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SebiTheNil

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Messages posté(e)s par SebiTheNil

  1. Allez c'est parti pour une petite maj. Alors frustré de ne pas avoir pu finir Ranma, j'ai décidé de dessiner le bas du corps (peut-être que j'assemblerais le tout et ferais quelques corrections plus tard).

    Révélation

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    Une petite recherche de mage chaotique.

    Révélation

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    Et Kaijin, le forgeron !

    Révélation

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  2. Il s'agit d'un dossier que j'avais commencé à écrire sur une période du cinéma japonais que j'apprécie, cependant pour diverses raisons je n'ai pas pu le finir (et je ne pourrais plus je pense). C'est principalement de la recherche et du regroupement d'informations avec quelques notes à moi même que je m'étais gardé entre [ ], ainsi que des pistes de mon développement personnel qui n'a pas abouti. Après j'espère tout de même que cette base pourra en intéresser quelques uns au sujet du cinéma japonais des années 60.

     

    Le renouveau du cinéma japonais des années 60

     

    Les « taiyozoku », « pré-nouvelle vague » japonaise, apparut dans le milieu des années 50 grâce au mouvement littéraire éponyme. Ce mouvement vient également faire écho aux nouvelles personnalités rebelles dans le cinéma à Hollywood. Les « taiyozoku » parle de héro un peu libéré, faisant l'amour et faisant face au soleil. Ce changement de héro type, fait alors écho à la volonté de renouveau, de changement. Un changement visant à libérer le Japon traditionnel de ses tabous. Dans les années 60, de nombreux jeunes japonais se sont rebellés contre la « pudeur » et l’enfermement dans la tradition du système social japonais. Dès 1960 les étudiants japonais expriment leur mécontentement face au président des États-Unis et sont alors connus dans le monde sous le terme « Zengakuren » (ensemble de treize « gakuren » représentant ensemble la fédération nationale des associations étudiantes). Ce mouvement prendra une ampleur extrême au Japon, en octobre 1968, devenant alors le deuxième événements le plus violent après la guerre. Parmi les manifestations organisées par la « Zengakuren », la « Journée de l’Action internationale unitaire contre la guerre » rassemblaient plus de six milles étudiants et près de huit milles membres de l’organisation pour la paix dont le Beheiren (comité japonais pour la Paix au Vietnam)1. Suite à la mort d’un étudiant japonais le « Zengakuren » s’insurge face à la police (alors responsable). La gare de Tokyo en fût les frais, en effet cette dernière fût ravagée et brûlée. Lors des manifestations étudiantes on pouvait apercevoir les étudiants porter un « shonen magazine » (magasine de manga émergeant de type « gekiga », visant un public plus adulte, plus mature) et le journal Asahi (journal conservateur) [Source à vérifier]. Faisant écho à la volonté de changement, le manga « gekiga » reste typiquement proche du mouvement « taiyozoku ». Il vient du milieu des années 50 et vise un public plus mature via un traitement plus dramatique (« geki »). Le manga « gekiga » sera majoritairement publié dans les années 60-70, période d’essors pour le manga avec l’arrivé d’hebdomadaire.

    1Toyomasa Fuse, Le radicalisme étudiant au Japon : une « révolution culturelle »?. In: L'Homme et la société, N. 16, 1970. Sociologie et contestation. pp. 241-266.

    Les productions

    La Shochiku et la Nikkatsu sont vraiment les deux sociétés de production à retenir pour leurs cinéastes de « Nouvelle Vague ».

    La Shochiku est fondé en 1920 a donc été un acteur majeur de la « Nouvelle Vague » japonaise dans les années 60. Cela est dû notamment aux jeunes cinéastes tels que Oshima, Yoshida et Shinoda.

    La Nikkatsu (Nippon Katsudo Kabbushiki Kaisha) est une société fondée par Einosuke Yokota et Kisaburo Kobayashi en 1912. Elle avait, dès le milieu des années 50, trouvé un filon très rentable chez le jeune public (notamment avec les « taiyozoku »). Ils décidèrent, suite à ce succès, d'accorder plus de liberté aux cinéastes. Ce qui sera profitable aux cinéastes tel que Imamura ou encore Suzuki. Cependant parmi tous les jeunes cinéastes de la Nikkatsu dans les années 60, très peu restent tandis que les autres sont contraint de quitter la compagnie. Comme pour le cinéaste Seijun Suzuki, il leur est reproché de ne pas être compatible à la demande marchande et ayant une incompatibilité artistique avec les attentes de la Nikkatsu.

    La « Nouvelle Vague » japonaise

    Oshima, Yoshida et Shinoda

    Shohei Imamura, ancien assistant d'Ozu, il reste très marqué par L'Ange ivre de Kurosawa ainsi que du travail de Kawashima. Malgré son assistanat avec Ozu, il ne retenu que peu de chose de ce dernier hormis, peut-être un léger traumatisme lors du tournage de Voyage à Tokyo1 et les bases du cinéma. En ce sens, il veux surtout se démarquer du cinéma d'Ozu car c'est avec lui qu'il apprend le genre de film qu'il se refuse à faire. Imamura cherche son cinéma et se faisant il part de plusieurs choses. Il dit, avant d'être connu, « Je veux marier de toutes mes forces ces deux problèmes : la partie inférieure du corps humain et la partie inférieure de la structure sociale sur laquelle s'appuie obstinément la réalité quotidienne japonaise »2. De cette déclaration, face au critique Koichi Yamada, Imamura entame le film Buta to gunkan. Film où il compare les japonais à des porcs humains, et où l’héroïne décide de prendre en main son destin (ce qui ne correspond pas à la femme cinématographique des représentations traditionnelles japonaises). L'image de la femme dans Akai Satsui, sortie en 1964, est représentative de l'image de la femme chez Imamura. Pour lui la femme ne doit pas être comme elle l'était dans les représentations traditionnelles avec une soumission de la femme face au destin. Le femme doit être vu comme elle est, « fidèle à la vrai vie »3 dit-il en parlant de la femme cinématographique. Dans Akai satsui, les femmes sont montrées libérées sexuellement après un acte de viol. Point de vue impensable et contradictoire vu par le système japonais, très conservateur, face à un tabou clairement montré. Il entretient également un rapport directe avec le commerce de la pornographie avec Jinruigaku nyumon en 1965 inspiré du roman célèbre de Akiyuki Nosaka. Le film tente de renouer la pornographie avec la société qui la rejette, on y retrouve un artisan du monde de la pornographie travaillant activement à la réalisation de film pornographique et à la création de poupée en latex (allant jusqu'à insérer des vrais poils à celles-ci). Ce film est tourné très proche des documentaires avec un message fort pour finir. La quête visant à renouer pornographie et société se retrouve à dériver sans jamais pouvoir espérer se réaliser.

    1Il révéla dans une interview avec Toishi Nagata qu'il était très dur pour lui à cette époque, de voir l’hémorragie cérébrale de la mère alors qu'il avait lui même vécu cette expérience. De surcroît, lorsqu'il était parti au toilette en larme Ozu lui aurait demandé, en urinant, s'il était dans le vrai.

    Donald Richie, Le cinéma japonais, éditions du rocher, 2005, page 226.

    2Max Tessier, Le cinéma japonais, Armand Colin, 2e édition, 2008, page 74 et Donald Richie, Le cinéma japonais, éditions du rocher, 2005, page 227.

    3Donald Richie, Le cinéma japonais, éditions du rocher, 2005, page 226.

    Seijun Suzuki tourne environs quarante films pour la Nikkatsu. Surfant, entre le milieu des années 50 jusqu'au milieu des années 60, sur des films orientés vers un public jeune avec une surabondance de sexe et de violence. En ce sens Suzuki allait beaucoup plus loin que d'autres cinéastes comme Imamura ou Oshima. Entre les couleurs vives, frivolité et irresponsabilité, un mélange apprécié de la jeunesse (particulièrement la jeunesse du japon), Suzuki arrivait facilement à le transmettre à ce public très réceptif. Cette exessivité, qui lui est reproché par le système japonais, grandit dès le début des années 60. Il réalise Nikutai no mon en 1964 (remake d'un film de Masahiro Makino de 1948, qui parlait déjà de libération sexuelle), le film fait un scandale de part son amoralité sexuelle affichée. En 1965 sort un film de yakuza, Irezumi ichidai, qui emprunte la stylisation du style kabuki créant ainsi un mélange très particulier entre style traditionnel et ton de débauche et de violence très propre au cinéaste. Le film qu'il fit ensuite en 1966, Tokyo nagaremono, est à l'image de l'intersection entre le manga et le cinéma. Ici il s'agit du manga et de l'anime qui emprunterons certains styles de ce film tout comme d'autre de Suzuki [voir imitateur ero-guro car il y a ça aussi]. En 1967, il sort un film qui va lui valoir une expulsion des studios Nikkatsu Koroshi no rakuin. Ce film, étant une parodie de film de yakuza loin des règles du genre, était jugé incompréhensible pour le public et bizarre.

    La volonté de changement au Japon, dans les années 60, n’était pas uniquement lié au cinéma face à l’arrivé de la télévision. Elle était présente dans toute la société, chaque arts ont changés (comme le cinéma ou le manga), mais également toute une partie de la structure sociale japonaise.

  3. Il y a 4 heures, Use a dit :

    Je n'a pas tenu très longtemps sur le film pour être honnête. Initialement je l'ai lancé par curiosité mais le début, qui n'est pas mauvais en soi, ne m'a pas botté plus que ca. Il faut dire que l'anime ou manga papier est lancé sur une note assez dure et "noire" tandis qu'ici, ca a été survolé. Enfin je ne peux pas émettre réellement un avis après 4 minutes de film, juste que ca pue la déception.

    Je tiens trop à l'anime (et mon ordinateur) que pour les balancer contre le mur par frustration. Il faut quand même rendre à César ce qui appartient à César, les effets spéciaux ne sont pas baclés!

    Je ne l'ai pas vu, mais Use résume bien mes craintes sur le film. Un peu plus de 2h, ça me paraît assez juste pour bien saisir l'ambiance du manga (surtout pour le passage "Chimère" où il y a un besoin de temps à mon sens). Le casting est plutôt bon dans l'ensemble, je trouve, mais j'avoue ne pas savoir me décider si je le regarde ou non.

  4. Merci ^^

    J'en profite pour rajouter mon exercice du jour et un piti mage noir bonus.

    Révélation

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    Exercice du jour, Ranma en moins de 30 minutes hors colorisation. Du coup il y a pas mal d'erreur dont les mains et le bras droit (donc celui à gauche) et l'épée qui ont étaient fait dans le rush, j'ai pas assez affiné le visage...

    Révélation

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  5. Aurora Dusk: Steam Age

    Fait entièrement par Sylvain Harlaut, le créateur de Vendetta ou encore Terrender, Aurora Dusk est un jeu de stratégie avec une mécanique de RPG très originale. Ici on gère un ou plusieurs personnages dans un collectif luttant ensemble contre les hordes du crépuscule ou d'autres villages ennemis. Récolte de ressources, fabrication d'objets et équipements, construction de bâtiments en tout genre (fabrication, défense...), personnalisation des compétences de votre/vos personnage(s) et des combats avec ou sans troupes en renfort. Le jeu possède d'énorme possibilités.

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    Disponible sur steam pour dix euros, une démo gratuite est également disponible à l'essai et reste très fournie pour essayer le jeu.

    Informations: http://www.aurora-dusk.com/

    Mon avis

    Si Vendetta a marqué une belle communauté de joueurs à son époque, Aurora Dusk a largement de quoi faire encore mieux. Un concept original et peu commun à travers un mélange de genres à la fois bien géré et prometteur. 

    Si certains le trouveront un peu répétitif ou manquant de contenu, sachez qu'il y a déjà deux modes personnalisable offrant ainsi une bonne variété de jeu différent proposant des stratégies différentes. Mais ce n'est pas tout, un des points majeur du jeu réside dans sa personnalisation de ou des personnages que l'on créé. Les compétences à la fois nombreuses et variées nous offre un énorme panel pour faire de nos personnages exactement ce que l'on en veut. Pour rester sur les compétences, on pourra y trouver un intérêt tout autre à savoir qu'elles seront pas uniquement utile pour nos personnages. Les PNJs autres pourront bénéficier d'avantages majeurs à utiliser vos créations (bâtiments, ressources …) et ainsi commencer votre expansion plus rapidement que l'adversaire.

    En ce qui concerne les différents modes de jeu, mon préféré reste l'escarmouche malgré qu'il manque un peu de challenge, je trouve le côté village(s) contre village(s) plus attractif. Cependant les autres modes sont aussi excellent, la campagne est bien construite (en plus d'être en constante évolution) en plus de montrer les mécanismes du jeu de manière assez fluide, et le mode survie propose un gameplay similaire à la campagne dans un monde personnalisable.

    D'un point de vue ambiance graphique et sonore, pas grand chose à dire à part qu'elles sont vraiment bien, les décors comme les dessins sont très appréciable et la musique donne bien. Certains peuvent avoir du mal avec le changement de musique parfois un peu brut, mais quand on y est habitué on prête peu d'attention à ce détail. Si je devrait reprocher quelque chose à l'ambiance sonore se serait au niveau du volume, même diminué dans les paramètres ça reste assez fort (mais là c'est vraiment chipoter sur des détails).

    De manière général je ne peux que conseiller ce jeu, niveau contenu on est vraiment bien servit pour un premier jet en accès anticipé, le jeu est assez addictif pour tous les amateurs de farming dans les jeux de rôle (mais pas uniquement), les parties peuvent être à la fois très rapide ou très longue en fonctions de ce que l'on compte faire. On est vraiment sur un jeu avec plusieurs facettes et de multiples possibilités pour ceux qui aime creuser.

    Après si vous avez des doutes, rien n’empêche d'essayer la démo avant de vous décider mais ce jeu mérite vraiment d'avoir sa communauté.

  6. Aground

    Petit jeu indépendant très sympathique, on part sur une 2D assez simple et un gameplay assez intéressant dans ce qu'il propose en plus par rapport au jeux de survie classique.

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    Naufragé sur une île après un crash, il va vous falloir de quoi survivre. Mais c'est avec l'aide de nombreux PNJs que vous pourrez vous munir d'une hache et d'une pioche à la recherche de ressources, combat et prospérité de votre petit village.

    Plus d'informations et lien de téléchargement sur: https://fancyfishgames.itch.io/aground

     

    Le jeu est en cours en développement et propose une version à l'essai gratuitement. Cette version nous propose de nombreuses quêtes pour agrandir son village de survivants, différents ennemis et un monde où les PNJs interagissent en même temps que le joueur créant une ambiance de survie collective assez cool. Les jours se succèdent en fonction de votre stamina qu'il faudra gérer ainsi que le nombre de ressources que vous pouvez transporter. Il est possible d'améliorer le nombre d'actions par jour grâce au craft qu'il est possible de débloquer.

    Le jeu dans l'ensemble reste très agréable à jouer, avec un côté assez addictif, détente et sans prise de tête... malgré les sangliers qui peuvent être très casse noix par moment.

     

  7. Premier essai de chibi

    Révélation

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    Mi-lapin, mi-patate et re-mi-lapin derrière...

    Révélation

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    Voilà ce qui arrive lorsqu'on donne des patates à manger à un lapin après minuit... Qu'est ce qui m'a pris de dessiner ça... En plus je crois que j'ai fais une connerie en le mettant en galerie... :desp:

    Bon, je me suis dis pourquoi pas faire un tronche de cake en dessin alors voilà, je me suis dessiné.

    Révélation

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    Premier essai au numérique à le souris en partant d'un modèle 3D.

    Révélation

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    Essai de style un peu semi-réaliste à la tablette.

    Révélation

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  8. Tower Princess I've come for you.

     

    Tower Princess est un action-platformer reprenant des codes du rogue-like. Il est actuellement en cours de développement par AweKteam. Le jeu dans ça version actuelle est sortie en démo gratuite il y a un peu plus d'une semaine (près du 12/02/2018), et propose pour l'instant un donjon jouable. Le principe du jeu reste très simple, on est un chevalier et on doit trouver la princesse à l'intérieur d'un donjon rempli de pièges et de monstres.

     

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    Plus d'information et téléchargement: https://awekteam.itch.io/towerprincess

     

    Il s'agit d'un jeu indépendant très sympa à jouer avec un univers graphique très coloré, un gameplay assez simple mais vicieux par moment (surtout niveau des pièges) et on y retrouve quelques références tel que l'épée de Guts et ça ça fait plaisir. D'ailleurs pour l’anecdote j'ai fais ce jeu en vidéo et une personne de l'équipe du jeu ma répondu en commentaire au sujet de l'épée de Guts justement, et ça aussi ça fait plaisir. Donc voilà, pour l'instant il y a pas beaucoup de contenu mais le jeu est loin d'être entièrement fini et le fait d'avoir à disposition une démo gratuite est un bon moyen pour le tester et même pouvoir échanger avec les développeurs histoire qu'ils aient des retours sur leur jeu tout au long du processus de création. Car au fond le jeu vidéo c'est un échange et je voulais partager ma découverte sur ce jeu aussi avec vous.

  9. Bonjour à tous,

    Moi c'est Sébastien, j'ai 25ans, je fais actuellement une auto-formation en dessin que j'aimerais pousser dans le domaine du digital painting (je ne suis pas très bon pour l'instant) dans le but de pouvoir créer des petits jeux indépendants au moins graphiquement, faire du concept art et de l'illustration.

    J'ai découvert OA il y a des années, trop longtemps pour avoir une date précise, et si je me suis inscrit c'est aussi pour avoir au besoin une communauté assez solide sur le manga avec laquelle il est possible d'échanger.

    Le pourquoi de mon pseudo reste assez compliqué, Sebi étant mon surnom je cherchais des choses relatif à la signification de vide et j'ai choisi nil. Mon avatar, qui n'est pas encore là d'ailleurs, viens du jeu KungFu Strike, jeu avec lequel j'ai commencé à faire des vidéos de présentation de jeu donc ça m'est resté.

    Le premier contact avec la japanimation c’était à la télé quand j'étais gamin et que je regardais les Hokuto no Ken. Actuellement je reste à jours dans les Dragon Ball Super et One Piece, je suis Overlord et j'attends que le reste des nouvelles saisons sortent, niveau lecture récemment je me suis mis à jours dans Wizardly Tower, Goblin Slayer, Dungeon Seeker et pas mal d'autres.

    Après j'aurais du mal à définir des préférences en manga, jeux... Je pourrais dire Berserk notamment et pour les jeux Vendetta (le RPG de Sylvain Harlaut).

    Mon identification à un personnage, je dirais l'un des perso dont j'ai écrit l'histoire (j'en ai deux en tête).

    Idéal masculin et féminin avec une vision d'otaku, je dirais Guts (Berserk) pour le masculin et Nagisa (Clannad) pour le côté féminin.

    Pour ce qui est de convention manga, j'ai juste été au festival de la bd d'Angoulême.

    La musique que j'écoute, alors énormément d'ost et du métal principalement.

    Dans une librairie, si je rencontres quelqu'un qui vient s'acheter son premier manga et que j'ai une influence à mettre, bah ça dépendra de ses goûts, sinon... Berserk.

    Où je planque mes affaires "sensible", nulle part ils sont juste rangés avec le reste.

  10. Yep, j'adore ce jeu. ^^

     

     

     

    Sniper882 : 19 points

    Spiro : 18 points

    Byakko : 14 points

    Echelon 3 : 14 points

     

    Pauru : 10 points

    Mage Rouje : 9 points

    CoOpA : 9 points

    Jess : 7 points

    Mononoke: 6 points

     

    Kermir : 5 points

    Thorn : 5 points

    Alex : 4 points

    Freyin : 4 points

    Shisaï : 4 points

    Gadoryu : 3 points

    Lusso : 3 points

    Alephnor : 2 point

    Otome-asakura : 2 points

    Yoshimune : 2 points

     

    Kent : 1 point

    -|||~Beatnik : 1 point

    Aarth : 1 point

    Invader : 1 point

    Keichii-kun : 1 point

    Le rieur : 1 point

    Rrominet : 1 point

    Smoker130 : 1 point

    Verbowl : 1 point

    Yakumo : 1 point

    willystorm77 : 1 point

    Sebi-kun : 1 point

    Dimensio : 1 point

     

     

     

    A toi.

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