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[Fanfiction] Un souhait pour deux (OS/ Deathfic)


~Minata~
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Titre: Un souhait pour deux

Auteur:Moi and me xD

Personnages: Kim JaeJoong, Jiro

Credits:

Kim Jae Joong, dans l'histoire m'appartient car je veux que le mec

ressemble à Kim Jae Joong *Mais persso, imaginez qui vous voulez*et j'ai alors pris son nom. Sinon celui qui

joue le rôle n'est pas une célébrité. Juste quelqu'un de normal. Jiro is

mine :d

Note de l'auteur: Je me suis inspirée en

écoutant "Redeviens toi même" de Jena Lee. J'ai longtemps voulu écrire

un OS sur ça mais je ne savais pas comment procéder donc voilà, j'ai

posté en bas les paroles de la chanson. Je n'écoutais pas la chanson

quand je l'écrivais, c'est "Farewell" de Yiruma que j'écoutais :d.

232111hp5.png

Alors que j’étais en train de négocier avec un propriétaire d’immeuble,tu débarquas à l’improviste dans la pièce.Encore une fois,tu étais recouvert de sang. Tes vêtements étaient en piteuses états,tellement

déchirés que je reconnais à peine ce jean que tu avais enfilé avant de sortir.Que s’était t-il encore passer ? Cette même question qui défilait dans mon cerveau à chaque fois que tu rentrais dans cet état.Ce qui n’était pas vraiment très rare.Et comme ces chaque soirs,je

n’arrivais pas à te poser la question.Je me contentais de faire l’aveugle face à ta situation.J’étais tellement perdu que l’interlocuteur ne tarda pas à s’inquiéter.Je m’en rendis compte et lui demanda de me rappeler plus tard avant de raccrocher.De part ton regard,je compris que tu cherchais à obtenir des explications.[/td][/tr][/table]« -C’était qui ?

-Jae Joong…je veux déménager.

-Pourquoi ?

-Je veux prendre mon envole, devenir un homme.

-Tu n’en seras jamais un. »

Cette phrase m’avait complètement paralysé. Je ne savais que penser, que dire. Je n’arrivais pas à te comprendre et ta réaction encore moins.

« -Tu resteras toujours comme ça…faible et toujours besoin qu’on le protège. »

Pour la première fois de ma vie, je m’énervais contre toi. Ces mots étaient surement mon seul point faible. Je me sentais si mal et à la fois tellement enrager.

« -Et toi ? Tu ne seras jamais quelqu’un par ce que tu es pourris de l’intérieur jusqu’à l’extérieur. Chaque jour qui passe te rends plus misérable au point que-»

Je n’avais pu continuer ma phrase à cause du cou reçu. Du sang s’échappait de ma bouche tandis que mon regard te fixait. Tu n’étais plus comme cette personne avec laquelle j’ai grandis. Devant moi ne se tenait pas cette personne que j’aimais tant. Tu t’es soudainement mordu la lèvre inférieure si fort que du sang s’en écoula. Ces larmes, je n’arrivais plus à les retenir, non ça m’étais impossible. Tes yeux écarquillés, tu fis deux pas en arrière avant de te retourner et partir en claquant la porte derrière toi. Les points serrés, mes ongles s’enfonçaient dans la paume de ma main.

Sur mon lit, je fixais ces cartons que j’avais emballés. Automatiquement mon regard se dirigea vers mon portable dont je pris directement possession.

« Je pars demain… »

C’est ceci que je t’ai envoyé comme texto. Afin d’être sûr d’avoir récupérer toutes mes affaire, je m’étais rendu dans ta chambre avec l’espoir de retrouver cette montre que je t’ai prêté. Même à la vue de tout ce bordel, je continuais à espérer. Sous ton lit, je ne trouvais que des sachets vides. Sous ton oreiller que de vieux écouteurs. C’est alors, de part cette armoire entre-ouverte, je remarquai une sorte de boite en couleur Bleu foncé. Assis sur ton lit, entre mes doigts, je fixais cette boite qui était mienne. Ca faisait si longtemps que je ne l’avais vue. Je me souvenais qu’à l’époque, j’étais telle une fille assis tous les soirs entrain d’écrire mes journées dans un journal. C’est dans cette boite que j’avais l’habitude de le mettre, ce journal. J’ouvris avec grande hésitation et trouva ce journal. Il était exactement comme dans mes souvenirs. Je le pris, l’ouvris et lu la première ligne, la première page. C’est ainsi que j’arrivai jusqu’au milieu. Mes joues inondées par ces larmes de regrets, je continuais à lire. A chaque page, je me rendais compte que tu avais toujours été là pour moi.

« -7 Mars 1996…

Je me demande ce que je ferais sans lui. Il est tellement gentil. Grace à lui, tous les garçons méchants de ma classe ne me taquinent plus.

Grand frère, quand je serais grand. Moi aussi je serais là pour toi, comme toi pour moi. C’est une promesse. »

Je n’avais plus la force ni le courage de lire, le livre s’échappa de mes doigts finissant par Terre. Il s’ouvrit à une page précise où mes yeux lisaient par eux même ces quelques lignes.

« Grand frère, je t’aime. Tu verras quand je serais grand, je te protégerais aussi. »

Quand un inconnu te dépasse, tu ne peux pas te douter de ce qu’il vit chez lui. Ce qu’il ressent, comment il souffre, comment il a mal. Pourtant, toi, tu n’étais pas un inconnu, je ne me suis rendu compte de ta souffrance que trop tard. Chaque soir, je te voyais recouvert de blessure. Je pensais toujours à une autre bagarre mais jamais du pourquoi ni de ton état. Tous ces soirs où je te soignais sans mot dire. Toutes ces fois où j’ai prétendu être aveugle face à tous cela. Je regrette, comment n’ai-je pas pu m’en rendre compte ? Comment ai-je pu te dire de tel mot ? Tu as toujours été là pour moi. Pendant toute mon enfance, tu étais celui qui me protégeait. Même maintenant, tu es celui qui veille sur moi à chaque fois. Mais maintenant que tu va mal, je fais comme si de rien n’était et continue de vivre comme je vivais. S’en ai finit, c’est à mon tour maintenant de te protéger. C’est à mon tour de te montrer que je t’aime et que je que je serais toujours à tes cotés, quoi qu’il arrive.

Je courrais dans la rue à ta recherche. A cette heure ci du soir, dans les rues de Séoul, il n’y avait que des voyous de tout genre. Je courais sans savoir réellement où j’allais. Des bruits surgirent d’un coin, des bruits de gaillards. Ceci me figea sur place, ma salive traversa avec grande peine ma gorge. Que m’arrive t-il ? Je dois te retrouver…je vais te retrouver. J’affrontai ma peur en faisant demi-tour et en me dirigeant vers la provenance du bruit. Dès que j’y arrivai et entendu ton nom, je me blottis contre le mur espérant ainsi écouter la discussion. A peine un mètre nous séparait. Il te suffisait d’un mouvement de tête pour me remarquer. Je voyais ces hommes musclés, ils étaient au nombre de cinq. Tous plus sales les uns que les autres. Que va-t-il arrivé ?

 

« -Jae Joong, te voilà enfin. »Tu ne répondais pas, debout là-bas, tu les fixais avec dette expression froide et glacial à la quelle –Dieu merci- j’ai jamais eu l’honneur d’affronter.

 

« - C’est l’heure de la vengeance...assassin !

-Qu’allez-vous me faire ? Me tuer ?

-Non, d’abord règlement de compte, pourquoi as-tu fais ça ?

-… »

 

Assassin ? Non ce n’était pas possible. Mon frère ne…pouvait pas être capable de tuer…pas lui. L’homme ne cessait de s’énerver car mon frère ne présentait aucune expression. Comme si ces mots ne l’atteignaient pas. Ils t’accusaient d’un crime, ce n’est qu’à ce moment là que j’avais tout compris. Pourquoi tes lèvres ne s’étirent plus comme avant alors que c’était toujours ton sourire qui était la source du mien, pourquoi tous ces soirs de nouvelles blessures recouvraient ton corps. Pourquoi ton cœur était prisonnier de la souffrance.Pourquoi la vie ne t’inspirait que colère et haine. Ils osaient t’accuser d’assassin alors que tu étais différent. Ta différence était que tu regrettais cet acte. Tu pensais que c’est en empruntant cette voie que tu allais te libérer et ainsi oublier. Cette voie qui te menait à la destruction de ton cœur, de ton âme, de ta vie pour finir par te détruire toi-même. Ce chemin n’était composé que d'épreuve à franchir par violence. Chaque soir, tu te défoulais sur ces bandes de voyou. Mais tu ne faisais que creuser encore plus ta propre tombe. Encore et encore tu voulais echapper ce sentiment.

Soudainement le ton monta, ils se mirent à te distribuer des cou de partout, sans pourtant te laisser faire, tu te défendais comme à chaque fois. Sous mes yeux, cette arme qu’un des voyous-qui ne s’était pas joint à la bagarre- tenait. Il l’a dirigeais vers toi visant ta tête. Tu ne la voyait pas cette arme, ces hommes ne te le permettaient pas., moi si.

[/td][/tr][/table]

 

Je savais ce qui allait se passer, je ne voulais pas. Mais que pouvais-je faire ? M’incruster ? Non… ma lâcheté ne me le permettait pas…pas du tout. Une balle se perdit. Je fermais mes yeux pour moins sentir cette douleur, j’étais allongé par terre avec la difficulté de parler. Ils paniquèrent puis s’enfuirent, tandis que tu essayais de comprendre la situation. Tu te laissas tomber à genoux dès que tu compris que c’était effectivement moi qui allais mourir à ta place. Tu ne comprenais pas pourquoi j’avais fais ça…Aucune expression sur le visage, seuls ces larmes faisait part de ta douleur.Une des goûtes finit sur ma joue. Tu me fixais droit dans les yeux. Commençant par un chuchotement qu’à peine j’arrivais à entendre puis y mettant fin par un crie

 

« -pourquoi…petit frère…POURQUOI ? »

 

Je voulais tellement ne pas te laisser tout gâcher. Je voulais tellement revoir ce sourire qui était source du mien.Ce garçon fort et courageux qui me défendait toujours. Je veux tellement ne pas te laisser te détester. Ce n’est pas que toi que tu blesses, mais toutes ces personnes qui t’aime. Je ne regrette rien…je voulais juste te protéger.

 

« C’est…à mon tour…d-de te protéger.. .» ;

Tu n’arrivais à prononcer aucun mot…tu ne faisais qu’écouter mes dernières paroles.

« -Tu as vue…je suis un homme maintenant. »

« -Idiot… »

«Tu…je t’en prie… ne te détruit…j-je t’en prie grand frère…dis-m-moi…promet le m-moi…promet moi de redevenir toi-même…je veux te voir avancer avec l-la joie…s’il te plait...»

 

Tu pleurais comme jamais tu ne l’avais fait. La balle dans ma chair me faisait mal mais cette douleur était abattu par le désir de dire ces quelques mots avant de m’en aller. D’un hochement de tête, tu me le promis. Maintenant, je pouvais partir en paix, heureux d’avoir vécu. Au milieu de chaque respiration, je dis tout ce que j’avais à dire

« -Quand tu auras besoin de courage…regarde le Ciel obscure. L'étoile qui illuminera le plus est celle qui me représentera. Ce serait moi qui te ferais signe, pour te montrer que tu n’es pas seul. Que je suis là, que je t’aime…grand… »

 

Sous cette nuit étoilée

Je laissais dans ton cœur parfumé par un amour fait d’infinité.

Cet amour qui te montrera la voie

Quand tu n’auras plus la foi

Grand frère

 

675737hp4.png

 

redeviens toi même (x6)

 

 

Je te vois encore courir après le danger

 

De pire en pire,

 

Tes mains sont des armes,

 

Tu n'as plus de moralité

 

Et tu t'en tire,

 

Même tes yeux sont noire de violence et de guerre,

 

Tu répètes sans cesse que t'as plus rien a perdre,

 

Et tu me fais peur car je ne veux pas penser,

 

Que je pourrais te perdre ..

 

 

(refrain)

 

Et même je ne peux pas te laisser te détester,

 

Ignorer tes problèmes,

 

Tu respire la haine, t'oublies de te respecter,

 

Redeviens toi même.

 

Et même je ne peux pas te laisser te détester,

 

Faire souffrir ceux qui t'aiment,

 

Le deal et le fight sont loin d'être tes alliés,

 

Redeviens toi même

 

 

Si tu sembles fort c'est pour cacher la tristesse,

 

Et toute tes peurs,

 

Et a chaque coup c'est toujours toi que tu blesses

 

Dans ton cœur ,

 

Souviens toi du temps où tu savais sourire,

 

Ta brûlé tes ailes et tu brûles ton avenir,

 

Et ces marquent sur tes bras,

 

Tu penses que je ne les voient pas,

 

 

(refrain)

 

 

Je ne t'ai jamais vu aussi près du danger,

 

Une balle se perd, je ne la laisse pas te toucher,

 

Je voulais tellement ne pas te laisser tout gâcher,

 

Je voudrais tellement que mes derniers mots puissent t'aider.

 

 

(refrain)

 

 

Et même je ne cesserai jamais de t'aimer,

 

Je veux que tu sache que moi je t'ai respecter

 

Je ne regrette rien je voulais te protéger

 

Et j'espère au moins que ces mots pourront t'aider

 

A redevenir un jour toi même..

 

 

 

 

 

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