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Kanon

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Messages posté(e)s par Kanon

  1. S'imprégnant de tout ce qu'elle donnait à voir, à entendre pour identifier les contrés où elle évolue, son attention s'attarda sur le caractère aiguisé de ses mots, de son phrasé, ce qui l'orienta naturellement vers une mise en perspective avec la force et la couleur émotionnelle émanant de son cœur. Il touchait là aux limites de ce que le reflet pouvait montrer avec qualité. Il se détourna de ce miroir imparfait pour considérer directement la réalité de cette fille qui semblait relativement bien armée, dont la féminité flamboyante plaça Akira en un instant à la périphérie de ce qu'il désigne habituellement comme la galaxie d'un individu : une lumière invisible à l'œil, de laquelle émane tout les systèmes qui la composent. La teneur de son activité, les radiations émotionnelles, sa combativité, l'acuité de sa pensée, la pertinence des mots dans son expression, leur coloration, en considérant chaque individu à travers sa galaxie personnelle Akira met la sienne en mouvement. Les apparences peuvent être trompeuses, c'est bien pour cette raison qu'il investi largement son univers, ne présupposant de rien et préférant surestimer que sous-estimer chaque alter égo. Ceci lui permet d'être plus réceptif. Partant du postulat que ce n'est pas parce qu'une chose est invisible qu'elle n'existe pas, en stimulant toute la complexité de son univers à un instant ceci peut faire raisonner celle de la galaxie à proximité.

     

    - " Qu'est-ce qui vous a orientée vers cette discipline, vous projetez d'enseigner ? "

     

    François orienta naturellement la discussion vers son domaine de prédilection. Syllia s'empressa de le relever, imaginant rapidement vers quel schéma relationnel ce chemin les emmènerai, ce qui l'ennuyait à l'avance.

     

    - " La curiosité pour divers horizons de pensées et un manque d'intérêt sincère et profond pour les autres disciplines ou sciences humaines. "

     

    Syllia aperçue du coin de l'œil une légère réaction d'Akira. Tournant légèrement la tête vers lui, elle replaça ses cheveux derrière son oreille dans un mouvement rapide et constata avec surprise qu'Akira la regardait. Surprise tenant au fait qu'elle ne l'imaginait pas faire attention à elle, lui qui semblait collé à la vitre depuis le départ du train comme un rémora sur le flanc d'un requin. Akira s'amusait de sa réponse et affichait un sourire complice, comprenant la but de la manœuvre et l'écueil ainsi évité. Syllia lui rendit son sourire, ce qu'Hakim et François relevèrent comme la marque les inscrivant au banc des gros lourds de service. François comprit que sa profession n'étant un secret pour personne dans ce compartiment, la réponse de la demoiselle et l'échange de sourires des jeunes gens le rendait coupable de condescendance passive, faisant maladroitement flotter l'étendard de son statut à l'horizon d'une question n'ayant pourtant rien d'offensant.Tout au plus faisait-elle le jeu d'idées reçues sur la viabilité de cette filière. Il en déduit alors ce que cela pouvait avoir de détestable pour un étudiant suivant ce cursus, occultant involontairement la possibilité d'un intérêt intrinsèque pour la pensée. Ceci fini également par l'amuser : il n'avait rien apprit des objectifs poursuivis mais la réponse de la demoiselle en disait long sur son affliction pour l'institutionnalisation de la connaissance et suggérait un sens critique bien trempé.

     

    La réaction d'Hakim fût toute autre, le spectacle de cette entente silencieuse avait pour lui quelque chose de désagréable et entreprit d'en savoir plus sur le jeune homme.

  2. A force de manger du Dragon Ball Z pendant leur adolescence, certains Otakus finissent par devenir de vrais guerriers IRL :lol:

     

    Un otaku peut endurer beaucoup de choses, mais il ne supporte pas qu'on touche à son univers.

     

     

    Un otaku ça va, deux ça fait un clan.

     

     

     

  3. À mesure que le soleil disparaissait derrière la ligne d'horizon en diffusant une lumière chaude, étirant les ombres de toutes choses, l'ambiance du compartiment devenait plus confortable.

     

    Hakim considéra avec le plus grand sérieux la remarque de son voisin, d'ailleurs c'était également le cas pour Syllia qui observait ces deux hommes avec un intérêt croissant. À n'en point douté le silence créé par Hakim, plongé dans ce que Syllia supposa être un examen de conscience, forçait le respect. Pendant que son compère était occupé à brasser les aboutissants de ses dernières paroles le regard tourné vers l'intérieur, François pût observer combien Syllia était attentive à la réaction d'Hakim. Considérant le contenu de l'échange face auquel elle pouvait tout au mieux entendre sans écouter, cette réaction combinée à un charme gothique assez magnétisant, souligné par des yeux noirs aussi fins que profonds en raison du sérieux de l'instant, finirent de piquer sa curiosité. Jusqu'à présent il était bien trop absorbé par la discussion pour la regarder autrement que comme une passagère à l'apparence studieuse dont la lassitude évidente faisait penser à une sorte de contenance difficile, celle d'un esprit aiguisé n'ayant à l'instant aucun sujet à égrainer ni de fourreau suffisamment enveloppant pour s'y reposer.

     

    Syllia remarqua que François était tourné vers elle et en voyant son expression teintée d'intérêt et marquée d'un léger sourire éclairant partiellement la partie droite de son visage, elle ne pût s'empêcher de laisser transparaître une légère confusion propre aux instants où le silence et l'austérité ne suffisent plus à garantir la quiétude en notre fort intérieur. Le remarquant, François qui n'avait pas l'intention de la mettre mal à l'aise par un glissement dans un rapport de séduction marqué par un regard insistant voir inquisiteur se ressaisit. Effaçant ce sourire et adoptant l'attitude la plus digne dont il était capable, il engagea la conversation avec pour principal objectif de dissiper la gêne apparente de Syllia, conscient d'en être la cause.

     

    - " Excusez nous, quand nous commençons ce genre de discussion on fini toujours par s'enflammer à un moment ou l'autre. "

     

    Considérant le ton et le changement d'attitude de François, Syllia lui sourit :

     

    - " C'est gentil de vous en soucier mais rassurez-vous, vos échanges ont presque fini par me distraire. "

     

    Hakim leva les yeux et s'adressa à elle avec une pointe de confusion, tout en ranimant une bonhommie qui semblait être sa marque de fabrique.

     

    - " En plus je n'arrête pas de vous heurter depuis le début du voyage, désolé. Vous êtes étudiante, de retour ou en partance pour vos terres natales ? "

     

    - " Précisément, étudiante en philosophie. Pour ce qui est de mon point de départ ou d'arrivée, il n'a rien à voir avec le pays qui m'a vu naître. "

     

    En s'allumant les lumières du compartiment hottèrent toute possibilité à Akira de voyager par la pensée avec toute l'ampleur d'esprit permise par le support de grands espaces et plus particulièrement par la flottaison sans repères sur la ligne de fuite de l'horizon. La vitre n'était plus à présent qu'un vaste miroir laissant seulement transparaître le défilement régulier et rapide des formes ombragées composant les paysages traversés, dans une lumière orangée déclinante. Il considéra néanmoins un instant la chose, ses yeux se plissèrent, accompagnant un mouvement ressemblant à une forme de recueillement joyeux faisant naître un large et paisible sourire. Le reflet de la scène se jouant dans le compartiment avait pour lui quelque chose de réjouissant, d'intéressant. En pensant à l'attitude et aux répliques de sa voisine Akira se focalisa sur son reflet, accroché par le cursus revendiqué, le ton et la formulation de sa dernière phrase.

     

     

  4. Bienvenue Mina,

     

    je crois que pour me mettre à niveau et considérer toutes les références que tu cites, ça me prendrai énormément de temps.

     

    En trois mots tu me scies. Faut dire que c'est pas exactement mon univers. Pour les anime cités je crois qu'un jour ou l'autre j'irai voir de plus pré Mirai Nikki et Pandora hearts, ça fait un moment que ces titres sont cités par nombre d'otakus.

     

    A bientôt

  5. En espérant que cela te plaise Keibro. Tu vois deux enseignants toi, pourquoi pas, il paraît que la sagesse implique de pouvoir apprendre de tous.

     

    Son camarade croyait le mettre au pied du mur en tapant dans la célèbre vanité de ceux qui uvrent pour l'intérêt commun, mais se retrouva finalement pantois devant le large sourire affiché. L'idéologue vindicatif, qui lui revenait en mémoire quand il pensait à leurs échanges d'étudiants, n'était manifestement plus aussi présent. Du moins, son angle d'approche avait évolué, la pratique sans doute, mais pas seulement. Il sentait pointer les prémices d'une théorisation impliquant un engagement qui n'était pas familier pour son compère.

     

    Les derniers mots de l'enseignant arrachèrent pour la première fois le regard d'Akira à l'horizon pour le poser sur lui, ce que tous remarquèrent avec la surprise que l'on éprouve lorsqu'un meuble se met à bouger. Hakim, le médecin, embraya :

     

    -" Tu me rassures là, à un moment j'ai crû que tu allais me ressortir les fadaises que tu radotais à l'époque. Pour la nostalgie c'est sympa, mais cela m'a également inquiété un instant que de t'imaginer stagner dans un tel marais d'idées mal dégrossies."

     

    -" Et bien merci, ceci me montre par contre à quel point tu as toujours autant de facilités à arrêter ton idée ou à saisir le pire, en grand inquiet que tu es resté. Peut-être parce que cela t'a replonger dans la même position qu'à l'époque, où tu as naturellement réagi avec la même vigueur défensive quand cela touche à une idéologie nous plaçant en position de vider l'océan à la petite cuillère."

     

    Son camarade ne pût retenir un rire enjoué, constatant que François avait fait un bout de chemin, tout en étant dans le même temps gêné, sa réaction rapide et irréfléchie le ramenait bien en arrière. La gêne ne dura pas plus longtemps que cela, François gardait juste un air amusé, constatant que le caractère d'Hakim était toujours aussi vif.

     

    -" Mais dis moi, tu disais réfléchir à la façon de mettre en action cet idéal dans ta classe, tes élèves ont également le statut de cobaye ? "

     

    Akira et Syllia fixèrent de concert Hakim, piqués par le propos et curieux d'identifier le fond du projet évoqué.

     

    -" Comme tu y vas, pour ce qui est des idées les conséquences sont tout de même moindres que celles occasionnées par des professionnels uniquement astreints à un devoir de moyens, sans que l'amplitude ni la pertinence de ces derniers ne soient contrôlées. "

     

    -" Aïe. "

     

    -" Oui je sais, ça fait mal au mental d'imaginer devoir mettre sa vie entre les mains d'irresponsables potentiels, mais ce n'est peut-être pas exactement la raison de cette sensation désagréable à la base de ton crâne."

     

    -" Haaaa, ça te plaît de tirer sur les médecins, hein ? "

     

    -" Faut bien, à trop les protéger par égard pour leur haut degré d'utilité au sein de la société, certains finissent par régresser, voir à oublier certains fondamentaux. "

     

     

     

     

  6. L'otaku stimule continuellement sa vie psychique. A force de lire et de voir des histoires de personnages interrogeant plus ou moins largement sa psyché, l'otaku perpétue la tradition du "connais-toi toi-même" de Socrate, chemin divin vers la réflexion existentielle.

  7. J'aime l'idée, désolé le truc qui m'ai venu en premier n'est pas en rapport avec un manga...

     

     

     

    Auchan V.S. Mamoru Oshii : Avalon, la vie, la vraie.

     

    Auchan V.S. Dragon Ball Z : vivons mieux. Vivons à la Kame House.

     

    Wilson V.S. Berserk : nothing beats like a Guts.

     

    Raymond Barre V.S. Akira : du sérieux, du solide, du Kaneda.

     

    François Bayrou V.S. Dragon Ball Z : un Gogeta uni, rien ne lui résiste.

     

    Mars V.S. Dragon Ball Z : un senzu et ça repart !

     

    Alfa Roméo V.S. Lucky Star : sans Konata nous ne serions que des machines.

  8. 'jour Nelsius,

     

    "Je me suis inscrit sur ce site pour partager ma passion avec des gens qui me comprenne car ont ne va pas se mentir hein, c'est assez difficile de trouver des amis Otaku dans la vie de tous les jours."

     

    Faut dire qu'une enfance totalement baignée dans les productions japonaises ça vous forme une manière de penser, d'aimer, de combattre au quotidien, une culture qui nous a inspiré et qui continuera sûrement à le faire.

     

    Sois le bienvenu, A+

  9. Hey, toutes les remarques sont les bienvenues, l'idée est que cela plaise au plus grand nombre, quitte à influer sur la tournure (dans une certaine mesure...) du récit, c'est du live, pas un truc pré-écrit à l'avance. :__yes__:

     

    aodpul36633.jpeg Une vie pour ton empire

     

     

    Posant comme à l'accoutumé son front contre la vitre, le regard arrimé à la ligne d'horizon, Akira ne prête plus attention au décor et encore moins aux discussions des personnes voyageant avec lui dans ce compartiment. Sur les huit places disponibles, quatre sont occupées. À un siège de lui une fille, étudiante de prime abord, parcourt les pages d'un magazine de psychologie avec une expression laissant deviner une lecture presque forcée.

     

    Les jambes croisées, le magazine posé, sa main délicate tourne les pages avec une précision et une légèreté illustrant parfaitement son intérêt pour les sujets ainsi que sa lassitude quant à la façon dont ils sont traités. À la fois élégante et absente à tous ceux qui pourraient vouloir dialoguer par intérêt pour cette qualité, son regard quitte sa lecture uniquement pour contempler la succession de paysages, la vitesse du train ne lui offrant néanmoins pas le loisir de les apprécier comme elle le souhaiterai, la ramenant inexorablement au papier glacé qu'elle feuillète. Lors de certains de ces allés-retour, elle s'arrête sur Akira pour toucher furtivement l'émotion que son regard fixe laisse transparaître. Total abandon à la situation ou profonde absorption dans des pensées aussi fascinantes qu'éprouvantes, elle ne s'attarde jamais probablement car elle n'aimerai pas qu'il s'en aperçoive et la regarde à son tour. Lorsqu'elle posa les yeux sur lui la première fois ses pensées tournèrent autour de ses origines asiatiques, pour en arriver à la conclusion d'un métissage avec l'occident. Vietnam, Chine, Japon, rien ne lui permît de dégager une idée arrêtée. Seule l'expression de son regard attaché à un point visible uniquement en étant assis à sa place lui fournissait quelques occasions de laisser ses pensées s'éloigner des contrés déshumanisées que les pages de son magazine lui offraient.

     

    Son voisin d'en face s'excusa une nouvelle fois de la heurter du pied, ne trouvant manifestement pas la position alliant confort et respect de l'espace de chacun. L'animation qui caractérisait son échange avec son voisin et probable ami n'arrangeait rien, oubliant qu'il y a quelqu'un face à lui à chacun de ses piques d'engagement dans la discussion. Les deux hommes se connaissent, à l'évidence, leur échange semblant guidé par la franchise et le soucis de ne pas imposer bêtement son point de vu. À les entendre Syllia identifia rapidement leur profession. Celui de gauche est enseignant dans un lycée de Z.E.P. quant à son voisin, qui ne sait pas quoi faire de ses jambes, il ne fait aucun doute qu'il s'agît d'un médecin, bien que sa spécialité ne lui apparaisse pas clairement pour l'instant. Elle a beau essayé de les ignorer aussi fort que leur volume sonore l'exaspère, son magazine ne l'aide en rien dans cette entreprise et elle finie par prêter de plus en plus attention au contenu de la discussion.

     

    - " Tu oublies que la mission principale de l'éducation nationale est de fournir les mêmes chances à chacun, l'objectif tacite étant de ne pas faire de l'injustice de la naissance le juge de paix de la trajectoire de chaque citoyen. "

     

    - " Justement ! Travaillant dans ce lycée je ne sais pas comment tu peux encore sortir ce genre de niaiserie idéaliste ! Je ne sais plus si tu fermes les yeux pour que cet idéal survive ou si tu t'y accroches pour pouvoir continuer à camper cette ridicule posture de chevalier. Non mais franchement, tu crois sérieusement que cette idée peut-être appliquée ? C'est toi qui oublis bien trop vite comment est structurée cette institution, qui sont les réels détenteurs de l'idéologie et par dessus tout, qui a le pouvoir de la mettre ou non en action ! "

     

    - " Ho ça va, tu ne m'apprends rien et tu le sais bien, gros malin. Tu n'as pas changé sur ce point, toujours aussi facilement enclin à porter la discussion sur le plan systémique, sur la politique. Pas que ce soit sans intérêt, mais en ce moment ce qui en a pour moi c'est la façon dont je peux faire vivre cette idée dans ma classe et mes manques, que je ne peux que constater. C'est bien mon honnêteté, ne t'en déplaise, qui me pousse à cogiter sur le sujet. Je sais parfaitement que cette niaiserie, comme tu aimes tant l'appeler, ne me fait pas briller. Pour la self-estime de chevalier, tu peux repasser. "

     

  10. Brise argentée

     

     

    Chaque Yukata de soie est un enchantement sur toi.

     

    Le temps d'un instant la faible lueur de la bougie

     

    A suffi à éclairer ton regard quand il s'est détourné.

     

    Je sais que tu peux lire en moi,

     

    Tu le vois, dans l'abysse le dragon a son nid.

     

    Joie, j'ai vu la couleur de l'acier par ton esprit forgé.

     

     

     

    La flamme se met à danser,

     

    Une brise s'est faufilée entre les parois de papier,

     

    Comme une main frôlant subtilement ton cou dénudé,

     

    Faisant retomber une mèche à peine attachée.

     

     

     

    La brise redouble, la flamme vacille sous un air chaud,

     

    Soulevant ton cœur dans un courant ascendant,

     

    Torrent d'étincelles remontant la courbe de ton dos,

     

    L'obscurité ainsi née finissant de libérer ton sang.

     

     

     

    Le cœur et l'esprit à leur apogée,

     

    Révélés à la lueur de cette Lune de Mai,

     

    Soulignent un regard prenant des reflets argentés.

     

    Tout est parfait, l'acier devient diamant coloré,

     

    Lumière et clef appelant le dragon blanc

     

    S'enroulant à présent autour de ce diamant,

     

    Enlaçant, soulevant ce rubis flamboyant.

     

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  11. Bienvenu Klurikon,

     

    au regard des titres cités j'aurai tendance à promouvoir le manga Sun Ken Rock, qui aborde la question de l'état et du crime sous un angle assez fun avec des passages sexy rarement fins mais avec la personnalité du personnage principal, ça passe.

     

    Bonne continuation, bye.

  12. Bienvenue little_chick,

     

     

    l'entrainement au combat sur les garçons c'est cool, pour eux c'est l'occasion de tester leur sang froid.

     

     

    Quand je te lis cela éveille une certaine compassion pour Sniper, pour un Otaku une petite amie assistante sociale ça peut-être l'enfer...

     

     

    Face à la dictature sociale le silence est d'or...

     

     

     

    Passes de bons moments sur ce forum, A+

     

     

     

    Kanon, anciennement Blackspoon.

  13. Bienvenue Krgbm,

     

    j'espère que tu passera de bons moments sur ce forum. Faut avouer que j'ai également tendance à voir rouge assez vite dans certaines situations...

     

    Le truc pour moi c'est d'arriver à rester productif dans ces moments...

     

    Je connais également Death note & DBZ, le premier m'a captivé, le second m'a accompagné toute mon adolescence.

     

    Pour la J-pop quel groupe a ton attention en ce moment ?

  14. Two worlds

     

     

    Ouvrant le voile qui me sépare des étoiles

     

    Pour accorder mon sextant avec l'horizon,

     

    Il n'est pas aisé de résister à leur attraction.

     

    Dragon des mers, superposes les toiles.

     

     

     

    A la fois en mission pour Zeus et Poséidon,

     

    Voguant sur la frontière entre ciel et mer,

     

    Les deux mondes se télescopent dans chaque mort,

     

    Où naissent et meurent toutes vies, toutes illusions.

     

     

     

    Les puissantes lames de fonds de Poséidon

     

    Qui portent depuis toujours l'embarcation,

     

    Alternance de courants tropicaux, produits des sirènes,

     

    De courants arctiques, en provenance du grand Nord,

     

    Forment le puissant tourbillon de la Reine,

     

    Dont la rotation raisonne avec la galaxie de Thor.

     

     

     

    Ces créatures aux voix enchanteresses

     

    N'ont cessé de m'accaparer,

     

    Le délicat souffle de leurs mots sucrés

     

    M'ont certes fait vibrer,

     

    Réchauffant un dos nu et usé,

     

    Y pressant leur poitrine avec délicatesse.

     

     

     

    Seules les eaux cristallines du grand Nord,

     

    Gorgées d'une vie parfaitement visible,

     

    Sont capables de les satisfaire,

     

    Les sirènes désirent, inondez leur âme aussi fort,

     

    Leur charme se dissipera, le cœur paisible,

     

    Si vous estimez que là ne réside pas votre trône de fer.

     

     

     

    Les plans de Poséidon et de Zeus diffèrent,

     

    Mais se synchronisent en deux points.

     

    Se jouer de l'appétit et du pouvoir de leur père,

     

    Zeus et son amour du genre humain

     

    Gagne encore en force avec l'appui des puissants courants,

     

    Répondant si parfaitement aux pouvoirs du trident.

     

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  15. Ultraviolet

     

     

    Chaque souvenir est une lame,

     

    Aussi acérée que ton acuité

     

    Sur les horreurs de mon marais,

     

    Une arme destinée à saigner mon âme,

     

    Vois le mal, le dragon s'envoler,

     

    le sang coule à nouveau de la plaie.

     

     

     

    Hakuryû-kai est son nom,

     

    Dragon né d'une rivière de sang,

     

    Se nourrissant des fantômes errants,

     

    De la peine, des pleurs, des peurs,

     

    Le chaos porte ses ailes, agitant le fond des cœurs,

     

    Ceux dont l'horreur et le spectre de la vengeance ornent leur blason.

     

     

     

    Réservoir inépuisable de souffrances,

     

    Le cœur humain est son gibier.

     

    Le rouge de l'amour bafoué se teinte de violet,

     

    Hakuryû-kai s'enroule autour de ce cœur,

     

    Le serrant aussi fort qu'il a peur,

     

    Plantant ses dents dans le mal et se gorgeant de son sens.

     

     

     

    Le cœur tressaute, le regard s'égard,

     

    Son dos se cambre, ses bras s'ouvrent,

     

    L'afflux de sang sature la structure,

     

    La guerre totale rend obsolètes les remparts.

     

    Une fois repu son iris vire à l'ultraviolet, le cœur s'ouvre,

     

    Laissant la flamme bleue d'Hakuryû-kai cautériser la blessure.

     

    udlpoa35dad.jpeg

  16. Sois la bienvenue,

     

    en lisant ton commentaire j'en ai profité pour regarder à quoi correspond Aquarian Age et je dois dire que la découverte du jeu de cartes qui en est à l'origine fût une bonne surprise : l'univers et les spécificités des différents clans sont assez intéressants.

     

    Pour Naruto pas de problèmes, je ne pense pas qu'ici on puisse te reprocher de passer à côté d'une prod. qui, comme le dit si bien Dago, ne fait pas vibrer tout le monde, moi y compris.

     

    A bientôt.

  17. Bienvenu,

     

    toi qui sembles sensible aux jeux combats, qui plus est à un niveau compétition, ta préférence va à quelle école : Capcom, SNK, Namco ou peut-être encore du type de Guilty Gear ? Je serai curieux de connaître tes trois jeux de prédilection.

     

    A bientôt __yes__.gif

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