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Zorba

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  1.  

    GEKKAN SHOJO NOZAKI-KUN

     

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    FICHE

     

    Titre original : Gekkan Shojo Nozaki-kun (月刊少女野崎くん)

    Année de parution : août 2011

    Genre(s): Amour & amitié, Comédie, Slice of life

    Nombre de volumes : 5 (en cours)

    Auteur : Izumi Tsubaki

    Éditeur : Square Enix

     

     

     

    INTRODUCTION

     

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    « No-No-No-Nozaki-kun ! J'ai toujours été fan de toi ! ». La formulation est un peu maladroite mais Sakura Chiyo y a mis tout son cœur et, ce faisant, a enfin réussi à avouer ses sentiments à Umetaro Nozaki. Cependant, notre pauvre héroïne déchante très rapidement lorsque le jeune homme répond à cette touchante confession en lui offrant un autographe.

     

     

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    « Gekkan Shōjo Nozaki-kun »  débute donc avec une confession amoureuse ratée... qui tient en 4 cases tout pile ! En effet, Gekkan Shōjo Nozaki-kun est un yonkoma (un manga en 4 cases), un format peu courant dans le genre shojo. Il est publié depuis août 2011 dans le magazine Gangan Online et a fait l'objet d'une adaptation en animé à partir de juillet 2014.

     

     

    HISTOIRE

     

     

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    Le manga débute sur un quiproquo assez épique. Sakura Chiyo souhaite avouer ses sentiments à Nozaki mais, sous le coup du stress, formule sa déclaration de manière ambiguë en déclarant être sa fan. Ce qu'elle ignore, c'est que Nozaki est en réalité un auteur de manga shojo. Ce dernier est persuadé que Sakura est fan de son travail et lui offre alors un autographe avec son nom de plume « Yumeno Sakiko ».

    Un peu chamboulée, Sakura essaie tant bien que mal de rectifier la situation et de lui faire comprendre ses sentiments. Nozaki lui propose alors de venir chez lui, ce qu'elle accepte immédiatement mais en se méprenant sur ses intentions.

     

    Ce n'est qu'après 4 heures d'encrage intensif que Sakura réalise alors que Nozaki est un mangaka.

     

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    Suite à cette confession ratée, Sakura devient l'assistante de Nozaki. Elle se retrouve à le côtoyer quotidiennement et va alors vite découvrir que celui qu'elle aime est loin d'être le bel homme grand et ténébreux qu'elle imaginait... Naturellement, Sakura va ensuite faire la connaissance des 2 autres assistants de Nozaki : Mikoshiba Mikoto et Masayuki Hori.

     

    Parallèlement aux pérégrinations amoureuses des différents protagonistes, le lecteur est amené à suivre l'avancée du manga de Nozaki « Let's fall in love », notamment à travers les idées et les expériences absolument loufoques de Nozaki qui cherche l'inspiration.

     

     

     

    PERSONNAGES

     

     

     

     

    Nozaki Umetaro (alias Yumeno Sakiko)

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    Personnage principal de ce manga, Nozaki est un grand lycéen au look ténébreux. Bien qu'il soit auteur de manga shojo, il n'est jamais tombé amoureux de sa vie et n'a aucune expérience dans le domaine de la romance. Il ne réalise pas la nature des sentiments que Sakura éprouve pour lui, au grand désespoir de celle-ci. Il était le capitaine de l'équipe de Basketball de son collège.

     

     

    Sakura Chiyo

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    Cette lycéenne de 16 ans est amoureuse de Nozaki et tente désespérément de lui faire comprendre ses sentiments. Par la force des choses, elle devient l'assistante de Nozaki et s'occupe de l'encrage. Elle fait partie du club d'art de l'école et est très douée en dessin.

     

     

    Mikoshiba Mikoto (alias Mikorin)

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    Surnommé affectueusement « Mikorin » par Nozaki, Mikoshiba s'occupe de remplir les arrières-plans de fleurs pour donner du charme aux personnages. A première vue, Mikoshiba apparaît comme étant quelqu'un de très assuré et très populaire auprès des filles. En réalité, il est extrêmement timide et est embarrassé chaque fois qu'il prononce une phrase un peu osée. Il est également extrêmement sensible aux flatteries et aux compliments. Il ne le sait pas mais Nozaki se sert de lui comme modèle pour l'héroïne de son manga, Mamiko.

     

     

    Masayuki Hori

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    Président du club de théâtre, il est en charge de réaliser les arrières-plans. En contrepartie de son travail, Nozaki lui fournit des scénarios pour ses pièces de théâtres. Complexé par sa petite taille, il préfère désormais s'occuper de la logistique des pièces plutôt que d'être comédien. Il entretient une relation compliquée et pleine de quiproquos avec Kashima Yu, la star de son club.

     

     

    Kashima Yu

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    Cette grande lycéenne est la meilleure amie de Mikoshiba et la star du club de théâtre. Avec son apparence androgyne et son attitude de prince charmant, Kashima est extrêmement populaire auprès des filles du lycée. A cause de son comportement, elle crée beaucoup de problèmes au sein de son club et s'attire souvent les foudres de Hori (qui n'hésite pas à la frapper). Suite à une série de malentendus, elle est persuadée que Hori veut être une princesse (ou quelque chose s'en approchant) et va tout faire pour exaucer son souhait.

     

     

    Yuzuki Seo (alias « Lorelei »)

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    Cette jeune fille est la camarade de classe de Sakura. Brutale et violente, elle ne dispose d'aucun tact et ne sait pas lire l'atmosphère des situations. Elle est régulièrement sollicitée dans les clubs de sport pour que les membres apprennent à faire face à des joueurs égoïstes, difficiles et violents. Parallèlement à ses activités sportives, Yuzuki est membre du club de chant et est surnommée « Lorelei » en raison de sa voix angélique (Nozaki appelle ça de la fraude).

     

     

    Hirotaka Wakamatsu

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    Ce garçon gentil et naïf était le kohai de Nozaki au collège lorsque ce dernier jouait encore au basket. Il rejoint le staff de Nozaki en cours d'année et s'occupe des trames. Il est dans une relation forcée avec Yuzuki. Cette dernière est devenue pour lui une source constante de stress au point qu'il souffre d'insomnie. L'ironie veut que son seul remède pour dormir soit la douce voix de Lorelei. Personne n'a encore osé lui dévoiler la vérité.

     

     

    CRITIQUE

     

     

    Alors, un shojo en 4-koma, ça donne quoi finalement ? Un concentré de peps et d'humour !

     

    N'y allons pas par 4 chemins : l'humour est clairement LE point fort de ce manga. Il est absolument savoureux au possible ! Izumi Tsubaki base l'intégralité de son manga sur des quiproquos. Que ces malentendus soient ponctuels (ex : Wakamatsu qui accompagne les filles acheter des maillots de bain en étant persuadé que Kashima est un garçon) ou présents sur le long terme (ex : Kashima qui est persuadée que le rêve de Hori est de jouer le rôle d'une héroïne), ils sont toujours utilisés avec brio.

     

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    Outre les quiproquos, l'auteur joue également beaucoup sur les situations loufoques et un peu invraisemblables. Pour Nozaki, qui n'a jamais connu l'amour, toutes les situations quotidiennes deviennent des matériaux de recherche pour son shojo. Et si cela ne suffit pas, il essaie désespérément de se mettre en situation pour avoir des idées et respecter ses échéances. Bien souvent, c'est du grand n'importe quoi ! On retiendra notamment la fameuse expérience du tandem qu'il teste avec Sakura ou encore la journée passée à se mettre dans la peau de son héroïne, Mamiko.

     

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    Dans certains panels, nous sommes pratiquement dans la parodie du shojo (pour notre plus grand bonheur). Vous n'imaginez pas le nombre de scènes cultes que vous allez découvrir dans ce titre.

     

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    Niveau graphisme, rien à redire au niveau des personnages : c'est très bien dessiné et très soigné. Bien évidemment, compte tenu du format, les arrières-plans et les paysages, eux, sont assez limités.

     

     

    Parlons-en du format justement. Soyons franc : cela ne plaira pas à tout le monde. Le yonkoma, format habituellement utilisé pour faire des petites histoires drôles, est ici utilisé dans l'intégralité du manga. Ce n'est que mon avis personnel mais je trouve qu'il donne un côté très dynamique aux petites histoires que nous conte Izumi Tsubaki. En ce sens, je trouve qu'il est assez adapté au côté slice of life du manga.

     

    Cependant, il faut avouer que le format et le genre ont leurs limites. En lisant Gekkan Shojo Nozaki-kun, ne vous attendez pas à trouver un shojo classique avec une intrigue principale et d'éventuelles histoires annexes qui développent la psychologie des personnages ! Pas de longs monologues ou d'introspections : vous verrez quasiment toutes les scènes d'un point de vue extérieur.

    En outre, j'ai peur que le fait de se restreindre à des scénettes de 4 cases ne nuise au développement du manga qui se retrouve ainsi enfermé dans un carcan sans possibilité d'évolution !

     

    Et c'est ici que j'admire l'auteur : je suis toujours aussi stupéfaite de voir à quel point on s'attache aux différents personnages alors que le format 4 cases laisse très peu de place à un éventuel développement psychologique ou une intrigue poussée ! Chapeau !

     

     

    Finalement, Gekkan Shojo Nozaki-kun, ce sont des morceaux épars de la vie quotidienne des personnages que l'on aligne avec un fil rouge directeur (le manga de Nozaki) et quelques fils annexes (les différents couples). Il n'y a pas de scénario poussé ou de chronologie fluide comme dans les mangas classiques. Du pur slice of life poussé à l'extrême : on aime ou on n'aime pas !

     

    A ce propos, je me permets d'ajouter quelques mots concernant le manga de Nozaki. Concrètement, « Let's fall in love » est un élément intangible de Gekkan Shojo Nozaki-kun en ce sens qu'il est présent à chaque instant : c'est directement ou indirectement grâce à lui qu'il y a une petite scénette. En revanche, il n'est pas développé de manière très approfondie. Par là, je veux dire que GSK n'est pas vraiment un manga à propos d'un manga comme peut l'être Bakuman, par exemple. Ici les thèmes principaux sont les histoires d'amour des protagonistes et les quiproquos et non la réalisation d'un manga.

     

     

     

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    BILAN

     

     

    Un shojo en 4-koma, il fallait oser mais Izumi Tsubaki l'a fait ! Gekkan Shojo Nozaki-kun est un manga extrêmement divertissant avec un humour absolument irrésistible (à la limite de la parodie) et des personnages à croquer.

     

    Le format 4-koma est, à mon sens, à la fois un point fort et un point faible.

    Point fort en ce qu'il donne du dynamisme aux scénettes et met l'humour et la cocasserie en valeur.

    Point faible car même pour un manga slice of life, le format 4 cases est une limite quand on veut développer une scénette plus en détail.

     

    A la lecture, ce sera très simple : on adhère à Gekkan Shojo Nozaki-kun ou on n'adhère pas tout ! Vous serez vite fixé après 3 ou 4 chapitres ! Donnez donc une chance à ce petit manga qui sort vraiment des sentiers battus et des clichés habituels !

     

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    Les points forts :


    •  
    • Un humour à tomber par terre
    • Des scènes cultes
    • Du dynamisme
    • Des dessins soignés

     

    Les points faibles :


    •  
    • Pas de grand scénario (principe quasi inhérent au genre slice of life)
    • Le format 4-koma qui pourrait limiter à l'avenir le développement du manga

     

    BONUS

     

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    Gekkan Shojo Nozaki-kun a fait l'objet d'une adaptation en animé cet été 2014. Pour ma part, j'ai trouvé que l'animé retranscrivait assez fidèlement le manga. On y retrouve l'humour, la bonne humeur et le dynamisme du format papier ainsi que les différents personnage et leur caractère bien trempé.

     

    De manière assez surprenante même, l'animé a même réussi à faire oublier que GSK, à la base, est un yonkoma. Les petites scénettes s'enchaînent de manière tellement fluide dans les épisodes que l'on a l'impression d'avoir à faire un shojo au format classique.

     

    Une adaptation bien réussie en somme !

     

     

    Check fait

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    Je crée ce sujet pour faire découvrir ce jeu, tiré de Warcraft pour ses personnages, sorts... mais qui colle également beaucoup à Magic The Gathering pour la façon de jouer, et surtout de réfléchir à la composition de ses "decks" (les paquets de cartes avec lesquels on joue).

     

    Tout d'abord un point important pour vous inciter à continuer la lecture : on peut jouer gratuitement à EarthStone !

    S'il est possible, comme dans beaucoup d'autres jeux, d'accélérer sa progression en achetant des paquets de cartes via la boutique du jeu, il est parfaitement possible de s'amuser et de progresser en se "limitant" au contenu gratuit. C'est d'ailleurs ce que je fais et ça ne m'empêche pas de coller des roustes à des joueurs qui ont pourtant des cartes accessibles uniquement par la boutique.

     

    Le contexte du jeu est simple : ça pèle dehors et vous rentrez pour taper le carton avec vos copains dans la taverne du nain dont vous avez vu le joli nez en début de sujet.

     

    Le jeu en lui-même :

    Vous incarnez l'une des neuf classes de World of Warcraft, chacune de ces classes étant incarnée par un héros du jeu :

    - Guerrier - Garrosh Hurlenfer

    - Chaman - Thrall

    - Voleur - Valeera Sanguinar

    - Paladin - Uther le Porteur de Lumière

    - Chasseur - Rexxar

    - Druide - Malfurion Hurlorage

    - Démoniste - Gul'Dan

    - Mage - Jaine Portvaillant

    - Prête - Anduin Wrynn

     

    Chacun de ces personnages possède une série de cartes propre à sa classe ainsi qu'un sort héroïque utilisable en jeu (soin, attaque, invocation...).

    Il existe également un panel important de cartes dites "neutres" qui pourront être intégrées dans tous les jeux pour les compléter. C'est dans cette phase que les réflexions de constitution du paquet commencent à entrer en jeu, certaines cartes pouvant interagir entre elles ou devenir plus puissant si un certain type de créature est par exemple déjà en jeu.

     

    Vous constituez ainsi des paquets de 30 cartes, pas plus, pas moins.

    Un paquet aléatoire vous est donné en début de jeu pour faire vos premières armes, l'entraînement contre l'aubergiste vous permettant de vous familiariser avec les capacités des cartes et d'entrevoir les premières possibilités de combinaisons.

     

    Dernière chose : Pas de terrains avec des manas différents à gérer ici. Tout se passe à base de cristaux de mana génériques.

    On démarre la partie avec un cristal et on en acquiert un nouveau à chaque tour de jeu, sans dépasser 10. Si par le biais d'une capacité vous dépassiez ces 10 cristaux, vous obtiendriez à la place un bon pour une carte à piocher supplémentaire.

     

     

    Déroulement d'une partie :

    Une pièce est lancée au début de la partie pour savoir qui commence.

    Celui qui commence a 3 cartes en main. L'autre en a 4 et une carte appelée "la pièce" qui lui permet d'avoir un mana supplémentaire pendant un tour de son choix.

    Le jeu commence ensuite et le premier joueur pioche une carte.

    En fonction de ses cristaux et du coût de ses cartes, il peut ainsi invoquer des créatures, lancer des sorts (améliorations, soins, dégâts, pioche...), s'équiper d'une arme (pour certaines classes seulement) ou préparer un "secret" (pour certaines classes seulement), un secret étant un sort se déclenchant sous certaines conditions (ex : si votre adversaire invoque un serviteur, vous en invoquez une copie).

    Il peut également attaquer les serviteurs de son adversaire ou les créatures de ce dernier. Si il dispose d'une arme ou d'un sort lui conférant une attaque (druide par exemple), votre héros peut également attaquer comme n'importe quelle autre créature. Mais il subira également des dégâts s'il attaque un serviteur adverse.

     

    Les attaques justement. Ici, les serviteurs ont bien une force d'attaque mais pas d'endurance comme on la trouve chez Magic. Il s'agit ici d'une endurance qui est entamée et reste dans un état "blessée" si elle n'est pas restaurée par des soins. Il est ainsi possible de détruire une créature sur plusieurs tours.

     

    La fin du jeu intervient lorsque la vie d'un des héros passe à 0 ou moins, chacun démarrant avec 30 points de vie. Cette vie peut être restaurée par des sorts mais ne peut en aucun cas dépasser les 30 points. Néanmoins, cela est artificiellement faisable grâce aux points d'armure qui sont entamés avant les points de vie (30pv + 8 points d'armure équivalent donc à 38pv).

     

     

    Amélioration des paquets :

    Chaque classe a un système de niveau. Dans les 10 premiers niveaux, chaque héros débloquera ainsi des cartes propres à sa classe.

    Ensuite (ou dans le même temps si vous en avez le cran), vous pourrez allez combattre d'autres joueurs et remplir des quêtes (Gagner 2 fois avec un prêtre, tuer 30 serviteurs) qui vous feront gagner de l'or dépensable en boutique. De même, vous avec une quête permanente qui vous fait gagner de l'or toutes les 3 victoires.

    Cet or pourra donc être dépensable à hauteur de 100 pièces d'or contre un booster de 5 cartes.

     

     

    Voilà, j'espère que je n'ai pas été trop long ou fastidieux à lire.

    Il est possible d'avoir des contacts dans le jeu pour pouvoir se taper dessus amicalement ^^.

    Si vous le souhaitez, je vous invite donc à partager ici vos pseudos (Krynn en ce qui me concerne).

    De même, si vous avez des astuces de jeu, n'hésitez à nous en faire part ici.

    A bientôt IG.

     

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  3. IronMan commence à recruter.

    Et l'histoire fait un grand saut en avant sur beaucoup de sujets.

     

    Thea se bat comme une mouise par contre.

     

    Par contre pour ceux qui manquent de patience, je vous invite à attendre l'épisode de la semaine prochaine pour regarder les 2 ensemble. Vous allez vous en mordre les dents sinon.

  4. C'était également mon, impression Achille :

     

    j'avais plutôt l'impression qu'il cherchait un métal particulier (extra-terrestre) pour se construire une armure façon Iron-Man.

     

     

    Et non, je n'ai jamais regardé Chuck. Je pense plutôt qu'il m'est antipathique parce qu'il a des vues sur Felicity :P

  5. Double cross-over avec cet épisode qui suit celui de Flash d'hier.

    C'est maintenant Flash qui s'incruste à Starling.

    La Ligue commencerait-elle à prendre forme ?

     

    L'épisode est sympathique mais il y a une chose que je pourrais reprocher à cette saison, et Oliver le résume lui-même à la 30ème minute, on voit de moins en moins d'Oliver Queen et de plus en plus d'Arrow.

    Bon ok, sa sœur n'est plus sa sœur, sa copine est morte, sa mère est morte, il s'est fait piquer sa société, et je ne suis même pas sûr qu'il ait un appart en dehors de la cave.

     

    Vivement que le bonhomme qui lui a pris sa boite devienne un vrai méchant et qu'il le zigouille pour qu'on revoit un peu de l'Oliver Queen qui peut sauver sa ville sur une plus grande échelle.

  6. Vous l'attendiez tous avec impatience : le premier vrai épisode coopératif entre The Flash et The Arrow !

     

    N'empêche que je me dis au vu du combat entre les deux que si ça avait été Batman à la place d'Oliver, la série s'arrêtait à cet épisode, faute de héros vivant ^^

     

     

    Et juste pour être sûr :

     

    La fille dans le bar, c'est bien celle qu'il est censée avoir mise enceinte et que sa mère avait payé pour qu'elle disparaisse ?

     

     

    Et le premier spoiler de Ice-Q est confirmé à la fin de l'épisode.

  7. Il semblerait que je sois spécialisé dans les expressions culinaires au vu de mes contributions à ce topic.

     

    Je ne sais pas pourquoi mais dernièrement, quand quelqu'un me sort une ânerie, je lui réponds :

    "Et mon c**, c'est du poulet."

     

    Par contre, une que j'utilise depuis longtemps et que j'essaie de démocratiser (en plus elle est de saison) :

    "C'est ça... Et le Père Noël, il s'est rasé la barbe."

  8. Plusieurs choses :

    2+2 peut avoir un certain nombre de résultats : 11, 10 ou 4 notamment. Ça, tout le monde est censé le savoir.

     

    résultat en base 3, 4 et >4 pour ces trois résultats, juste au cas où...

     

     

    Ensuite, pour vos devoirs, il y a un sujet pour ça qui dort pour le moment en page 3 : ici. Il ne tient qu'à vous de le faire remonter ^^

     

    Enfin, suite à la sortie du film Interstellar, je vous propose de détruire le principe scientifique de base de ce dernier avec deux articles au même titre : Les trous noirs n'existent pas !.

    L'un par le célèbre JPP, l'autre écrit par un illustre inconnu, un certain Stephen Hawking (article en anglais).

  9. Je ne saisis pas bien le lien entre vos Stock Phrases et le but d'Annonce-chan.

    Vous ne préféreriez pas des phrases du genre :

     

    Mode colérique :

    Hé, <PSEUDO>, depuis quand tu prends des initiatives comme aller poster dans le sujet <SUJET> ?

    <PSEUDO>, viens te battre au lieu de trainer sur le sujet <SUJET> !

    <PSEUDO>, tu n'as pas honte de poster de telles idioties à propos de <SUJET> ?

    <PSEUDO> ! C'est quoi cette réponse sur <SUJET> ?! C'est n'importe quoi !

    <PSEUDO> ! Je ne te laisserai pas dire de telles choses sur <SUJET> !

    Personne n'aurait envie de rabattre son caquet à <PSEUDO> à propos de <SUJET> ?

     

    Mode sage :

    Une bonne idée tu as eu, <PSEUDO>, de répondre au sujet <SUJET>.

    Je n'en attendais pas moins de toi, <PSEUDO>. Tu as toujours eu de bonnes idées à propos de <SUJET>.

     

    Mode impressionné :

    Hooooo ! <PSEUDO> ! C'est brillantissîme cette réponse sur <SUJET> !

     

    C'est un premier jet rapide, qui ne demande qu'à être complété avec d'autres phrases et d'autres attitudes.

    Si on veut tourner sans trop voir de répétition, il faudra trouver au moins une vingtaine de réplique par attitude, celles-ci changeant par exemple toutes les heures ou après une longue inactivité.

    Vous en dîtes quoi ?

  10. Halala, comment je l'ai trouvé tout pourri cet épisode 6.

    Depuis quand il se prend pour un badass qui ne bronche pas quand tout pète autour de lui ?

     

    Bon par contre, on sent qu'il a fait des émules et qu'il va y avoir de la nouvelle tête pour la suite.

  11. regardez DBZ, je meurs ... OH NON ... Ah ouais mais en fait c'est bon, je vais m'entrainer quelques années là haut et ensuite on me ressuscite o/

     

    Et Petit Cœur qui se suicide à la fin de DBGT, ça fait Shonen ça ?

     

     

    Sinon, il est vrai que Kakashi (sérieux c'est quoi ce nom ? Sa mère était constipée quand elle a accouché ?) sans son masque est une des grandes "frustrations" de la série, bien qu'il reste encore le Last Movie pour ça.

  12. Au vu du dernier chapitre, il y a une chose qui m'a manqué, que j'attendais avec impatience de voir, et qu'au vu du teaser on aura dans le film :

     

    Comment Hinata va-t-elle faire pour mettre le grappin sur Naruto ?!

     

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