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SebiTheNil

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Tout ce qui a été posté par SebiTheNil

  1. SebiTheNil

    Films d'animation japonais

    Je vais faire ma petite nature (beaucoup on été dit) et juste proposer un court-métrage d'animation musical, Shelter si vous avez 5 minutes il vaut le coup d’œil.
  2. SebiTheNil

    présentation

    Salut et bienvenue parmi nous.
  3. Bienvenue parmi nous.
  4. SebiTheNil

    [PC] Last Wood

    Last Wood Last Wood est un jeu de survie sur radeau développé par Just Us. Le concept est simple, vous devez aménager votre radeau (et l'agrandir quand cela est nécessaire) pour avoir suffisamment de ressources pour survivre (Bois, nourriture, eau ...). Le tout doit être optimisé un minimum pour éviter les attaques de requin trop couteuse et les vols de nourriture par les poulets des mers euh... les mouettes. Donc pour faire simple, c'est un bon jeu de gestion-survie (avec plusieurs mode de difficulté) donnant un gameplay agréable et pas prise de tête. Le jeu nécessite de se pencher sur sa manière dont il marche au moins 10 minutes avant d'avoir bien "tout" en main. Je mets tout entre guillemet car même si les bases sont acquises le jeu garde une petite évolution assez sympathique que je vous laisse découvrir si le jeu vous intéresse. Comme d'habitude, je vous laisse un lien pour le tester et avoir plus d'information. https://just-us.itch.io/last-wood
  5. Alors j'ai galéré pour ajouter les animes et j'ai pas fini (mais je sature un peu donc je verrais plus tard pour la suite), j'ai principalement mis du complété et pour ce qui concerne les mangas... je lis principalement du en cours donc presque que des trucs qui ne sont pas fini. Après j'ai pas mis tous les mangas non plus un peu la flemme, ça viendra petit à petit. https://myanimelist.net/profile/SebiTheNil
  6. De base j'ai essayé pour voir comment été géré le concept, mais comme la dit Zade, lassant tout de même. Et oui il faudrait que l'idée soit plus détaillée avec un meilleur système d'aventure et récompense ainsi qu'une progression plus inpactante.
  7. SebiTheNil

    Oculus Rift

    Techniquement je préfère attendre un peu avant de m'intéresser au marché de la VR, histoire de voir une bonne évolution, une bonne bibliothèque de jeu et une meilleure accessibilité. Pour l'instant je pencherais plus vers la switch également.
  8. SebiTheNil

    Présentation Ozakira

    Bienvenue parmi nous.
  9. Personnellement j'ai juste lu le premier volume, donc je peux pas me prononcer sur l'anime. Après j'attends un peu, mais il faudrait que je lise la suite. Et comme l'a dit Use 10 tomes ça reste correcte en fonction de comment est traitée la suite. Koi wa Ameagari no You ni a été une bonne découverte quand je l'avais lu, et merci pour le rappel (j'avais oublié de le mettre dans ma liste à lire ^^').
  10. SebiTheNil

    Le saviez vous ? ~n°7~

    Ils ont un ferry pour y accéder, aller/retour sur la capitale du civet. ^^
  11. Allez c'est parti pour une petite maj. Alors frustré de ne pas avoir pu finir Ranma, j'ai décidé de dessiner le bas du corps (peut-être que j'assemblerais le tout et ferais quelques corrections plus tard). Une petite recherche de mage chaotique. Et Kaijin, le forgeron !
  12. SebiTheNil

    Kaijin_v01

    Depuis l’album : SebiTheNil - Dessin&Autre

    Un petit exercice pour refaire Kaijin, le forgeron de Tensei Shitara Slime Datta Ken.

    © SebiTheNil

  13. SebiTheNil

    MageChaos_v01

    Depuis l’album : SebiTheNil - Dessin&Autre

    Une petite recherche de mage chaotique spécialisé dans les combats contre l'Ordre.

    © SebiTheNil

  14. Il s'agit d'un dossier que j'avais commencé à écrire sur une période du cinéma japonais que j'apprécie, cependant pour diverses raisons je n'ai pas pu le finir (et je ne pourrais plus je pense). C'est principalement de la recherche et du regroupement d'informations avec quelques notes à moi même que je m'étais gardé entre [ ], ainsi que des pistes de mon développement personnel qui n'a pas abouti. Après j'espère tout de même que cette base pourra en intéresser quelques uns au sujet du cinéma japonais des années 60. Le renouveau du cinéma japonais des années 60 Les « taiyozoku », « pré-nouvelle vague » japonaise, apparut dans le milieu des années 50 grâce au mouvement littéraire éponyme. Ce mouvement vient également faire écho aux nouvelles personnalités rebelles dans le cinéma à Hollywood. Les « taiyozoku » parle de héro un peu libéré, faisant l'amour et faisant face au soleil. Ce changement de héro type, fait alors écho à la volonté de renouveau, de changement. Un changement visant à libérer le Japon traditionnel de ses tabous. Dans les années 60, de nombreux jeunes japonais se sont rebellés contre la « pudeur » et l’enfermement dans la tradition du système social japonais. Dès 1960 les étudiants japonais expriment leur mécontentement face au président des États-Unis et sont alors connus dans le monde sous le terme « Zengakuren » (ensemble de treize « gakuren » représentant ensemble la fédération nationale des associations étudiantes). Ce mouvement prendra une ampleur extrême au Japon, en octobre 1968, devenant alors le deuxième événements le plus violent après la guerre. Parmi les manifestations organisées par la « Zengakuren », la « Journée de l’Action internationale unitaire contre la guerre » rassemblaient plus de six milles étudiants et près de huit milles membres de l’organisation pour la paix dont le Beheiren (comité japonais pour la Paix au Vietnam)1. Suite à la mort d’un étudiant japonais le « Zengakuren » s’insurge face à la police (alors responsable). La gare de Tokyo en fût les frais, en effet cette dernière fût ravagée et brûlée. Lors des manifestations étudiantes on pouvait apercevoir les étudiants porter un « shonen magazine » (magasine de manga émergeant de type « gekiga », visant un public plus adulte, plus mature) et le journal Asahi (journal conservateur) [Source à vérifier]. Faisant écho à la volonté de changement, le manga « gekiga » reste typiquement proche du mouvement « taiyozoku ». Il vient du milieu des années 50 et vise un public plus mature via un traitement plus dramatique (« geki »). Le manga « gekiga » sera majoritairement publié dans les années 60-70, période d’essors pour le manga avec l’arrivé d’hebdomadaire. 1Toyomasa Fuse, Le radicalisme étudiant au Japon : une « révolution culturelle »?. In: L'Homme et la société, N. 16, 1970. Sociologie et contestation. pp. 241-266. Les productions La Shochiku et la Nikkatsu sont vraiment les deux sociétés de production à retenir pour leurs cinéastes de « Nouvelle Vague ». La Shochiku est fondé en 1920 a donc été un acteur majeur de la « Nouvelle Vague » japonaise dans les années 60. Cela est dû notamment aux jeunes cinéastes tels que Oshima, Yoshida et Shinoda. La Nikkatsu (Nippon Katsudo Kabbushiki Kaisha) est une société fondée par Einosuke Yokota et Kisaburo Kobayashi en 1912. Elle avait, dès le milieu des années 50, trouvé un filon très rentable chez le jeune public (notamment avec les « taiyozoku »). Ils décidèrent, suite à ce succès, d'accorder plus de liberté aux cinéastes. Ce qui sera profitable aux cinéastes tel que Imamura ou encore Suzuki. Cependant parmi tous les jeunes cinéastes de la Nikkatsu dans les années 60, très peu restent tandis que les autres sont contraint de quitter la compagnie. Comme pour le cinéaste Seijun Suzuki, il leur est reproché de ne pas être compatible à la demande marchande et ayant une incompatibilité artistique avec les attentes de la Nikkatsu. La « Nouvelle Vague » japonaise Oshima, Yoshida et Shinoda Shohei Imamura, ancien assistant d'Ozu, il reste très marqué par L'Ange ivre de Kurosawa ainsi que du travail de Kawashima. Malgré son assistanat avec Ozu, il ne retenu que peu de chose de ce dernier hormis, peut-être un léger traumatisme lors du tournage de Voyage à Tokyo1 et les bases du cinéma. En ce sens, il veux surtout se démarquer du cinéma d'Ozu car c'est avec lui qu'il apprend le genre de film qu'il se refuse à faire. Imamura cherche son cinéma et se faisant il part de plusieurs choses. Il dit, avant d'être connu, « Je veux marier de toutes mes forces ces deux problèmes : la partie inférieure du corps humain et la partie inférieure de la structure sociale sur laquelle s'appuie obstinément la réalité quotidienne japonaise »2. De cette déclaration, face au critique Koichi Yamada, Imamura entame le film Buta to gunkan. Film où il compare les japonais à des porcs humains, et où l’héroïne décide de prendre en main son destin (ce qui ne correspond pas à la femme cinématographique des représentations traditionnelles japonaises). L'image de la femme dans Akai Satsui, sortie en 1964, est représentative de l'image de la femme chez Imamura. Pour lui la femme ne doit pas être comme elle l'était dans les représentations traditionnelles avec une soumission de la femme face au destin. Le femme doit être vu comme elle est, « fidèle à la vrai vie »3 dit-il en parlant de la femme cinématographique. Dans Akai satsui, les femmes sont montrées libérées sexuellement après un acte de viol. Point de vue impensable et contradictoire vu par le système japonais, très conservateur, face à un tabou clairement montré. Il entretient également un rapport directe avec le commerce de la pornographie avec Jinruigaku nyumon en 1965 inspiré du roman célèbre de Akiyuki Nosaka. Le film tente de renouer la pornographie avec la société qui la rejette, on y retrouve un artisan du monde de la pornographie travaillant activement à la réalisation de film pornographique et à la création de poupée en latex (allant jusqu'à insérer des vrais poils à celles-ci). Ce film est tourné très proche des documentaires avec un message fort pour finir. La quête visant à renouer pornographie et société se retrouve à dériver sans jamais pouvoir espérer se réaliser. 1Il révéla dans une interview avec Toishi Nagata qu'il était très dur pour lui à cette époque, de voir l’hémorragie cérébrale de la mère alors qu'il avait lui même vécu cette expérience. De surcroît, lorsqu'il était parti au toilette en larme Ozu lui aurait demandé, en urinant, s'il était dans le vrai. Donald Richie, Le cinéma japonais, éditions du rocher, 2005, page 226. 2Max Tessier, Le cinéma japonais, Armand Colin, 2e édition, 2008, page 74 et Donald Richie, Le cinéma japonais, éditions du rocher, 2005, page 227. 3Donald Richie, Le cinéma japonais, éditions du rocher, 2005, page 226. Seijun Suzuki tourne environs quarante films pour la Nikkatsu. Surfant, entre le milieu des années 50 jusqu'au milieu des années 60, sur des films orientés vers un public jeune avec une surabondance de sexe et de violence. En ce sens Suzuki allait beaucoup plus loin que d'autres cinéastes comme Imamura ou Oshima. Entre les couleurs vives, frivolité et irresponsabilité, un mélange apprécié de la jeunesse (particulièrement la jeunesse du japon), Suzuki arrivait facilement à le transmettre à ce public très réceptif. Cette exessivité, qui lui est reproché par le système japonais, grandit dès le début des années 60. Il réalise Nikutai no mon en 1964 (remake d'un film de Masahiro Makino de 1948, qui parlait déjà de libération sexuelle), le film fait un scandale de part son amoralité sexuelle affichée. En 1965 sort un film de yakuza, Irezumi ichidai, qui emprunte la stylisation du style kabuki créant ainsi un mélange très particulier entre style traditionnel et ton de débauche et de violence très propre au cinéaste. Le film qu'il fit ensuite en 1966, Tokyo nagaremono, est à l'image de l'intersection entre le manga et le cinéma. Ici il s'agit du manga et de l'anime qui emprunterons certains styles de ce film tout comme d'autre de Suzuki [voir imitateur ero-guro car il y a ça aussi]. En 1967, il sort un film qui va lui valoir une expulsion des studios Nikkatsu Koroshi no rakuin. Ce film, étant une parodie de film de yakuza loin des règles du genre, était jugé incompréhensible pour le public et bizarre. La volonté de changement au Japon, dans les années 60, n’était pas uniquement lié au cinéma face à l’arrivé de la télévision. Elle était présente dans toute la société, chaque arts ont changés (comme le cinéma ou le manga), mais également toute une partie de la structure sociale japonaise.
  15. Niveau jeu on est en effet sur une belle gamme proposée et en même temps c'est ce qu'ils avaient annoncés. Mais après leur système de pass m'inquiète un peu je dirais.
  16. SebiTheNil

    SebiTheNil

    Merci, actuellement dans les bois entre Poitiers et Lusignan.
  17. Je ne l'ai pas vu, mais Use résume bien mes craintes sur le film. Un peu plus de 2h, ça me paraît assez juste pour bien saisir l'ambiance du manga (surtout pour le passage "Chimère" où il y a un besoin de temps à mon sens). Le casting est plutôt bon dans l'ensemble, je trouve, mais j'avoue ne pas savoir me décider si je le regarde ou non.
  18. SebiTheNil

    Ma présentation

    Bienvenu à toi, puisses-tu trouver ton bonheur parmi nous.
  19. Bienvenue parmi nous jeune passionnée !
  20. Merci, pour la colorisation j'utilise Photoshop, avec les brush de base. J'attends un peu avant d'installer mon nouveau pack de brush pour essayer de nouveaux horizon.
  21. Merci ^^ J'en profite pour rajouter mon exercice du jour et un piti mage noir bonus. Exercice du jour, Ranma en moins de 30 minutes hors colorisation. Du coup il y a pas mal d'erreur dont les mains et le bras droit (donc celui à gauche) et l'épée qui ont étaient fait dans le rush, j'ai pas assez affiné le visage...
  22. SebiTheNil

    Ranma_v01

    Depuis l’album : SebiTheNil - Dessin&Autre

    Un petit exercice avec Ranma, dessin en moins de 30 minutes hors colorisation, image de référence (mon super poster ! =)).

    © SebiTheNil

  23. SebiTheNil

    MageNoir_v01

    Depuis l’album : SebiTheNil - Dessin&Autre

    Un petit test de mage noir (très basique).

    © SebiTheNil

  24. Aurora Dusk: Steam Age Fait entièrement par Sylvain Harlaut, le créateur de Vendetta ou encore Terrender, Aurora Dusk est un jeu de stratégie avec une mécanique de RPG très originale. Ici on gère un ou plusieurs personnages dans un collectif luttant ensemble contre les hordes du crépuscule ou d'autres villages ennemis. Récolte de ressources, fabrication d'objets et équipements, construction de bâtiments en tout genre (fabrication, défense...), personnalisation des compétences de votre/vos personnage(s) et des combats avec ou sans troupes en renfort. Le jeu possède d'énorme possibilités. Disponible sur steam pour dix euros, une démo gratuite est également disponible à l'essai et reste très fournie pour essayer le jeu. Informations: http://www.aurora-dusk.com/ Mon avis Si Vendetta a marqué une belle communauté de joueurs à son époque, Aurora Dusk a largement de quoi faire encore mieux. Un concept original et peu commun à travers un mélange de genres à la fois bien géré et prometteur. Si certains le trouveront un peu répétitif ou manquant de contenu, sachez qu'il y a déjà deux modes personnalisable offrant ainsi une bonne variété de jeu différent proposant des stratégies différentes. Mais ce n'est pas tout, un des points majeur du jeu réside dans sa personnalisation de ou des personnages que l'on créé. Les compétences à la fois nombreuses et variées nous offre un énorme panel pour faire de nos personnages exactement ce que l'on en veut. Pour rester sur les compétences, on pourra y trouver un intérêt tout autre à savoir qu'elles seront pas uniquement utile pour nos personnages. Les PNJs autres pourront bénéficier d'avantages majeurs à utiliser vos créations (bâtiments, ressources …) et ainsi commencer votre expansion plus rapidement que l'adversaire.En ce qui concerne les différents modes de jeu, mon préféré reste l'escarmouche malgré qu'il manque un peu de challenge, je trouve le côté village(s) contre village(s) plus attractif. Cependant les autres modes sont aussi excellent, la campagne est bien construite (en plus d'être en constante évolution) en plus de montrer les mécanismes du jeu de manière assez fluide, et le mode survie propose un gameplay similaire à la campagne dans un monde personnalisable.D'un point de vue ambiance graphique et sonore, pas grand chose à dire à part qu'elles sont vraiment bien, les décors comme les dessins sont très appréciable et la musique donne bien. Certains peuvent avoir du mal avec le changement de musique parfois un peu brut, mais quand on y est habitué on prête peu d'attention à ce détail. Si je devrait reprocher quelque chose à l'ambiance sonore se serait au niveau du volume, même diminué dans les paramètres ça reste assez fort (mais là c'est vraiment chipoter sur des détails).De manière général je ne peux que conseiller ce jeu, niveau contenu on est vraiment bien servit pour un premier jet en accès anticipé, le jeu est assez addictif pour tous les amateurs de farming dans les jeux de rôle (mais pas uniquement), les parties peuvent être à la fois très rapide ou très longue en fonctions de ce que l'on compte faire. On est vraiment sur un jeu avec plusieurs facettes et de multiples possibilités pour ceux qui aime creuser.Après si vous avez des doutes, rien n’empêche d'essayer la démo avant de vous décider mais ce jeu mérite vraiment d'avoir sa communauté.
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