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[Fanfiction] ~Kitoku no Uta~


Mayuko
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Titre : Kitoku no Uta.

Auteurs : Mayuko et Mimile.

Personnage principaux : Shizumu Aohana, Mamoru Warui, Tamaki Tsuda et Shintaro Tachibana.

Les couples : Il n'y aucune romance mais néanmoins je dirais le couple cousin - cousine Shizumu x Mamoru.

Genre : Drame avec un peu d'action, on verra si on décide de faire des affronts entre protagonistes, se qui me plairait bien d'ailleurs =)

___________________

 

 

Chapitre I:

 

 

 

 

- Ne sois pas radin, donnes moi donc un bout de ce cookies Watanabe ! S’écria la jeune femme.

- Jamais de la vie ! rétorqua l’homme se cramponnant à la cible des désirs de sa collègue.

- La gourmandise vous tuera professeur, ajouta le dernier qui extirpa le pauvre cookie des mains de Watanabe qui avait baissé sa garde et en croqua un bout.

- Tu te ligue toi aussi contre moi Sosouke-Kun, bouda le médecin légiste. Ses deux collègues se mirent tous deux à rires, se passant le reste du malheureux cookie qui ne demandait qu’à être mangé. Ce petit jeu finis par amuser Watanabe qui prit part aux rires de ses assistants jusqu’à ce que le téléphone retentisse. Chacun se regardèrent muets. Voyant que personne ne daignait se lever afin de répondre, Sakurai prit l’initiative, se dressa et se dirigea vers celui-ci. Watanabe et Sosouke suivirent la conversation des yeux jusqu’à se que la jeune femme raccroche.

- Nous allons avoir de la compagnie, les amis, lança la jeune femme d’un ton mêlant sympathie et compassion pour la victime. Toujours dans le plus grand des silences, les deux hommes se levèrent et rejoignirent l’ascenseur.

L’ascenseur au bout du couloir menait à la salle d'autopsie. Les trois individus entrèrent dans la pièce sombre qui s’éclaira bien vite d'une lumière blanche et vive qui se reflétait aussi bien sur les murs carrelés que dans les vitrines des armoires. Tous se hâtèrent d’enfiler une paire de gants ainsi qu’une tenue adéquate avant de préparer le matériel nécessaire à l’opération.

- Quand ont-ils dit qu’il arrivait ? Questionna Sosouke un peu hésitant.

- Ils n’ont rien dit mais ils ne devraient pas tardés. La jeune fille arrive en hélicoptère et viendrais de Fukue, c’est tout se que je sais.

- La cause de la mort ? fit à son tour Watanabe.

- Ils n’ont rien dit non plus à ce sujet, la conversation était assez saccadée, nous avons fait au plus bref, répondit-elle tout en préparant un brancard puis constatant la nervosité de l’étudiant, elle reprit, tentant ainsi de le rassuré : Ne sois pas si nerveux Sosouke, ça se passera très bien, j’en suis certaine. Le jeune homme hocha de la tête et se calma.

 

 

Watanabe observait le ciel pensivement depuis le toit de l'hôpital de Nagasaki tandis que Sakurai et Sosouke discutait patiemment appuyés contre le mur. Un point noir apparu au dessus de la mer accompagner d'un bourdonnement sourd. C'était l'hélicoptère qui venait de Fukue avec à son bord le corps d'une jeune fille. Lorsque les turbines tournèrent aux ralentis, les deux hommes se dirigèrent vers la porte arrière avec le brancard, pour y sortir le sac noir contenant le corps et avec précaution, le déposèrent dessus. Sakuraï appuya sur le bouton de l'ascenseur et le brancard s’engouffra dans la cage accompagnée de l’équipe médicale. Quant à l'hélicoptère, il reparti rapidement sur un autre lieu d'intervention.

De retour en salle d’autopsie, accompagnée cette fois-ci d’une invitée, le jeune Sosouke défit la tirette de la civière tandis que Sakurai préparait un bloc note, un appareil photo ainsi qu’un enregistreur audio-vidéo. Lorsque la jeune fille fut totalement dépourvue de sa toile noire, chacun à leur tour l’observa attentivement. Elle ne portait aucune marque de strangulations sur son cou, ni autre marque sur les membres de son corps perceptibles d’ailleurs. De longues mèches de cheveux noirs s’enroulaient tels une écharpe autour de son cou nu. Ses lèvres rosées encore humides étaient restée entrouvertes, au tant que ses yeux ambres l’étaient.

- Elle serait morte noyée. C’est son cousin qui aurait trouvé le corps. Il n’y a aucune déposition de celui-ci, il affirme simplement avoir trouver le corps de sa cousine inerte dans l’eau lorsqu’il est revenu, interpréta le médecin légiste qui déchiffrait le rapport laissé par les policiers tandis que sa collègue pris note de ses paroles.

- Aohana Shizumu, fit à son tour l’apprenti qui déchiffra les caractères enroulés autour de l’orteil de la jeune fille.

- Tu es prêt Sousoke ? Sonda Watanabe lui tendant un scalpel ainsi qu’une paire de ciseaux pendant que sa collègue prenait quelques clichés du corps inerte de la jeune étudiante.

- Je … je crois, déglutit l’étudiant s’emparant tout d'abord des ciseaux.

- Vas-y à ton aise, ne brûle pas les étapes, lui conseilla la jeune femme.

Munis de l’outil, le jeune homme entrepris avant tout de découpé aussi délicatement que possible le haut de la jeune fille avant de procéder à l’autopsie. A mesure que les ciseaux arrachait les fibres du tee-shirt encore humides de la victime, Sosouke s’efforçait de se relâcher au tant qu’il pu et de se concentrer uniquement sur la jeune fille. Il n’était pas sans dire que son examen se jouait sur cette patiente et qu’il n’avait de ce faite pas droit à l’erreur. Lorsque le haut de la jeune fille se sépara en deux, il souffla de soulagement alors qu’inconsciemment il soulevait déjà le corps de cette dernière afin de dégrafé son soutient gorge gênant. Débarrassé de ce dernier rempart, le jeune apprenti dirigea lentement son scalpel jusqu’à la peau de la défunte. A la hauteur de son épaule gauche, il apposa fermement l’outil qui s’enfonça sans la moindre peine dans la chaire de la patiente qui eut un léger sursaut. Sousuke lâcha sans plus attendre son scalpel et sentit la panique s’emparer à nouveau de lui. Son collègue fronça les sourcils puis par mesure de précaution appliqua son index ainsi que son majeur sur le nuque de la jeune fille pour vérifier toute possibilité de vie de celle-ci, et lorsqu’il ne ressentit pas le moindre mouvement sanguin, fit signe à son petit protégé qui repris, peu confiant. Lentement, il descendit en diagonal jusqu’à l’abdomen. Il continua ainsi la méthode jusque ce que l’incision représente un beau Y sans bavure. Ceci fini, le jeune homme souffla rassuré alors que le professeur Watanabe félicitait ce dernier pour le doigté qu’il fit preuve. Sakurai quant à elle prit le temps de photographier le corps ainsi incisé avant que Sosouke ne reprenne ses applications.

Avec précaution le jeune homme écarta les bouts de peau encore fraîchement coupés afin d’attaquer le sternum jusqu’à se qu’il constate l’incision trop peu profonde au niveau du pubis. Alors que celui-ci se mis en quête de rectifier cette petite erreur, le corps de la patiente fut pris de légers spasmes et du sang jaillit de part et d’autres des incisions. Il ne fallut pas plus d’une dizaine de seconde pour que la jeune fille ouvrit les yeux accompagnés de cris de douleurs tous plus forts les uns que les autres. Affolé Sousuke abandonna son scalpel qui alla s’écraser au sol. Sakurai et son collègue Watanabe laissèrent leur peur de côté et tentèrent de calmer l’ex défunte en la maintenant allongée sur le brancard alors que l’hémorragie se faisait bien plus forte de secondes en secondes.

- Nous devons l’endormir, vite ! Cria l’homme aussi affolé que ses assistants alors qu’il maintenait toujours la jeune demoiselle qui se débattait. Il avait beau la supplier de ne pas bouger afin de ne pas empirer la situation, il ne pouvait que comprendre l’angoisse qui pouvait l’envahir sans compter la souffrance qu’elle endurait. Mais comment cela était-il possible ? Ils avaient pourtant bien vérifiés, elle était morte il n’y a même pas une minute. Comment se pouvait-il ainsi que le corps reprenne ses fonctions ? En fait c’était simplement impossible. En tout cas le plus important était d’abréger les souffrances de cette pauvre fille et de la recoudre au plus vite !

C’est Sosouke qui fut de tâche pour l’anesthésiant. Il s’approcha de la patiente et, d’un coup lui planta l’aiguille de la seringue au niveau de la nuque, qui ne tarda pas à sombrer dans le sommeil. La patiente endormie, Sakurai souffla, soulagée avant de s’écrouler au sol. Des larmes ne tardèrent pas à roulées contre ses joues. Elle avait eut la peur de sa vie. Watanabe désolé partit à la conquête des compresses que sa collègue appliqua elle-même sur les plaies de la patiente. Le jeune étudiant précipita le brancard hors de la salle. Toute l’équipe monta à l'étage supérieur au moyen de l’ascenseur et se hâtèrent de rejoindre les urgences. Heureusement, un médecin urgentiste prit les choses en main. La blessure était très grave, de ce fait, il l'emmena au bloc pour l'anesthésier, la transfuser et la recoudre. Une telle blessure peut vite être mortelle, la quantité de sang sur le brancard le témoignait. Les trois légistes restèrent en dehors du bloc, où ils mirent un certain moment pour se remettre de leurs émotions. Un chirurgien sortit enfin du bloc, et s'avança vers Watanabe.

- Elle s'en sortira, elle a eu beaucoup de chance mais avec du temps elle s'en sortira.

- Dieu soit loué ! Répondit le professeur qui revit la scène dans sa tête.

- Mais dit moi, Watanabe-San, peux tu m'expliquer comment cela a-t-il bien pu se passer ? Comment une de tes patientes, censée être morte a-t-elle pu se retrouvé sur ma table ? Se renseigna le médecin perplexe.

- Je ... je ne sais pas bien, c’est encore assez confus dans ma tête. Elle est arrivée de Fukue et tout le protocole de constatation de la mort a été scrupuleusement respecté. J'ai moi même vérifié son absence de pouls lorsqu'un nerf a tressaillit. Je peux t'assurer qu'elle était bel et bien morte au moment de l’incision !

- J’ai du mal a y croire, c'est invraisemblable ... non, s’en est même effrayant ! Comment allons-nous pouvoir expliquer une telle chose ? Les médias vont se déchaîner, nous devons prévenir le directeur !

- Oui tu as raison. Répliqua Watanabe qui se tourna vers ses deux assistants. Sakurai, va me cherché l'enregistreur audio-vidéo et l'appareil photo. Sosouke ... va prendre un café et attends nous tu veux ? Reprit-il d’un ton mêlant l’épuisement et l’énervement.

 

 

Le bureau du directeur bénéficiait de la meilleure vue de tout l’immeuble. De grandes plantes vertes encadraient la fenêtre d’où l’on pouvait admirer la mer au loin. Le soleil rougeoyant, baignait la pièce d'une lumière tamisée, filtrant à travers les stores en lamelle de tissus blancs. A gauche de la porte se trouvait deux fauteuils, tout deux faisant face la baie vitrée, ainsi qu'une petite table en biais, sur laquelle était déposé un percolateur à café, de même qu’un beau service de tasses et sous tasses propres. A leur côté, un plateau où se trouvaient entreposé quelques boites de thé ; les favorites du directeur. Elles étaient au nombre de trois. Une pour chaque phase de la journée dont une pour le matin, au petit déjeuner, une pour le quatre heures et la dernière, pour le soir. Il n’y avait rien de plus savoureux qu’un thé noir, tout en admirant le soleil se rapprocher de l'horizon et s’engouffrer sans retenue dans la profondeur des eaux bleues de la mer du Japon, pour affronter les longues soirées, seul, confiner entre les quatre mur de son bureau.

A l’extrémité de la pièce, se tenait une belle étagère en bois blanc remplie de livre, passant de romans aux encyclopédies, tous classé par catégorie et ordre alphabétique. Le long du mur latéral opposé à la baie, était installé un aquarium dans lequel nageaient calmement de petits poissons tropicaux, tous coloré de magnifiques couleurs. Enfin, contre le mur du fond, juste derrière le bureau du directeur, se trouvait suspendu son diplôme de médecine ainsi qu’une série de portrait, représentant les illustres prédécesseurs du directeur actuel : Monsieur Masato Eiri. Du haut des ses vingt-quatre ans, il était le plus jeune directeur que l'hôpital ait connu, mais également le plus brillant de tous.

Soudain, quelqu'un toqua à la porte. Masato prit sa tasse d'eau chaude, y fit infuser du thé provenant de la troisième boîte, et retourna s’asseoir dans sa chaise de bureau, tourné vers l’horizon teinté déjà de rouge.

- Entrez ! dit-il calmement.

La porte s'ouvrit et Watanabe apparut dans l'encadrement de la porte.

- Bonsoir Monsieur le directeur, dit-il tout en refermant soigneusement la porte derrière lui.

- Ah, Fujitaka ! s’exclama le jeune homme, visiblement enchanté de cette entrevue avec le professeur. Combien de fois devrais-je te le dire ? Je suis ton cadet. Appelez-moi Masato. Au moins lorsque nous somme seul, reprit-il.

- Veillez m’excuser, vous avez raison. Mais le temps ou vous fûtes mon élève et assistant fait dorénavant partie de passé.

- Que dites vous là ? Cela ne fait que trois ans à peine !

- M'oui, sûrement. Ma mémoire me joue parfois de mauvais tours. Mais ce n’est pas se qui m'amène ici ce soir, bien que l’envie de discuter quelques instants en votre compagnie autour d’une tasse de thé ne manque pas.

- Oui, j'ai eu vent d'un incident s'étant produit au service des urgences. Manabu m'a prévenu de ta visite il y a quelques minutes.

Un silence s’installa entre les deux hommes. Seule la pompe à oxygène de l'aquarium semblait avoir quelque chose à dire de par son bourdonnement incessant qui d'habitude semblait très léger et à peine audible, était maintenant devenu totalement insoutenable. Ne supportant plus ce mutisme, Watanabe se décida enfin à expliquer la situation à son supérieur.

 

- Nous devons faire en sorte que cela reste au sein de nos services respectifs, à moi et à Manabu. Il faut éviter que des bruits de couloir arrivent jusqu'aux oreilles de la presse.

- Que proposes tu ? Sonda le jeune directeur.

- Il faudrait écrire un communiqué de presse, faisant taire toutes rumeurs pouvant survenir plus tard. Il faudrait prendre les devants et faire passer le message à tous les employés. Ce n'est pas une erreur de diagnostique ou médicale, mais bien une erreur d'annotation sur le rapport fait sur place par la police. La destination n'était pas la morgue mais le service d'examen du coeur par exemple. Elle n'est pas morte, revenue à la vie, ce serait simplement une sorte de coma poste traumatique. Lorsque nous nous en sommes aperçus, elle a été immédiatement prise en charge par le service adéquat.

- Je te reconnais bien là, Fujitaka. Toujours aussi prévoyant. Merci de veiller à ce que notre image reste celle que ton père a réussie à donner à l'hôpital.

- Et ais-je tort de le vouloir? s'exclama Watanabe, le front humide, comme si cette dernière réplique lui avait demandé beaucoup d'effort.

- Non, bien au contraire, ce n’était pas ironique, répondit Masato très calmement.

- Excuse-moi, je me suis un peu emporté. Cet atroce incident m’a épuisé. Rétorqua t-il, puis, il soupira en s'affalent sur l’un des fauteuils.

- Ne t'excuse pas. Tu es très éprouvé. Je l’aurais été bien plus que toi si cela m'était arrivé. Nous allons faire comme tu as dis. Sers toi un thé pendant que je rédige mon rapport et ensuite, si ça te dis, nous pourrions allez nous changer les idées dans un café pas très loin avec Sakurai Akane et ton petit protégé ; Osaka Sosouke.

- D'accord. Je reste ici si tu as besoin de plus d'explication.

- Merci Fujitaka, on peut toujours compter sur toi, par contre, pourrais-tu appeler Sakurai pour qu'elle nous rejoigne avec ton élève?

- Bien sur.

Masato fit pivoter son siège afin de se placer devant son bureau, porta ses lunettes à son nez et se mit à écrire frénétiquement sur son clavier, le visage serein, comme s'il avait l'habitude d'écrire de tel rapport, mais ce n'était évidemment pas le cas. Les assistants de Watanabe ne tardèrent pas à rejoindre le petit groupe. Sakurai s’installa sur le dernier fauteuil libre, alors que Sosouke quant à lui, préféra rester debout, avec une envie irrésistible de faire les cents pas, mais se retint. Lorsque Masato eut finit son rapport, ils le lirent tous ensemble afin d’y ajouter quelques légères modifications. Le jeune directeur attrapa avec empressement son manteau de la patère et sortit le dernier, n’oubliant pas de fermer les stores et d’y éteindre la lumière. Il espérait ne pas avoir à y revenir avant le lendemain, bien que les heures supplémentaires étaient monnaie courante chez lui depuis quelques semaines.

Seule une très légère lumière bleutée sortant de l'aquarium baignait la pièce d'une pâle lueur froide.

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T'avais eu mon avis sur le dbut Mayu mais j'aime beaucoup, on a une dose de description parfaite pour avoir une idée de l'ambiance en nous laissant une certaine liberté, les personnages ont l'air assez poussé et on se demande comment ça va évoluer, c'est original et bien crit, bref bonne continuation, vivement la suite à vous deux *0*

 

Ah tiens, si, si j'avais une petite remarque à faire par contre c'est qu'entre le directeur et Watanabe, on connait beaucoup trop vite leur relation et ça ne fait pas du tout naturel la façon dont ils échangent les informations pour que le lecteur connaisse leur rapport, ça fait bizarre qu'ils se mettent à parler d'un truc qu'ils savent tout les 2 (pas le tutoiment mais le passé je parle), ça fait presque parodique ^^'

Bon et puis perso j'ai toujours un peu de mal à retenir les noms jap quand j'ai pas le visuel mais ça, ça ne tient qu'à moi xD

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Hum vui, j'avoue, ça va peut-être un peu vite. Je verrais pour remanier ce passage. Merci de l'avoir souligné =).

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Mouais, tu as raison, moi j'étais en plein de mon truc quand j'ai écrit ce passage, j'avais réfléchi à plein de truc et comment il se connaise etc. et pour moi ç'était évident mais bon ... j'aurais dût revoir le tout d'un oeuil extérieur mais c'est pas facile ^^', je ferais plus attention dorénavant promis :nyaa:

 

P.S: J'avoue que personellement j'adore imaginer et décrire l'environnement ainsi que l'histoire des personnages. A tel point que c'est pas rare que je parte dans des délire invraisemblable et que je doive faire de difficile choix pour pas trop allourdir le tout XD. Par contre je suis moins bon pour ce qui est des interactions et des dialogues ... l'union fait la force :o D'ailleur j'hésite à écrire ma porpre "Encyclopédie Imaginaire" XD

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Ben, c'est pas grave Mimile ! Perso, j'avais penser à une chose pour les faires se connaitrent ces deux là, un truc un peu tordus, mais le classique est bien mieux. J'ai juste enlever cette partie qui parle de la place et du tutoyement. Ca passe comme une lettre à la poste c'est simplement du surplus, rien de bien méchant. Quand je corrige et remanie, je vois pas toujours se qu'il y a de trop.

Bref, comme tu dis, l'union, fait la force. Pas que je suis une merde pour les description, mais je les aloonge pas au tant, ça m'arrange donc =) Puis, plus on se complète, plus le récit est riche.

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