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À propos de Kirito67100
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Rang
Newbie
- Date de naissance 20/12/1988
Mes informations
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Sexe
Masculin
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Prénom
Call me Master
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Localisation
Strasbourg
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Intérêts
Tout ce qui tourne autour du Japon (mangas, animes, musique, culture, manger...), Photographie, High-Tech, Jeux vidéos, Dessin et...
...Bacon strips, Bacon strips and... BACON FUCKING STRIPS !!!
Informations de contact
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Site web
http://kirito67115.deviantart.com/gallery/
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Skype
kirito67115
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vinland a réagi à un message dans un sujet : Votre lettre au père Noël
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Noël approche à grands pas, les villes commencent à arborer leurs décorations, les magasins ont déjà mis en rayons les décorations et jouets de Noël, et l'on à déjà reçus dans nos boîtes aux lettres certains catalogues de Noël, toute une ambiance commence à se mettre en place, l'occasion pour nous donc de commencer à rédiger notre lettre au père Noël Je vous propose donc de présenter votre top 3 des cadeaux que vous rêveriez de voir sous votre sapin dans un peu plus d'un mois (le numéro 1 étant le cadeau que vous vous souhaiteriez le plus. Évidement, restez sur des cadeaux plausibles, parce-que sinon on vas tous se retrouver avec des Porsche, des yachts et des poneys sous le sapin x) évidemment vous pouvez mettre des cadeaux que vous vous imaginez bien ne pas recevoir en vu de leur prix élevé ou difficulté à le trouver, cela reste quand même les cadeaux dont vous rêveriez vraiment, il ne faut juste pas aller dans des extrêmes que seuls les millionnaires pourraient recevoir Bon, vu que je suis sympa ce sera comme au loto, vous aurez droit de choisir un numéro bonnus qui sera un truc extravagant ^^ Donc voici ma liste pour le père Noël #1 Une Epson SC-P 400 (imprimante photo à encres pigmentaires) #2 Un Huawei p20 pro #3 Une tablette samsung galaxy tab S4 #Bonus: Un plein d'essence... bah ouais ca vaut de l'or maintenant xD A votre tour maintenant
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j'ai lu, il est vraiment sympa je trouve
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Shiro-chan a réagi à un message dans un sujet : Grand Jeu Photos OA 2018
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lire ce pavé m'a fait mal au crâne xD Par contre, je ne pense pas me prêter au jeu, je suis pas assez connecté ces temps ci pour jouer... puis chui pas trop joueur en vrai x) Mais bon, bonne chance aux participants
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[Licencié] Karakai jōzu no Takagi-san
Kirito67100 a répondu à un(e) Kirito67100 de sujet dans Animes
En vrai en manga il existe 2 spins off, un je ne sais plus trop de quoi ca parle, le second c'est Takagi et Nishikata adultes (mais j'en dis pas plus pour ps spoil) -
vinland a réagi à un message dans un sujet : [Licencié] Karakai jōzu no Takagi-san
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Alors voilà, a ma plus grande surprise ce matin en discutant vite fait sur le Discord OA, j'ai pu constater (avec désolation xD ) que certains membres ne connaissaient pas cet anime de la saison hiver 2018 qui pourtant mérite que l'on s'y intéresse ! FICHE TECHNIQUE: Titre Romaji/VO: Karakai jōzu no Takagi-san / からかい上手の高木さん Saison: Hiver 2018 Episodes: 1 saison de 12 épisodes de 25min Origine: Manga Studio: Shin-Ei Animation Genre: School life, Romance, Comédie Licencié en France: Oui, Crunchyroll SYNOPSIS: L'histoire nous fait suivre le quotidien de deux collégiens, Takagi et Nishikata qui sont voisins de table en classe. Takagi passe son temps a taquiner Nishikata, en le mettant constamment dans l'embarras, ce dernier quand a lui cherche désespérément un moyen pour rendre la pareille a son amie, mais collectionne malheureusement pour lui les échecs. MON AVIS: Cet anime mérite que l'on y jette un oeuil, c'est "frais" et c'est un anime idéal pour se détendre, on a pas besoin d'être trop concentré pour pouvoir comprendre/suivre l'histoire. Un anime avec une bonne dose d'humour mais aussi un peu de romance, car oui, cet anime est pour moi une très belle mise en forme de la célèbre expression "Qui aime bien châtie bien" Personnellement c'est le genre d'anime que j'aime bien regarder après une journée de travail éprouvante.
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Haha, bienvenue à bord jeune flibustier ! J'espère que tu sauras trouver ici autant de bonheur et d'amusement et que tu passera autant de bon moments que moi Tu verras on mords pas (sauf Sandyh :p) et on rigole bien ici ^^
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Kirito67100 a réagi à un message dans un sujet : Les perles de la Shoutbox/Discord
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vinland a réagi à un message dans un sujet : Partenartiat UNIQLO et Shonen Jump
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Bonjour à tous, J'ai appris qu'a l'occasion du 50ème anniversaire du weekly Shonen Jump (magazine de prépublication de mangas au japon) les magasins de vêtements UNIQLO et ce dernier se sont associés pour vous proposer une série de T-shirts à l'effigie de nos héros publiés dans le Jump Les t-shirts sont a 14,90€ l'unité et pour 2 t-shirts de cette série achetés vous aurez droit a un code pour un abonnement d'1 mois a ADN Voici le lien pour les t-shirts => https://www.uniqlo.com/fr/fr/homme/ut-uniqlo-t-shirts/jump-50th?utm_source=facebook&utm_medium=social-ads&utm_campaign=2018_05_UTJump&utm_content= Je ne sais pas si j'ai posté ca au bon endroit, mais si ce n'est pas le cas bah Rro ou un animateur pourra se charger de le déplacer
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Looooool mais il veut quoi le chaton Lyonnais ^^ Vous vous avez la saucisse de Lyon, votre brioche au saucisson, la rosette et le beaujolais (a la rigueur) mais nous on a les knacks, la leberwust, la saucisse de jambon, la schmerwurst, la saucisse noire, la bierwurst, la teewurst, la fleishwurst, les cervelas, la saucisse a la pistache, la tartinette, les gendarmes (pas ceux avec les radars xD ), la saucisse fumée et en vins on a le pinot noir, le gewurztraminer, le pinot gris, le riesling, le kaefferkopf, le sylvaner, l'edelzwicker, le pinot blanc (ouais on a tous les pinots ) et j'en passe, donc charcutièrement parlant l'Alsace est au dessus de Lyon waiiiiiih !!! en plus sur la carte de france aussi c'est au dessus de Lyon, waiiiiih ! /o/ lol ^^
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Bienvenue, la commu Strasbourgeoise s'agrandit !
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ca fait du bien de voir que la communauté OA strasbourgeoise augmente d'année en année, je me souviens, il y a 4 ans, quand je suis arrivé, j'étais un spécimen rare, le seul, l'unique, et le plus beau... Strasbourgeois de OA ^^ Bref, tout ca pour dire, Bienvenue a toi ô collègue mangeur de choucroute et autres waedele, bredele et flammekueche
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Edji a réagi à un message dans un sujet : Reportage: Corée du nord, comment en est elle arrivée a devenir une puissance nucléaire
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Divorce occidentaux /japonais, qu'en est il des enfants ?
Kirito67100 a répondu à un(e) Kirito67100 de sujet dans Le Japon
Après il faut savoir que cela est possible que ça se passe mal, cependant, je pense qu'il doit quand même rester bon nombre de couples mixtes au japon qui n'auront jamais ce genre de problèmes -
Divorce occidentaux /japonais, qu'en est il des enfants ?
un sujet a posté Kirito67100 dans Le Japon
Bonjour à tous, Je viens de tomber sur cet article paru dans le journal Libération qui m'a l'air fort intéressant. Beaucoup d'entre nous ont surement déjà rêvés de s'unir pour le meilleur et pour le pire avec une belle/un beau japonais(e), et d'avoir ensemble un joli bambin mignon tout plein. Cependant l'on ne se pose que très rarement la question de "mais si l'on venait a divorcer qu'adviendrait il de nos enfants ?", Libération répond à la question en se basant sur des témoignages de parents occidentaux l'ayant vécu. Le rêve de la petite amie Japonaise qui se transformerait en cauchemar ? Je vous laisse donc avec l'article de Libération. Japon : enfants confisqués, parents abandonnés Par Arnaud Vaulerin — 29 janvier 2018 à 19:46 Extrait de la série «Neige» (2012), Yamaguchi. En cas de divorces, beaucoup de parents, notamment occidentaux, restent impuissants : nombre d’enfants sont «enlevés» par le père ou la mère, sans que les autorités locales n’interviennent. Les associations lancent un cri d’alarme. Japon : enfants confisqués, parents abandonnés C’est le genre de vocabulaire d’ordinaire employé pour des affaires criminelles, des intrigues mafieuses et des guerres. On le retrouve de plus en plus dans la bouche de parents séparés de leurs enfants, privés à la fois de droit de visite et de garde. Ils parlent d’«otage», d’«enlèvement», de «violation» et de «kidnapping» pour raconter des histoires qui charrient souffrances, silences et injustices entre le Japon et de nombreux pays. Plusieurs centaines d’enfants binationaux et des dizaines de milliers d’autres uniquement japonais sont victimes des manquements de la «bureaucratie judiciaire japonaise», comme le formule sans détour John Gomez, président de l’ONG Kizuna («lien» en japonais) à Tokyo, qui milite pour le droit d’un enfant de voir ses deux parents. Cet Américain s’alarme du «mépris du Japon pour les droits et le bien-être de l’enfant». Et de la situation de pères et de mères abandonnés et sans beaucoup de recours. Le 25 janvier, le sénateur LREM Richard Yung a posé une question orale au gouvernement français pour attirer l’attention de Jean-Yves Le Drian, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, sur les difficultés rencontrées par certains ressortissants français pour exercer au Japon leurs droits parentaux. «Je ne la reverrai pas» Le Français Emmanuel de Fournas est l’un d’eux. Depuis le 7 juin 2015, il n’a pas revu sa fille Claire, née en janvier 2012. Cet ancien chef d’entreprise dans le secteur du bio a épousé sa femme, japonaise, en 2011. Après plusieurs années de vie commune en Thaïlande, le couple se sépare en 2014. La mère s’installe au Japon avec la petite Claire, le père effectue des allers-retours, tentant de maintenir un contact avec sa fille. Sur fond de tensions médicales et familiales, commence alors un long parcours judiciaire entre les tribunaux français et japonais, avocats et commissariats. Dans ce qui ressemble à une descente aux enfers, Emmanuel de Fournas est même placé en garde à vue en mai 2015 au Japon, pendant vingt-trois jours, avec placement à l’isolement, test ADN et fouille anale. Il est accusé de «harcèlement» et même soupçonné de vouloir enlever sa fille. «Je me suis retrouvé dans un vide de droits fondamentaux terrible, raconte-t-il depuis Toulouse où il vit. J’étais présumé coupable. Un policier japonais a fini par me dire qu’à partir du moment où ma fille avait été enlevée, je ne la reverrai pas. Le Japon fonctionnait ainsi selon lui.» Un diplomate japonais qui souhaite rester anonyme tente une explication culturelle : «La prise de conscience de la situation des enfants séparés a été tardive au Japon. Selon les principes du code civil, la garde partagée n’est pas reconnue. Traditionnellement, le foyer est constitué des deux parents et du ou des enfants. Une fois qu’il est brisé par un divorce, l’enfant "n’appartient" plus qu’à un des deux parents. Après, bien sûr, les parents peuvent se mettre d’accord.» C’est souvent compliqué. Les cas les plus nombreux concernent des citoyens américains, britanniques, australiens ou même italiens. En France, le ministère de la Justice dit avoir été saisi officiellement de «quatorze dossiers depuis l’entrée en vigueur de la convention de La Haye entre la France et le Japon le 1er avril 2014». Cette année-là, après trois décennies de polémiques dont certaines ont abouti à des suicides, l’archipel finit par ratifier ce texte sur les enlèvements internationaux d’enfants. Sans aucun effet rétroactif, cette convention vise à «assurer le retour immédiat des enfants déplacés ou retenus illicitement dans tout Etat contractant et à faire respecter effectivement les droits de garde et de visite existant». Elle est explicite et précise sur les engagements des parties signataires. Mais, de l’avis de pères et mères français, américains, britanniques que Libération a contactés, le «Japon viole» la convention de La Haye et s’en «sert uniquement au bénéfice de parents nippons», sans «se soucier de la tragique situation des enfants binationaux, les premières victimes»,écrivent des Français qui tentent de défendre leur cas. «Force est malheureusement de constater que le Japon ne satisfait pas pleinement aux obligations qui lui sont imposées par la convention de La Haye, a dénoncé Richard Yung dans sa question au Sénat, la semaine dernière. Par ailleurs, il est regrettable de constater que l’exercice effectif d’un droit de visite continue de dépendre du bon vouloir du parent japonais.» Bataille procédurale Fin décembre, des Français ont constitué un collectif : «Sauvons nos enfants-Japon». Ils ont rencontré des conseillers consulaires (Evelyne Inuzuka, Thierry Consigny) et des parlementaires. Tout en frappant aux portes des consulats et ambassades qui apprécient modérément cette mobilisation peu en harmonie avec la diplomatie officielle. Ils martèlent que le Japon ne respecte pas la convention. Ils en veulent pour preuve que les autorités de l’archipel n’ont pas mis en œuvre des ordres de retour d’enfants binationaux dans un autre pays. Pis, ces décisions de justice ont été rejetées par la Cour suprême du Japon le 21 décembre. Ce jour-là, plusieurs ordonnances de retour préalablement rendues en faveur de James Cook, un Américain père de quatre enfants enlevés par leur mère japonaise, ont été annulées, donnant un redoutable signal aux parents privés de leur progéniture. Abigaël Morlet redoute un scénario similaire. Cette Française a eu deux enfants entre 2007 et 2009 avec son mari japonais dont elle s’est séparée. Elle est lancée dans une bataille procédurale avec celui qu’elle accuse d’être un «pervers narcissique». Elle a obtenu l’autorité parentale exclusive, le droit de garde en France. Mais au terme d’un procès, son ex-mari a obtenu que l’autorité parentale soit partagée avec des droits de visite et d’hébergement (des DVH dans le jargon des couples séparés) au Japon. «Si mes enfants repartent dans l’archipel, je ne les reverrai pas, assure cette ancienne enseignante. Il y a un risque réel que leur père ne respecte pas le DVH et ne les renvoie pas en France. Et on ne peut pas compter sur la police japonaise pour appliquer les ordonnances de retour. Elle se contente de venir frapper à la porte et ne fait rien si l’autre parent refuse. Et il n’est pas interdit de penser que, moi aussi, je sois arrêtée et placée en garde à vue pendant vingt-trois jours si je me rends au Japon.» Elle a proposé à son ex-mari de venir voir ses enfants en France en novembre et décembre, il a refusé. Elle vit dans la crainte d’une décision de justice lui intimant l’ordre de confier son fils et sa fille à leur père. Les autorités japonaises font profil bas. Elles ont créé une cellule de suivi au sein du ministère des Affaires étrangères. «Si je comprends bien, poursuit notre diplomate au fait de l’esprit de la convention de La Haye, le problème n’est pas la non-application, mais plutôt la lenteur, la mollesse dans la mise en œuvre. Surtout, les agents chargés de la mise en exécution de ces arrêts judiciaires [ordonnances de retour, ndlr], ne sont pas vraiment habitués. Ils hésitent à intervenir rapidement et par la force dans des affaires civiles et familiales toujours délicates.» Mais de l’avis de plusieurs parents et experts, le «cœur du problème réside dans la branche judiciaire», analyse John Gomez de l’ONG Kizuna. «C’est le concept de "principe de la continuité" qui est problématique. C’est-à-dire que, dans l’esprit des juges, les enfants restent avec le parent qui les a enlevés. Autrement dit, on entérine et on valide le kidnapping», explique cet Américain mobilisé depuis dix ans sur ce douloureux dossier. Il balaie d’un revers de main les explications culturalistes, les probabilités de discrimination envers les étrangers, les femmes ou les hommes. Durant ces dix années d’activisme, il a croisé des victimes de tout genre, de toute catégorie et de toute nationalité. Ce qui l’amène à parler de «véritable violation de droits de l’homme commis dans l’archipel». A partir des statistiques officielles sur le nombre de divorces et celui des naissances, il assure que chaque année au Japon, jusqu’à 150 000 enfants seraient privés d’un des deux parents à la suite d’une séparation. Se faire entendre Le Français Stéphane Lambert, qui vit en banlieue de Tokyo, en sait quelque chose. Il a rencontré sa femme japonaise et a vécu à l’étranger avec elle et leur fils, Nathan, né en 2012. Puis ils sont rentrés au Japon en février 2013. Deux ans et demi plus tard, la mère a kidnappé l’enfant. Stéphane Lambert dit avoir obtenu très péniblement du tribunal de Yokohama un droit de visite de quatre heures par mois. Mais la mère a déménagé et le père a perdu la trace de son enfant qui souffrirait de «troubles du développement». Il s’est tourné vers la police japonaise, qui lui a indiqué qu’elle n’interviendrait pas. Quand il a frappé à la porte des autorités consulaires françaises, il s’est entendu répondre : «On ne peut rien faire, le Japon est souverain.» Déboussolé et désargenté, Stéphane Lambert a rejoint le collectif des parents français. Ces femmes et ces hommes veulent être plus offensifs pour se faire entendre. La députée des Français de l’étranger pour la région Asie-Pacifique, Anne Genetet, qui les a rencontrés et demande la «mise en œuvre effective du droit», les met en garde contre une «démarche trop agressive qui fermerait les portes du Japon». Mais le sénateur Richard Yung a demandé au ministre des Affaires étrangères si, «soucieux du respect de l’intérêt supérieur des enfants issus de couples franco-japonais, […] la France, en lien avec d’autres Etats, ne pourrait pas entreprendre de nouvelles démarches auprès du Japon». Aujourd’hui, certains parents n’ont plus d’autres choix que de faire du bruit. Seul espoir pour revoir leurs enfants. Arnaud Vaulerin. voici le lien vers la page de l'article: http://www.liberation.fr/planete/2018/01/29/japon-enfants-confisques-parents-abandonnes_1626000 -
Tu as l'air d'avoir de l'humour... et moi l'humour J'AIME CA ! Bienvenue a bord moussaillon !
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Bienvenue *est en retard* Sauce sucrée... pff... amateurs...