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tarask le rouge

V.I.P
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  1. Utile
    tarask le rouge a reçu une réaction de Hancock dans [RP] Les chroniques de la Terra Incognita   
    [Lieu : Sur le territoire de Galbadia<br style="color: rgb(32, 60, 70); font-family: 'Lucida Grande', Tahoma, Verdana, Arial, sans-serif; line-height: 18px; background-color: rgb(216, 241, 248);">Personnages: Yoko , Alvaro, Morda, Kira, Tarask]<br style="color: rgb(32, 60, 70); font-family: 'Lucida Grande', Tahoma, Verdana, Arial, sans-serif; line-height: 18px; background-color: rgb(216, 241, 248);">
     
    Après s'être séparé en deux groupe pour l'entrainement, Tarask se retourne vers Yoko...
     
    "Alors prête pour un duel d'entrainement ?"
    "oui et je vais te faire payer se que tu a fait faire à Morda" répond elle avec une lueur de colère dans les yeux
     
    "On va voir ça... allez go !"
    Yoko plonge vers Tarask et recouvre son sabre de flamme. Tarask ne semble pas vraiment prêt pour un combat au corps à corps, elle abat son épée qui rencontre la dague de tarask et.... la traverse comme Tarask d'ailleurs... surprise Yoko, se rend compte que ce qu'elle croit être Tarask n'est qu'une illusion... Tarask apparait juste à coté d'elle, en train d'abattre l'une de ses dagues sur la pauvre Yoko
     
    Mais celle ci riposte en s'entourant de flamme qui vont brûler.... ce qui était en fait une autre image de Tarask ?!
     
    Yoko regarde autour d'elle mais ne voit pas son opposant...
     
    Une voix s'élève juste derrière le dos de Yoko : "Première leçon : ne jamais croire tes yeux face à un porteur du glyphe Luna ou psychose" elle se retourne et répand la flamme de son sabre sur toute une partie du "terrain d'entrainement" elle voit un trou se former dans les flammes, s'élance, abat son épée et :
     
    "clang"
    "Cette fois-ci c'est bien moi" dit Tarask en supprimant son sort d'invisibilité. "Pas trop mal tu as fait preuve d'une bonne idée pour me détecter... mais j'aurais été toi...." Tarask voit qu'elle se prépare encore à invoquer des flammes...il fait apparaître un boule de lumière juste devant les yeux de yoko qu'il transforme en un gros flash,
     
    "AAaaaaaaaaaaaaaargh" >.<
     
    profitant de la diversion, Tarask désarme Yoko, et lui plaque une dague sur la gorge : "donc comme je disais, j'aurais été à ta place je ne me serai pas rapproché d'un ennemis peut être meilleur que moi au corps à corps mais j'aurais envoyé une boule de feu à l'endroit où tu m'a détecté"
     
    Tarask enlève la menace de la dague et va se repositionner à une distance respectable de Yoko.
     
    "Bon c'est pas mal pour un premier coup, reprend ton épée c'est partie pour le deuxième ro..."
    Tarask s'arrête et regarde le duel d'Alvaro et Morda... Alvaro vient d'attaquer Morda par surprise pendant une explication de sa part...
     
    "pas bon ça, pas bon du tout" grommelle Tarask
    "Quoi ?" répond Yoko, "Je vois pas encore très bien elle est plutôt efficace ta boule en fait pour un truc qui devrait pas faire de dommage physique... voila c'est mieux... tiens c'est quoi ça ? deux Mordas ? on peut faire ça avec le glyphe Celcius ?"
     
    "...Fichtre de foutre, Kira a pris la main !!!" 0.o ... Tarask se lance vers Morda.
     
    il disparait pendant sa course et invoque trois boules lumineuses, les mêmes que celle que Yoko a rencontré et il les matérialise autour du spectre de Kira. Au moment ou les boules s'illuminent en un grand flash Tarask se met derrière Kira et l'assomme.
     
    pendant que la lumière revient, Yoko se rapproche d'Alvaro.
     
    Tarask : "Alvaro, tu n'aurais pas du essayer de tuer Morda"
     
    Yoko : "Quoi ? Pourquoi il aurait fait ça ? c'était un entrainement pas un duel à mort"
     
    Alvaro failli répliquer que Yoko avait bien essayer de brûler Tarask au troisième degré mais avant qu'il n'est eu le temps d'ouvrir la bouche Tarask pris la parole
     
    "Peu importe, l'essentiel c'est que vous venez de rencontrer le cinquième membre du groupe."
    Devant les regards interloqué de ses deux compagnons, Tarask pousse un soupir, envoie un tout petit coup de pied au corps de Morda
     
    "Aller Kira je sais que j'ai pas frappé assez fort pour que tu reste dans le coma très longtemps présente toi"
  2. Utile
    tarask le rouge a reçu une réaction de Turga dans [Commentaires et discussions] Les chroniques de la Terra Incognita   
    Bya je te conseil de faire une demande pour faire une section RP avec un coin présentation et d'autres (pour les villes ou auberges/ les pays et autres)
     
    sinon ça va devenir très vite n'importe quoi ^^
     
    et j'ai reconnu Celcius *-* les tales of ce sont exprimé a travers toi bya *-*
     
    Tarask
    Age : 25 ans
    Role : Homme de main.
    Assassinat, escorte, vol d'objet ou simplement gardien, Tarask peut faire tout et n'importe quoi, il n'est pas maitre dans tout les domaines mais possède des nombreuses connaissances et il sera ravi de les utilisez pour vous.... si vous avez de quoi payer ou lui donnez une information précieuse.
     
    Histoire :
    An 1506, parmi les monde magiques (quoi j'ai pas le droits que mon tarask connaisse déjà la magie avant d'arrivé ? )
    Orphelins dès le jeune âge, Tarask grandit jusqu'a l'âge de 8 ans dans la rue en volant de la nourriture et d'autre objet qu'il vendait. Lorsqu'une caravane arriva en ville, il alla voir le cirque et décida de partir avec la troupe. Devenu un des artistes, il vécut d'agréable moments malgrès les spectacles et des.... actes moins légaux puisque la troupe pouvait être embauchée pour des travaux "délicats"... Il y appris les fondamentaux de la magie lors de sa 'formation' auprès d'une des voyantes et magicienne de la troupe...
     
    Après un certain temps, les membres de la troupe eurent des avis de recherche sur leurs têtes jusqu'au jour ou la troupe fut attaqué par les chasseurs de primes. Tarask fut le seul survivant grace à la magie qu'il avait appris... Il voyagea quelque temps apprenant de si de là des techniques et des connaissances forts utiles auprès de ces camarades voyageurs et des habitants des environs... le noms des plantes, leurs utilités n'eut bientôt plus de secret pour lui puisque son ancienne 'formation' lui avait donné des notions sur les poisons et contre-poison.
     
    A 18 ans, Tarask fut engager comme homme de main par un riche noble qui voulait un "homme de confiance". Toujours entre la différence entre son travail de jour et celui de nuit, Tarask appris à lire et à écrire (la troupe lui ayant déjà appris à compter..). A 20 ans, Il commença à lire les livre de la bibliothèque de son maitre pendant ses quelques heures perdues...
     
    Il y a un an, son bienfaiteur à mystérieusement disparu... commandé par la femme de celui-ci de retrouver son mari il a cherché dans de nombreux endroits sans trouver aucune traces et à fini par tombé dans un passage vers Terra Incognita (ça fait une peu "bienvenue en terres inconnues")...
     
    Description :
     
    Tarask porte habituellement une plastron en cuir léger de couleur vert sombre surmonté d'un cape noir avec capuchon qui lui permet de cacher son visage ou se cacher tout court si besoin. Préfèrant la rapidité à la force, il possède une petite arbalète et deux dagues. Il a aussi quelques armes de jet et une petite sacoche accrochés à un ceinturon en cuir vert et noir avec une boucle en argent. La sachoche ne pèse que quelque centaines de grammes mais contient une panoplie de poison et d'antidote simple. Un autre ceinturon de même facture lui sert à ranger ses dagues. Enfin, il a un pantalon noir et tissu, souple et leger pour ne pas le ralentir dans ses mouvements et des bottes en cuir souple... Dans le dos de son plastron on peut voir, lorsque Tarask n'a pas sa cape, le dessin d'un dragon d'argent, l'animal emblème de la maison de son ancien maitre...
     
     
    Glyphe : Aussi étrange que cela puisse paraitre, Tarask a reçu le Glyphe Luna qui devrai être pourtant son antithèse...
     
    Pourvoirs : En changeant de monde les connaissances de Tarask pour la magie sont presque toutes devenues obsolètes à part 3 sorts qu'il peut toujours lancer
    "sutnja" lui permet d'etouffer tout les bruits que la cible produits... il ne peut malheureusement plus que l'utiliser sur lui même
    "sakriti" lui permet de se camoufler parmi les ombres avec sutnja cela le rend pratiquement indétectable la nuit
    "otkriti" est un sort de détection justement. l'un des rares qui permettent de trouver les gens soumis au Sakriti... il agit dans un rayon de 40m où toutes personnes présents dans ce périmètre est signalé. Si maintenue assez longtemps il permet aussi d'espionner des gens que l'on ne peut pas voir théoriquement.
     
    à part ça la magie lié au glyphe ne lui sert que très peu... il peut créer un boule de lumière et, si il fait jour, peut créer un rayon de lumière permettant de bruler les spectres et autres monstre né de la magie ou venant de l'au delà... ça n'a par contre aucun effet sur les créature vivantes à part les aveugler.
  3. Utile
    tarask le rouge a reçu une réaction de S@dMad dans Les pubs qui vous ont bercé   
    AH les PUBs \o/ tellement de souvenir....
     
    La pub qui m'a marqué le plus... je pense que c'est celle la :P
     


     
     
    bon sinon.... il y a ça :mef:
     


  4. Utile
    tarask le rouge a reçu une réaction de Turga dans [Commentaires et discussions] Les chroniques de la Terra Incognita   
    alors j'allais commencer a utiliser notre cher carte pour trouver une idée sur le voyage et j'ai remarqué quelques petite chose qui me dérange :/ .. d'abord aucune ville n'est a proximité de point d'eau :/
     
    on a deux cours d'eaux mais pas de ville sur leurs bords. étrange quand on sait que l'eau plus que la nourriture est un besoin vital et que de tout temps les villes se sont formé près d'un point d'eau....
     
    deuxième remarque dans la configuration actuel nous n'avons pas de ville portuaire :/ c'est dommage car ça enlève toute possibilité d'un ajout de continent dans le futur ou simplement de réalisme car une ville portuaire a une deuxième ressource.. la pêche o/
     
    il faut rajouté de l'eau pour les grande ville (Nashim étant vue comme pétite on peut imaginer un puit mais pour d'autre un lac dans les montagnes une oasis dans le desert ou une riviere formant un lac avec dessus une ville immense et fortifié (la capital) serait peut être utile ;p
  5. Utile
    tarask le rouge a reçu une réaction de Hancock dans les dessous de vos dates de naissance   
    j'en ai une pas mal aussi -__-"
     
    "J'ai couché avec George Bush pour me faire des amis"...
  6. Utile
    tarask le rouge a réagi à Sequentia dans Terraria   
    tmtc la soirée
     
    C'etait trop fun :3
    faut absolument remettre ca.
  7. Utile
    tarask le rouge a réagi à Ach' dans Japon vs Corée , nouvelle guerre qui commence ?   
    ça ressemble plus à un mouvement extrémiste ce que tu nous montres qu'autre chose, il y en a dans chaque pays de toute façon, j'ai vu un reportage sur les nigérians qui ont trouvé une ville ou ils font plus ou moins fortune en chine mais bien sûr comme partout quand une communauté essaye de s'intégrer pour essayer de vivre dignement ou tout simplement de changé de vie ça fait des jaloux alors on se rappelle de ce qu'il s'est passé il y a 50 100 200 ans pour montrer qu'on ne les aime pas ou pour justifier la jalousie maladive qui ronge pas mal de monde aujourd'hui.
     
    Enfin bref je suis curieux de connaître plus si tu as des liens d'articles sérieux et non pas de torchons rédigé par un gars qui connait rien au sujet mais qui a de belles idées révolutionnaires qu'on lui a gentiment inculqué pour combattre le grand méchant pas beau capitaliste je suis preneur :)
  8. Utile
    tarask le rouge a reçu une réaction de Turga dans Les génériques de votre enfance   
    aller un peu tard ce soir mais j'avais une soirée bar entre amis de promo :P....
     
    Donc c'est l'heure de votre minute retro avec moi :d. J'ai longuement hésité mais j'ai décidé d'en finir avec les générique des séries dysney venant de film (oui car il y en a plus :P)
     
    Ce soir voyez les séries créé à partir des 101 Dalmatiens, de Toy Story, du roi lion et de Lilo & Stich.... et malheureusement ce n'est pas QUE de la qualité >.>
     
     

    http://www.youtube.com/watch?v=iyNCMjbKUo4
     
     


     
     


     
     


  9. Utile
    tarask le rouge a reçu une réaction de Turga dans Les génériques de votre enfance   
    bonsoir otaku de tout poils :d, après un période de pause, je vais faire un theme ce soir :d
     
    Dago a eu la gentillesse de me dire 99 et le 99eme générique de ma liste (liste mis a jour ne contenant aucun des génériques déja mis) c'est ..................................................................................................
    Jason et les héros de l'olympe >.> et je dis fuuuu pour les opening fr de ce genre de serie j'arrive même pas a trouve la version anglaise.... bon voila le début d'un épisode anglais avec le générique
     

    http://www.youtube.com/watch?v=dDVTHjTrz2Y
     
    bon donc du coup le seul theme que j'ai trouver sympa avec ce DA c'est 'les dieux et nous" donc je parlerais des dessins animés ou la mythologie a une grande importance :d
     
    bon en couple avec Jason on a la petite olympe :P
     

    http://www.youtube.com/watch?v=AhX57UaIPsA
     
     
    bon il n'y a pas eu que les dieux de la grecque (ou romain suivant les noms) mais aussi les dieux égyptiens (toujours pas d'intro fr :/)
     

    http://www.youtube.com/watch?v=JRCR7NqKdYk
     
     
    .... il y a quoi aussi ?... a oui ça :d
     


     
    et quoi d'autre.... ben en fait avec hercule et pygmalion qui ont été mis c'est tout :/ ... bon je vous remet pygmalion :d
     
     


  10. Utile
    tarask le rouge a reçu une réaction de Hancock dans [Commentaires et discussions] Les chroniques de la Terra Incognita   
    :happywalk:
     
     
    Qui remportera le coeur de Yoko ?
    Choix Possibles :
    1/ Alvaro le belle assassin ténébreux
    2/ Mordakan le jeune ingénu
    3/ Kira le psychopathe
    4/ Obiwan Kenobi
    5/ une barre de chocolat
    6/ un familier dragon rouge
    7/ Tarask le mentor
  11. Utile
    tarask le rouge a réagi à Noodle dans [terminé]Panty & Stocking with Garterbelt   
    - Titre original: Panty & Stocking with Garterbelt
     
    - Année de parution : 2010
     
    - Genre(s): Action, Comédie
     
    - Nombre d'épisodes : 13+1 oav
     
    - Auteur : Hiroyuki Imaishi
     
    - Statut : non licencié
     
    - Site officiel : http://www.gainax.co.jp/
     
     
    Tout ce passe à Daten City, ville fréquemment attaquée par des fantômes nés de l'obscurité du cœur de ces habitants. Deux anges, Panty est sa petite sœur Stocking, toutes deux renvoyées du paradis à cause de leurs comportements sont chargés d'éliminer ces créatures enfin de rassembler assez d'Heaven Coins pour pouvoir y retourner. Elles seront aidées par le pasteur Gaterbelt qui supervisera leurs différentes missions. Le pasteur a du souci à se faire les deux sœurs étant loin d'être irréprochables …
     
    PERSONNAGES :
     

     
    Panty Anarchy : Panty est l'ainée des sœurs Anarchy .Elle est une nymphomane qui passera plus de temps à augmenter le nombre de ses conquêtes qu'à accomplir sa mission. Provocatrice elle s'attirera de nombreux ennuies .Panty ce bas à l'aide d'un pistolet qu'elle obtient à partir de sa petite culotte.
     
     

     
    Stocking Anarchy : Stocking est la petite sœur de Panty. Contrairement à sa sœur elle est beaucoup moins portée sur le sexe et est beaucoup plus sérieuse dans son travail. Elle est accro aux sucreries, ce qui la pousse à en manger constamment, ne grossissant pas en temps normal .Elle utilise ses bas, qu'elle transforme en katana pour se battre.
     

    Garterbelt : Il est le pasteur afro qui supervise les deux sœurs. Il gère aussi leurs économies ce qui s'avère compliqué vu la nature dépensière des deux anges. Il a de légère tendance pédophile et sado maso.
     

    Chuck : la bestiole du duo angélique. La pauvre bête sert juste de souffre-douleur au deux anges qui passe constamment leurs nerfs dessus.
     

    Brief : Appelé Geek Boy par les deux anges, Brief est un lycéen tout à fait banal passionné de surnaturel. Il est follement amoureux de Panty et sera souvent la voix de la raison du groupe, même si les sœurs l'ignorent complètement.
     
     
    .CRITIQUE
     
    SCENARIO : [/color]
     
    Si vous recherchez un anime avec un scénario développé, complexe ……passez votre chemin, cet anime n'en contient tout simplement pas (à part les 2 derniers épisodes qui sont un minimum scénarisés) .Chaque épisodes à quelque exception près, sont découpés en 2 histoires de 11 min chacune sans aucun lien avec les autres. Elles sont bourrées de référence à différents films, animes quand ce n'est pas carrément une parodie. Car oui cet anime est avant tout une comédie déjanté, vulgaire, à l'humour trash, scatophile, porté souvent sur le sexe. On pourrait dire que cet anime est un peu le résultat d'un mélange entre les Super Nanas et South Park .Si vous adhérez a ce genre d'humour, vous passerez un très bon moment.
     
     
     
    GRAPHISME:
     
    Cet anime a une vrai identité visuelle. Le character-design ressemble beaucoup à une production cartoon network, ce qui n'est pas du tout courant dans l'animation japonaise .les réalisateurs ont eu la très bonne idée de changer les graphismes de temps à autres .Par exemple lors des transformations des deux héroïnes, l'anime reprendra un design plus japonais, ou alors lors de l'élimination de l'ennemi, celui-ci explosera, filmer en live comme dans les bon vieux sentai. Les onomatopées apparaissent toutes à l'écran comme dans une bande dessinée, ce qui ajoute une touche de fun à l'ensemble .L'animation n'est pas laissé de côtés, étant elle aussi de qualités. Bref comme pour l'humour, les graphismes sont vraiment différents de ce que l'on a l'habitude de voir.


    MUSIQUE :
     
    La bande son de l'anime est vraiment très bonnes .Les musiques sont pour la plupart portées vers l'électro/techno, et s'accorde bien avec les situations .Encore une fois, Panty & Stocking with Garterbelt se démarque ici, en proposant des musiques que l'on a pas forcement l'habitude d'entendre dans d'autres animes .L'opening et l'ending par contre est plus conventionnel, même si ils restent tous deux de qualités.
     
     
     
     
    DOUBLAGE :
     
    Le doublage de l'animé est bon, les voix correspondent bien aux personnages, rien à redire la dessus.
     

    BILAN :
     
    Panty & Stocking with Garterbelt fait partie des animes que l'on ne peut pas aimer a moitié : soit on accroche ou alors pas du tout.Pour ma part il fait partie de mes coup de cœurs, il se démarque de tous les autres par son humour bien gras, des graphismes à part et une bande son de malade .Bref un très bon anime a regarder pour se détendre et rigoler un bon coup.
  12. Utile
    tarask le rouge a réagi à Zorba dans Les anniversaires   
    Dîtes-moi les deux lapins, vous comptez vous reproduire ?
     
    Sinon, bienvenue à tous en l'an 23 du calendrier Sadique.
  13. Utile
    tarask le rouge a réagi à Mordakan dans [RP] Les chroniques de la Terra Incognita   
    [Lieu : Sur le territoire de Galbadia
    Personnages: Yoko , Alvaro, Morda, Kira, Tarask]

     
     
    Le petit groupe marche depuis 1 journée sur le territoire de Galbadia. Yoko et Alvaro avait rejoint Morda et Tarask le soir passé, et déjà ils se sentent moins étrangers entre eux, peut-être dû au combat qu'ils avaient tous éprouvés ensemble. L'esprit de Morda est tout chamboulé depuis le matin: d'un côté, il y a Morda qui, timide envers Yoko, essaie de l'éviter et Kira qui, attiré par ses jolies courbes, essaie de s'approcher. Mais bien sûr, Kira ne peut même pas envisager de l'approcher avec Alvaro qui la suit partout comme un garde du corps.
     
    Le soir arrivé, Morda et Tarask mettent leur plan à exécution: ils avaient décidés, le matin du départ, d'entraîner les 2 nouveaux compagnons lorsque le soir se présenterait; Tarask s'occuperait de Yoko et Morda s'occuperait d'Alvaro. Les 2 petits groupes se séparent alors d'une distance raisonnable, tout en ayant un visuel sur l'autre équipe. Alvaro, alors qu'il se positionne à quelques mètres devant Morda, lui dit:
     
    - Je suis chanceux de tomber sur toi. Je sais que tu regardes toujours Yoko du coin de l'oeil, et c'est pour cette raison que je vais te foutre une raclée !
     
    Alvaro fonce soudainement sur Morda et invoque des tentacules tout autour de son adversaire. Morda se dépêche et crée un cocon de glace autour de lui pour se protéger. Étant le soir, Morda a de la difficulté à voir venir les attaques d'Alvaro puisque celui-ci utilise le glyphe Obscura. Il brise de son gré le cocon de glace et, alors que les glaçons sont projetés un peu partout, il les transforme en cristaux et les envoie vers l'assassin. Alvaro, qui se préparait à attaquer en voyant le cocon se briser, à tout juste le temps d'éviter les soudains projectiles se dirigeant vers lui. Les 2 hommes s'embarque alors dans un combat intense, alternant leurs attaques en utilisant leurs armes et leur glyphe. Le combat dure jusqu'à ce que les 2 décident d'arrêter leurs attaques, le temps de reprendre un peu leur souffle.
     
    Morda : Ta maîtrise du glyphe est encore obsolète, mais tes compétences à l'épée sont capable de combler cette espace. J'ai aussi remarqué que tu t'attaques souvent à moi de façon indirecte et essaie de me frapper dans mes angles morts. Je suis assez impressionné par ta façon de combat-
     
    Alvaro ne lui laisse pas le temps de finir sa phrase et lui fonce dessus. Il lui assène un coup de poing dans le ventre et alors qu'il s'apprête à le trancher avec son épée, un frisson lui parcours l'échine et il recule de quelques pas. Un sourire narquois est apparu sur le visage de Morda. Il se relève tranquillement du coup de poing et se met à parler:
     
    - T'es vraiment un connard toi ! Laisse au moins les gens finir leur phrase avant d'essayer de les tuer. Tu ne sais pas à quel point t'a déçu Morda en le frappant d'une façon aussi déloyal. Mais je dois dire que j'admire ton attitude froide, tu me fais un peu penser à moi. Mais puisque t'a vraiment essayé de me tuer ... Tu vas le regretter gamin !
     
    Morda accumule de la magie et, à l'aide d'un glyphe inconnu pour Alvaro, une petite boule de lumière sort tout droit de son torse. La petite boule ère un peu dans les aires avant de se transformer en ... Morda. Un couteau apparait alors dans la main du Morda spectral et les 2 foncent vers Alvaro. Celui-ci, complètement prit par surprise, se met en position de défense et alors qu'il s'apprête à recevoir l'attaque du Morda spectral, celui-ci disparait. Confus mais concentré, il ignore la disparition du spectre et se prépare à accueillir Morda qui se dirige vers lui à vive allure. Toutefois, Morda arrête soudainement de courir et se met à rire, se qui force Alvaro à baisser sa garde: le Morda spectral qui, avant de frapper Alvaro, s'était transformé en petite boule de lumière réapparait progressivement en arrière de celui-ci qui ne se doute pas de sa présence. Alors qu'il s'apprête à le poignarder, une lumière se projette sur le champ de bataille. Alvaro cache ses yeux et, après que la lumière ai disparu, remarque Morda inconscient sur le sol et Tarask debout à côté de lui. Yoko rejoint Alvaro et ensemble rejoignent Tarask pendant que le spectre se désintègre dû au glyphe Luna.
  14. Utile
    tarask le rouge a reçu une réaction de Turga dans Génériques [séries TV] de votre enfance   
    Faisant des miracles sur l'autre post le tigre m'a ramené ici pour un temps :d
     
    C'est donc avec plaisir que je vais vous remuer la mémoire sur autre chose que des DA et assimilé :3
     
    déja commençons par....
    Ma sorcière bien aimée
     
     
    (faut pas que je change trop soudainement non plus :P
     
    bon et faut mettre le meilleur le plus top des génériques
    DALLAS
     
     
     
    et euh... K2000 :d
     
     
     
    dans le même genre on a aussi l'agence tout risque
     
     
     
    et enfin une derniere de trouver tout au fond de ma memoire :P
     
     
     
  15. Utile
    tarask le rouge a réagi à Noodle dans [RP] Les chroniques de la Terra Incognita   
    [Lieu : À la frontière entre Nashim et Galbadia
    Personnages: Yoko , Alvaro, Morda, Kira, Tarask]
     

     
     
     
     
     
     
     
     
    Alvaro chuchota a l’oreille de Tarask: On en restera pas là ….
     
    Il le relâcha et regarda autour de lui. Ils étaient une vingtaine peut être plus ,des bandits apparemment .
     
    Tarask : Il ne faut pas se laisser surmener chacun s’occupe d’un côté !
     
    Tarask avait raison, c’était le mieux à faire .Mais Alvaro était un assassin, pas un guerrier .Il était formé pour tuer dans l’ombre, en toute discrétion, pas se battre contre plusieurs adversaire à la fois. Il devait arriver à maitriser son pouvoir, si seulement il savait comment il c’était déclenché ….
     
    Un des bandits se rua sur Alvaro qui para ses assaut répété avec sa dague, mais il ne tiendrai pas longtemps, d’autre approchai de lui en ricanant .Il fallait qu’il se concentre, qu’il fasse réapparaitre ces fichues tentacules, ce qui n’était pas simple avec les bandits qui l’attaquaient.
     
    Alvaro entre ses dents : Aller, aller apparait …
     
    Alvaro poussa un cri, une épée était planter dans son épaule .Ce genre de douleur….il la connaissait. Le village il y a quelque année, il n’était qu’un enfant quand il fut attaqué .Ces parents furent assassiner sous ses yeux encore innocent, un des hommes après les avoir tuer c’était rué sur lui et l’avait blessé a l’épaule de la même manière, et l’avait laissé se vider de son sang ainsi, en le regardant durement .L’enfant avait perdu connaissance et lorsqu’il c’était réveillé il était seul au milieu du village dévasté. Il c’était alors lancer à la poursuite des meurtriers qu’il ne tarda pas à retrouver dans un campement un peu plus loin. L’un des assassins ,étonné par le courage du gamin décida alors de le prendre sous son aile en lui promettant ,que le jour venu il le laisserai ce venger.
     
    Alvaro a lui-même : concentre-toi, ignore la douleur…
     
    Un cri retenti au loin derrière lui Une dague avait éraflé le flanc gauche de Yoko. La colère envahi Alvaro qui sentit alors un picotement sur son épaule blessé. Une tentacules semblable a une ombre sortie de sa blessure et la referma aussitôt puis recouvra entièrement son bras. Il avait réussi, enfin. Une expression horrifiée se dessina sur le visage de ses opposants qui se firent transpercer de toute part par les membres difformes qui sortait de son bras .L’ombre alors disparu et forma un tatouage étrange sur le bras a Alvaro .
     
    Il se rua alors vers les opposants de Yoko,il l’avait déjà perdu une fois ,çela ne se reproduira pas .
     
     
  16. Utile
    tarask le rouge a réagi à Chii dans Histoire du premier Manga   
    Le mot japonais « manga » souvent traduit littéralement par « image dérisoire » ou « dessin non abouti », est composé de « ga » (画), qui désigne la représentation graphique (« dessin », « peinture » ou toute image dessinée - comme l'estampe), et « man » (漫), « involontaire », « divertissant », « sans but », mais aussi « exagérer », « déborder » (qui peut être interprété comme caricature), ainsi qu'« au fil de l'idée ». Ainsi on pourrait aussi bien traduire ce mot par « dessin au trait libre », « esquisse au gré de la fantaisie », « image malhabile » ou tout simplement caricature ou grotesque dans le sens de Léonard de Vinci.
     
    Le terme devient courant à partir de la fin du XVIIIe siècle avec la publication d'ouvrages tels que Mankaku zuihitsu (1771) de Kankei Suzuki, Shiji no yukikai (1798) de Kyōden Santō ou Manga hyakujo (1814) de Minwa Aikawa. Également en 1814, Hokusai, futur peintre de La Grande Vague de Kanagawa, donne à ses recueils d'estampes parfois grotesques le titre Hokusai manga. C'est ce dernier ouvrage qui fait connaître le mot en Occident. Il aurait été ainsi choisi pour son analogie avec un terme similaire dans l'ancien temps mais dont l'écriture diffère et qui décrit la conservation de proies dans les becs des pélicans1 indiquant des scènes prises sur le vif - comme l'oiseau fondant sur sa proie.
     
    Il ne prend le sens précis de « bande dessinée » qu'au cours du XXe siècle, avec l'introduction de celle-ci au Japon. Lorsqu'elle y devient très populaire, après 1945 et grâce à Osamu Tezuka, le terme s'impose pour finir par ne plus désigner qu'elle. C'est ce terme qui a été utilisé à l'étranger (France, États-Unis, Allemagne, etc.), pour caractériser la bande dessinée japonaise, dont il est devenu un synonyme, et parfois grossièrement ramené à un genre.
     
    Genre et nombre du mot « manga » en français
     
    Le mot « manga » est pleinement intégré dans la langue française, comme l'atteste son intégration dans les dictionnaires usuels. Ceux-ci le donnent comme masculin (les mots japonais, eux, n'ont pas de genre grammatical), et c'est le genre qui prédomine largement. Toutefois, la première utilisation du mot en français revient à Edmond de Goncourt en 1895, dans une étude artistique dédiée à Hokusai2, où il accorde « manga » au féminin pour désigner ce qu'il appela La Mangwa (sic) de l'artiste. Le terme revêtait alors plutôt le sens de « miscellanées », c'est-à-dire un recueil de nature disparate3. Depuis cette époque, manga a souvent été employé au féminin, et ce jusqu'à la popularisation de l'usage au masculin dans les années 1990 (notamment par les premiers journaux spécialisés et la télévision)3. Mais un argument en faveur de la féminisation du terme pourrait être que la locution équivalente en français, bande dessinée, est déjà de genre féminin. Plus récemment, l'auteur Frédéric Boilet parle de manga au féminin, notamment dans le cadre de son mouvement franco-japonais La Nouvelle Manga4.
     
    Manga s'écrit mangas au pluriel, selon la règle du pluriel des mots étrangers intégrés dans la langue française (les dictionnaires actuels ne donnent d'ailleurs pas le mot comme invariable).
     
    Quelques notions
     
    Le dessinateur de mangas est appelé mangaka. Il est soumis à des rythmes de parution très rapides, et ne bénéficie pas toujours d'une liberté totale sur son œuvre, selon la réception auprès du public. Si le manga connaît un fort succès, l'auteur devra prolonger son histoire, même s'il voulait la terminer. À l'inverse, certaines œuvres peu connues ne verront pas leurs suite et fin publiées.
     
     
     
     
     
    Exemple de dessin d'inspiration manga.
    Les mangas se lisent souvent dans le sens inverse des bandes dessinées occidentales : de droite à gauche, ce qui correspond au sens de lecture japonais. Cela amène une certaine confusion puisque la lecture des mots se fait alors dans le sens inverse de celui des cases (ce qui n'est pas le cas au Japon). Introduits en France en 1978 avec la revue Le cri qui tue, les mangas ne sont publiés dans ce sens que depuis 1995 environ. Toutefois, les éditeurs français ne se plient pas systématiquement à cette spécificité. Certains choisissent alors de simplement retourner les images, ce qui occasionne des incohérences qui peuvent être douteuses (un droitier qui devient gaucher, un coup porté au cœur qui perd son sens avec une image inversée ou encore un salut nazi effectué du bras gauche dans L'Histoire des 3 Adolf). D'autres adaptent entièrement les ouvrages en retournant seulement certaines images, changeant la mise en page et en redessinant certains éléments graphiques, ce qui a pour mérite de faire correspondre la forme des phylactères avec l'horizontalité des systèmes d'écriture occidentaux (Casterman notamment, dans sa collection Écritures), mais génère toutefois un surcoût significatif.
     
    La plupart des éditeurs français ont actuellement adopté le sens de lecture japonais, dans un but d'économie et de respect de l'œuvre. Cela les expose à se couper d'un lectorat plus large (notamment âgé) que les habitués du genre. Hergé, en particulier, a codifié la BD pour une lecture de gauche à droite et le lecteur aux habitudes acquises risque de lire la fin d'une action ou d'un gag avant le début. Cependant, la vague de démocratisation qu'a connue le manga en France auprès des jeunes a fait que la plupart des lecteurs préfèrent désormais le sens de lecture japonais.
     
    Le sens de lecture japonais est également devenu le standard de lecture des mangas aux États-Unis depuis le début des années 2000.
     
    Diffusion au Japon
     
    À la différence de l'Europe et des États-Unis, le marché de la bande dessinée au Japon n'est pas un marché de niche mais un phénomène de masse qui touche une part énorme de la population (le quotidien japonais Mainichi a estimé en 2008 à 60 % le nombre de Japonais qui lisent au moins un manga par semaine) et génère une importante activité économique. Les mangas japonais sont moins chers qu'en Europe, leur prix avoisinant les 500 yens (5,23 euros en juillet 2012), alors qu'en France, le prix d'un manga se situe généralement entre 6 et 15 euros selon le format et les éditions.
     
    Les mangas publiés dans les magazines de prépublication sont considérés au Japon comme des objets de grande consommation plutôt que comme des objets de valeur. Cependant, des éditions reliées et brochées à l'image de celles paraissant en Occident, sont destinées à être collectionnées et conservées.
     
    Depuis son ouverture en novembre 2006, le musée international du manga de Kyōto offre une impressionnante collection de manga (200 000 volumes, sachant que la collection est amenée à évoluer).
     
    L'énorme popularité des mangas rivalise avec les grosses pointures de la bande dessinée européenne ; ainsi, les 42 tomes de Dragon Ball se sont vendus à plus de 250 millions d'exemplaires dans le monde et les 63 tomes de One Piece se sont vendus à plus de 270 millions d'exemplaires dans le monde5, un chiffre qui surpasse, dans l'absolu, celui enregistré par Les Aventures de Tintin et Milou avec 24 albums édités à plus de 200 millions d'exemplaires.
     
    Les manhwa, bandes dessinées coréennes très semblables aux mangas, ont également une diffusion de plus en plus dynamique
     
    Histoire des mangas
     
    Mouvements culturels initiateurs
     
     
     
     
     
    Détail du volume 8 des Hokusai Manga par Hokusai, 1817.
    Le manga, bien que très ancré dans la culture japonaise moderne, trouve ses prémices dans la peinture narrative qui apparaît à l'époque de Nara, avec l'apparition des premiers rouleaux narratifs peints japonais : les emakimono. Ces œuvres associaient en effet des peintures à des textes calligraphiés qui assuraient, ensemble, le récit d'une histoire que l'on découvrait au fur et à mesure que se déroulait le rouleau6. Le premier des emakimono,, illustration d'un sûtra, était la copie d'une œuvre chinoise et marquait une nette séparation entre le texte et la peinture. Pourtant, durant l'époque de Heian apparaissent les premiers emakimono de goût japonais (le style yamato-e), dont l'emaki du Genji monogatari datant du XIIe siècle est l'un des plus anciens représentants conservés7. Ces derniers faisaient souvent intervenir de courts textes explicatifs après de longues scènes peintes., soient « caricatures de la faune », une satire anthropomorphique, sont constitués uniquement de dessins à l'encre8. Cette priorité accordée à l'image – qui peut assurer seule la narration – est aujourd'hui une des caractéristiques les plus importantes du manga.
     
    De même, lors de la période Edo, les estampes étaient d'abord destinées à l'illustration de livres, mais, très vite, le rapport de force s'inversa et l'on vit l'apparition de « livres à lire » en opposition avec les « livres à regarder », les kusazōshi (en) tels que le kibyōshi. Puis vint la disparition relative des écrits complémentaires et la naissance de l'estampe « indépendante » en une seule illustration, qui est la forme la plus fréquente de l’ukiyo-e. C'est d'ailleurs Katsushika Hokusai (1760-1849), le fondateur de l'estampe de paysage, qui donna son nom au manga (littéralement « dessins grotesques »), nommant ainsi ses célèbres caricatures, les Hokusai Manga qu'il publia de 1814 à 1834 à Nagoya.
     
    Enfin, et notamment dans le manga de type shōjo, l'Art nouveau occupe une place prépondérante parmi les influences des mangaka, tout en sachant que ce mouvement a été provoqué en partie par le japonisme en Europe, suite à la découverte des estampes par les occidentaux9.
     
    De 1861 à 1931
     
    Première ouverture vers l'Occident
     
    Pendant la restauration Meiji, à partir de 1868, l’ouverture obligatoire du Japon au commerce extérieur s’accompagne d’une modernisation rapide du pays sous influence occidentale. De nombreux étrangers sont attirés au Japon pour enseigner les sciences et technologies occidentales et de riches Japonais voyagent en Europe. Edo, rebaptisée Tokyo, voit ses rues, éclairées par des réverbères, se peupler de pousse-pousses sans oublier les bicyclettes d'importation. C'est la création du yen et l'interdiction du chonmage (丁髷?, chignon traditionnel) et du port du shin-shintō (新新刀?, sabre). L'usage du kimono et du hakama (pantalon traditionnel) diminue au profit du costume occidental accompagné du chapeau et du parapluie, pour les hommes, et d'une coiffure européenne pour les femmes.
     
    Les deux seuls quotidiens existants au début des années 1860 étaient à destination de la colonie étrangère, le Nagasaki Shipping List and Advisor (bihebdomadaire de langue anglaise) et le Kampan Batavia Shinbun (Journal officiel de Batavia). La presse japonaise naît avec le Yokohama Mainichi Shinbun en 1871 et le Tokyo Nichinichi Shinbun en 1872. C'est le Shinbun Nishikie, créé en 1874, qui introduit le premier les estampes dans la presse japonaise.
     
    Création d'une presse satirique
     
     
     
     
     
    Magazine satirique Japan Punch d'avril 1883 édité par Charles Wirgman.
    La presse japonaise se transforme aussi sur le modèle de la presse anglo-saxonne avec l’apparition des dessins d’humour sur le modèle américain et des caricatures à la mode britannique à partir de 1874 avec le E-Shinbun Nipponchi et surtout avec le Marumaru Shinbun créée par Fumio Nomura (野村 文夫, Nomura Fumio?) qui a fait une partie de ses études en Grande-Bretagne. Imprimé entre 1877 et 1907, il publie des dessins de Kinkichirō Honda (本多 錦吉郎, Honda Kinkichirō?) et de Kiyochika Kobayashi, créateur d'estampes ukiyo-e, qui fût élève de Charles Wirgman10.
     
    Wirgman fait partie de ces trois Européens qui ont une influence certaine sur l'avenir de la bande dessinée et du manga. Ce caricaturiste anglais arrive à Yokohama en 1861 et l'année suivante il crée un journal satirique The Japan Punch dans lequel il publie, jusqu'en 1887, nombre de ses caricatures dans lesquelles il utilise des balloons11. Il enseigne en même temps les techniques occidentales de dessin et de peinture à un grand nombre d'artistes japonais comme Takahashi Yuichi12.
     
     
     
     
     
    Magazine satirique Tôbaé, n°6, 1887 édité par Georges Ferdinand Bigot.
    Autre caricaturiste, le français Georges Ferdinand Bigot arrive à Yokohama en 1882, il enseigne les techniques occidentales du dessin et de l'aquarelle à l'École militaire de la ville11. Parallèlement, il publie des caricatures dans des journaux locaux et édite des recueils de gravure. En 1887, il crée lui aussi une revue satirique, Tôbaé, alors que Wirgman arrête la sienne, dans laquelle il démontre sa maîtrise de la technique narrative en introduisant la succession des dessins dans des cases au sein d'une même page. Il part en Chine en 1894 pour couvrir pour The Graphic de Londres le conflit sino-japonais. De retour en France en 1899, il collabore comme illustrateur pour l'imagerie d'Épinal13.
     
    C'est à cette période qu'un fils d'enseignant hollandais dans une mission de Nagasaki quitte le Japon pour suivre des cours d'art à Paris où il tente quelques bandes dessinées dans le Chat noir avant de s'exiler aux États-Unis. C'est là que Gustave Verbeck dessine un des strips les plus originaux de l'histoire de la bande dessinée Upside-downs of little lady Lovekins and old man Muffaroo. Le strip de quatre cases se lit dans le sens normal de lecture de gauche à droite puis l’histoire se continue en retournant tête-bêche le journal et en relisant les cases dans le sens inverse, lady Lovekins se transforme alors en old man Muffaroo, le chapeau de l’une devenant la barbe de l’autre14.
     
    Création
     
    C'est le caricaturiste australien Frank Arthur Nankivell (en) qui travaille pour le Box of Curios, Bokkusu obu kyuriosu?), publié à Yokohama par E. B. Thorne, qui initie Yasuji Kitazawa, qui ne s'appelle pas encore Rakuten Kitazawa (en), à la caricature. En 1899, il quitte Box of Curios pour rejoindre le Jiji Shinp créée par l'intellectuel Yukichi Fukuzawa désireux de développer le mode satirique au Japon. C’est Kitazawa qui reprend le terme de manga pour désigner ses dessins, il se désigne lui-même comme mangaka (dessinateur de mangas)15. Le premier manga considéré comme tel date de 1902. Il s’agit d’une histoire dessinée par Kitazawa dans les pages illustrées du supplément du dimanche du Jiji Shinpō. Kitazawa s’inspire beaucoup de la culture européenne, son premier manga reprend le thème de l’arroseur arrosé11. Le supplément du Jiji; prend rapidement le nom de Jiji Manga
    En 1905, Kitazawa crée son premier magazine le Tokyo Puck en s'inspirant de l'américain Puck et du Rire français. Ce magazine en couleurs paraît deux à trois fois par mois et contient des textes en japonais, chinois et anglais, des caricatures et un manga en six cases de Kitazawa. Plusieurs fois censuré pour ses caricatures féroces contre le pouvoir, il crée en 1912 deux nouveaux magazines Rakuten Puck et Katei Puck . Mais c'est en 1908 que Kitazawa innove dans la presse japonaise en publiant Furendo, un magazine en couleurs exclusivement réservé aux enfants. Devant le succès, il renouvelle l'expérience en 1914 en créant la revue Kodomo no tomo dans laquelle il dessine L'enfance de Toyotomi Hideyoshi16. Ce succès allait marquer le marché des mangas pour longtemps17. En 1914 paraît nen Kurabu (Le Club des garçons), en 1923 jo Kurabu (Le Club des filles?) et en 1926 nen Kurabu (Le Club des jeunes enfants)18. En 1929, Kitazawa entreprend un long voyage en Europe, en Afrique et aux Amériques. De passage à Paris en 1929, il expose en présence de Léonard Foujita et y reçoit la Légion d'honneur11.
     
    À la fin de l'ère Meiji, à l'ère Taish&; (1912-1926), Ippei Okamoto (Okamoto Ippei) dessine des mangas pour le quotidien Asahi Shinbun. Il est l'un des inspirateur du mouvement des « Nouveaux représentants progressistes du manga » qui introduit au Japon les comics, entre autres Bringing up Father (La famille Illico) de Geo McManus parait dans Asahi Gurafu .Si à cette époque tous les mangas utilisent plus ou moins la bulle, il y a encore beaucoup de texte écrit dans les dessins. Le premier à généraliser l'emploi de la bulle est Katsuichi Kabashima (樺島 勝一, Kabashima Katsuichi?) qui dessine Les Aventures de Sh;chan accompagné de son écureuil dans le premier numéro de Asahi Gurafu en 19238,19.
    Manga Le docteur endormi (Auteur inconnu, 1912-1926, lithographié)
    C'est Okamoto qui invente le terme de manga kisha (journaliste de manga) et qui crée la première association de mangaka appelée Tokyo manga kai (Rencontres des mangas de Tokyo) en 1915, qui devient en 1923 le Nihon manga kai (Rencontres des mangas du Japon) et en 1942 le Nihon manga hkai (Rencontres au service des mangas du Japon) avec pour premier président Kitazawa20.
     
    La satire et la caricature sont féroces envers le pouvoir en place et, en 1925, le gouvernement établit une censure en promulguant une « Loi de préservation de la paix ». La presse japonaise devient « politiquement correcte » mais la publication de mangas se développe. Des magazines féminins comme Shufu no tomo (L'ami des ménagères) ou Fujin kurabu Le Club des femmes) publient aussi des mangas à destination de leurs lectorats ou pour des mères de familles qui lisent ces mangas à leurs enfants18.
     
    À partir de la guerre sino-japonaise, et comme plus tard aux États-Unis ou en Italie, la presse, y compris les mangas, se met au service de l'état pour soutenir l'effort de guerre. Ainsi le très militariste Norakuro (のらくろ?) de Suihō Tagawa (en) nous montre un chien paresseux engagé dans l'armée impériale, première série longue8. C'est comme cela que les Japonais lisent aussi les aventures de Speed Tarō (スピード太郎, Supīdo Tarō?) de Sakō Shishido (宍戸 左行, Shishido Sakō?), qui déjoue toutes sortes de conjurations étrangères, et celles de Dankichi dans Bōken Dankichi (冒険ダン吉?, « Les Aventures de Dankichi ») de Keizō Shimada (島田啓三, Shimada Keizō?). Ce seront les séries les plus populaires au Japon jusqu'au milieu des années quarante pendant lesquelles toute la presse ainsi que toutes les activités culturelles et artistiques subissent la censure du gouvernement militaire, ce dernier n'hésitant pas à mobiliser ces milieux à des fins de propagande.
     
    L'après-guerre
     
    Sous l'occupation américaine, les mangaka d'après-guerre subissent l'énorme influence des comic strip qui sont alors traduits et diffusés en grand nombre dans la presse quotidienne japonaise. Sazae-san de Machiko Hasegawa sera le premier grand succès d'après-guerre8. Cette génération a vu leurs villes rasées, leurs pères vaincus, leur empereur déchu de sa divinité, et ce que leurs idéologies véhiculaient jeté dans les poubelles de l'Histoire par les vainqueurs21. Les bombardiers B29, les avions invulnérables, et les jeep armées apparaissent dans la vision des futurs mangaka encore adolescents. Après sa défaite, le Japon s'est reconstruit au prix d'un lourd sacrifice ; d'ailleurs dans les mangas apparaît souvent la devise de Shōnen Jump : « Amitié, effort, victoire » (devise choisie par les lecteurs).
     
    L'un d'entre eux, influencé par Walt Disney, révolutionnera le genre et donnera naissance au manga moderne : il s'agit du célèbre Osamu Tezuka. C'est en effet Tezuka qui introduira le mouvement dans la bande dessinée japonaise par des effets graphiques comme des traits ou des onomatopées soulignant toutes les actions comportant un déplacement, mais aussi et surtout par l'alternance des plans et des cadrages comme il est en usage au cinéma, rompant ainsi avec une tradition théâtrale, les personnages étant jusque-là toujours représentés en pied, à égale distance et au centre de l'image. On considère généralement Shin-Takarajima (新宝島?, lit. « La nouvelle île au trésor »), parue en 1947, comme marquant le début du manga moderne.
     
    L'animation étant la véritable passion de Tezuka, il réalisa la première série d'animation japonaise pour la télévision en janvier 1963, d'après l'une de ses œuvres : Tetsuwan Atom (鉄腕アトム, Tetsuwan Atomu?), plus connue en France sous le nom d'Astro, le petit robot. Finalement, le passage du papier au petit écran devint courant et l'aspect commercial du manga prit de l'ampleur. Tezuka bouleversa le mode d'expression du manga, en explora les différents genres – alors principalement infantiles – et en inventa de nouveaux. Il inspira de nombreux artistes tels que le duo Fujiko Fujio (Obake no Q-tarō , Doraemon), Fujio Akatsuka (Tensai bakabon) et Shōtarō Ishinomori (Cyborg 009, Kamen Rider) qui se succédèrent au Tokiwasō, voire Leiji Matsumoto (Galaxy Express 999)8.
     
    Les années 1960 voient l'émergence de mangas plus dramatiques dans lesquels sont abordés des sujets plus « sérieux » et réalistes, appelés gekiga8. Initié par Yoshihiro Tatsumi et Takao Saitō (Golgo 13), le style influencera notamment Sampei Shirato (Ninja bugeichō, Kamui den), Shigeru Mizuki (Kitaro le repoussant) et Tetsuya Chiba (Ashita no Joe), la plupart de ces auteurs participant au magazine d'avant-garde Garo8.
     
    En 1964 naît l'association des mangaka du Japon (日本漫画家協会, Nihon mangaka kyōkai?), qui décerne des prix annuels à partir de 1972.
     
    Dans les années 1970, le manga pour filles, écrit par des femmes (shōjo) se développe à l'initiative du groupe de l'an 24, notamment Moto Hagio (Poe no ichizoku ) et Keiko Takemiya (Kaze to ki no uta), puis de Riyoko Ikeda (La Rose de Versailles), Suzue Miuchi (Glass no Kamen), et Yumiko Igarashi et Kyoko Mizuki (Candy Candy)8. Mettant en avant les relations psychologiques des personnages, il se détache des mangas pour garçons (shōnen)8.
     
    En 1985, Tezuka Osamu reçoit le prix culturel de Tokyo, et en 1990, l'année qui a suivi sa mort, le Musée d'art moderne de Tokyo lui consacre une exposition. Cet événement marque l'introduction du manga dans l'histoire culturelle japonaise.
     
    Actuellement
     
    Ainsi, les mangas « grandissant » en même temps que ses lecteurs et se diversifiant selon les goûts d'un public de plus en plus important, l'édition du manga représente plus d'un tiers par ses tirages, et près d'un quart par ses revenus, de l'ensemble de l'édition japonaise. En 2008, sur 3,2 milliards de publications vendues au Japon (2 000 milliards de yens), on comptabilisait 669 millions de magazines de manga (21 % des publications) et 478 millions de recueils de manga (15 %), pour un chiffre d'affaires respectif de 211 et 237 milliards de yens (22 % des ventes totales), chiffre relativement stable depuis le début des années 199022,23. Les hommes de moins de 30 ans lisent environ six mangas par mois, contre trois pour les femmes22. La vente de mangas numériques représentait déjà en 2008 3/4 des ventes de livres électroniques avec 35 milliards de yens22.
     
    Le manga va maintenant jusqu'à s'associer avec les jouets et jeux vidéo, ces derniers pouvant même être à l'origine d'un manga. Il est devenu un véritable phénomène de société puisqu'il touche toutes les classes sociales et toutes les générations, traitant de tous les thèmes imaginables : la vie à l'école, celle du salarié, le sport y compris cérébral tel le jeu de go, l'amour, la guerre, l'épouvante, jusqu'à des séries plus didactiques comme la littérature classique, l'économie et la finance, l'histoire, la cuisine et même le code de la route, dévoilant ainsi ses vertus pédagogiques.
     
     
    La génération des baby-boomers français a lu de la bande dessinée franco-belge pendant toute son enfance et son adolescence. La génération suivante trouvant les bandes dessinées franco-belges trop élitistes et par souci de contestation aux générations précédentes, se sont jetées sur le manga qui, selon Jean-Marie Bouissou, a vocation à être un produit global24 en proposant beaucoup de séries propres à intéresser les clientèles les plus diverses par l'âge, le sexe et les goûts, à la différence de la bande dessinée française mais aussi des comics américains.
     
    Avant Akira : l'impossible installation du manga
     
    La bande dessinée japonaise est très peu présente dans le monde francophone avant 1978 : quelques planches de Bushidou Muzanden d'Hiroshi Hirata dans Budo Magazine Europe publication consacrée au judo, en 1969, plusieurs mangas sur les samouraïs traduits et publiés au début des années 1970 dans la nouvelle formule de Budo magazine Europe et l'article « La Bande dessinée japonaise » de Claude Moliterni et Kosei Ono qui lui est consacré en 1972 dans Phénix25. En 1978, Atoss Takemoto publie le premier numéro du Cri qui tue, fanzine d'assez mauvaise qualité (impression, choix des bandes). On y retrouve dans les six numéros qui paraissent jusqu'en 1981 Golgo 13 de Takao Saito, Le Système des Super Oiseaux d'Osamu Tezuka, Good bye de Yoshihiro Tatsumi, et des histoires de Shōtarō Ishinomori, Fujiko Fujio, Masashi Ueda. Toutes les planches sont adaptées au sens de lecture européen.
     
    Néanmoins il existe une volonté de la part du Japon de faire découvrir au reste du monde sa bande-dessinée. À la fin de l'année 1970, et non pas des années 1970, une rétrospective sur les mangas est organisée au cœur même de Paris, au drugstore Publicis de St Lazare, à la demande de l'ambassade du Japon si on en croit l'article sur les mangas paru dans le numéro 21 de la revue Phénix de 1972 et rédigé par Claude Moliterni et Kosei Ono.
     
    En 1979, Kesselring, associé à Takemoto, publie le premier album : Le vent du nord est comme le hennissement d'un cheval noir de Shōtarō Ishinomori. Le format choisi, supérieur à la norme européenne, met peu en valeur les particularités du format japonais, le lettrage est bâclé : comme le premier périodique, le premier album est un échec. En 1982, les éditions Télé-Guide, désireuse de profiter du succès de la série animée Candy, publient avec succès la bande dessinée originelle de Yumiko Igarashi et Kyoko Mizuki dans les douze numéros de Candy Poche. C'est pourtant dans les années 1980 le seul manga adapté en dessin animé à faire l'objet d'une traduction, les autres adaptations étant le fait de studios français, afin d'éviter de payer des droits d'auteurs.
     
    En 1983, le premier volume de Gen d'Hiroshima de Keiji Nakazawa est publié par Les Humanoïdes associés dans la collection « Autodafé », dans une édition correcte, mais qui ne rencontre aucun succès. De même, l’Hiroshima de Yoshihiro Tatsumi édité par Artefact ne trouve pas son public. Les éditeurs sont alors refroidis par l'expérience et, dans un contexte de récession, plus aucune bande dessinée japonaise n'est éditée en album jusqu'à Akira, hormis en 1989 chez Albin Michel le premier tome des Secrets de l'économie japonaise en bandes dessinées d'Ishinomori. Du côté des périodiques, le succès n'est pas plus au rendez-vous. Les premiers mangas pornographiques sont traduits, avec la publication chez Idéogram dans les onze numéros de la revue Mutant, de janvier 1985 à janvier 1986, d'Androïde, de Sesaku Kanō et Kazuo Koike et celle dans Rebels n°3 (juin 85) à 9 (janvier 86) de Scorpia de M. Yuu et K. Kazuya.
     
    L'absence de traduction de ce que les spécialistes savent être le premier marché de la bande dessinée suscite cependant les interrogations de Thierry Groensteen en 198526 et la publication de divers articles dans Les Cahiers de la bande dessinée. Au milieu des années 1980 naît Mangazone, premier fanzine d'information sur la bande dessinée japonaise.
     
    1990, naissance du manga en France
     
    À partir de mars 1990, Glénat décide de publier Akira, de Katsuhiro Otomo, en fascicules, d'après l'édition colorisée en Amérique. Bien que la série n'ait pas d'animé pour la porter, le renouvellement massif des codes du manga qu'introduit cette œuvre permet au succès d'être cette fois au rendez-vous, et l'édition cartonnée en couleur voit le jour dès la fin de l'année. Mangazone en profite pour devenir un magazine tenu par des professionnels, tiré à 700 exemplaires27. La qualité de la revue fait débat et en mars 1990 naissent les fanzines Yamato et Protoculture addict. En décembre 1990, le premier volume de Gen d'Hiroshima fait l'objet d'une nouvelle édition chez Albin Michel, sous le titre erroné de Mourir pour le Japon. En 1991, alors que la suite d'Akira est publiée, Rêves d'enfants, autre série d'Otomo, est éditée en 1991 par Les Humanoïdes associés. À la fin de l'année, un premier tome de City Hunter est publié. Cependant, seul Akira trouve alors son public. En mai naît AnimeLand, fanzine luxueux qui remplace Mangazone comme référence francophone.
     
    Alors que de plus en plus de voix s'élèvent pour protester contre les animes, toujours plus présents dans les programmes jeunesse, Glénat, une fois Akira achevé, publie d'autres mangas originaux d'animes à succès : Dragon Ball d'Akira Toriyama à partir de février 1993, Ranma ½ de Rumiko Takahashi en février 1994. La réussite de l'entreprise permet à Glénat de traduire d'autres manga, liés ou non à un anime : Appleseed de Masamune Shirow à partir de juin 1994, puis Orion du même auteur en septembre, Crying Freeman de Ryōichi Ikegami en janvier 1995, Dr Slump de Toriyama en février, Gunnm de Yukito Kishiro à partir de mars, Sailor Moon de Naoko Takeuchi dès février.
     
    D'autres éditeurs traditionnels commencent à s'intéresser au manga. Casterman publie d'abord dans sa collection « Manga », créée en janvier 1995 deux bandes dessinées créées aux Japon par des auteurs français (Kiro d'Alex Varenne puis en septembre Au Nom de la famille de Jerome Charyn et Joe Staton (en)) avant de publier en septembre Gon de Masashi Tanaka, L'Habitant de l'infini d'Hiroaki Samura, et L'Homme qui marche de Jiro Taniguchi, premier manga d'auteur publié en France. « Casterman manga » accueille de nouveaux titres de qualité jusqu'en 1999, avant d'être remplacée par des collections plus spécialisées par la suite. Dark Horse France publie Outlanders de Johji Manabe (en) de janvier 1995 à janvier 1996. Dargaud se lance également en créant la collection Kana avec Angel Dick puis Armagedon de la coréenne Hyun Se Lee28.
     
    Des éditeurs spécialisés naissent également : Samouraï Éditions, qui publie des mangas érotiques à partir de 1994 (Ogenki Clinic d'Inui Haruka) puis des mangas plus traditionnels l'année suivante (Vampire Miyu de Narumi Kakinouchi (en) et Toshiki Hirano (en)), l'éphémère Star Comics en janvier 1995 avec Takeru de Buichi Terasawa, Kraken en avril (avant de disparaître l'année suivante) avec l'ambitieux Shang Hai Kaijinzoku de Takuhito Kusanagi puis Les Élémentalistes de Takeshi Okazaki ou encore Vaelber Saga de Nobuteru Yūki. Tonkam, qui se lance en juin 1995 avec RG veda de CLAMP devient le premier grand éditeur français spécialisé dans le manga. C'est également le premier à les publier dans le sens de lecture japonais, à la fois pour des raisons de coût et d'intégrité de l'œuvre, disposition qui devient rapidement la norme, sauf dans quelques cas particuliers (comme la collection « Écritures » de Casterman).
     
    1996-2000,
     
    La vague est lancée : Animeland devient en 1996 avec son vingt-deuxième numéro le premier magazine consacré à l'animation et aux mangas diffusé en kiosque, de plus en plus d'éditeurs se joignent aux précurseurs, tandis que d'autres séries à grand succès sont traduites : de 2 en 1994, ce sont plus d'une quarantaine de séries différentes qui sont publiées ou lancées en 1996 (pour 105 albums, par Tonkam, Glénat et J'ai lu principalement), parmi lesquelles Nicky Larson de Tsukasa Hōjō, Fly de Koji Inada, Riku Sanjo et Yuji Horii, Ghost in the Shell de Shirow, Amer Béton de Taiyō Matsumoto, Bastard !! de Kazushi Hagiwara, Le Roi Léo, Astroboy et Blackjack d'Osamu Tezuka. En 1997 apparaissent Detective Conan de Gosho Aoyama, 3×3 Eyes de Yūzō Takada, Sanctuary de Ryōichi Ikegami et Sho Fumimura, Ah! My Goddess de Kōsuke Fujishima, en 1998 Neon Genesis Evangelion de Yoshiyuki Sadamoto, Cat's Eye de Tsukasa Hojo, Kenshin le vagabond de Nobuhiro Watsuki, Yu-Gi-Oh! de Kazuki Takahashi ainsi que les premières réalisations de Naoki Urasawa, en 1999 Ken le survivant de Tetsuo Hara et Buronson, Captain Tsubasa de Yōichi Takahashi, Cardcaptor Sakura de CLAMP, Slam Dunk de Takehiko Inoue.
     
    Le marché continue à croître à un rythme soutenu : 151 albums en 1998, 200 en 199929, 227 en 2000, 269 en 200130. À partir de 1999, Kana s'affirme comme le quatrième grand acteur du secteur. Cependant, alors qu'à cette date les principales séries japonaises à succès des années 1980 et 1990 sont traduites, et qu'elles atteignent parfois d'enviables chiffres de vente (au début du millénaire 120 000 exemplaires par volume de Dragon Ball29, environ 20 000 pour les séries les plus populaires30), que les magazines dédiés vont commencer à se multiplier, que les rencontres d'amateurs ont de plus en plus de succès, qu'internet va favoriser le développement des mangas, le monde de la bande dessinée tel que le laisse percevoir le Festival d'Angoulême laisse peu de place à cette émergence, et les éditeurs alternatifs lui restent globalement indifférents, laissant inconnu du public le large patrimoine de bandes dessinées d'auteur japonaises, hormis Taniguchi. Des séries plus récentes sont alors traduites, et remportent également un grand succès : en 2000 Hunter × Hunter de Yoshihiro Togashi, Shaman King de Hiroyuki Takei, One Piece d'Eiichirō Oda, en 2001 GTO de Tōru Fujisawa, I¨s de Masakazu Katsura, Samurai deeper Kyo d'Akimine Kamijyō, Angel Sanctuary de Kaori Yuki, Monster de Naoki Urasawa, en 2002 Love Hina de Ken Akamatsu, Gunnm Last Order de Kishiro, Fruits Basket de Natsuki Takaya, Naruto de Masashi Kishimoto, Bleach de Tite Kubo.
     
    Le premier festival de bande dessinée et d'animation japonaises, la Japan Expo, est créé en 1999. Il se tient au centre des nouvelles industries et technologies (CNIT) en 2003 et 2004, puis au parc des expositions de Paris-Nord Villepinte, où il attire en 2012 plus de 200 000 personnes.
    À partir de 2002, la hausse de la part des bandes dessinées asiatiques dans le marché des nouveautés s'accélère, à l fois absolument (377 en 2002, 521 en 200332, 754 dont 614 mangas en 200433) et relativement (25 % en 2002, 30 % en 200332, 36 % en 2004, 42 % en 200533, 44 % en 2006, environ 42 % en 200734). Les mangas restent les bandes dessinées asiatiques les plus vendues (les vingt plus gros tirages sont japonais en 2005), leur coût plus faible et leur périodicité plus régulière que celle des bandes dessinées occidentales leur permet de toucher un public fidélisé, d'autant que les éditeurs peuvent sélectionner les bandes dessinées qui ont déjà passé l'épreuve du public au Japon. Tous créent des collections dédiées, voire tentent de lancer des mangas à la française. En 2003, le tirage des quinze plus grandes séries oscille entre 25 000 et 60 000 (Yu-gi-oh, et Naruto en 2004) exemplaires32, en 2007 Naruto est imprimé à 220 000 exemplaires, Death Note à 137 000, et le fonds reste attractif (avec Dragon Ball surtout). En valeur, le marché est détenu à 80 % par Pika, Kana et Glénat33. En 2003, pour la première fois, un manga obtient un prix au festival d'Angoulême : Quartier lointain, de Taniguchi, pour le prix du scénario. C'est un début de reconnaissance.
     
    Le fait qu'en 2005, plus de mangas que d'albums traditionnels aient été édités a fait écrire à Gilles Ratier que 2005 avait été en France « l'année de la mangalisation33 », sans qu'il s'en offusque, contrairement à d'autres acteurs du secteur. 1 142 bandes dessinées asiatiques (soit 42 % des nouveautés) sont en effet éditées en 2005 dont 937 mangas33, et 1 418 en 2006 (soit 44 % des nouveautés), dont 1 110 mangas35. Les tirages à la nouveauté des bandes dessinées japonaises les plus populaires n'ont plus rien à envier à ceux des bandes dessinées traditionnelles populaires : 130 000 exemplaires pour Naruto, 80 000 pour Samurai deeper Kyo ou Fullmetal Alchemist (de Hiromu Arakawa, traduit à partir de 2005), 70 000 pour Gunnm Last Order, Hunter × Hunter, Yu-Gi-Oh!, Fruits Basket et Shaman King, 65 000 pour Neko Majin de Toriyama, 60 000 pour Air Gear (d'Ōgure Ito, traduit à partir de 2006) et One Piece d'Eiichirō Oda35. Début 2006, la France est, avec plus de 13 millions d'exemplaires annuels, le plus gros « consommateur » de mangas au monde après le Japon et devant les États-Unis36. Les mangas représentent 26 % du chiffre d'affaires de la bande dessinée et constituent la plus forte progression derrière la fiction jeunesse, se plaçant en deuxième position des secteurs de l'édition les plus dynamiques. De plus, sur le marché français, seulement dix séries mangas concentrent 50 % des ventes37.
     
    Parallèlement à ce succès populaire, les maisons d'éditions commencent à développer l'édition patrimoniale38 : Vertige Graphic réédite Gen d'Hiroshima et publie Yoshihiro Tatsumi, un des pères du gekiga à partir de 2003, Ego comme X traduit L'Homme sans talent de Yoshiharu Tsuge en 2004, Cornélius publie Shigeru Mizuki depuis 2006, avec succès puisque NonNonBâ obtient le Prix du meilleur album à Angoulême en 2007, respectabilité qui avalise la forte pénétration de la bande dessinée japonaise sur le marché français. La bande dessinée d'auteur pour adultes, représentée d'abord par Jirō Taniguchi et Naoki Urasawa, se développe à partir de 2002, tandis que les jeunes auteurs les plus novateurs le sont, hormis Taiyō Matsumoto publié dès 1996, à partir de 200539. L'intérêt pour le manga pousse des éditeurs à s'intéresser également aux bandes dessinées coréenne et chinoise.
     
    En 2010, Kana et Glénat sont toujours leaders dans le domaine du manga, fort du succès de Naruto et One Piece qui sont les bandes-dessinées les plus vendues de l'année toutes catégories confondues, mais ils perdent du terrain à l'avantage de maisons d'édition comme Pika Édition, Ki-oon ou Kazé, qui se fait une grande place dans le marché depuis son rachat en 2009 par Shōgakukan et Shūeisha40. Certains éditeurs comme Tonkam, Panini ou encore Delcourt enregistrent des baisses très conséquentes, tandis que la petite maison d'édition Doki-Doki enregistre la plus grande progression de l'année40. Pluto, Bakuman. et Monster Hunter Orage (par Hiro Mashima) sont les trois nouvelles licences les plus populaires en 2010.
     
    En 2011, le trio de tête reste identique, mais Glénat passe largement en tête devant Kana, du fait de la montée des ventes de One Piece et du rythme de parution plus lent (3 tomes par an) de Naruto42. Glénat affiche donc une forte hausse (+13,3 %), alors que ses deux concurrents directs Kana et Pika Édition affiche des baisses (-17 % pour Kana et -2,9 % pour Pika)42. Kurokawa, Kazé et Ki-oon continuent leurs progressions et représentent à eux trois environ 20 % des ventes de manga en France, avec notamment la fin de Fullmetal Alchemist ou le novateur Les Vacances de Jésus & Bouddha pour Kurokawa, l'arrivée de titres comme Blue Exorcist, Beelzebub ou Toriko pour Kazé et de Judge, Pandora Hearts ou Bride Stories chez Ki-oon, mais également avec l'arrivée d'un catalogue pour les enfants plus important, avec notamment Pokémon Noir et Blanc ou Beyblade: Metal Fusion42,43. Depuis le rachat de Tonkam et Soleil Manga par Delcourt, le groupe représente environ 10 % des ventes de manga en 2011, mais les trois maisons d'édition continuent leur chute42. Seuls les petits éditeurs Taifu Comics et Doki-Doki sont à la hausse42
     
     
     
     
     
    Rayon de mangas
    Les mangas japonais sont très rarement édités directement sous forme de volumes reliés ; ils paraissent tout d'abord de manière découpée dans des magazines de prépublication, des revues spécialisées qui leur sont consacrées44.
     
    Les rythmes de publication de ces magazines peuvent beaucoup varier, allant de l'hebdomadaire aux publications mensuelles voire trimestrielles44. Les séries y sont souvent publiées par chapitres d'une dizaine à une vingtaine de pages44. À l'intérieur d'un même magazine, le papier peut parfois changer de couleur, afin de distinguer rapidement les différentes séries les unes des autres.
     
    Ces magazines, bon marché, s'écoulent en grand nombre, c'est-à-dire en millions d'exemplaires pour certains, et se lisent un peu partout. On en retrouve parfois abandonnés dans les trains, les rames de métro, les cafés, etc. Ils alimentent un système de lectures multiples : un magazine serait lu par plusieurs personnes.
     
     
     
     
     
    Magasin de mangas au Japon
    Principalement en noir et blanc, les premières pages des magazines sont souvent en couleurs, mettant tour à tour à l'honneur l'une de leurs séries vedettes à cet emplacement, souvent de manière à ce que le chapitre en cours soit un début de volumes.
     
    Ce n'est que dans un deuxième temps, lorsqu'un manga rencontre un certain succès, qu'il est édité en volumes reliés, similaire à ceux que l'on trouve en France, entamant ainsi une deuxième carrière. Ces volumes reliés sont appelés tankōbon (format poche), bunkōbon (format plus compact, utilisé pour des rééditions) ou wide-ban (format « luxe », plus grand que le format poche). En l'absence de succès auprès du public, une série pourra voir sa parution arrêtée, le mangaka étant prévenu peu avant pour trouver une fin rapide à son histoire et permettre une éventuelle parution en volumes. Certaines revues décident désormais de la fin d'une série dès la fin du second volume, conduisant à des histoires finales en quatre volumes. Dans certains cas, un manga à succès peut se voir adapté en anime (dessin animé).
     
    Quelques magazines de prépublication hebdomadaires :
    Weekly Shōnen Jump (Shūeisha) ;
    Weekly Shōnen Magazine (Kōdansha) ;
    Shōnen Sunday (Shōgakukan).
     
    Certains titres atteignent couramment les 400 pages hebdomadaires. On a évoqué dans le passé des tirages avoisinant les 6 millions d'exemplaires pour le Weekly Shōnen Jump (en 1994), mais son tirage pour 2008 s'établissait à 2,8 millions d'exemplaires45.
     
    Caractéristiques des bandes dessinées japonaises
    Sens de lecture d'un manga.
    Techniquement parlant, les mangas sont presque toujours en noir et blanc. En effet, ils sont la plupart du temps publiés dans un premier temps dans des revues peu coûteuses, sur du papier recyclé, et souvent seules les premières pages de la revue (correspondant à une mise en avant d'une série particulière) ont droit à la couleur. C'est ainsi que l'on retrouve parfois des pages en couleur au beau milieu des œuvres éditées par la suite séparément.
     
    Notons au passage que les mangas comptent souvent un nombre de pages (de planches) très importants. À titre d'exemple, une BD européenne contiendra une quarantaine de planches quand le manga en comptera plus d'une centaine, voire plus de deux cents. Par ailleurs, le manga est le plus souvent une série en plusieurs volumes. Au final, le nombre total de planches racontant une histoire dans un manga est beaucoup plus élevé que dans une BD à l'européenne (même s'il s'agit d'une série). Ceci affecte par conséquent beaucoup la structure du récit et sa narration. D'où des techniques propres au manga.
     
    Le dessin, en général, est moins « statique » que dans les bandes dessinées occidentales. Le manga utilise un découpage temporel proche de celui du cinéma, adoptant souvent ses cadrages et utilisant une décomposition du temps et de l'action. Les personnages ont souvent de grands yeux, ce qui permet de renforcer l'expressivité du visage. De nombreux codes graphiques sont utilisés pour symboliser l'état émotionnel ou physique d'un protagoniste. L'étonnement, par exemple, est souvent traduit par la chute du personnage ; l'évanouissement, par une croix remplaçant les yeux.Pour traduire l’excitation chez un personnage masculin, un saignement de nez plus ou moins important est provoqué. Dans le manga City Hunter (connu à la télévision française sous le nom Nicky Larson), la colère de Kaori (Laura) est souvent traduite par l'apparition inopinée d'une énorme massue qu'elle assène sur la tête de son partenaire (ce gag est si répandu dans les mangas qu'un univers parallèle où seraient stockés les marteaux a été inventé).
     
     
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    Source Wikipedia
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  17. Utile
    tarask le rouge a reçu une réaction de Hancock dans [RP] Les chroniques de la Terra Incognita   
    [Lieu : À la frontière entre Nashim et Galbadia
    Personnages: Yoko , Alvaro, Morda, Kira, Tarask]
     

     
     
    Et ils finirent de manger tout les quatre (cinq si on compte Kira).
     
    Après cela, Tarask pris la parole et il leur raconta de nombreuses choses... sur les pouvoirs magiques, les glyphes, les problèmes de la magie venant d'autre monde, les spectres, les monstres qui parcourent cette terre, l'emplacement des villes, leurs histoires et leurs spécificité quand il avait lui même les infos. Il les mis en garde sur certaines plantes et sur certaines choses que même morda ne semblait pas connaitre car Tarask avait eu le temps d'apprendre de ce monde récoltant les informations de deux livres dont l'un relatant 25 années de vie dont 20 d'errance dans ce monde. Il les avait trouvées et dorénavant lu. Mais il avait aussi complété leurs informations avec celles qu'il avait appris lors de son ancien emploi.
     
    Il continua à parler un long moment jusqu'à assez tard dans la nuit répondant aux questions de Yoko, d'alvaro et parfois même de morda (dont peut être une ou deux de Kira) comme il le pouvait car bien qu'il avait retenue de nombreuses connaissances, elles n'étaient encore que superficielles sur de nombreux points et il ne put trouver de réponse à toutes. Il finit le descriptif des glyphes et...
     
    [...]
     
    " Voila. Je pense que vous en sachez presque autant que moi maintenant... Le reste devrait être du domaine de Morda qui connait ce monde depuis plus longtemps que moi..."
     
    Morda le regarde, surpris...
     
    "De quoi tu parles ? tu es plus agé que moi non ? tu connais déjà bien plus que je ne connais moi même sur certains sujets..."
     
    Tarask sourit,
     
    "Peut être, mais à l'origine je suis comme eux. Je viens aussi d'un autre monde... Bien que chez moi ce ne fut pas volontaire" dit il d'un ton enjoué
     
    ...silence géné.... Tarask pour ce détourner du regard inquisiteurs de morda, brulant surement de poser quelques questions sur les autres mondes d'où viennent ses trois compagnons, se tourne vers Alvaro
     
    Celui-ci semble plonger dans ses pensées. Quelque secondes plus tard il commence une question :
     
    " Il y a une chose dont tu nous as pas dit... comment sait on si nous avons un glyphe ? et si oui, de quel glyphe nous sommes ?"
     
    Yoko : "pas faux ça ! C'est bien de savoir quel glyphe correspond a quoi mais comment les gens d'ici savent qui est une porteur de glyphe et qui ne l'est pas ?"
     
    Tarask : "Et bien généralement, ils ne le savent pas, bien qu'il y est des moyens pour le découvrir. Cependant ils sont méconnus et généralement nécessite la bonne volonté de l'individu, de deviner l'élément et enfin d'avoir un porteur de glyphe sous la main. En temps normal, soit le porteur découvre ces pouvoirs de lui même soit il appartient a une famille où les glyphes sont monnaie courante et ils subit les tests et l'entrainement très jeune"
     
    Mordakan : "en effet, j'ai découvert mon pouvoir par hasard et d'après ce que j'ai pus voir c'est aussi le cas pour tu sais qui"
    Yoko regarde Morda en biais, se demandant qui est 'tu sais qui' et puis elle soupire
    "Et je suppose qu'aucun de vous deux ne connaissent les 'méthodes' pour savoir si une personne est porteur d'un glyphe"
     
    Tarask réflechit un peu et sourit
    "Et bien je suis ravis de t'informer que tu te trompes... J'en connais une très simple bien qu'un peu risqué mais qui devrais marcher très bien avec une femme"
     
    Yoko, méfiante : "mouais je sais pas pourquoi mais d'un coup j'ai pas trop confiance"
     
    Tarask : "t'inquiète pas si ça peut te rassurer je peux faire en sorte que se soit Morda qui va t'aider à trouver ton glyphe si tu en as un"
     
    Yoko, toujours suspicieuse : " Allez bon ok ! de tout de façon j'ai rien à perdre en essayant..."
     
    Tarask s'approche de Morda : " Alors voila la technique est simple tu te met dans le dos de Yoko et puis tu ..........".
     
    Morda : "Mais tu es un malade" 0.o
     
    Tarask : " tu penses que ça va marcher oui ou non ?"
     
    Morda : " oui mais c'est risqué... pour moi"
     
    Tarask : "De nous deux je peux mettre ma main au feu que c'est toi qui risque le moins d'y rester"
     
    Yoko : " De quoi y rester ? 0.o je croyais que c'était qu'un 'peu' risquer ?"
    Morda : "non t'inquiéte pas il y a pas de problème... juste que... pardon d'avance Yoko"
    Yoko :" Pardon de quoi ? " ô.o
     
    Morda, géné : "de rien, de rien..."
    Jusque là Alvaro n'avait pas bougé d'un pouce écoutant avec intérêt la conversation...
     
    Morda : " Surtout Yoko, tu bouge pas..."
     
    Morda se met alors derrière Yoko... se prepare a jeter un sort de bouclier de glace a tout moment... demande à Yoko de lever les bras... respire un grand coup... et passe les mains sous les bras de Yoko pour toucher...
     
    sa poitrine...
     
    "KYAAAAAAAAAAAAAAAA !!!"
     
    La réaction ne se fait pas attendre une flamme rouge engloutit d'un seul coup le corps de Yoko, Morda n'a que le temps de retirer ses mains et de créer un bouclier de glace pour bloquer les flammes mais cela ne l'empêche pas de se prendre une prise d'art martiaux qui l'envoie balader six mêtres plus loin....
     
    Alvaro pendant ce temps c'est relevé et fonce accompagné d'une myriade tentacules ténébreuses toutes pointées vers l'auteur de cet outrage : Tarask
     
    Il le plaque sur un arbre et lui met une dague sur la gorge
     
    Alvaro, avec un ton menacant : "Qu'est ce que ça veut dire ?"
     
    Tarask, plus détendu qu'il ne l'aurait du : "Bah vous vouliez savoir si vous aviez le pouvoir des glyphes... Voila chose faite tu es une porteur du glyphe Obscura et Yoko du glyphe Magma. Vous devriez me remercier il m'a fallut deux semaines entières pour savoir si j'avais un glyphe et de quel nature il était avec les moyens... conventionnels. Et la on avait plus trop de temps pour ce poser ce genre de question..."
     
    Yoko, d'une voix autoritaire : "Alvaro ! Lache Tarask"
     
    Alvaro : "Non ! Tu vas pas le laisser te payer notre tête comme ça ?"
     
    Yoko : "Alvaro ! C'est pas le moment.... on est encerclé !"...
     
    Alvaro regarde autour du camps à la lisière de la lumière et des ténèbres....
     
    C'etait vrai
  18. Utile
    tarask le rouge a reçu une réaction de Devi-chan dans [RP] Les chroniques de la Terra Incognita   
    [Lieu : À la frontière entre Nashim et Galbadia
    Personnages: Yoko , Alvaro, Morda, Kira, Tarask]
     

     
     
    Et ils finirent de manger tout les quatre (cinq si on compte Kira).
     
    Après cela, Tarask pris la parole et il leur raconta de nombreuses choses... sur les pouvoirs magiques, les glyphes, les problèmes de la magie venant d'autre monde, les spectres, les monstres qui parcourent cette terre, l'emplacement des villes, leurs histoires et leurs spécificité quand il avait lui même les infos. Il les mis en garde sur certaines plantes et sur certaines choses que même morda ne semblait pas connaitre car Tarask avait eu le temps d'apprendre de ce monde récoltant les informations de deux livres dont l'un relatant 25 années de vie dont 20 d'errance dans ce monde. Il les avait trouvées et dorénavant lu. Mais il avait aussi complété leurs informations avec celles qu'il avait appris lors de son ancien emploi.
     
    Il continua à parler un long moment jusqu'à assez tard dans la nuit répondant aux questions de Yoko, d'alvaro et parfois même de morda (dont peut être une ou deux de Kira) comme il le pouvait car bien qu'il avait retenue de nombreuses connaissances, elles n'étaient encore que superficielles sur de nombreux points et il ne put trouver de réponse à toutes. Il finit le descriptif des glyphes et...
     
    [...]
     
    " Voila. Je pense que vous en sachez presque autant que moi maintenant... Le reste devrait être du domaine de Morda qui connait ce monde depuis plus longtemps que moi..."
     
    Morda le regarde, surpris...
     
    "De quoi tu parles ? tu es plus agé que moi non ? tu connais déjà bien plus que je ne connais moi même sur certains sujets..."
     
    Tarask sourit,
     
    "Peut être, mais à l'origine je suis comme eux. Je viens aussi d'un autre monde... Bien que chez moi ce ne fut pas volontaire" dit il d'un ton enjoué
     
    ...silence géné.... Tarask pour ce détourner du regard inquisiteurs de morda, brulant surement de poser quelques questions sur les autres mondes d'où viennent ses trois compagnons, se tourne vers Alvaro
     
    Celui-ci semble plonger dans ses pensées. Quelque secondes plus tard il commence une question :
     
    " Il y a une chose dont tu nous as pas dit... comment sait on si nous avons un glyphe ? et si oui, de quel glyphe nous sommes ?"
     
    Yoko : "pas faux ça ! C'est bien de savoir quel glyphe correspond a quoi mais comment les gens d'ici savent qui est une porteur de glyphe et qui ne l'est pas ?"
     
    Tarask : "Et bien généralement, ils ne le savent pas, bien qu'il y est des moyens pour le découvrir. Cependant ils sont méconnus et généralement nécessite la bonne volonté de l'individu, de deviner l'élément et enfin d'avoir un porteur de glyphe sous la main. En temps normal, soit le porteur découvre ces pouvoirs de lui même soit il appartient a une famille où les glyphes sont monnaie courante et ils subit les tests et l'entrainement très jeune"
     
    Mordakan : "en effet, j'ai découvert mon pouvoir par hasard et d'après ce que j'ai pus voir c'est aussi le cas pour tu sais qui"
    Yoko regarde Morda en biais, se demandant qui est 'tu sais qui' et puis elle soupire
    "Et je suppose qu'aucun de vous deux ne connaissent les 'méthodes' pour savoir si une personne est porteur d'un glyphe"
     
    Tarask réflechit un peu et sourit
    "Et bien je suis ravis de t'informer que tu te trompes... J'en connais une très simple bien qu'un peu risqué mais qui devrais marcher très bien avec une femme"
     
    Yoko, méfiante : "mouais je sais pas pourquoi mais d'un coup j'ai pas trop confiance"
     
    Tarask : "t'inquiète pas si ça peut te rassurer je peux faire en sorte que se soit Morda qui va t'aider à trouver ton glyphe si tu en as un"
     
    Yoko, toujours suspicieuse : " Allez bon ok ! de tout de façon j'ai rien à perdre en essayant..."
     
    Tarask s'approche de Morda : " Alors voila la technique est simple tu te met dans le dos de Yoko et puis tu ..........".
     
    Morda : "Mais tu es un malade" 0.o
     
    Tarask : " tu penses que ça va marcher oui ou non ?"
     
    Morda : " oui mais c'est risqué... pour moi"
     
    Tarask : "De nous deux je peux mettre ma main au feu que c'est toi qui risque le moins d'y rester"
     
    Yoko : " De quoi y rester ? 0.o je croyais que c'était qu'un 'peu' risquer ?"
    Morda : "non t'inquiéte pas il y a pas de problème... juste que... pardon d'avance Yoko"
    Yoko :" Pardon de quoi ? " ô.o
     
    Morda, géné : "de rien, de rien..."
    Jusque là Alvaro n'avait pas bougé d'un pouce écoutant avec intérêt la conversation...
     
    Morda : " Surtout Yoko, tu bouge pas..."
     
    Morda se met alors derrière Yoko... se prepare a jeter un sort de bouclier de glace a tout moment... demande à Yoko de lever les bras... respire un grand coup... et passe les mains sous les bras de Yoko pour toucher...
     
    sa poitrine...
     
    "KYAAAAAAAAAAAAAAAA !!!"
     
    La réaction ne se fait pas attendre une flamme rouge engloutit d'un seul coup le corps de Yoko, Morda n'a que le temps de retirer ses mains et de créer un bouclier de glace pour bloquer les flammes mais cela ne l'empêche pas de se prendre une prise d'art martiaux qui l'envoie balader six mêtres plus loin....
     
    Alvaro pendant ce temps c'est relevé et fonce accompagné d'une myriade tentacules ténébreuses toutes pointées vers l'auteur de cet outrage : Tarask
     
    Il le plaque sur un arbre et lui met une dague sur la gorge
     
    Alvaro, avec un ton menacant : "Qu'est ce que ça veut dire ?"
     
    Tarask, plus détendu qu'il ne l'aurait du : "Bah vous vouliez savoir si vous aviez le pouvoir des glyphes... Voila chose faite tu es une porteur du glyphe Obscura et Yoko du glyphe Magma. Vous devriez me remercier il m'a fallut deux semaines entières pour savoir si j'avais un glyphe et de quel nature il était avec les moyens... conventionnels. Et la on avait plus trop de temps pour ce poser ce genre de question..."
     
    Yoko, d'une voix autoritaire : "Alvaro ! Lache Tarask"
     
    Alvaro : "Non ! Tu vas pas le laisser te payer notre tête comme ça ?"
     
    Yoko : "Alvaro ! C'est pas le moment.... on est encerclé !"...
     
    Alvaro regarde autour du camps à la lisière de la lumière et des ténèbres....
     
    C'etait vrai
  19. Utile
    tarask le rouge a reçu une réaction de Noodle dans [RP] Les chroniques de la Terra Incognita   
    [Lieu : À la frontière entre Nashim et Galbadia
    Personnages: Yoko , Alvaro, Morda, Kira, Tarask]
     

     
     
    Et ils finirent de manger tout les quatre (cinq si on compte Kira).
     
    Après cela, Tarask pris la parole et il leur raconta de nombreuses choses... sur les pouvoirs magiques, les glyphes, les problèmes de la magie venant d'autre monde, les spectres, les monstres qui parcourent cette terre, l'emplacement des villes, leurs histoires et leurs spécificité quand il avait lui même les infos. Il les mis en garde sur certaines plantes et sur certaines choses que même morda ne semblait pas connaitre car Tarask avait eu le temps d'apprendre de ce monde récoltant les informations de deux livres dont l'un relatant 25 années de vie dont 20 d'errance dans ce monde. Il les avait trouvées et dorénavant lu. Mais il avait aussi complété leurs informations avec celles qu'il avait appris lors de son ancien emploi.
     
    Il continua à parler un long moment jusqu'à assez tard dans la nuit répondant aux questions de Yoko, d'alvaro et parfois même de morda (dont peut être une ou deux de Kira) comme il le pouvait car bien qu'il avait retenue de nombreuses connaissances, elles n'étaient encore que superficielles sur de nombreux points et il ne put trouver de réponse à toutes. Il finit le descriptif des glyphes et...
     
    [...]
     
    " Voila. Je pense que vous en sachez presque autant que moi maintenant... Le reste devrait être du domaine de Morda qui connait ce monde depuis plus longtemps que moi..."
     
    Morda le regarde, surpris...
     
    "De quoi tu parles ? tu es plus agé que moi non ? tu connais déjà bien plus que je ne connais moi même sur certains sujets..."
     
    Tarask sourit,
     
    "Peut être, mais à l'origine je suis comme eux. Je viens aussi d'un autre monde... Bien que chez moi ce ne fut pas volontaire" dit il d'un ton enjoué
     
    ...silence géné.... Tarask pour ce détourner du regard inquisiteurs de morda, brulant surement de poser quelques questions sur les autres mondes d'où viennent ses trois compagnons, se tourne vers Alvaro
     
    Celui-ci semble plonger dans ses pensées. Quelque secondes plus tard il commence une question :
     
    " Il y a une chose dont tu nous as pas dit... comment sait on si nous avons un glyphe ? et si oui, de quel glyphe nous sommes ?"
     
    Yoko : "pas faux ça ! C'est bien de savoir quel glyphe correspond a quoi mais comment les gens d'ici savent qui est une porteur de glyphe et qui ne l'est pas ?"
     
    Tarask : "Et bien généralement, ils ne le savent pas, bien qu'il y est des moyens pour le découvrir. Cependant ils sont méconnus et généralement nécessite la bonne volonté de l'individu, de deviner l'élément et enfin d'avoir un porteur de glyphe sous la main. En temps normal, soit le porteur découvre ces pouvoirs de lui même soit il appartient a une famille où les glyphes sont monnaie courante et ils subit les tests et l'entrainement très jeune"
     
    Mordakan : "en effet, j'ai découvert mon pouvoir par hasard et d'après ce que j'ai pus voir c'est aussi le cas pour tu sais qui"
    Yoko regarde Morda en biais, se demandant qui est 'tu sais qui' et puis elle soupire
    "Et je suppose qu'aucun de vous deux ne connaissent les 'méthodes' pour savoir si une personne est porteur d'un glyphe"
     
    Tarask réflechit un peu et sourit
    "Et bien je suis ravis de t'informer que tu te trompes... J'en connais une très simple bien qu'un peu risqué mais qui devrais marcher très bien avec une femme"
     
    Yoko, méfiante : "mouais je sais pas pourquoi mais d'un coup j'ai pas trop confiance"
     
    Tarask : "t'inquiète pas si ça peut te rassurer je peux faire en sorte que se soit Morda qui va t'aider à trouver ton glyphe si tu en as un"
     
    Yoko, toujours suspicieuse : " Allez bon ok ! de tout de façon j'ai rien à perdre en essayant..."
     
    Tarask s'approche de Morda : " Alors voila la technique est simple tu te met dans le dos de Yoko et puis tu ..........".
     
    Morda : "Mais tu es un malade" 0.o
     
    Tarask : " tu penses que ça va marcher oui ou non ?"
     
    Morda : " oui mais c'est risqué... pour moi"
     
    Tarask : "De nous deux je peux mettre ma main au feu que c'est toi qui risque le moins d'y rester"
     
    Yoko : " De quoi y rester ? 0.o je croyais que c'était qu'un 'peu' risquer ?"
    Morda : "non t'inquiéte pas il y a pas de problème... juste que... pardon d'avance Yoko"
    Yoko :" Pardon de quoi ? " ô.o
     
    Morda, géné : "de rien, de rien..."
    Jusque là Alvaro n'avait pas bougé d'un pouce écoutant avec intérêt la conversation...
     
    Morda : " Surtout Yoko, tu bouge pas..."
     
    Morda se met alors derrière Yoko... se prepare a jeter un sort de bouclier de glace a tout moment... demande à Yoko de lever les bras... respire un grand coup... et passe les mains sous les bras de Yoko pour toucher...
     
    sa poitrine...
     
    "KYAAAAAAAAAAAAAAAA !!!"
     
    La réaction ne se fait pas attendre une flamme rouge engloutit d'un seul coup le corps de Yoko, Morda n'a que le temps de retirer ses mains et de créer un bouclier de glace pour bloquer les flammes mais cela ne l'empêche pas de se prendre une prise d'art martiaux qui l'envoie balader six mêtres plus loin....
     
    Alvaro pendant ce temps c'est relevé et fonce accompagné d'une myriade tentacules ténébreuses toutes pointées vers l'auteur de cet outrage : Tarask
     
    Il le plaque sur un arbre et lui met une dague sur la gorge
     
    Alvaro, avec un ton menacant : "Qu'est ce que ça veut dire ?"
     
    Tarask, plus détendu qu'il ne l'aurait du : "Bah vous vouliez savoir si vous aviez le pouvoir des glyphes... Voila chose faite tu es une porteur du glyphe Obscura et Yoko du glyphe Magma. Vous devriez me remercier il m'a fallut deux semaines entières pour savoir si j'avais un glyphe et de quel nature il était avec les moyens... conventionnels. Et la on avait plus trop de temps pour ce poser ce genre de question..."
     
    Yoko, d'une voix autoritaire : "Alvaro ! Lache Tarask"
     
    Alvaro : "Non ! Tu vas pas le laisser te payer notre tête comme ça ?"
     
    Yoko : "Alvaro ! C'est pas le moment.... on est encerclé !"...
     
    Alvaro regarde autour du camps à la lisière de la lumière et des ténèbres....
     
    C'etait vrai
  20. Utile
    tarask le rouge a reçu une réaction de Devi-chan dans [Dessin] Les brouillons de tarask......   
    voici mes dernieres créations et demande :3 Sandyh m'a demander pour un kit en voila le premier essai de sign et j'ai réalisé un avatar pour Deviluke qui en voulais dans la même forme que kogal et quelque membres du forum mais avec les couleur de yoko xD
     
    par contre pour ceux qui en sont sur vous pouvez vérifier que le pseudo de Deviluke est correctement écrit '-'

     


  21. Utile
    tarask le rouge a réagi à Hinata dans [Graphisme] Galerie Hinata   
    Nouvelle signature :d
     
     
  22. Utile
    tarask le rouge a reçu une réaction de Devi-chan dans [RP] Les chroniques de la Terra Incognita   
    [Lieu : À la frontière entre Nashim et Galbadia
    Personnages: Yoko , Alvaro, Morda, Kira, Tarask]
     

     
    Tarask regarde les deux nouveaux se lever du pauvre Morda... ou Kira dans l'état où ils se trouvent on ne sait pas trop qui est aux commandes.
     
    dire qu'il venait tout juste de finir de soigner et panser la plaie...
     
    Tarask se troune vers les deux personnes
    "- Qui êtes vous ?" dit il d'un ton calme.
     
    les deux autres se regardent... peut être un peu de méfiance...
    -"Yoko" dit la femme "désolé pour votre ami se n'était pas fait exprès"
     
    Tarask dévisage l'autre compère...
     
    -" Et toi ?"
     
    -"...........Alvaro....", dit-il d'une voie distraite en regardant les environs, "Où sommes nous ?".
     
    ... Il y avait un truc qui clochait.Tarask ne les avait pas entendu arrivé... et eux même étaient à première vue surpris de cette rencontre...
     
    Il réfléchit un peu et trouva une explication peu probable mais simple... il venait d'arriver de nul part, une téléportation ou un changement de dimension... peut être les deux...
     
    Tarask souffla...
     
    Alvaro et Yoko se tourne vers lui,
     
    -"Je suppose que vous ne savez pas ou ce trouve la ville la plus proche ?"
     
    Alvaro reste silencieux
    -"Effectivement on ne sait pas" fait Yoko presque fiérement.
     
    -" ok je vois le problème... bon trois questions : téléportation volontaire ou non ? connaissez vous Galbadia ? et voulez vous de l'aide ou non ?"
     
    Yoko sourit:
     
    -" Volontaire, non et oui on veut bien".
     
    -"Alors aidez moi à refaire les bandages de mon compagnon je paris que vous avez rouvert légèrement la plaie avec votre atterrissage forcé. Ensuite on installera notre camp ici. Vu ce que j'ai a vous apprendre sur ce monde la nuit va être longue.."
     
    Tarask tend la main a yoko
    "-ok ?"
     
    Yoko rend la poignée de main a Tarask
     
    -"ça marche" fait elle avec un grand sourire
     
    -"je suis Tarask et l'homme par terre s'appelle Morda"
    ...
  23. Utile
    tarask le rouge a reçu une réaction de Mordakan dans [RP] Les chroniques de la Terra Incognita   
    [Lieu : À la frontière entre Nashim et Galbadia
    Personnages: Yoko , Alvaro, Morda, Kira, Tarask]
     

     
    Tarask regarde les deux nouveaux se lever du pauvre Morda... ou Kira dans l'état où ils se trouvent on ne sait pas trop qui est aux commandes.
     
    dire qu'il venait tout juste de finir de soigner et panser la plaie...
     
    Tarask se troune vers les deux personnes
    "- Qui êtes vous ?" dit il d'un ton calme.
     
    les deux autres se regardent... peut être un peu de méfiance...
    -"Yoko" dit la femme "désolé pour votre ami se n'était pas fait exprès"
     
    Tarask dévisage l'autre compère...
     
    -" Et toi ?"
     
    -"...........Alvaro....", dit-il d'une voie distraite en regardant les environs, "Où sommes nous ?".
     
    ... Il y avait un truc qui clochait.Tarask ne les avait pas entendu arrivé... et eux même étaient à première vue surpris de cette rencontre...
     
    Il réfléchit un peu et trouva une explication peu probable mais simple... il venait d'arriver de nul part, une téléportation ou un changement de dimension... peut être les deux...
     
    Tarask souffla...
     
    Alvaro et Yoko se tourne vers lui,
     
    -"Je suppose que vous ne savez pas ou ce trouve la ville la plus proche ?"
     
    Alvaro reste silencieux
    -"Effectivement on ne sait pas" fait Yoko presque fiérement.
     
    -" ok je vois le problème... bon trois questions : téléportation volontaire ou non ? connaissez vous Galbadia ? et voulez vous de l'aide ou non ?"
     
    Yoko sourit:
     
    -" Volontaire, non et oui on veut bien".
     
    -"Alors aidez moi à refaire les bandages de mon compagnon je paris que vous avez rouvert légèrement la plaie avec votre atterrissage forcé. Ensuite on installera notre camp ici. Vu ce que j'ai a vous apprendre sur ce monde la nuit va être longue.."
     
    Tarask tend la main a yoko
    "-ok ?"
     
    Yoko rend la poignée de main a Tarask
     
    -"ça marche" fait elle avec un grand sourire
     
    -"je suis Tarask et l'homme par terre s'appelle Morda"
    ...
  24. Utile
    tarask le rouge a réagi à Mordakan dans [RP] Les chroniques de la Terra Incognita   
    [Lieu : À la frontière entre Nashim et Galbadia
    Personnages: Morda, Kira, Tarask]

     
     
    Tarask, entendant un bruit, se tourne la tête et aperçoit Morda, debout. Tarask sait que quelque chose cloche en regardant Morda, qui le regardait à son tour avec un regard sans émotion. Instinctivement, un mot s'échappe de sa bouche :
     
    - Kira
     
    Kira prend son couteau et commence à marcher autour de Tarask. Il fait encore nuit mais les 2 sont capables de très bien se voir : Tarask, utilisant la magie de lumière, a probablement une bonne vision dans le noir, tandis que Kira, bien que n'utilisant pas la magie des ténèbres, sait de nature comment se repérer dans la nuit.
     
    - Je ne sais pas pourquoi il est épuisé mais bon, j'allais m'amuser avec lui de toute façon.- se dit Kira.
     
    Kira analyse Tarask et finit par poser les yeux sur le livre qu'il a dans les mains. Le livre, tout de blanc, a comme couverture principal le glyphe Luna.
     
    - Mais c'est un livre bien intéressant que tu as l'air de tenir dans tes mains. De quel genre de livre s'agit-il? Ahhh laisse, pas besoin de le savoir. Je le saurai après l'avoir récupérer.
    - Et comment comptes-tu t'y prendre? Saleté de criminel.
    - Ne te force pas, Tarask. Tu as beau aboyé comme un chien enragé, on voit bien que tu es épuisé. Peut-être est-ce à cause de ce livre? Raison de plus pour l'obtenir si tu y tiens tant.
     
    Kira et Tarask, après une semaine de marche, sont maintenant rendu à la frontière entre le désert et les grandes plaines. La marche avait été dure, à toujours marcher dans le sable sous le soleil flamboyant. Mais maintenant qu'ils sont arrivés proches des plaines, la marche sera plus facile, mais ça voulait aussi annoncé que le plan de Kira peut enfin commencé. À une vingtaine de mètres de leur position, sur le territoire de Galbadia, des mercenaires quittent leurs couvertures rocheuses afin de s'aventurer dans le désert.
     
    - Je crois que tu comprends la suite maintenant. Je vais m'enfuir en ramassant tous tes biens et je vais me recommencer une vie à la capitale. Mon rêve de conquête pourra enfin s'amorcer : obtenir toutes les sphères de la pègre de la capitale ! Je vais penser à toi lorsque j'aurai le contrôle du monde criminel. Si tu veux, je peux même écriture ton nom dans la chair de mes prochaines victimes, en signe de respect.
     
    Sur ces mots, Kira s'éloigne tranquillement de Tarask alors que les mercenaires, embauchés par le glyphe Psychose, approche de la position de l'homme assit sur le sol. Kira avait prévu ce plan depuis longtemps: il avait retrouvé l'homme avec qui Morda s'était battu aux marchés, avant de quitter Nashim, et lui avait "demandé" s'il pouvait le rejoindre à la frontière et attendre son signal. Son plan avait une faille, mais cette faille est comblé puisque Tarask a l'air sans défense. Il est entouré de toute part, ne pouvant s'échapper. Kira entendit alors :
     
    - Retourne toi et va l'aider, connard ! Tu crois vraiment que je vais te laisser partir ainsi? Tu crois vraiment pouvoir me contrôler à ta guise? Tu te trompes !
     
    Malgré les efforts de Morda qui essaie de reprendre son corps, rien n'ébranle Kira. Morda a l'impression d'être retenu de partout par les autres "occupants" de son corps. Il ne peut rien faire mais continue tout de même:
     
    - Je t'ordonne de retourner là-bas et de l'aider ! Tu crois vraiment que le laisser mourir là va te faire sentir mieux?
    - Mais bien sûr ! Grâce à ce qu'on a acheté, je vais arriver à la capitale avec encore plus de biens alors mes chances de survie augmentent, ainsi que les chances de mon rêve !
    - Tu vas vraiment laisser un ami mourir ?!
     
    Une cloche retend dans l'esprit de Kira. Un ami? Est-ce que je considère cet homme comme un ami? Impossible ! J'en ai jamais eu et j'en ai pas besoin ! Kira arrête de marcher. Un flash-back lui revient en tête. Kira et Tarask étaient sur le bord de la rivière. Ils pêchaient et Tarask était impressionné par le nombre de poissons que Kira pouvait sortir. Bien entendu, il commandait les poissons pour qu'ils sortent de l'eau mais tout de même ...Est-ce que les choses doivent se dérouler ainsi? Il va alors couper le lien qu'il a entre lui et les mercenaires mais rien ne fonctionne. Il ne peut pas utiliser correctement son glyphe, peut-être dû au mini-choc émotionnel qu'il vient de vivre.
     
    - Et pis merde !
     
    Kira se retourne en vitesse, réduit l'écart entre eux et poignarde dans le dos le premier mercenaire qu'il voit. Les autres se retourne et engagent alors le combat. Kira, avec sa très grande dextérité au couteau, les découpent un par un tout en esquivant le grand nombre d'épées venant vers lui. Les mercenaires lui firent quelques égratignures sur le corps, mais il réussit quand même à les tuer. Le dernier mercenaire en vie lui plante son épée dans le côté droit du ventre avant de mourir. Kira, qui n'avait jamais été autant blessé, se laisse tombé sur le sol et commence à gémir de douleur. Tarask regarde Kira d'un air froid pendant un instant mais tout bascule lorsqu'il entend et reconnait la façon de parler à Morda :
     
    - Aide-moi ..
  25. Utile
    tarask le rouge a réagi à Artyk dans [Dessin] Les brouillons de tarask......   
    Namého ! C'EST QUOI CE DELIRE !!!
     
    Il y a trop de beaux trucs ici en ce moment, oh faut se calmer les graphistes là ! Bon t'as compris, j'adore ta sig, elle a trop la classe.
     
    Nan mais vraiment quoi. xD
    C'est cool, tes 7 personnalités sont concrétisées~~
     
     
    ...*regarde plus loin* Wai en fait j'adore tout ce que tu fais. O.o
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