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Ibb & Obb
dans Jeux vidéo
Mais si y'a un scénario !
Tu sauves le royaume des bouboules kawaii de l'invasion des vilains hérissons-oursins D: !
Bref c'est un bon jeu ; où faut avoir de la patience pour résoudre les problèmes xD !
Et ça tournait même sur mon ordi fatigué ; c'est un bon point !
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Vous êtes chanceux, avant il fallait que je lui fasse du chantage avec des brownies pendant 15 jours pour espérer lui faire rejoindre un fofo !
Bienvenue wesh!
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Vous pouvez voir un peu n'importe quoi dans ce(s) texte(s). Une histoire suivie, des fragments d'une même histoire, ou juste des élucubrations. Ca a un sens et un fond pour moi, donc j'espère que ça en aura aussi un pour vous, quitte à ce qu'il soit différent.
Entre crochets, c'est le narrateur du passage qui est précisé o/
A noter que j'ai commencé ça il y a un moment. Je garde l'univers à coeur, donc je vais peut être finir par le reprendre et continuer sérieusement x) En plus ça a un peu nature de premier jet. Donc il risque d'y avoir des incohérences au fur et à mesure, en espérant que vous ne m'en teniez pas trop rigueur, ça reste très expérimental !
***
« Sur les sentiers de l'Utopie
Règne une inconstance parfaite
Un chaos de démesure
Sublimant sa propre forme
Se recréant jour après jour
Y ont accès les Dieux, les Insensés,
Et tous les incertains
Dont l'âme flotte dans les limbes
Entre deux-famélique
Comme une feuille de vent
Abandonné même par les rêves ».
[ Narcisse ]Où que je regardais, l'horizon ceinturé de lumière rampante me polluait l'esprit. Et je devais me dévisser le cou pour atteindre l'éclat fatidique des étoiles, des rares astres qui brillaient au sommet de la voûte céleste. Les seules assez vives pour que leur énergie perce la mélasse jaunâtre du ciel, l'empêchement du rêve. Combattantes de l'infini.
La brise douce caresse le moindre carré de peau à nu, délicat soir d'automne venant se nicher jusque dans le cou, la gorge blafarde de lune. Ta présence diffuse dans cet obscur monde d'argent se fait mouvance discrète à mon côté, pas glissant. Tu as les lèvres entrouvertes comme pour humer le souffle du monde, et tu charges l'espace de paroles silencieuses, murmure inconscient des sens muets. Vague colline, plateau presque, éminences à perte de vue et pentes douces vers les vallées embuées de songes, hantées par le vent. Et surtout le silence, vaguement rompu parfois par les grattements discrets et furtifs de quelque créature noctambule ou de quelque fantôme passant dans la contrée recluse.
C'est à ces heures du cœur de la nuit que s'ébattent les présences de l'au delà, les consciences à appeler, et tous les songes abandonnés des dormeurs alanguis. Traces indécentes de tous ceux qui donnèrent un peu de la chaleur de leur corps à l'âme de ce sanctuaire de Nulle-Part. Un espace hors du temps ; une utopie mouvante et frêle, bulle de cristal fébrile assemblée à l'envi.
Mes pas cessent d'eux-mêmes, la contemplation m'invite dans ses dédales. Immédiatement tu gagnes l'immobilité de la pierre, compagnon de voyage trop parfait. Quelques mots te briseraient, te dénatureraient jusqu'aux profondeurs ; tu n'es pas un être de rébellion, tout au plus peut-être une de ces ombres sages qui s'attachent aux pas des idéalistes. A la manière d'un appel mourant, tu me tapotes l'épaule, attire mon attention vers un point indéfini dans le lointain hasardeux.
Je peine à comprendre ce que tu veux me montrer, et m'arme de persévérance. Tu sais que tes appels ne demeureront jamais incompris ; c'est pour cela que tu restes à mes côtés, et pour sucer en sourdine les faibles rythmes de mon existence, nécessaire à la perpétuation des battements de ton âme.
Mais je me sentais parfois lasse de tes devinettes ; j'avais le sentiment que tu te moquais de moi. Tu te jouais des vagues et nauséeuses rémanences de raison qui m'attaquaient quand d'aventure, mon esprit trébuchait dans une des aspérités du continuum trop léger dans lequel nous nous éternisions. Les lourdeurs terrestres menaçaient alors de me rappeler dans un ailleurs que je préférais oublier, et tu avais cette bonté sarcastique de me ramener. Pour me récupérer, il te suffisait d'un murmure, d'une pichenette, quelquefois d'un signe.
Je soupirais.
« Tu m'agaces, Deus. »
« Je sais, Narcisse. »
Dans notre monde sans substance, les voix n'ont plus de timbre, elles ne sont que purs sens échangés, sans aucune forme. Elles ne sont que compréhension qui sourd, dans l'arrière du crâne.
Le fait que je traduise en mots prouvait que j'essayais encore de faire sens.
Pour qui, au juste ?
Ceux qui sont libres n'ont guère besoin de ces mots ; et ceux qui meurent en cage ne peuvent pas les lire.
[ Deus ]Un œil me regarde depuis un remous du Noun, pendant un faible instant. Je recule, apeuré ; un véritable bond en arrière. Mon visage muet se tord fugacement en un hurlement inaudible. Narcisse se porte plus près de mon cœur, tendant sa présence pour mieux déployer mon image.
« Tu viens trop souvent ici, Deus. Le Noun se venge... Il finira par te dévorer. »
Je secouai la tête. Je le savais. Mais son appel était beaucoup trop puissant. Cet œil n'était que l'énième menace d'une épreuve inéluctable. Je me léchai les lèvres, y récoltant les dernières perles sucrées, croquantes comme des billes de diamant. Elle me regarde sans rien dire. Je suis encore agenouillé au bord du Noun, peinant à en détourner le regard. J'écoute le murmure du courant et contemple sa teinte pourpre-ambrée.
Mais Narcisse s'approche, effleurant la ligne que je trace pour elle à chaque fois. Les créatures comme elle n'ont pas à être effrayées du Noun. Pas directement, non ; mais par mon influence ? Il y a ici de ces pouvoirs et de ces échanges qui dépassent la volonté et le contrôle de chacun. Je me relève brusquement, énervé. Elle le fait toujours. Pour que j'aie peur, pour que je revienne. Alors je reviens. Je lui jette un regard noir, mais je suis là, et la gratifie d'un courant d'air. Je ne peux pas même dire que je lui effleure la main, encore moins que j'essaye de la frapper, de la pincer. Je n'ai pas assez de matière pour cela. Et cette créature blafarde et apeurée ne saurait me conférer assez de présence, assez de chaleur, ultime preuve de l'existence – je demeure un entre deux.
Elle repart et je la suis un moment... Comme en souffrance de m'éloigner de mon élixir de vie, que je sens me donner des forces. Je rayonne, littéralement.
« Calmes toi, Deus. Tu m'éblouirais presque. Tu as trop bu. »
J'affichai une mine boudeuse. Oui, j'avais trop emprunté au Noun, aujourd'hui, et elle le sentait mieux que n'importe lequel des Rêves qui tachaient de me bouffer la particule. Des petits éclats de cristal d'âme m'assaillaient, voulant m'arracher aux petits bouts de moi. Je chassai ces parasites d'un coup de main fatigué, mais ils revinrent à la charge, lucioles fluorescentes dans la nuit. Les griffes minuscules hérissant leurs pattes noires me chatouillaient.
« Ca suffit ! »
La langue acerbe dans laquelle Narcisse parvenait parfois à s'exprimer résonna, et les petits éclats de rêve se détachent de moi, cessent de me pomper le sang translucide, de boire à la faille de mes entailles la pitance divine, réservée censément aux esprits purs. Les gens, ce soir, feront de drôles de rêves...
Ils s'éparpillent et se regroupent comme un essaim, s'intéressent un instant à elle. L'un se greffe, taille sur son épaule blanche... tous s'effrayent du filet rouge qui s'en échappe. Ces rejetons là ne boivent pas de ce vin, et je peux sentir dans l'air, émanant d'eux, une forme inconsciente de dégoût paniqué.
« Saletés » Commente-elle encore, ignorant la blessure. « Ça va ? »
Je haussai les épaules. « J'ai vu pire. »
Je frottai mes plaies, qui me grattouillaient en guérissant. Ma nature divine semblait s'être augmentée momentanément... Rare effet du Noun, qui a le plus souvent tendance à pervertir. A nuire. Je finis par demander, pas sûr d'être entendu.
« Et où allons nous ? »
« En voyage... »
Un voyage ? Ce n'était qu'une chimère. S'éloigner de l'océan, c'était plonger dans la mélasse, les limbes, les âmes ; et tous les labyrinthes que la Création même a oubliés. Là où l'éternité n'est qu'un instant.
•••
Dans un monde qui change perpétuellement de configuration, il est difficile de trouver son chemin.
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Merci Dimo et Shaft !
Dimo, la plupart je les ai fait à l'ordi direct donc pas tant de temps à retranscrire que ça au final ^^
Shaft, je note et j'aime bien le concept de "matière brute d'inspiration shoutée qui dépasse la personne qui l'a écrite" ça résume assez bien la chose effectivement par moments x) Les premiers par exemple, ceux "RP" ... je serais incapable de réécrire comme ça maintenant même si je le voulais ou essayais sciemment de refaire quelque chose de cet acabit :/
Y'a de belles phrases dans ton comm aussi, j'aime bien =D (et non, je ne parle pas que de celles qui me font des éloges même si je les apprécie bien sûr xD )
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Thanks =) J'étais sévèrement inspirée pendant ces RPs. Pour la petite anecdote je faisais des posts mélangeant le récit "normal" et les poèmes que j'ai extraits par la suite qui sont "plus ou moins" en rapport avec ce qui se passait du coup. Sachant que c'était un cadre très libre donc sur ce truc là j'avais fait une forme de RP solo mais libre, je n'empêchais personne d'y répondre donc de temps en temps y'avait d'autres personnages qui se prenaient au jeu x)
Héhé j'espère avoir des inspirations aussi, et / ou réussir à bosser un peu sur mes histoires courtes qui attendent depuis des mois et des mois x)
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C'est effectivement .hack//sign
:hum: C'était donc trop facile... ( ou t'as juste de bonnes refs o/ ! )
CoOpA22CoOl : 54 Points
dagoba11 : 46 Points
Shisai : 40 points
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Sandyh : 37 Points
Mayuko : 36 Points
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Shaft : 21 points
ZazaChan : 18 points
Cephi : 17 points
------------------------------------
Ness : 14 points
Smoker130 : 10 Points
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Ayork : 9 Points
Rin : 9 Points
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Echelon 3 : 7 points
------------------------------------I
numaru : 6 Points
SuperSushi : 6 Points
Yukio: 6 points
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Alex : 5 points
Azmaroth : 5 points
Dimensio : 5 points
Jess : 5 points
Kazugaya : 5 points
LauraDorva : 5 points
Yomigues : 5 points
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antinomi: 4 points
Kasugano Sora : 4 points
MilkyLove: 4 points
Mordakan : 4 points
Rrominet : 4 points
Shodoow : 4 points
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Chester : 3 Points
Coatlicue : 3 points
Firo Prochainezo : 3 points
Kotoko : 3 points
Le rieur: 3 points
Lusso : 3 points
Mulligan : 3 points
Nerieru : 3 points
Pokka : 3 points
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Aki : 2 points
Alephnor : 2 points
Aquana32 : 2 pointsDaisuKare : 2 points
Doku : 2 points
Haruhi : 2 points
Lineae : 2 points
Mimile : 2 points
Noodle : 2 points
Nuronigane: 2 points
Otakuoki : 2 points
Raven : 2 points
sharn: 2 pointSpiro: 2 points
SuperMadara : 2 Points
Tarask : 2 points
Yoshimune : 2 points
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Aarth : 1 point
Asdo : 1 point
Bashou : 1 point
Darkead : 1 point
Djidji : 1 point
Drei-M: 1 point
Duet : 1 point
Eyric : 1 point
Gadoryu : 1 point
Hanabi : 1 point
Ice-Q : 1 point
Kermir: 1 point
Kimory : 1 point
Lallice : 1 point
Mentatsumi : 1 point
MsDaath: 1 point
Niya : 1 pointotak-poit: 1 point
Paurumiette : 1 point
ridfus93 : 1 point
Ryngo : 1 point
S@dmad : 1 Point
Takichiro : 1 point
Waldium : 1 point
Yamishana : 1 point
Zorba : 1 point
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Je suis pas au taquet sur les jeux, sinon j'aurais sûrement réagi plus vite ; faut quand même pas déconner avec Subete quoi =D
A vous de jouer ( j'espère que c'est pas trop facile o/ ) :
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Mais
Mais
Serait-ce Subete ga F ni naru ou suis-je totalement droguée à cause de l'heure tardive ? OO
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Merci ^_^ contente que ça t'ait plu
Et bravo au passage, ton poème est cool, marrant, les rimes sont nickel et je m'imagine tellement la game du coup xD Je m'attendais pas à ce qu'on puisse faire de la poésie sur LoL, c'est un concept à proposer à Riot xD
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Bon je finis par me motiver à vous partager quelques écrits =D Probablement rien de suivi, au mieux des histoires courtes et pour l'instant surtout des poèmes. Le tout relativement vieux, j'en ai pas vraiment écrit depuis un moment à part des instants d'inspiration ça et là.
J'vais essayer de les mettre par ordre chronologique ( y'en à qui datent un peu du coup et encore, je vous épargne des encore plus vieux xD ) mais je garantis rien, la plupart ont perdu leur date au gré de mes fichiers o/
Désolée si ça en fait pas mal d'un coup, j'ai farfouillé pour faire un bilan de ce que j'ai déjà x) Prenez votre temps et bonne lecture o/
( + Merci de respecter le droit d'auteur et patati et patata ; je perds pas espoir de faire quelque chose de ces textes un jour ... )
A noter que les 5 poèmes suivants ont été écrits dans le cadre de RPs sur fofo, donc on peut dire qu'ils sont du point de vue de mon perso... qui partait très loin de toute x)
Janvier 2013
Dans toute ma peur, dans toute ma folieJ'éveille les démons, en dehors de la fin
Dans toute leur splendeur, dans toute leur tristesse
Le déploiement menaçant, l'étrangleur, la grandeur du dément
Des passés qui se heurtent, du lapidaire présent
Des gerbes d'écumes et de sangs, des mondes étalés
Des étangs dégoûtés, de glace noire et mauve, des
Bleuités, comme dirait Rimbaud
Et comme tout se décale, on se décale
Dans la haine, oh ! Nous sommes
Tissés de haine, de dérapages
Je me tisse moi même du sang de mes ennemis
Je me tisse du sang des amitiés qui pleurent
Et des morts qui se rient de
Nous.
Ridiculement, on attend qu'un autre jour nous offre ses grâces
Princes charmant envoûtant d'un baise main une bordée de vierges
Ou de putes.
Se traîner comme des serpents dans les déchets du ciel
Se traîner dans la fange, en faire notre nourriture, notre immen-cité !
L'adorer, la vénérer, s'y rouler comme des fous, comme des adorants
Etats de transes métaphysiques, psychosophiques, à l'ode des cratères
Des joies parallèles aux mondes dégueulasses.
Mars 2013 ( 1 )
Des sciences en mirages, à l'illusion d'optique !Travailleurs infidèles aux théories foireuses !
Formidable, j'aime à distance des monnaies flamboyantes
Des palais achetés aux brises sanguinolentes
Des murmures dérobés aux montagnes
Tout ça je l'ai obtenu. M'appartiennent et le partage.
Regardez autour de vous, et dites moi ce que vous voyez.
Nous ne sommes rien. C'est l'immen-cité compressée du monde.
Des instants. De nous. Les fils du vent ? Va-tu dire !
Es-tu fou ? Nous nous targuons de ce qui nous dépasse.
Va, feu follet, oublie qui je suis et ce que nous fûmes.
Tuons nous dans l’œuf, incorporons nous à la trame !
Je hais la réalité tangible. Est-tu cruel, es tu un monstre !
Sadique ! Détestable ! Tu me poétises des hommages
Et moi je te réponds ceci. Apprend à être.
Avant de chercher à savoir les formes que peut adopter la conscience,
Cherches le toi qui est ici, et non pas celui que tu amènes.
Mars 2013 ( 2 )
Plus de poèmes pour les dissidents !A la flamme vive, l'existence interrompue
Et la suite continue des vices
Prison d'acide et d'or tiède sous les mânes
De tes sons, de tes voix ! Intemporelles !
Il n'y a pas de suite, pas de fuite ! A moins qu'en ré mineur
Nous sachions mieux courir, discourir même !
Et se faire troubadours dans des fêtes mentales
Où l'on philosophe sur de la connerie empaquetée
Avec des rubans fluo et du papier pailleté !
Mars 2013 ( 3 )
D'ailleurs, ces mirages, je vous les sers.Sur un plateau d'argent, ordonné tout bien
Ordonnés mes serfs, messires ? Agrémentons
D'un méfait, ces assiettes de nacres et des coquilles
Vides, de vos existences bienséantes.
J'y cracherais, moi, mes folies, mon monde
Pour vous le montrer parce que je vous aime.
Je salue les futurs moirés, d'une litanie de doigts !
Des mondes timorés auxquels je me noie !
Pour goûter la consistance, résister à l'envie
En mon âme et conscience, je vous laisse envahis
De péchés sans pardon, Ô mon sacré cœur !
Purgatoire affectif des chérubins en pleurs !
Coucou, au revoir, des rigolades sans merci
Me déchirent la gorge et je m'amuse, je crie,
TERRIBLE ! Comme ce que je suis, ce monstre de foire !
Qui tourne tourne tourne manège à n'en plus rien voir
Vous ? Quoi ? Réfléchissez, que diable ! Je ne veux rien savoir.
Mars 2013 ( 4 )
Point d'orgue, négation, mélodies d'enivréeJ'achète mon salut, paye ma caution
Attention, dis, ce n'est pas un adieu
Je t'aime encore, entité fantasmagorique
Ma vie, mon souffle, mon esprit prisonnier
Tour sans fin, rocambolesque, je ne suis
Qu'un conte de fée.
/Fin des poèmes-Rps-fuckés/
Janvier 2014
Les muses dansent avec toi,Quand elles dansent dans tes bras,
Avec l'ivresse folâtre d'un murmure,
Comme des pleurs de nos cœurs impurs.
Elles dansent avec toi ce soir d'automne,
Saignant l'encre de tes esprits,
Sur les feuilles vertes de l'orme,
Simple témoin extraverti.
Où sont le ciel et la Mer ?
Dans les infinis bleus du destin,
Avons nous pris pied sur terre ?
Quand sortir menaçait rien ?
Avons nous dompté nos travers ?
Pendant la marche du festin,
Donc nos voix sonnent claires,
Lorsque la mort prend son butin.
Noble nuit aux grands cimeterres,
Ne blesse pas nos coeurs importuns,
Et dans l'éclat de l'éphémère,
Descend le voile du malin.
Comète artificielle des artères,
Montre nous ton étroit chemin,
Et dans la délivrance de tes mains,
La lune ne pourra que se plaire.
Février 2014
Et alors,Je pourrais ressembler
A tous ces dieux errants
Que la terre a portés.
Je pourrais graver
Mes rêves sur les montagnes
Laver les pleurs de l'océan
A grands coups de gerbes d'écume
Déposer des fleurs sur la tombe céleste
De tous ces esprits vagabonds.
Je pourrais admirer
Une nuée de mirages fumeux
Des arc-en-ciel électriques
Et des danses fantastiques,
Chanter les lunes du haut des falaises
Murmurer des étoiles dans le cœur du vent
Je pourrais m'échapper,
Habillée de toutes les nuances du songe,
Sous l'égide d'un milliers de gardes
Observant la lumière née des espoirs
S'écoulant dans la cascade éternelle
Déversée par l'hystérie des cieux.
Septembre 2014
Le vent de la ville est tiède ce soirA la grâce de la cité ensommeille
Le troubadour fatigué du temps,
Marchand de sables travestis
Tout parfumés d'or et soleils.
S'accentuent l'accord fané, le son
D'une décadence calculée et noire
Le chaos maraudeur et perçant
Passeur de rêves et mis en plis
Sous les parures d'une illusion.
Saluant une lune pleine et sans nom
Jetant aux étoiles les trilles du souvenir
Milliers d'oiseaux comme fauves d'argent
Ailes jetant roulés en boule
Les rejetons avortés de la parade.
Portés haut les fanions diaphanes
Sur la peau d'une nymphe sélène
Une armée de points d'apostrophes
Empilant les bribes d'un monde
Sur le dos des bienheureux.
Octobre 2014
Les premières notes de musique, les premières traces de sonElles brisèrent son âme, laissée à l'horizon,
Abandonnée à la chaleur des vents graciles
Et c'est lorsque le regard meurt, immobile,
Que les yeux vitreux, l'innocent heurte la trahison.
Quand le monde s'émerveille, sous la voix des saisons
Le chant résonne, appelant de ses forces
Toute la puissance évocatrice d'une vision
La magicienne, de son timbre, fait naître à l'unisson
De rêves en embryons, des circonvolutions de limbes.
Le tremblement, aux rêves invalidés
Des images de déboires, prédestination de Roi
Marchant sur les ruines d'un empire calciné
Et de larmes parachevé, tous les sens en émoi
L'orage le découpe de sa lame ensanglantée.
Ce n'est qu'un énième insensé, se croyant bon pour le Trône,
L'univers inversé, effleuré de la poigne
Un énième échappé, à genoux demandant l'aumône,
A la grâce des temps, enfant décalé,
Un énième errant, que la Logique a quitté.
Novembre 2014 ( 1 )
De la poudre de tremblementJetée à la face cachée des indigents
Dans le noir et la pluie bleue
Le tombeau chante, ne sait ce qu'il veut.
Perfusion délurée, fil d'Ariane métal tressé
Bouchée de nuit, randonnée céleste
Pieds nus, peau de lait, lame comète
Ecartelée, crocs déchiquetés cherchent interprète.
Novembre 2014 ( 2 )
La nuit faisait de la lumièreSemait des douceurs dans les cavités mentales
Semait des prières comme du sel sur les plaies
Ombre chinoise – artiste à l'agonie
C'est comme manquer d'air sous le soleil.
Novembre 2014 ( 3 ) ( Sous spoiler car vraiment très long x) )
Et si je te disais que j'avais ma volontéQue j'étais un être libre
Que rien ne peut dompter
Pas même la brûlure des étoiles
Ni la voix sacrée des vents
Pouvoir d'un millier de songes.
Tous les rêves se pavanent
Leurs halos sont faits d'argent
Amis les Dieux, à ma merci,
Dans la pitié désunie
Dans la miséricorde
Adresser à la défaite
Un millier de nocturnes prières
Et tout autant de noyades
Dans le sang de la chimère...
Quand le matin se lève
Champ de bataille calciné
Les échos d'âmes en peine doucement s'approchent
Et viennent pour me parler
Me dire toutes les misères
La face cachée des rêves
La peau griffée d'agonie
Mélodie funeste dessein
D'une chair à vif et sans destin
Mauvaises augures en parade
Sans l'armure blanche de l'oubli
Les solitaires descendent
D'un piédestal horrible
Hurlant le doux amour
Mielleuse lie de l'ombre
Essémant les grains difformes ;
La pluie enfantera les monstres,
La nuit les verra n'être
Assiégés de jour salvateur
Brûlure des cieux alanguis
Armée fatale comme une forêt
Aux couleurs de tous les étendards
Cauchemars passés et à venir
Ô Malheur de forme pure ;
J'aimerais que tu sois là,
Voir le chaos s'autodétruire
L'univers se mutiler
Les étoiles suppurer ;
Ensanglanter la trame céleste
Cieux rouges, lame-comète
Libère les cris
Laisse moi naître
Comme entité informe
Création sonore assomée
Jetée à tous auspices
Allégorie bariolée d'éclat
Dorures blindées, mensonge aveugle
Plaisanterie vaste comme un exode
Sur la vallée - peinture nomade
Mes sens ne m'appartiennent plus
Raison ensorcelée
Offerte à d'autres caprices
Ô complices de l'insanité
Vous que je croyais morts
De nouveau je sens gratter
Aux portes impies de l'âme
Tombeau assourdissant bâti
Sur les illusions indécentes
Labyrinthe mal famé des dilemmes
Où se perdent toutes vertus
Où s'évanouissent les honneurs ;
Décimée de vide, manque dévorant
A l'inconnu adresse les sanglots
Déchirant toute trame, traversée aventure
Tous mes échos répondent
Aux appels incohérents
Délitée dans le placenta salvateur
La mélasse des apocalypses
Emerveillée de sauvagerie
Emportée dans les courants
Electriques agitations des sommeils
Bleuités bienfaitrices, éclairs de génie
Sacrifier une essence sur l'autel
Dédier les odes à la débâcle
Parce que les hurlements s'élèvent
Les mondes se réitèrent
Cadavres intempérents, voilà vos Mémoires
Et quelques pincées de sel
Pour édulcorer les plaies suintantes
Tracées par l'odieux courroux
D'autant de trainées - de - larmes.
Tous les Rois dissidents
Se prosternent agenouillés
A la gloire des brises livides
Des créatures de boue noire
Autant de princes rejetés
Hantant les palais aériens
Me voleront toutes les paresses
Etalée dans la stupeur
Aveuglée par les visions
Convulsant comme une danse
Implorant un millier de pardons
Dont les cieux me feront grâce
Crissement strident et éternel
De toutes les obsessions divines
Tous les malaises du Sage
Qui étouffee dans la cage d'or
Tressée des fils évanescents
Au goût suave, douceur de nuage
Répondant aux appels indiscibles
Chuchotés par l'existence nécessaire.
D'un être libre comme l'infini.
Avril 2015
Les peurs nues cherchent leur souffleDans les bras fragiles du gracieux néant
Où reposent les chaînes brisées du monde.
Les cauchemars errent
Drapés dans le voile de l'innocence
Des tortures floues suffoquent
Entourées des immondices vitales
Dont l'âme grande est nourrie.
Les aurores sont mes limbes
Autant d'enfers sucrés au goût de larmes
Dévorés par les crocs avides du destin ;
Errances nomades, permanence du vide,
Lit de plumes des derniers déclins.
Ombre subite et subtile
Où se cachent les Saltimbanques d'un dernier soir.
Mai 2016 ( 1 )
Le soleilAssommant
Le bitume exhale une haleine étouffante
Le souffle ténu de la ville
Dans l'immobile, dans le chaos
Dans le sable chaud de routes de naguère
Cherchant de l'air dans la brûlure.
Son murmure un chant oublié
Déroulant sur la langue ses poussières
Ses misères de particules bavardes
Elles racontent des histoires, des harmonies
Et des milliers de voix dissonantes
Au bord des arrêts, des points d'eau
Distillent des ribambelles
De sens agglutinés.
Mai 2016 ( 2 )
Des grillons saluent la lourdeurEt l'orage encombre le ciel
De tourments gris pluvieux
Ronronne des larmes entre les arbres
Cherche le sens du vent
Qui souffle
Une berceuse se noie dans la rivière
Dans le froid
Dans les ailes des corbeaux
Croassants.
Un demi-tour.
Voila pour les poèmes o/ pour ce qui est de textes courts, histoires courtes & co, j'en ai pas mal en cours mais rien d'assez fini ni aboutit pour l'instant donc suspense xD
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C'est sûr y'a pas à dire, cet anime c'est du bon o/
Y'a à la fois une petite dose de comédie qui fait qu'on se marre bien, du drama, du quasi gore par moments qui surprend. Puis ces "variations d'ambiance" augmentent le côté un peu "choquant" de ce qui arrive dès fois parce qu'on s'y attend pas, ça surprend.
Puis même si le héros m'agace par moments ou que la plupart de ses décisions m'interroge, c'est quand même un personnage intéressant, sa façon de penser évolue, il s'adapte quoi. Il subit pas l'histoire.
Après ça serait peut être cool qu'on finisse par sortir de la boucle du "je meurs - je revis j'avance un peu plus mais je remeurs - etc". Ca arrive à rester intéressant mais y'a l'air d'avoir pas mal d'autres éléments d'intrigue derrière avec la sorcière et tout, sur lesquels on a pas encore beaucoup d'infos et dont j'espère que l'exploitation va pas être rushée après.
( Puis par rapport à ce que vous disiez, une recherche rapide me laisse penser que c'est un LN à la base ! )
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Bon, j'ai enfin rattrapé mon retard sur cet anime !
Pour l'instant, j'aime bien même si je m'étais hypée dessus avec le synopsis et tout je m'attendais presque à un truc un peu plus ouf xD En tous cas le chara design et l'animation sont vraiment séduisants et je trouve les personnages suffisament intéressants et / ou originaux voire drôles en plus de ça (spéciale dédicace à Dazai). Ils ont tous leur petite touche perso.
Y'a vraiment une ambiance assez particulière avec l'humour un peu noir et quand même un peu de drama o/ Le tout avec un peu d'intrigue et de background qui se met en place au fur et à mesure même si ça reste assez léger ça fait au moins une petite trame de fond aux différents trucs qui se passent.
Puis le héros commence à se réveiller à l'ep 8, il va peut être enfin être un peu moins un déchet professionel xD
Un petit plus pour les références aussi (et encore je dois en rater beaucoup car je suis loin d'être calée sur le sujet x.x ) à de la littérature japonaise (genre tous les noms des persos de l'agence sont des noms d'auteurs ... j'ai juste envie de dire gg). Je trouve toujours ça cool quand ce genre de choses se glisse dans un anime o/
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Vraiment sympa pour l'instant même si au final j'espère avoir "un peu plus" d'infos sur l'univers sous peu aussi, d'où sortent les kabane etc. Les scènes d'action sont juste ouf par contre o/
En revanche la gestion de Mumei dans l'épisode 7 me laisse perplexe, elle m'a paru trop différente des épisodes d'avant. C'est un personnage intéressant et assez nuancé au fond, mais là j'ai trouvé la variation trop brutale :/
A voir dans quel sens ça va partir maintenant, y'a enfin plus de personnages et de "rôles" qui rentrent en scène donc ça va peut être bouger un peu plus en termes d'intrigue o/ !
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Bon anniversaire de la part de loli aussi o/ ! (elle a pas d'internet en ce moment :/)
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N'anniversaires Syel et Dimo o/
Et le canard plussoie !
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Vendredi, Cana a reçu dans sa boîte aux lettres...
Un T-Shirt et une Kimo en bonus.
Et vivent les licornes
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Enfin quelqu'un qui a reconnu la vraie valeur d'Aldnoah Zero ! C'est bien o/
Bienvenue
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Genres : Mystère, Drame
Année : 2015
Studio : Lerche
Réalisateur : Kishi Seiji
Nombre d’épisodes : 11 épisodes de 23 minutes
Synopsis (merci Wikipedia, MAL et compagnie)
Kobayashi Yoshio, un jeune garçon particulièrement androgyne, est dans un collège nippon où a lieu une série de meurtres. Pire encore, il se retrouve subitement principal suspect de l’un d’entre eux. Il rencontre alors le jeune et célèbre détective Akechi Kogoro venu enquêter sur l’affaire et se prend de passion pour l’investigation de ces mystères. Kobayashi devient l’assistant du détective, découvrant les bas fonds de l'humanité et pimentant ainsi sa vie ennuyeuse et sans intérêt, malgré les réserves de son ami Hashiba Souji.
Avis
Note utile : Il s’agit entre autres d’une œuvre commémorative : l'anime s’inspire des romans de l'auteur Edogawa Ranpo (ça a été fait pour le cinquantenaire de sa mort) en transposant la plupart de ses personnages et de ses récits dans un Japon plus contemporain, actuel.
En tous cas il s'agit probablement d'un des animés de 2015 qui m’aura le plus marquée – et en bien. En tous cas j’ai du mal à lui trouver des points négatifs. Pour une fois, même le format court ne gâche presque pas le plaisir (même si comme souvent dans ce genre de cas il y a une accélération assez claire sur la fin, un peu regrettable mais loin d'empêcher l'intrigue de se dérouler correctement jusqu'au bout).
L’ambiance tout d’abord correspond bien à un thriller policier ; d'emblée assez dérangeante, elle s’assombrit au fur et à mesure. Elle est servie par quelques gags parfois sordides et surtout des personnages très typés, chacun porteur de différents thèmes, objectifs et problématiques qui constituent un bon moteur de l’intrigue. Par leur biais on peut voir des critiques ou au moins des réflexions assez intéressantes sur la société, la façon qu'on a de s'y inscrire, les stéréotypes ; le thème de la normalité.... Le tout traité d'une façon qui sort assez des sentiers battus. Tout ça est aidé par la mise en scène également très bien réalisée avec pas mal de travail sur les effets visuels, pour traduire l'état d'esprit des personnages, leur perception de la réalité.
Pour un petit mot sur l’OST ; elle n'est pas archi marquante mais reste assez bonne, mention spéciale pour les OP et ED qui sont vraiment de qualité.
En plus l’animé n’est pas trop prévisible, on arrive à être surpris par les événements. Ça change vraiment des intrigues téléphonées et des personnages archi conventionnels et consensuels auxquels on s’identifie facilement et qui ne nous questionnent pas forcément.
Ca fait plaisir de voir des oeuvres comme ça, qui n’ont pas peur des partis pris quitte à se rendre susceptible de choquer certains spectateurs. Puis cet anime m’a fait découvrir Edogawa Rampo dont j’ai depuis quelques livres sur mes étagères, et googliser l’équation de Laplace (bon après j’ai rien compris c’est des maths.)
Opening
Ending
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The Ancient Magus Bride ( Mahou Tsukai no Yome )
Mangaka : Yamazaki Kore
Genres : Fantasy, Romance, Drame, Surnaturel
Editeur : Komikku
Tomes : 4 tomes parus en France, 5 au Japon.
Synopsis
Chise Hatori est une adolescente orpheline, sans attaches, baladée toute sa vie de rejets en abandons. Elle est vendue aux enchères à Elias Ainsworth, un étrange sorcier qui désire en faire son apprentie – et sa femme – et l’emmène à Londres, où il vit. On apprendra que Chise est une créature rarissime dite « Slay Vega », possédant naturellement des attaches très fortes à la magie. Elle débute alors un long apprentissage de la sorcellerie mais aussi du monde qui l’entoure, tout en développant avec Elias une relation singulière.
Avis
Un manga plutôt prometteur, dont j’ai bien hâte de lire la suite. Je ne savais pas trop dans quoi je m’aventurais, et j’ai été agréablement surprise par beaucoup de choses. Le style graphique d’abord m’a séduite dès les premières pages, les planches sont soignées et tout est très bien réalisé : les paysages, les créatures diverses… Le chara design est original sans m’avoir paru trop choquant. Tout participe à créer un univers et une ambiance bien particuliers mais aussi très cohérents selon moi, à la frontière entre notre monde connu – quelques années en arrière - et ses mythes, ses légendes et ses contes de fées. Il est facile de s'y plonger tout en étant dépaysé. Vous pourrez aussi trouver pas mal de références à différents folklores, assez bien employées. C'est toujours plaisant à voir.
J’ai aussi été surprise par une sorte de subtilité psychologique qui se développe et se révèle au fur et à mesure, de temps en temps, au travers des personnages et de leur relations, des thèmes qu’ils soulèvent, des différences radicales de nature qui les sépare et les rapproche à la fois. Après tout peu d'entre eux sont humains et pourtant ils parviennent à communiquer et à se lier au delà de leurs différentes perceptions du monde, comme si par exemple l'attachement des êtres les uns aux autres était quelque chose d'universel. Ce sont des choses exprimées très simplement mais qui paraissent ainsi d’autant plus fortes et touchantes.
On s'attache vite aux personnages et l'on suit avec plaisir le scénario qui reste assez simple mais vite prenant. Bref, je recommande, on passe un bon moment de lecture !
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J'ai pas mal aimé cet anime pour ma part. Clair qu'il reste des incohérences et qu'au bout d'un moment certaines choses n'avancent / ne se résolvent pas donc ça peut finir par être agaçant. En revanche j'ai été très agréablement surprise par les personnages ; je trouve que ce qui fait surtout l'intérêt de l'anime c'est les relations entre eux, leurs évolutions et leurs émotions. Ça peut être assez prenant et ça créé des moments intenses pendant les combats. Y'a aussi tout un petit côté stratégies / technique avec les différents types d'armes d'airsoft & co, je sais pas à quel point c'est réaliste ou non mais en tous cas ça donne un peu de relief et de variété aux combats.
C'est donc pas un chef d'oeuvre en soit mais par rapport au pitch de l'anime je ne m'attendais pas à ce genre de choses o/ ! J'aimerais bien trouver le manga un jour pour voir ce que ça donne à la base.
( comment ça je déterre des vieux trucs !? x) )
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J'ai trouvé l'animé plutôt bon aussi ; les personnages sont intéressants et plutôt attachants, avec un certain développement et des interactions enrichissantes. Le scénario est fait et organisé d'une manière qui arrive à être prenante. Ça ménage son suspense quoi.
Par contre j'ai pas trouvé que la plupart des OP / ED correspondent à l'ambiance de l'animé, déception pour moi là dessus xD
Et surtout, surtout, la 3D est immonde. Franchement une des pires que j'ai vues, des textures mal faites, pas fluides et tout... Pour un animé qui semblait quand même se vouloir d'une certaine trempe, c'est carrément dommage. Pour moi ça casse un peu l'immersion dans l'univers par moments.
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I like trains
En vrai c'est sympa et bien fait, quoiqu'un peu traumatisant pour les pauvres petits kokoro sensibles :'( Et le style de dessin est cool O/
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[News] Figurines
dans Goodies
Pire que classe, elle est juste BADASS. Pour une fois qu'un perso féminin a une fig classe et pas totalement fanserv' *.*
[Licencié] Koutetsujou no Kabaneri
dans Animes
Posté(e)
Dernier ep qui se regarde, je m'attendais presque à pire. Après c'est un poil trop gentillet par rapport à l'univers, y'a un peu trop de miracles en 22 minutes et la gestion des personnages est toujours aussi aléatoire. Au final le scénario était plutôt pauvre, pas vraiment d'éléments de fond ni d'explications... Bref ça passe... Si on s'arrête pas trop sur les détails xD