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Kimory

V.I.P
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Messages posté(e)s par Kimory

  1. Dernier ep qui se regarde, je m'attendais presque à pire. Après c'est un poil trop gentillet par rapport à l'univers, y'a un peu trop de miracles en 22 minutes et la gestion des personnages est toujours aussi aléatoire. Au final le scénario était plutôt pauvre, pas vraiment d'éléments de fond ni d'explications... Bref ça passe... Si on s'arrête pas trop sur les détails xD

  2. Mais si y'a un scénario !

    Tu sauves le royaume des bouboules kawaii de l'invasion des vilains hérissons-oursins D: !

     

    Bref c'est un bon jeu ; où faut avoir de la patience pour résoudre les problèmes xD !

    Et ça tournait même sur mon ordi fatigué ; c'est un bon point !

  3. Vous pouvez voir un peu n'importe quoi dans ce(s) texte(s). Une histoire suivie, des fragments d'une même histoire, ou juste des élucubrations. Ca a un sens et un fond pour moi, donc j'espère que ça en aura aussi un pour vous, quitte à ce qu'il soit différent.

    Entre crochets, c'est le narrateur du passage qui est précisé o/

     

    A noter que j'ai commencé ça il y a un moment. Je garde l'univers à coeur, donc je vais peut être finir par le reprendre et continuer sérieusement x) En plus ça a un peu nature de premier jet. Donc il risque d'y avoir des incohérences au fur et à mesure, en espérant que vous ne m'en teniez pas trop rigueur, ça reste très expérimental !

     

     

     

    ***

     

    « Sur les sentiers de l'Utopie

    Règne une inconstance parfaite

    Un chaos de démesure

    Sublimant sa propre forme

    Se recréant jour après jour

    Y ont accès les Dieux, les Insensés,

    Et tous les incertains

    Dont l'âme flotte dans les limbes

    Entre deux-famélique

    Comme une feuille de vent

    Abandonné même par les rêves ».

     

    [ Narcisse ]

    Où que je regardais, l'horizon ceinturé de lumière rampante me polluait l'esprit. Et je devais me dévisser le cou pour atteindre l'éclat fatidique des étoiles, des rares astres qui brillaient au sommet de la voûte céleste. Les seules assez vives pour que leur énergie perce la mélasse jaunâtre du ciel, l'empêchement du rêve. Combattantes de l'infini.

     

    La brise douce caresse le moindre carré de peau à nu, délicat soir d'automne venant se nicher jusque dans le cou, la gorge blafarde de lune. Ta présence diffuse dans cet obscur monde d'argent se fait mouvance discrète à mon côté, pas glissant. Tu as les lèvres entrouvertes comme pour humer le souffle du monde, et tu charges l'espace de paroles silencieuses, murmure inconscient des sens muets. Vague colline, plateau presque, éminences à perte de vue et pentes douces vers les vallées embuées de songes, hantées par le vent. Et surtout le silence, vaguement rompu parfois par les grattements discrets et furtifs de quelque créature noctambule ou de quelque fantôme passant dans la contrée recluse.

     

    C'est à ces heures du cœur de la nuit que s'ébattent les présences de l'au delà, les consciences à appeler, et tous les songes abandonnés des dormeurs alanguis. Traces indécentes de tous ceux qui donnèrent un peu de la chaleur de leur corps à l'âme de ce sanctuaire de Nulle-Part. Un espace hors du temps ; une utopie mouvante et frêle, bulle de cristal fébrile assemblée à l'envi.

     

    Mes pas cessent d'eux-mêmes, la contemplation m'invite dans ses dédales. Immédiatement tu gagnes l'immobilité de la pierre, compagnon de voyage trop parfait. Quelques mots te briseraient, te dénatureraient jusqu'aux profondeurs ; tu n'es pas un être de rébellion, tout au plus peut-être une de ces ombres sages qui s'attachent aux pas des idéalistes. A la manière d'un appel mourant, tu me tapotes l'épaule, attire mon attention vers un point indéfini dans le lointain hasardeux.

     

    Je peine à comprendre ce que tu veux me montrer, et m'arme de persévérance. Tu sais que tes appels ne demeureront jamais incompris ; c'est pour cela que tu restes à mes côtés, et pour sucer en sourdine les faibles rythmes de mon existence, nécessaire à la perpétuation des battements de ton âme.

    Mais je me sentais parfois lasse de tes devinettes ; j'avais le sentiment que tu te moquais de moi. Tu te jouais des vagues et nauséeuses rémanences de raison qui m'attaquaient quand d'aventure, mon esprit trébuchait dans une des aspérités du continuum trop léger dans lequel nous nous éternisions. Les lourdeurs terrestres menaçaient alors de me rappeler dans un ailleurs que je préférais oublier, et tu avais cette bonté sarcastique de me ramener. Pour me récupérer, il te suffisait d'un murmure, d'une pichenette, quelquefois d'un signe.

     

    Je soupirais.

    « Tu m'agaces, Deus. »

    « Je sais, Narcisse. »

     

    Dans notre monde sans substance, les voix n'ont plus de timbre, elles ne sont que purs sens échangés, sans aucune forme. Elles ne sont que compréhension qui sourd, dans l'arrière du crâne.

    Le fait que je traduise en mots prouvait que j'essayais encore de faire sens.

    Pour qui, au juste ?

     

    Ceux qui sont libres n'ont guère besoin de ces mots ; et ceux qui meurent en cage ne peuvent pas les lire.

     

     

    [ Deus ]

    Un œil me regarde depuis un remous du Noun, pendant un faible instant. Je recule, apeuré ; un véritable bond en arrière. Mon visage muet se tord fugacement en un hurlement inaudible. Narcisse se porte plus près de mon cœur, tendant sa présence pour mieux déployer mon image.

     

    « Tu viens trop souvent ici, Deus. Le Noun se venge... Il finira par te dévorer. »

     

    Je secouai la tête. Je le savais. Mais son appel était beaucoup trop puissant. Cet œil n'était que l'énième menace d'une épreuve inéluctable. Je me léchai les lèvres, y récoltant les dernières perles sucrées, croquantes comme des billes de diamant. Elle me regarde sans rien dire. Je suis encore agenouillé au bord du Noun, peinant à en détourner le regard. J'écoute le murmure du courant et contemple sa teinte pourpre-ambrée.

     

    Mais Narcisse s'approche, effleurant la ligne que je trace pour elle à chaque fois. Les créatures comme elle n'ont pas à être effrayées du Noun. Pas directement, non ; mais par mon influence ? Il y a ici de ces pouvoirs et de ces échanges qui dépassent la volonté et le contrôle de chacun. Je me relève brusquement, énervé. Elle le fait toujours. Pour que j'aie peur, pour que je revienne. Alors je reviens. Je lui jette un regard noir, mais je suis là, et la gratifie d'un courant d'air. Je ne peux pas même dire que je lui effleure la main, encore moins que j'essaye de la frapper, de la pincer. Je n'ai pas assez de matière pour cela. Et cette créature blafarde et apeurée ne saurait me conférer assez de présence, assez de chaleur, ultime preuve de l'existence – je demeure un entre deux.

     

    Elle repart et je la suis un moment... Comme en souffrance de m'éloigner de mon élixir de vie, que je sens me donner des forces. Je rayonne, littéralement.

     

    « Calmes toi, Deus. Tu m'éblouirais presque. Tu as trop bu. »

     

    J'affichai une mine boudeuse. Oui, j'avais trop emprunté au Noun, aujourd'hui, et elle le sentait mieux que n'importe lequel des Rêves qui tachaient de me bouffer la particule. Des petits éclats de cristal d'âme m'assaillaient, voulant m'arracher aux petits bouts de moi. Je chassai ces parasites d'un coup de main fatigué, mais ils revinrent à la charge, lucioles fluorescentes dans la nuit. Les griffes minuscules hérissant leurs pattes noires me chatouillaient.

     

    « Ca suffit ! »

     

    La langue acerbe dans laquelle Narcisse parvenait parfois à s'exprimer résonna, et les petits éclats de rêve se détachent de moi, cessent de me pomper le sang translucide, de boire à la faille de mes entailles la pitance divine, réservée censément aux esprits purs. Les gens, ce soir, feront de drôles de rêves...

     

    Ils s'éparpillent et se regroupent comme un essaim, s'intéressent un instant à elle. L'un se greffe, taille sur son épaule blanche... tous s'effrayent du filet rouge qui s'en échappe. Ces rejetons là ne boivent pas de ce vin, et je peux sentir dans l'air, émanant d'eux, une forme inconsciente de dégoût paniqué.

     

    « Saletés » Commente-elle encore, ignorant la blessure. « Ça va ? »

     

    Je haussai les épaules. « J'ai vu pire. »

    Je frottai mes plaies, qui me grattouillaient en guérissant. Ma nature divine semblait s'être augmentée momentanément... Rare effet du Noun, qui a le plus souvent tendance à pervertir. A nuire. Je finis par demander, pas sûr d'être entendu.

     

    « Et où allons nous ? »

    « En voyage... »

     

    Un voyage ? Ce n'était qu'une chimère. S'éloigner de l'océan, c'était plonger dans la mélasse, les limbes, les âmes ; et tous les labyrinthes que la Création même a oubliés. Là où l'éternité n'est qu'un instant.

     

    •••

     

    Dans un monde qui change perpétuellement de configuration, il est difficile de trouver son chemin.

  4. Merci Dimo et Shaft !

     

    Dimo, la plupart je les ai fait à l'ordi direct donc pas tant de temps à retranscrire que ça au final ^^

     

    Shaft, je note et j'aime bien le concept de "matière brute d'inspiration shoutée qui dépasse la personne qui l'a écrite" ça résume assez bien la chose effectivement par moments x) Les premiers par exemple, ceux "RP" ... je serais incapable de réécrire comme ça maintenant même si je le voulais ou essayais sciemment de refaire quelque chose de cet acabit :/

    Y'a de belles phrases dans ton comm aussi, j'aime bien =D (et non, je ne parle pas que de celles qui me font des éloges même si je les apprécie bien sûr xD )

  5. Thanks =) J'étais sévèrement inspirée pendant ces RPs. Pour la petite anecdote je faisais des posts mélangeant le récit "normal" et les poèmes que j'ai extraits par la suite qui sont "plus ou moins" en rapport avec ce qui se passait du coup. Sachant que c'était un cadre très libre donc sur ce truc là j'avais fait une forme de RP solo mais libre, je n'empêchais personne d'y répondre donc de temps en temps y'avait d'autres personnages qui se prenaient au jeu x)

     

    Héhé j'espère avoir des inspirations aussi, et / ou réussir à bosser un peu sur mes histoires courtes qui attendent depuis des mois et des mois x)

  6. C'est effectivement .hack//sign

    :hum: C'était donc trop facile... ( ou t'as juste de bonnes refs o/ ! )

     

     

     

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  7. Bon je finis par me motiver à vous partager quelques écrits =D Probablement rien de suivi, au mieux des histoires courtes et pour l'instant surtout des poèmes. Le tout relativement vieux, j'en ai pas vraiment écrit depuis un moment à part des instants d'inspiration ça et là.

    J'vais essayer de les mettre par ordre chronologique ( y'en à qui datent un peu du coup et encore, je vous épargne des encore plus vieux xD ) mais je garantis rien, la plupart ont perdu leur date au gré de mes fichiers o/

     

    Désolée si ça en fait pas mal d'un coup, j'ai farfouillé pour faire un bilan de ce que j'ai déjà x) Prenez votre temps et bonne lecture o/

     

    ( + Merci de respecter le droit d'auteur et patati et patata ; je perds pas espoir de faire quelque chose de ces textes un jour ... )

     

     

    A noter que les 5 poèmes suivants ont été écrits dans le cadre de RPs sur fofo, donc on peut dire qu'ils sont du point de vue de mon perso... qui partait très loin de toute x)

     

    Janvier 2013

    Dans toute ma peur, dans toute ma folie

    J'éveille les démons, en dehors de la fin

    Dans toute leur splendeur, dans toute leur tristesse

    Le déploiement menaçant, l'étrangleur, la grandeur du dément

    Des passés qui se heurtent, du lapidaire présent

    Des gerbes d'écumes et de sangs, des mondes étalés

    Des étangs dégoûtés, de glace noire et mauve, des

    Bleuités, comme dirait Rimbaud

    Et comme tout se décale, on se décale

    Dans la haine, oh ! Nous sommes

    Tissés de haine, de dérapages

    Je me tisse moi même du sang de mes ennemis

    Je me tisse du sang des amitiés qui pleurent

    Et des morts qui se rient de

    Nous.

    Ridiculement, on attend qu'un autre jour nous offre ses grâces

    Princes charmant envoûtant d'un baise main une bordée de vierges

    Ou de putes.

    Se traîner comme des serpents dans les déchets du ciel

    Se traîner dans la fange, en faire notre nourriture, notre immen-cité !

    L'adorer, la vénérer, s'y rouler comme des fous, comme des adorants

    Etats de transes métaphysiques, psychosophiques, à l'ode des cratères

    Des joies parallèles aux mondes dégueulasses.

     

    Mars 2013 ( 1 )

    Des sciences en mirages, à l'illusion d'optique !

    Travailleurs infidèles aux théories foireuses !

    Formidable, j'aime à distance des monnaies flamboyantes

    Des palais achetés aux brises sanguinolentes

    Des murmures dérobés aux montagnes

    Tout ça je l'ai obtenu. M'appartiennent et le partage.

    Regardez autour de vous, et dites moi ce que vous voyez.

    Nous ne sommes rien. C'est l'immen-cité compressée du monde.

    Des instants. De nous. Les fils du vent ? Va-tu dire !

    Es-tu fou ? Nous nous targuons de ce qui nous dépasse.

    Va, feu follet, oublie qui je suis et ce que nous fûmes.

    Tuons nous dans l’œuf, incorporons nous à la trame !

    Je hais la réalité tangible. Est-tu cruel, es tu un monstre !

    Sadique ! Détestable ! Tu me poétises des hommages

    Et moi je te réponds ceci. Apprend à être.

    Avant de chercher à savoir les formes que peut adopter la conscience,

    Cherches le toi qui est ici, et non pas celui que tu amènes.

     

    Mars 2013 ( 2 )

    Plus de poèmes pour les dissidents !

    A la flamme vive, l'existence interrompue

    Et la suite continue des vices

    Prison d'acide et d'or tiède sous les mânes

    De tes sons, de tes voix ! Intemporelles !

    Il n'y a pas de suite, pas de fuite ! A moins qu'en ré mineur

    Nous sachions mieux courir, discourir même !

    Et se faire troubadours dans des fêtes mentales

    Où l'on philosophe sur de la connerie empaquetée

    Avec des rubans fluo et du papier pailleté !

     

    Mars 2013 ( 3 )

    D'ailleurs, ces mirages, je vous les sers.

    Sur un plateau d'argent, ordonné tout bien

    Ordonnés mes serfs, messires ? Agrémentons

    D'un méfait, ces assiettes de nacres et des coquilles

    Vides, de vos existences bienséantes.

    J'y cracherais, moi, mes folies, mon monde

    Pour vous le montrer parce que je vous aime.

     

    Je salue les futurs moirés, d'une litanie de doigts !

    Des mondes timorés auxquels je me noie !

    Pour goûter la consistance, résister à l'envie

    En mon âme et conscience, je vous laisse envahis

    De péchés sans pardon, Ô mon sacré cœur !

    Purgatoire affectif des chérubins en pleurs !

    Coucou, au revoir, des rigolades sans merci

    Me déchirent la gorge et je m'amuse, je crie,

    TERRIBLE ! Comme ce que je suis, ce monstre de foire !

    Qui tourne tourne tourne manège à n'en plus rien voir

    Vous ? Quoi ? Réfléchissez, que diable ! Je ne veux rien savoir.

     

    Mars 2013 ( 4 )

    Point d'orgue, négation, mélodies d'enivrée

    J'achète mon salut, paye ma caution

    Attention, dis, ce n'est pas un adieu

    Je t'aime encore, entité fantasmagorique

    Ma vie, mon souffle, mon esprit prisonnier

    Tour sans fin, rocambolesque, je ne suis

    Qu'un conte de fée.

     

    /Fin des poèmes-Rps-fuckés/

     

    Janvier 2014

    Les muses dansent avec toi,

    Quand elles dansent dans tes bras,

    Avec l'ivresse folâtre d'un murmure,

    Comme des pleurs de nos cœurs impurs.

     

    Elles dansent avec toi ce soir d'automne,

    Saignant l'encre de tes esprits,

    Sur les feuilles vertes de l'orme,

    Simple témoin extraverti.

     

    Où sont le ciel et la Mer ?

    Dans les infinis bleus du destin,

    Avons nous pris pied sur terre ?

    Quand sortir menaçait rien ?

     

    Avons nous dompté nos travers ?

    Pendant la marche du festin,

    Donc nos voix sonnent claires,

    Lorsque la mort prend son butin.

     

    Noble nuit aux grands cimeterres,

    Ne blesse pas nos coeurs importuns,

    Et dans l'éclat de l'éphémère,

    Descend le voile du malin.

     

    Comète artificielle des artères,

    Montre nous ton étroit chemin,

    Et dans la délivrance de tes mains,

    La lune ne pourra que se plaire.

     

    Février 2014

    Et alors,

    Je pourrais ressembler

    A tous ces dieux errants

    Que la terre a portés.

     

    Je pourrais graver

    Mes rêves sur les montagnes

    Laver les pleurs de l'océan

    A grands coups de gerbes d'écume

    Déposer des fleurs sur la tombe céleste

    De tous ces esprits vagabonds.

     

    Je pourrais admirer

    Une nuée de mirages fumeux

    Des arc-en-ciel électriques

    Et des danses fantastiques,

    Chanter les lunes du haut des falaises

    Murmurer des étoiles dans le cœur du vent

     

    Je pourrais m'échapper,

    Habillée de toutes les nuances du songe,

    Sous l'égide d'un milliers de gardes

    Observant la lumière née des espoirs

    S'écoulant dans la cascade éternelle

    Déversée par l'hystérie des cieux.

     

    Septembre 2014

    Le vent de la ville est tiède ce soir

    A la grâce de la cité ensommeille

    Le troubadour fatigué du temps,

    Marchand de sables travestis

    Tout parfumés d'or et soleils.

     

    S'accentuent l'accord fané, le son

    D'une décadence calculée et noire

    Le chaos maraudeur et perçant

    Passeur de rêves et mis en plis

    Sous les parures d'une illusion.

     

    Saluant une lune pleine et sans nom

    Jetant aux étoiles les trilles du souvenir

    Milliers d'oiseaux comme fauves d'argent

    Ailes jetant roulés en boule

    Les rejetons avortés de la parade.

     

    Portés haut les fanions diaphanes

    Sur la peau d'une nymphe sélène

    Une armée de points d'apostrophes

    Empilant les bribes d'un monde

    Sur le dos des bienheureux.

     

    Octobre 2014

    Les premières notes de musique, les premières traces de son

    Elles brisèrent son âme, laissée à l'horizon,

    Abandonnée à la chaleur des vents graciles

    Et c'est lorsque le regard meurt, immobile,

    Que les yeux vitreux, l'innocent heurte la trahison.

     

    Quand le monde s'émerveille, sous la voix des saisons

    Le chant résonne, appelant de ses forces

    Toute la puissance évocatrice d'une vision

    La magicienne, de son timbre, fait naître à l'unisson

    De rêves en embryons, des circonvolutions de limbes.

     

    Le tremblement, aux rêves invalidés

    Des images de déboires, prédestination de Roi

    Marchant sur les ruines d'un empire calciné

    Et de larmes parachevé, tous les sens en émoi

    L'orage le découpe de sa lame ensanglantée.

     

    Ce n'est qu'un énième insensé, se croyant bon pour le Trône,

    L'univers inversé, effleuré de la poigne

    Un énième échappé, à genoux demandant l'aumône,

    A la grâce des temps, enfant décalé,

    Un énième errant, que la Logique a quitté.

     

    Novembre 2014 ( 1 )

    De la poudre de tremblement

    Jetée à la face cachée des indigents

    Dans le noir et la pluie bleue

    Le tombeau chante, ne sait ce qu'il veut.

     

    Perfusion délurée, fil d'Ariane métal tressé

    Bouchée de nuit, randonnée céleste

    Pieds nus, peau de lait, lame comète

    Ecartelée, crocs déchiquetés cherchent interprète.

     

    Novembre 2014 ( 2 )

    La nuit faisait de la lumière

    Semait des douceurs dans les cavités mentales

    Semait des prières comme du sel sur les plaies

    Ombre chinoise – artiste à l'agonie

     

    C'est comme manquer d'air sous le soleil.

     

    Novembre 2014 ( 3 ) ( Sous spoiler car vraiment très long x) )

     

    Et si je te disais que j'avais ma volonté

    Que j'étais un être libre

    Que rien ne peut dompter

    Pas même la brûlure des étoiles

    Ni la voix sacrée des vents

    Pouvoir d'un millier de songes.

    Tous les rêves se pavanent

    Leurs halos sont faits d'argent

    Amis les Dieux, à ma merci,

    Dans la pitié désunie

    Dans la miséricorde

    Adresser à la défaite

    Un millier de nocturnes prières

    Et tout autant de noyades

    Dans le sang de la chimère...

     

    Quand le matin se lève

    Champ de bataille calciné

    Les échos d'âmes en peine doucement s'approchent

    Et viennent pour me parler

    Me dire toutes les misères

    La face cachée des rêves

    La peau griffée d'agonie

    Mélodie funeste dessein

    D'une chair à vif et sans destin

    Mauvaises augures en parade

    Sans l'armure blanche de l'oubli

    Les solitaires descendent

    D'un piédestal horrible

    Hurlant le doux amour

    Mielleuse lie de l'ombre

    Essémant les grains difformes ;

     

    La pluie enfantera les monstres,

    La nuit les verra n'être

    Assiégés de jour salvateur

    Brûlure des cieux alanguis

    Armée fatale comme une forêt

    Aux couleurs de tous les étendards

    Cauchemars passés et à venir

    Ô Malheur de forme pure ;

    J'aimerais que tu sois là,

    Voir le chaos s'autodétruire

    L'univers se mutiler

    Les étoiles suppurer ;

    Ensanglanter la trame céleste

    Cieux rouges, lame-comète

    Libère les cris

    Laisse moi naître

    Comme entité informe

    Création sonore assomée

    Jetée à tous auspices

    Allégorie bariolée d'éclat

    Dorures blindées, mensonge aveugle

    Plaisanterie vaste comme un exode

    Sur la vallée - peinture nomade

     

    Mes sens ne m'appartiennent plus

    Raison ensorcelée

    Offerte à d'autres caprices

    Ô complices de l'insanité

    Vous que je croyais morts

    De nouveau je sens gratter

    Aux portes impies de l'âme

    Tombeau assourdissant bâti

    Sur les illusions indécentes

    Labyrinthe mal famé des dilemmes

    Où se perdent toutes vertus

    Où s'évanouissent les honneurs ;

     

    Décimée de vide, manque dévorant

    A l'inconnu adresse les sanglots

    Déchirant toute trame, traversée aventure

    Tous mes échos répondent

    Aux appels incohérents

    Délitée dans le placenta salvateur

    La mélasse des apocalypses

    Emerveillée de sauvagerie

    Emportée dans les courants

    Electriques agitations des sommeils

    Bleuités bienfaitrices, éclairs de génie

    Sacrifier une essence sur l'autel

    Dédier les odes à la débâcle

    Parce que les hurlements s'élèvent

    Les mondes se réitèrent

    Cadavres intempérents, voilà vos Mémoires

    Et quelques pincées de sel

    Pour édulcorer les plaies suintantes

    Tracées par l'odieux courroux

    D'autant de trainées - de - larmes.

     

    Tous les Rois dissidents

    Se prosternent agenouillés

    A la gloire des brises livides

    Des créatures de boue noire

    Autant de princes rejetés

    Hantant les palais aériens

    Me voleront toutes les paresses

    Etalée dans la stupeur

    Aveuglée par les visions

    Convulsant comme une danse

    Implorant un millier de pardons

    Dont les cieux me feront grâce

    Crissement strident et éternel

    De toutes les obsessions divines

    Tous les malaises du Sage

    Qui étouffee dans la cage d'or

    Tressée des fils évanescents

    Au goût suave, douceur de nuage

    Répondant aux appels indiscibles

    Chuchotés par l'existence nécessaire.

    D'un être libre comme l'infini.

     

     

    Avril 2015

    Les peurs nues cherchent leur souffle

    Dans les bras fragiles du gracieux néant

    Où reposent les chaînes brisées du monde.

     

    Les cauchemars errent

    Drapés dans le voile de l'innocence

    Des tortures floues suffoquent

    Entourées des immondices vitales

    Dont l'âme grande est nourrie.

     

    Les aurores sont mes limbes

    Autant d'enfers sucrés au goût de larmes

    Dévorés par les crocs avides du destin ;

    Errances nomades, permanence du vide,

    Lit de plumes des derniers déclins.

     

    Ombre subite et subtile

    Où se cachent les Saltimbanques d'un dernier soir.

     

    Mai 2016 ( 1 )

    Le soleil

    Assommant

    Le bitume exhale une haleine étouffante

    Le souffle ténu de la ville

    Dans l'immobile, dans le chaos

    Dans le sable chaud de routes de naguère

    Cherchant de l'air dans la brûlure.

     

    Son murmure un chant oublié

    Déroulant sur la langue ses poussières

    Ses misères de particules bavardes

    Elles racontent des histoires, des harmonies

    Et des milliers de voix dissonantes

    Au bord des arrêts, des points d'eau

    Distillent des ribambelles

    De sens agglutinés.

     

    Mai 2016 ( 2 )

    Des grillons saluent la lourdeur

    Et l'orage encombre le ciel

    De tourments gris pluvieux

    Ronronne des larmes entre les arbres

    Cherche le sens du vent

    Qui souffle

    Une berceuse se noie dans la rivière

    Dans le froid

    Dans les ailes des corbeaux

    Croassants.

    Un demi-tour.

     

     

    Voila pour les poèmes o/ pour ce qui est de textes courts, histoires courtes & co, j'en ai pas mal en cours mais rien d'assez fini ni aboutit pour l'instant donc suspense xD

  8. C'est sûr y'a pas à dire, cet anime c'est du bon o/

    Y'a à la fois une petite dose de comédie qui fait qu'on se marre bien, du drama, du quasi gore par moments qui surprend. Puis ces "variations d'ambiance" augmentent le côté un peu "choquant" de ce qui arrive dès fois parce qu'on s'y attend pas, ça surprend.

     

    Puis même si le héros m'agace par moments ou que la plupart de ses décisions m'interroge, c'est quand même un personnage intéressant, sa façon de penser évolue, il s'adapte quoi. Il subit pas l'histoire.

     

     

    Après ça serait peut être cool qu'on finisse par sortir de la boucle du "je meurs - je revis j'avance un peu plus mais je remeurs - etc". Ca arrive à rester intéressant mais y'a l'air d'avoir pas mal d'autres éléments d'intrigue derrière avec la sorcière et tout, sur lesquels on a pas encore beaucoup d'infos et dont j'espère que l'exploitation va pas être rushée après.

     

     

    ( Puis par rapport à ce que vous disiez, une recherche rapide me laisse penser que c'est un LN à la base ! )

  9. Bon, j'ai enfin rattrapé mon retard sur cet anime !

    Pour l'instant, j'aime bien même si je m'étais hypée dessus avec le synopsis et tout je m'attendais presque à un truc un peu plus ouf xD En tous cas le chara design et l'animation sont vraiment séduisants et je trouve les personnages suffisament intéressants et / ou originaux voire drôles en plus de ça (spéciale dédicace à Dazai). Ils ont tous leur petite touche perso.

     

    Y'a vraiment une ambiance assez particulière avec l'humour un peu noir et quand même un peu de drama o/ Le tout avec un peu d'intrigue et de background qui se met en place au fur et à mesure même si ça reste assez léger ça fait au moins une petite trame de fond aux différents trucs qui se passent.

     

    Puis le héros commence à se réveiller à l'ep 8, il va peut être enfin être un peu moins un déchet professionel xD

     

     

    Un petit plus pour les références aussi (et encore je dois en rater beaucoup car je suis loin d'être calée sur le sujet x.x ) à de la littérature japonaise (genre tous les noms des persos de l'agence sont des noms d'auteurs ... j'ai juste envie de dire gg). Je trouve toujours ça cool quand ce genre de choses se glisse dans un anime o/

  10. Vraiment sympa pour l'instant même si au final j'espère avoir "un peu plus" d'infos sur l'univers sous peu aussi, d'où sortent les kabane etc. Les scènes d'action sont juste ouf par contre o/

     

     

    En revanche la gestion de Mumei dans l'épisode 7 me laisse perplexe, elle m'a paru trop différente des épisodes d'avant. C'est un personnage intéressant et assez nuancé au fond, mais là j'ai trouvé la variation trop brutale :/

     

     

    A voir dans quel sens ça va partir maintenant, y'a enfin plus de personnages et de "rôles" qui rentrent en scène donc ça va peut être bouger un peu plus en termes d'intrigue o/ !

  11. 1604300439356479314190379.jpg

     

    Genres : Mystère, Drame

    Année : 2015

    Studio : Lerche

    Réalisateur : Kishi Seiji

    Nombre d’épisodes : 11 épisodes de 23 minutes

     

     

    Synopsis (merci Wikipedia, MAL et compagnie)

    Kobayashi Yoshio, un jeune garçon particulièrement androgyne, est dans un collège nippon où a lieu une série de meurtres. Pire encore, il se retrouve subitement principal suspect de l’un d’entre eux. Il rencontre alors le jeune et célèbre détective Akechi Kogoro venu enquêter sur l’affaire et se prend de passion pour l’investigation de ces mystères. Kobayashi devient l’assistant du détective, découvrant les bas fonds de l'humanité et pimentant ainsi sa vie ennuyeuse et sans intérêt, malgré les réserves de son ami Hashiba Souji.

     

     

     

    Avis

    Note utile : Il s’agit entre autres d’une œuvre commémorative : l'anime s’inspire des romans de l'auteur Edogawa Ranpo (ça a été fait pour le cinquantenaire de sa mort) en transposant la plupart de ses personnages et de ses récits dans un Japon plus contemporain, actuel.

     

    En tous cas il s'agit probablement d'un des animés de 2015 qui m’aura le plus marquée – et en bien. En tous cas j’ai du mal à lui trouver des points négatifs. Pour une fois, même le format court ne gâche presque pas le plaisir (même si comme souvent dans ce genre de cas il y a une accélération assez claire sur la fin, un peu regrettable mais loin d'empêcher l'intrigue de se dérouler correctement jusqu'au bout).

     

    L’ambiance tout d’abord correspond bien à un thriller policier ; d'emblée assez dérangeante, elle s’assombrit au fur et à mesure. Elle est servie par quelques gags parfois sordides et surtout des personnages très typés, chacun porteur de différents thèmes, objectifs et problématiques qui constituent un bon moteur de l’intrigue. Par leur biais on peut voir des critiques ou au moins des réflexions assez intéressantes sur la société, la façon qu'on a de s'y inscrire, les stéréotypes ; le thème de la normalité.... Le tout traité d'une façon qui sort assez des sentiers battus. Tout ça est aidé par la mise en scène également très bien réalisée avec pas mal de travail sur les effets visuels, pour traduire l'état d'esprit des personnages, leur perception de la réalité.

     

    Pour un petit mot sur l’OST ; elle n'est pas archi marquante mais reste assez bonne, mention spéciale pour les OP et ED qui sont vraiment de qualité.

     

    En plus l’animé n’est pas trop prévisible, on arrive à être surpris par les événements. Ça change vraiment des intrigues téléphonées et des personnages archi conventionnels et consensuels auxquels on s’identifie facilement et qui ne nous questionnent pas forcément.

     

    Ca fait plaisir de voir des oeuvres comme ça, qui n’ont pas peur des partis pris quitte à se rendre susceptible de choquer certains spectateurs. Puis cet anime m’a fait découvrir Edogawa Rampo dont j’ai depuis quelques livres sur mes étagères, et googliser l’équation de Laplace (bon après j’ai rien compris c’est des maths.)

     

    Opening

     

     

     

     

    Ending

     

  12. The Ancient Magus Bride ( Mahou Tsukai no Yome )

     

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    Mangaka : Yamazaki Kore

    Genres : Fantasy, Romance, Drame, Surnaturel

    Editeur : Komikku

    Tomes : 4 tomes parus en France, 5 au Japon.

     

     

    Synopsis

    Chise Hatori est une adolescente orpheline, sans attaches, baladée toute sa vie de rejets en abandons. Elle est vendue aux enchères à Elias Ainsworth, un étrange sorcier qui désire en faire son apprentie – et sa femme – et l’emmène à Londres, où il vit. On apprendra que Chise est une créature rarissime dite « Slay Vega », possédant naturellement des attaches très fortes à la magie. Elle débute alors un long apprentissage de la sorcellerie mais aussi du monde qui l’entoure, tout en développant avec Elias une relation singulière.

     

     

    Avis

    Un manga plutôt prometteur, dont j’ai bien hâte de lire la suite. Je ne savais pas trop dans quoi je m’aventurais, et j’ai été agréablement surprise par beaucoup de choses. Le style graphique d’abord m’a séduite dès les premières pages, les planches sont soignées et tout est très bien réalisé : les paysages, les créatures diverses… Le chara design est original sans m’avoir paru trop choquant. Tout participe à créer un univers et une ambiance bien particuliers mais aussi très cohérents selon moi, à la frontière entre notre monde connu – quelques années en arrière - et ses mythes, ses légendes et ses contes de fées. Il est facile de s'y plonger tout en étant dépaysé. Vous pourrez aussi trouver pas mal de références à différents folklores, assez bien employées. C'est toujours plaisant à voir.

     

    J’ai aussi été surprise par une sorte de subtilité psychologique qui se développe et se révèle au fur et à mesure, de temps en temps, au travers des personnages et de leur relations, des thèmes qu’ils soulèvent, des différences radicales de nature qui les sépare et les rapproche à la fois. Après tout peu d'entre eux sont humains et pourtant ils parviennent à communiquer et à se lier au delà de leurs différentes perceptions du monde, comme si par exemple l'attachement des êtres les uns aux autres était quelque chose d'universel. Ce sont des choses exprimées très simplement mais qui paraissent ainsi d’autant plus fortes et touchantes.

     

    On s'attache vite aux personnages et l'on suit avec plaisir le scénario qui reste assez simple mais vite prenant. Bref, je recommande, on passe un bon moment de lecture !

  13. J'ai pas mal aimé cet anime pour ma part. Clair qu'il reste des incohérences et qu'au bout d'un moment certaines choses n'avancent / ne se résolvent pas donc ça peut finir par être agaçant. En revanche j'ai été très agréablement surprise par les personnages ; je trouve que ce qui fait surtout l'intérêt de l'anime c'est les relations entre eux, leurs évolutions et leurs émotions. Ça peut être assez prenant et ça créé des moments intenses pendant les combats. Y'a aussi tout un petit côté stratégies / technique avec les différents types d'armes d'airsoft & co, je sais pas à quel point c'est réaliste ou non mais en tous cas ça donne un peu de relief et de variété aux combats.

     

    C'est donc pas un chef d'oeuvre en soit mais par rapport au pitch de l'anime je ne m'attendais pas à ce genre de choses o/ ! J'aimerais bien trouver le manga un jour pour voir ce que ça donne à la base.

     

    ( comment ça je déterre des vieux trucs !? x) )

  14. J'ai trouvé l'animé plutôt bon aussi ; les personnages sont intéressants et plutôt attachants, avec un certain développement et des interactions enrichissantes. Le scénario est fait et organisé d'une manière qui arrive à être prenante. Ça ménage son suspense quoi.

     

    Par contre j'ai pas trouvé que la plupart des OP / ED correspondent à l'ambiance de l'animé, déception pour moi là dessus xD

     

    Et surtout, surtout, la 3D est immonde. Franchement une des pires que j'ai vues, des textures mal faites, pas fluides et tout... Pour un animé qui semblait quand même se vouloir d'une certaine trempe, c'est carrément dommage. Pour moi ça casse un peu l'immersion dans l'univers par moments.

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