jour comme chaque nuit. Comme une Histoire inachevée. Je ne cessent d'y penser. Car chaque jour mon coeur s'éffondre. Comme mon Désespoir infini. Je vie sans Renaître. Je suis Condamné. Qui Suis-Je ? Qui Suis-je pour juger ? Qui Suis-je pour punir ? Qui Suis-je pour Regarder ? Qui Suis-je pour me lamenter ? Qui Suis-je pour Crier ? Je ne suis qu'un homme. Avec un Coeur et une Âme. Avec des Sentiments. Parfois une larme. Parfois un Cri. Mais Souvent, Rien. Qui Suis-je pour Vivre ? Le Paradis est Si Loin. Mais pourrait-je l'atteindre ? Je ne Sais Pas. Réincarnation Je Renaît sans Vivre. Je meurs sans avoir vécu. Je vois les autres différements. Présent à mes cotés sans pouvoir les toucher. Sans les connaîtres, Sans les découvrir. Ainsi je m'éfface lentement. Dans l'ignorance totale et dans l'oubli. Pour ainsi renaître et m'oublier. Mourir dans le Silence. D'une Âme à l'Autre. De la Joie vers la Peine. Comme jamais auparavant. Je n'ais plus besoin de vous. Car les Autres sont là. L'Autre "Moi" Quelque part caché au plus profond de mon âme. Existe un Ange déchu. Qui Cherche en vain Un échapatoire. Un Ange au coeur Froid et insensible. Qui Cherche à s'échaper et devenir moi. S'exprimant par les lettres. Je lui laisse une chance d'exister. Dans un monde ou le bonheur disparait peut à peut. Ou l'Amour et la Folie ne font qu'un. Alors ce coeur froid laisse place peu à peu. À une ame tourmenté de Chagrin. Ainsi l'équilibre est rétablie. Moi la Joie et lui la Tristesse. Je Rêve L'obscurité laisse place à la lumière. Les portes célèste s'ouvrent peu à peu. L'Amour renait au fond de chacun. La Haine laisse place au Bonheur. Les Gens sont heureux. Les Enfants rient et les Fleurs revivent. La nature s'étend au loin. Mais ce n'est qu'un Rêve. Solitude Ignoré de tous je meurs. Plongé dans l'oubli. J'apelle à l'aide sans être entendu. Seuls les regards de haine sont présents. Aucune joie aucun sentiement. Tourmenté dans l'ignorance. Dans l'obscurité et le mépris. Je m'éloigne petit à petit. Sans aucun adieu. Ainsi donc voilà ma solitude. Vos Regards Parfois vous me regardez. Sans savoir vraiment qui je suis. Ce que vous voyez n'est qu'incompréension. Alors sans savoir vous jugez. La Haine est présente dans vos coeur. Je souffre doucement de cette haine. Je suis fatigué de vos regards. qui poussent à la moquerie. mais vous ne savez pas. Qui je suis. Liberté Il suffit d'un rayon de soleil. Pour que mon coeur se réchauffe completement. Toute la mélancolie disparrait à jamais. L'espoir m'apelle, l'amour m'envie. Je pleurs de joie. Je me sens bien. Respirer, s'étendre dans l'herbe. L'eau écarlate d'une rivière sur ma peau. Tout mes rêves deviennent réalités. Je crie de bonheur. Aucun mot ne peut décrire se que je ressent. Vous ne comprendriez pas. Impossible. J'adore cette liberté. C'est la mienne. Je Suis Heureux Ce soir je suis heureux. Ce qu'il me faut juste un peu d'amour. Pour me sentir bien dans ce monde. Je respire enfin. Aucune poésie juste des mots. Rien de beau juste moi. Ce que je ressens? Des ailes immenses dans mon dos. Je m'envole et j'adore ça. Mon dieu que c'est plaisant ! Pouvoir vivre sans filet. Etre unique en ce monde! Je suis heureux un point c'est tout. L'inspiration retrouvée. c'est dans un Paradis que je suis tombée. Et sans doute à jamais j'y resterais. Vous êtes Fous ! Je ne cesse de rire de vôtre hypocrisie. Cette façade à paraître est-t-elle si importante ? Pourquoi vous cacher derrière les apparences ? Je ne vous comprendrez jamais. Pourquoi ne vivez vous pas tout simplement. Au lieu de tout ses faux semblants. Soyez tout simplement vous. Aucune recette miracle juste de l'amour. Vous êtes tous fous ! Où alors est-ce moi ? Nuit Solitaire Malgré une simple nuit d'Ebène. Les Ronronements de mon coeur ne cessent. Mon âme suit la brise douce et délicate. À l'heure ou toute vie s'arrete. Mon esprit doucement s'égare. Dans un linceul d'ingnorance. Pour disparaître à jamais dans l'oubli. Comme la feuille tombé d'un arbre. Cette nuit je la redoute. Mais le pire est à venir Printemps Revenu L'Autre jour assis par terre. Contemplant la nature environnante. Mon coeur ne put s'empecher de crier son amour. C'est alors, en regardant une hirondelle. Qui virevoletait comme un ange dans le ciel. Que l'émotion m'enplit aussitôt. Cette modeste et simple hirondelle. Qui s'offrait à moi comme en spectacle, Etait si majestueuse. Que je ne pus m'empecher de pleurer. Toute cette émotion en moi. Me rappelle l'époque ou l'on pouvait. En toute innocence jouer dans les prés. Et c'est ainsi comme dans un rêve. Que mon amour s'envole. Pour danser un balet avec cette hirondelle. Et à jamais devenir un ange. L'Esprit de la Forêt. Je connais un esprit. Qui peut ébranler les montagnes. Et faire pousser des rivières. Il donne la vie et la mort. Il donne bonheur et amour. Dans une forêt ou tout semble vide. Cet esprit est là. Présent dans nos coeurs à jamais. Pour protéger mon âme du chagrin. Je fais appel à cet esprit. Celui de la forêt. Le Chant des Ombres Un cri lointain. Une larme invisible. Comme pour appeler au secours. Je reste inutile à ces ames perdues. Sans pouvoir les aider. Aucun geste de ma part. Aucune parole. Rien pour les réconforter. Je suis Incappable de les comprendre. Mais pour la peine. Je reste attentif a leurs lamentations. Celles des ombres déchues. Qui cherchent un chemin sans jamais le trouver. Valse nocturne Un soir comme les autres, Dans la chambre des rêves brisés. Les étoiles scintillent de milles feux. Mon coeur se déchire. Pour retrouver un amour incertain. C'est alors comme seul échapatoire. Qu'il me reste une danse. La seul qui vaille la peine. D'étandre son corps dans le ciel. Je danse avec les corbeaux. Je ris avec la lune. Je m'oublis et tombe dans un rêve douteux. Quand sonnent les douzes coup de minuit. C'est le coeur pincé que je quitte mes amis. Pour revenir dans un monde de haine et de mépris. Aloes c'est en vain que j'attends. Sur le bord de ma fenêtre. La prochaine valse de nuit. Fourmis Démentes Comme des folles elles s'excite. A courir ça et là. Courant après je ne sais quoi. Elles se hatent sans fin. A poursuivre leurs sot dessein. Comme des employées modèles. Elle se tuent à la tache. Sans attendre de reconnaissance. Elle se dépèchent et se bousculent. Tout simplement normale pour des fourmis. Mais quand les Hommes s'amusent. A imiter ces petits insectes. Cela donne un vacarme gènant. Un cirque mondiale. Comme une fourmi, l'Homme ? Oui, Mais une fourmi démente ! Air de déjà vu ? Comme un parfum déjà ressentit. Comme une mélodir déjà jouée. Comme une personne déjà rencontré. Comme un chemin déjà traversé. Cette impression de déjà vu. Elle demeure présente. A chaque battement de mon coeur. A Chaque bouffée d'air avalée. Comme un sentiment de retour en arrière. Tiens , Ce poème, déjà vu ? Le Monde de Naralia Le monde de Naralia. Est né un jour de pluie. Dans mon esprit tumultueux. Ce monde, c'est le mien. Le fruit d'une parfaite création. Comme pour défier le tout Puissant. Je fais naître toute vie. Dans ce monde que je contrôle de mes mains. Aucune haine, aucun mépris. Simplement le bonheur. Simplement le Paradis. Le monde de Naralia je vous le présente. Mais vous n'y entrerez Pas ! Au gré du vent. Comme un papillon je m'envole. Je chante avec les oiseaux. L'air qui m'entoure me purifie. Comme une rennaisance pour mon esprit. Comme un échapatoire pour mon âme. Mon corps ne peux plus supporter. Les bruits de la ville et des hommes. Je suis libre, Libre autant qu'un oiseaux. Autant qu'une feuille détachée de l'arbre. Autant qu'un papillon qui vient de naître. Avec le vent pour seul ami. Je respire et m'évade. Ailleurs que dans ce monde de fou. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
JBx 0 Posté(e) le 17 juillet 2008 j'ai pas tous lu mais il y en a qui me plaise vraiment ! ;) Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kouta-sama 0 Posté(e) le 17 juillet 2008 Très bonne inspiration! je suis un peu comme toi sauf que je n'écrit pas de poême mais plus des texte Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lucy-Monostone 0 Posté(e) le 17 juillet 2008 ha ^^" Merci de vos Critiques ^^" Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Setsuna 00 39 Posté(e) le 22 février 2013 Je tenais juste á tous vous félicitez pour votre travail, franchement il y a du talent sur O.A. Bon travail ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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