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Final Fantasy IV The Complete Collection


Byakko
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FINAL FANTASY IV THE COMPLETE COLLECTION

 

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Titre : Final Fantasy IV: The Complete Collection

Genre : RPG/Compilation

Date de sortie française : 22 avril 2011

Développeur : Square Enix

Éditeur : Square Enix

Multijoueur : Non

Support : PSP

Voix : Sans

Sous-titres : Anglais, Français ou Japonais

PEGI : 12+

Prix de lancement : 40 €

Conception du scénario : Takashi Tokita

Producteur : Hiroyuki Miura

Illustrations : Yoshitaka Amano

Compositeurs : Junya Nakano (musique arrangée) / Nobuo Uematsu (musique standard)

 

 

Histoire

Il fut un temps où le monde prospérait grâce au royaume de Baron, un puissant empire ayant sous sa tutelle une armée de soldats et de chevaliers dragon. C'était sans compter grâce à l'invention des aéronefs que cette nation pouvait asseoir sa puissance militaire. Cécil, un chevalier noir à la tête du commandement des Red Wings (l'élite des forces militaires de Baron) est envoyé en mission pour s'emparer des cristaux élémentaires des autres nations sous les ordres du roi, quitte à employer la force pour s'acquitter de sa tâche. Le chevalier ne tarde pas à réaliser que les actions qu'entreprend son souverain n'ont rien de noble. À son retour au château, il interroge le roi sur ses réelles motivations. Pourquoi l'empire de Baron convoite les cristaux élémentaires et désire étendre son expansion de pouvoir dans le monde entier ? Cécil est alors relevé de ses fonctions pour douter du jugement du monarque et se voit confier une nouvelle mission où il sera accompagné par Kaïn, un chevalier dragon émérite. Cécil choisira finalement la voie de la rédemption et renoncera à celle de la destruction. Il s'alliera à de nouveaux compagnons qui l'aideront dans sa quête pour récupérer les cristaux élémentaires avant Baron.

 

 

Personnages

 

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Cécil Harvey セシル ハーヴィ

(Chevalier noir)

Capitaine des Red Wings et fils adoptf du roi de l'empire de Baron. Le personnage principal de l'histoire est un chevalier noir qui suit scrupuleusement les ordres de son souverain au tout début de l'aventure. Cependant, après avoir attaqué la ville de Mysidia et dérobé son cristal, Cécil ne tardera pas à réaliser l'ampleur des actes de barbarie de son roi et à remettre en doute sa manière de gouverner. Bien assez tôt, il se retrouvera entraîné dans une spirale d'évènements qui l'amènera à affronter son passé de chevalier obscur. C'est un homme loyal et protecteur mais dont le coeur semble rongé par le remord.

 

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Cécil Harvey セシル ハーヴィ

(Paladin)

L'apparence de Cécil après avoir surmonté une rude epreuve en affrontant son alter-ego et fait la paix avec son âme. Il est capable de manier une importante variété d'armes blanches puissantes. En outre, Cécil peut maîtriser la magie blanche puisqu'il est désormais investi du pouvoir sacré de la lumière. Ce faisant, il sera plus déterminé que jamais à démêler le complot qui se trame au sein de l'empire de Baron souhaitant étendre sa main-mise dans le monde entier.

 

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Kaïn Highwind カイン ハイウインド

(Chevalier dragon)

Commandant des chevaliers dragon du royaume de Baron et ami d'enfance de Cécil et Rosa. Sa rivalité avec Cécil pour conquérir le coeur de Rosa peut faire de lui une cible facile pour l'ennemi qui essaie de l'attirer dans ses rangs. Au premier abord, Kaïn paraît dévoué au monarque de Baron mais reste assez mystérieux quant à ses véritables motivations. Difficile à cerner comme personnage et d'anticiper ses actions. De prime abord froid et distant, il semble cependant compatissant. Kaïn maîtrise la lance à la perfection.

 

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Rydia リディア

(Invocatrice) (Enfant)

Une jeune invocatrice de Mist, un village d'invocateurs se situant dans une région entourée de chaînes de montagnes et couverte de brume. À première vue, elle semble timorée et peu encline à parler d'elle. Rydia est issue d'une longue lignée de mages puissants et possède un grand potentiel de la magie noire et blanche. Elle peut invoquer des créatures mystiques appelées "les éons". Aussi, elle possède une certaine maîtrise de la magie noire et blanche avec des sorts basiques à développer.

 

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Rydia リディア

(Invocatrice) (Jeune femme)

Rydia à l'âge adulte après avoir subi un entraînement intensif dans le royaume des éons où le passage du temps s'accélère en vivant auprès des éons. D'aucuns prétendent que le repaire de ces créatures ancestrales se situe quelque part dans le monde souterrain. Une fois son apprentissage complété, Rydia pourra exploiter la pleine mesure de ses pouvoirs d'invocatrice et utiliser des sortilèges d'un niveau avancé. Elle aura mis de coté sa timidité et sera plus résolue que jamais à aider Cécil et ses compagnons dans leur quête.

 

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Tellah テラ

(Sage)

Un célèbre et puissant mage, dont les pouvoirs sont reconnus par les plus hautes instances. Autrefois, il bénéficiait d'une grande panoplie de sorts mais sa magie a baissé en efficacité et la plupart de ses sortilèges ont disparu avec le passage du temps. Il paraît aigri et ses propos sont parfois assez tranchants mais il reste dans le fond un homme brave et de principe. Le vieillard se sert principalement de bâtons et de sceptres comme arme.

 

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Edward Chris Von Miur ギルバート クリス フォン ミューア

(Barde)

Le prince du royaume de Damcyan, situé dans une région désertique. Ce jeune homme à la beauté troublante est promis à la fille du sage Tellah. Le coeur d'Edward est habité par une générosité sans commune mesure mais, parallèlement, il semble en émaner de la mélancolie. Nonobstant sa position sociale, il préfère vivre en tant que barde nomade et parcourir le monde. Il utilise une harpe pour jouer de magnifiques requiems capables d'infliger des altérations d'état bégnignes à ses alliés et néfastes pour ses ennemis.

 

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Rosa Joanna Farrell ローザ ジョアンナ ファレル

(Mage blanc)

Une mage blanche réputée du royaume de Baron et l'amie d'enfance de Cécil et Kaïn. La forte amité qu'elle entretient avec Cécil a fait naître au fil du temps des sentiments mutuels entre les deux jeunes gens. Rosa est une très jolie jeune femme, plutôt de nature réservée mais douée d'une forte résolution. L'amour qu'elle éprouve en secret pour Cécil l'amènera parfois à prendre des décisions importantes et même à accomplir des actes de bravoure au moment où l'on s'y attend le moins. Par défaut, elle utilise un arc en combat.

 

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Yang Fang Leiden ヤン ファン ライデン

(Moine)

Grand maître des moines guerriers du royaume de Fabul. C'est un expert des arts martiaux à mains nues. Homme courtois mais peu loquace, Yang fait preuve d'une sérénité à toute épreuve même dans les situations délicates. Doté d'une grande force physique et étant de forte constitution, ce moine peut infliger de gros dégâts aussi bien à mains nues qu'avec des griffes en guise d'armes de corps à corps.

 

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Palom パロム

(Mage noir)

Un jeune apprenti mage noir de Mysidia. C'est un magicien prometteur qui excelle dans la maîtrise des sorts offensifs et qui est instruit par le sage de son village. Prétentieux et malpoli, Palom n'a pas toujours la langue dans sa poche. Il n'est pas rare qu'il se fasse réprimander par sa soeur jumelle Porom parce qu'il a tendance s'ingérer dans les affaires personnelles des gens.

 

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Porom ポロム

(Mage blanc)

Une jeune apprentie mage blanc de Mysidia. A contrario de son frère jumeau Palom, Porom est plus disciplinée et fait preuve d'une grande maturité pour son jeune âge. Elle est toujours derrière lui pour l'empêcher de faire des bêtises. C'est une fille sérieuse qui étudie les rudiments de la magie blanche. Elle et son frère devront escorter Cécil au Mont Supplice pour parfaire leur entraînement de mage.

 

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Cid Pollendina シド ポレンディーナ

(Ingénieur)

Ingénieur en chef des aéronefs des Red Wings de l'armée de Baron. En dépit de son grand âge, c'est un homme au grand coeur qui déborde de vitalité et pense à ses compagnons avant lui. Sa plus grande passion est de construire des zeppelins pour voler librement dans les cieux aux quatre coins du globe. Cid est également un très bon ami de Cécil et Rosa et ils leur donnera souvent de précieux conseils tout au long du l'aventure.

 

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Edge エッジ

(Ninja)

Le prince du royaume d'Eblan constitué de ninjas et dont l'art des ninjutsu se transmet de génération en génération. Edge est un séducteur impénitent et ne manquera pas une occasion de draguer les filles du groupe de nos héros avec lequel il voyagera. Bien qu'il adore faire son intéressant, il est très honoré dans sa patrie. Il lui arrive aussi de foncer tête baissée dans certaines situations mais malgré sa témérité, c'est un homme chaleureux avec un sens de l'humour assez particulier.

 

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Fusoya フースーヤ

(Sage Lunarien)

Un mystérieux habitant de la lune que le groupe rencontre à un stade avancé de l'aventure. Fusoya sait beaucoup de choses sur la terre et la lune. Il possède une grande variété de sorts mais a une faible endurance physique en contrepartie.

 

 

Trailer

 

 

 

Critique

Gameplay

Cette compilation se compose de trois jeux se définissant comme une trilogie mais distincts dans la mesure où il n'y a pas la moindre interaction entre eux. C'est-à-dire qu'aucune sauvegarde (incluant le niveau actuel des personnages, les sorts, l'équipement, les Gils, etc...) ne peut être transférée d'un jeu à l'autre, les rendant indépendants les uns des autres concernant l'évolution du joueur. Après avoir visionné ou passé la magnifique cinématique d'introduction de Final Fantasy IV: The After Years, vous avez le choix entre trois épisodes : Final Fantasy IV, Final Fantasy IV: Interlude et Final Fantasy IV: Les Années Suivantes.

Ainsi qu'une galerie d'artworks spécialement designés par Yoshitaka Amano, un lecteur de cinématiques du jeu et un sound test.

 

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Pour débloquer tous les bonus, il vous faudra au préalable compléter le Jeu Original, l'Interlude et Les Années Suivantes ainsi que le Bestiaire qui est connecté à chacune de ces étapes chronologiques.

 

Entrons à présent dans le vif du sujet. Après une version DS remodelée en 3D, ce remake revient à la 2D avec une refonte graphique qui lui va à ravir, pour se rapprocher ainsi bien plus de l'esprit de l'original. Le gameplay reste classique à souhait, vous voyagez de villes (villages/châteaux) en donjons (cavernes/tours labyrinthiques) en arpentant une mappemonde classique vue en hauteur. Vous faites progresser votre équipe en faisant des combats et en achetant de l'équipement comme des casques, des armures, des gantelets et des armes propres à certains personnages. Les chevaliers et paladins se munissent d'épées ou de haches, les chevaliers dragon utilisent principalement des lances, les mages des sceptres ou des bâtons (ou des arcs suivant le personnage), pour ne citer qu'eux. Il y a des personnages droitiers, gauchers et ambidextres.

 

Les lieux à explorer fourmillent de passages secrets et parfois même de raccourcis. La fréquence des combats est toujours aussi élevée car il n'est pas rare de tomber sur deux ou trois affrontements à la suite en faisant à peine quelques pas. Cela peut s'avérer horripilant à la longue. Paradoxalement, il peut arriver occasionnellement de traverser une courte section de donjon sans avoir à croiser le fer avec l'ennemi. Mais cela reste tout de même assez rare.

 

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Concernant les combats, Final Fantasy IV est le premier FF à avoir instauré le système "ATB" ("Active Time Battle" ou "Combat en Temps Actif"). Cette mécanique de gameplay a fait par la suite la renom du système de combat de la majorité des Final Fantasy parus ces dernières années. On retrouve donc par défaut ce système permettant à un personnage d'agir une fois que sa jauge ATB est remplie. Une petite nouveauté est qu'il est possible via le menu des réglages de déterminer l'ordre des tours d'action de vos combattants en appuyant sur la touche [Triangle] pour permuter entre eux lorsque leurs jauges ATB sont pleines. Cela permet d'agir plus promptement sans faire perdre de tour à vos persos comme c'était parfois le cas dans la version originale où il fallait obligatoirement entrer une commande (qui n'était pas forcément toujours adaptée à la situation) pour passer au personnage suivant. Cela rend donc les batailles plus stratégiques et intéressantes.

 

Autre particularité, le mode "Auto". Tout comme dans la version DS, lors d'un combat, vous pouvez passer en mode Auto juste en appuyant sur [select] pour que vos persos attaquent à outrance à la différence près que la vitesse de combat augmente considérablement, si bien que l'on peut avoir parfois du mal à suivre le déroulement des actions. Qu'à cela ne tienne, cette fonction permet de faire rapidement progresser votre équipe comprenant jusqu'à 5 personnages placés en formation d'alternance (trois sur la rangée avant, deux sur la rangée arrière ou inversément : deux devant et trois derrière). En règle générale, il convient de placer les mages en retrait et de garder les guerriers sur la ligne de front.

 

Chaque personnage appartient à une classe présentant des compétences propres (Chevalier noir, Paladin, Chevalier dragon, Mage blanc, Mage noir, Barde, Moine, etc...). Plus vos personnages évolueront et plus leur panel de compétences/magies s'étoffera. Ce faisant, ils deviendront plus efficaces au combat. Rien qui sorte de l'ordinaire donc, mais le level-up est plutôt exigeant à certains stades de la progression et vivement recommandé pour ne pas rencontrer trop de soucis contre les boss ou certains monstres tenaces le moment venu.

 

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Les petits défauts de la version classique de Final Fantasy IV sont toujours présents et cette mouture PSP n'y coupe pas. Ainsi, malgré quelques petites nouveautés implémentées (bestiaire un poil plus poussé, mode "Auto", donjons bonus ajoutés...), certains aspects du jeu ne changent guère. Les sorts ne se classent pas automatiquement mais par ordre d'obtention, ce qui vous oblige à faire systématiquement le tri manuellement dans votre inventaire pour mieux vous y retrouver au besoin. Sans parler que la quantité d'objets transportables est limitée à 48. Cependant, il y a le GrosChocobo que l'on peut trouver dans les forêts Chocobo, et qui stocke les objets dont nous n'avons pas besoin sur le moment. Par ailleurs, les articles (comme les flèches d'une même catégorie pour l'arc) achetés dans les boutiques ne se combinent pas entre eux, remplissant ainsi plus vite la liste des objets. Il faut donc faire un peu de ménage dans cette liste pour ne pas se retrouver rapidement avec un inventaire saturé.

 

La valeur des dégâts infligés dans les combats reste assez approximative par moment, que ce soit de la part de notre équipe ou des ennemis. Certains dialogues dans les combats et les scènes défileront par moment un peu trop vite à l'écran pour avoir le temps de les lire entièrement. Quelques rectifications ou améliorations n'auraient pas été de trop pour compenser ces quelques carences étant donné que FFIV est déjà sorti sur de nombreuses plateformes au fil des ans. D'autant plus que nous sommes en 2011 pour nous retrouver avec un remake de cette envergure qui n'apporte pas beaucoup d'innovations ou dont les quelques défauts n'ont pas été corrigés. Cela étant dit, le jeu reste malgré tout, toujours aussi prenant, même 20 ans après sa première parution.

 

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Hormis tout cela, on appréciera dans les combats l'apparition d'une fenêtre d'aide (en pressant la gâchette droite) décrivant la fonction de la commande signalée par le curseur dans le menu. Notons d'ailleurs que dans ce même menu de combat, les personnages bénéficient à présent d'un portrait, un peu comme dans les RPGs actuels. Pour sa part, le drop d'objet est toujours aussi aléatoire sur les ennemis et il faut s'armer de patience et de persévérance pour acquérir certains articles rares en livrant de nombreuses batailles contre les monstres qui les détiennent. Les effets spéciaux produits par les sorts et les techniques sont époustouflants avec une animation assez fluide au milieu d'une 2D de très bonne qualité. Ces explosions d'énergie brillent de mille feux et dynamisent les combats.

 

On retrouve dans le gameplay la plupart des caractéristiques inhérentes à la version Game Boy Advance comme le bestiaire (bien que la région et le lieu où l'on rencontre l'ennemi vaincu n'apparaissent pas)... Ou bien les quêtes annexes, la possibilité de modifier son équipe avec les personnages secondaires vers la fin du jeu, la caverne révélée du Mont Supplice (Mount Ordeals en anglais), ou encore le donjon bonus des Ruines Lunaires, accessible dans le dernier monde dès que vous avez terminé le jeu une première fois).

 

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Il faudra compter plus ou moins 30-40 heures pour finir le jeu et quelques heures de plus en accomplissant toutes les quêtes optionnelles. Quoi qu'il en soit, la magie opère toujours car le soft reste à jamais fidèle à l'esprit de l'original.

 

 

Graphismes

Pour célébrer les 20 ans de Final Fantasy IV, Square Enix revient à de la 2D traditionnelle tout en fignolant considérablement les graphismes pour leur rendre leur fraîcheur d'antan tout en exploitant les ressources de la PSP. Il en résulte ainsi un magnifique rendu visuel pour un jeu de cet accabit. Les décors des lieux à explorer sont détaillés, les couleurs ne sont ni trop vives ni trop ternes et restent bien réparties sur les éléments vivants et l'environnement. Les sprites des personnages sont très fins, avec de jolis petits reflets et d'une taille convenable (sprites un peu plus grands qu'à l'origine). Les monstres sont également bien travaillés. Seules les trois types de mappemondes du jeu restent sommaires et certains lieux sur la carte affichent du relief durant vos pérégrinations avec un léger effet de pixelisation.

 

Quant aux menus, ils ont subi un sacré lifting conformément aux proportions de l'écran de la console portable de Sony. Autant dire que c'est du grand art sur format 16/9. Les menus sont mieux structurés et lisibles qu'avant. L'écriture des dialogues est d'ailleurs très fluide et soignée a contrario des versions GBA et DS où elle semble plus étriquée. Les PV et les PM totalement restaurés des personnages apparaissent en vert pour indiquer qu'ils sont à leur maximum. La couleur des menus peut être modifiée par le biais des options, ce qui est toujours un détail appréciable.

 

Concernant les CG, elles restent de très bonne facture, en particulier la scène d'ouverture de Final Fantasy IV (qui n'est autre que celle de la version GBA légèrement améliorée). La séquence cinématique de Final Fantasy IV: The After Years illustre à merveille comment les personnages ont changé presque 20 ans plus tard.

 

 

Il y a également de courtes séquences CG qui viendront scander certains évènements du jeu mais celles-ci en plus d'être brèves, ne sont pas aussi abouties techniquement et exhibent un style peut-être un peu enfantin avec un rendu graphique un tantinet moins lisse.

En conclusion, les nouveaux graphismes 2D sont très beaux et appropriés au jeu sans forcément atteindre leur summum sur PSP, mais gageons qu'ils n'en sont pas bien loin.

 

 

Bande-son

Musicalement, il n'y a rien à redire, si ce n'est que les pistes ont été arrangées et contiennent de ce fait plus de richesse sonore avec divers instruments musicaux qui jouent là-dessus. C'est plus ou moins comme sur GBA mais avec de nettes améliorations en comparaison. Ceci étant dit, la plupart des joueurs ayant connu la version Super Nes de FFIV jetteront peut-être leur dévolu sur les musiques originales. Ces dernières restant plus mémorables pour ceux qui les ont connues autrefois dans toute leur splendeur. À titre d'exemple, le thème "The Red Wings - Cécil's theme" reste bien plus marquant en mode "Original" où le style viking est plus patent qu'en mode "Arrangé" où en revanche le son se retrouve un peu noyé dans un nombre de sonorités et de percussions entremêlés. C'est un peu le même cas pour le magnifique "Theme of Love - Rosa's Theme" qui est bien plus profond et lancinant dans sa version originale que la version arrangée un peu moins marquante, dira-t-on. Il en va de même pour les inoubliables "Main Theme - World Map Theme" (thèmes des mappemondes de la surface et du monde souterrain) ou encore l'exaltant "The Final Battle - Zeromus Battle Theme", et j'en passe...

 

Toutefois, les musiques reprises sont loin d'être mauvaises. La différence n'est pas si importante au bout du compte. Quelques pistes sont même très réussies dans leur version arrangée mais il n'y en a pas des masses à dire vrai.

Sachez néanmoins qu'il est possible à tout moment de mettre les musiques basiques en faisant un petit tour dans les réglages. On peut donc choisir entre les deux types de version n'importe quand, ce qui mettra a fortiori tout le monde d'accord.

 

Pour ce qui est de la bande-son en elle même, elle reste épique même si aujourd'hui par rapport aux productions actuelles ou de ces dernières années, les leitmotiv sont assez palpables dans les mélodies, peut-être à cause de la génération 16 bits qui opérait dans cette continuité à l'époque. Si les musiques ne sont pas nombreuses et longues, elles gardent toujours un certain charme qui convient au jeu aussi bien en version Originale qu'en version Arrangée.

 

Les effets sonores ont, pour la plupart, évolué de leur coté. Ils sont plus agréables à entendre que sur Super Nes, quoique certains ne changent pas tellement par rapport à la version standard. Mais globalement, cela reste assez satisfaisant.

 

 

Développement scénaristique

Final Fantasy IV nous embarque dans un monde médiéval, tiraillé par la guerre et l'ambition de l'homme. Les évènements se déclenchent assez fréquemment mais restent généralement de court répit. Tout au long de notre périple, nous rencontrerons de nouveaux personnages qui s'uniront à notre cause et il n'est pas rare qu'un membre de notre équipe quitte le groupe en fonction des circonstances pour que dans le même temps ou peu après, un autre personnage rejoigne notre troupe. Nous avons d'un coté les personnages principaux et d'un autre, les personnages secondaires. Mais les uns comme les autres ont leur importance au sein de l'histoire. En effet, les protagonistes de ce 4ème volet de la saga Final Fantasy ont plus de profondeur que dans les précédents opus même si n'est pas le cas pour tous les personnages. On remarque aisément que les dialogues sont assez directs et matures, la traduction du soft est d'ailleurs très réussie avec une syntaxe et des termes conformes avec le contexte du jeu.

 

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Des moments d'émotions accompagneront parfois certaines scènes. Tout cela rend l'ambiance du soft épique avec une touche d'Heroic Fantasy qu'inspirent l'allure des personnages et l'univers qui les entoure. L'intrigue reste bien ficelée même si, bien souvent, tout s'enchaîne tambour battant et rapidement, y compris dans les moments tragiques où l'on assiste parfois à la mort ou à la disparition de certains personnages de notre entourage ou personnages-clef. De ce fait, si le mélodrame n'est pas complet à ce niveau là vu que les protagonistes ne s'attardent pas à faire le deuil sur les défunts ou à se faire du souci pour les membres disparus de leur équipe en poursuivant l'aventure, ces scènes tristes restent à la fois intenses et éphémères. Les jeux d'aujourd'hui sont bien plus substantiels pour ce qui est de la réflexion humaine et des sentiments. Mais à l'époque de la sortie de FFIV, le script mis en oeuvre par les concepteurs de l'histoire (le contenu était déjà conséquent pour une cartouche 16 bits) suffisait amplement pour donner au jeu un cachet bien sérieux. Cela dit, les nombreuses épreuves qui jalonnent la destinée de Cécil et ses amis sont suffisantes pour tenir le joueur en haleine durant la majeure partie de l'histoire. Nous allons de surprises en surprises sans pour autant perdre nos repères. Ce qui reste toujours un bon compromis bien que manquant peut-être d'originalité aujourd'hui. Si le scénario est loin d'être complexe, il n'en reste pas moins captivant et c'est bien là le principal.

 

 

Final Fantasy IV: Interlude

L'Interlude prend place un an après les derniers évènements de la première épopée de Cécil et ses camarades. Tout commence après une cérémonie en l'honneur de la reconstruction du château de Damcyan où le roi et la reine de Baron (Cécil et Rosa) ont été conviés. Mais les cristaux élémentaires scintillent étrangement et des monstres prolifèrent à nouveau un peu partout dans le monde. Voilà donc un mauvais présage...

Mais sans en dévoiler davantage (il ne se passe pas grand chose au début de toute façon), ici, il s'agira essentiellement d'accomplir des missions dans un petit scénario linéaire. En effet, vous ne pourrez ni choisir vos compagnons dans votre équipe ni voyager en zeppelin à votre guise. Cette petit chapitre chronologique n'est autre que le prélude du jeu Les Années Suivantes, un peu comme une sorte d'extension au jeu classique laissant augurer au fil des évènements, et particulièrement vers la fin, beaucoup de mystère.

 

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D'ailleurs, ce chapitre "intermédiaire" se terminera rapidement et haut la main car il est plutôt court et d'une facilité déconcertante. Les ennemis sont exactement les mêmes que dans le jeu classique à l'exception de quelques variantes de monstres mais qui se comptent sur le bout des doigts. Ce mode de jeu n'est pas vraiment indispensable à l'histoire de Final Fantasy IV d'autant plus qu'il est relativement succint. Les questions en suspens que son scénario impose, laissent entrevoir sa suite "The After Years" qui est bien plus intéressante, ainsi qu'un véritable jeu complétant le sentiment d'inachevé de cet épisode peu engageant.

 

 

Final Fantasy IV: The After Years

The After Years se présente comme la dernière aventure de nos héros, mais également comme un point de départ pour la nouvelle génération avec de nouveaux personnages qui viendront apporter leur contribution. Ce scénario très particulier tant bien dans sa narration que dans ses personnages (dont la plupart sont connus mais à présent plus matures avec une nouvelle apparence et d'autres, totalement inédits et proches de nos héros) est découpé en chapitres. La trame prend place 18 ans ans après les premiers évènements de Final Fantasy IV (soit 17 ans après l'Interlude).

 

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Pour commencer, vous devrez jouer le premier épisode mettant en scène le prince Céodore, fils de Cécil et de Rosa, à peine âgé de 17 ans et qui est soumis à une épreuve d'initiation pour atteindre le rang de chevalier comme ce fut autrefois le cas pour son père. Dans le même temps, d'étranges évènements surviennent un peu partout, notamment avec l'apparition d'une nouvelle lune, provoquant une forte recrudescence de monstres et la chute d'un météore. Pour couronner le tout, de nouvelles forces maléfiques venues d'ailleurs convoitent les cristaux élémentaires. Le planète bleue est à nouveau menacée. Nos héros faisant chacun leur vie, sont pris de court par les évènements et doivent, par leurs propres moyens, faire face à cette crise...

 

Une fois que vous aurez complété l'histoire de Céodore (le premier chapitre), d'autres scénarios se débloqueront et vous pourrez les jouer dans l'ordre qui vous sied. La particularité de ces "fragments" d'histoire à reconstituer est que vous incarnez dans chaque étape un personnage qui faisait autrefois partie de l'équipe de Cécil. Ces vieilles connaissances sont soutenues par d'autres personnages partiellement jouables et limités dans leur évolution et skills, mais cela suffit amplement pour surmonter les épreuves qui se dresseront sur votre route. Il y a une dizaine de chapitres et chacun se clôture grosso modo en 3-4 heures excepté le dernier dont la durée peut facilement s'étendre jusqu'à une dizaine d'heures.

 

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Tout comme pour le scénario original, cette nouvelle aventure est truffée de rebondissements qui, bien souvent, s'apparentent à des scènes bien connues et marquantes du jeu original. Ce qui ne manque pas de passer inaperçu et de laisser un sentiment de déjà vu (même si l'aventure comporte plus de twists que son aîné).

La perle des sables pour soigner la fièvre du désert d'une amie dans le chapitre d'Edward comme avec Cécil et Rosa ou encore l'attaque des Ailes Rouges sur le château de Fabul pour s'emparer du cristal du vent comme dans le passé... Ce ne sont là que quelques exemples parmi tant d'autres jouant sur le même tableau : revivre le passé mais sous un autre angle, c'est-à-dire avec d'autres personnages mais pas toujours dans les mêmes lieux d'autrefois. À noter que quelques donjons inédits viennent se greffer dans The After Year.

 

 

Si on ajoute à cela le découpage des chapitres des personnages qui vient un peu casser le rythme de la progression de The After Years et certains va-et-vient dans les mêmes donjons sur certains chapitres qui peuvent se révéler un peu redondants, alors on se retrouve avec un jeu presque homogène au premier bien que plus abouti scénaristiquement et sur l'evolution de ses personnages. Dommage que le jeu n'apporte pas plus de consistance ici malgré quelques bonnes intentions comme des choix à faire à certains moments. Ces décisions influent sur certaines scènes et combats mais aucunement sur le déroulement de la trame. D'autre part, le fait de vivre l'aventure du point de vue de chaque personnage dans n'importe quel ordre en tant que leader du groupe généralement soutenu par son entourage (personnages secondaires) est tout de même assez attrayant. Et puis au fur et à mesure que l'on boucle les différents chapitres, certaines situations se revivent pour la simple et bonne raison que les évènements de tous les protagonistes se déroulent de façon concomitante. Ce faisant, on fait le lien sur les évènements vus par d'autres personnages qu'on ne contrôlait pas auparavant dans les chapitres antérieurs, sur le moment, dans le chapitre en cours. Cela permet parfois d'éclaircir des zones d'ombre, scénaristiquement parlant. Un point non négligeable pour la compréhension du scénario. Et ainsi, les évènements flous de l'Interlude n'auront plus le moindre secret pour vous en avançant rapidement dans l'histoire.

 

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Graphiquement (à part quelques variantes d'ennemis) et musicalement (hormis peut-être quelques thèmes inhérents à un nouvel ennemi pour le moins mystérieux), le jeu ne diffère pas vraiment du jeu classique et de l'épisode Interlude de cette compilation.

La jouabilité, quant à elle, est améliorée en comparaison. Les menus et les paramètres des options sont plus affinés. Les nouveaux portraits des personnages sous forme d'artworks sont plutôt jolis d'ailleurs. On appréciera également de ne plus être limité en quantité d'objets dans la liste des objets mais en même temps, il faut dire que le GrosChocobo ne se trouve plus dans les forêts Chocobo pour servir de malle.

 

La position des coffres ne change pas durant l'exploration (leur contenu varie cependant et se renouvelle à chaque nouveau chapitre mais toujours stratégiquement en vue des affrontements à venir). La plus grande partie des lieux est identique aux endroits visités du FFIV originel sauf sur certains où leur topographie est légèrement modifiée par la présence de la seconde lune. En effet, cette dernière joue non seulement un rôle majeur dans l'histoire mais affecte aussi la progression et la jouabilité.

 

Fait inédit dans le jeu, environ toutes les demi-heures (ou chaque fois que vous dormez dans une tente, un pavillon ou passez la nuit dans une auberge), les mouvements de la lune seront succeptibles d'altérer l'efficacité de quatre groupes de commandes de combat telles que les attaques physiques, les sorts de magie noire, les sorts de magie blanche, et les attaques à distance. Ces fluctuations lunaires peuvent causer divers effets que voici :

- Lors de la "Nouvelle lune", tous les types d'attaques à longue portée gagnent en puissance tandis que le pouvoir de la magie blanche diminue.

- Quand la lune est "Croissante", la magie blanche redouble d'efficacité alors que la magie noire subit les effets contraires.

- Lors de la "Pleine lune", c'est la magie noire qui augmente en puissance tandis que la puissance des attaques physiques faiblit.

- Au cours de la phase "Décroissante", les attaques physiques sont renforcées à l'inverse des attaques et compétences à distance dont la force est réduite.

 

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Si la commande est surlignée en vert, cela signifie que la puissance est up. À l'inverse, si elle est rouge, la puissance est down. Vous pouvez connaître les influences de la lune sur les commandes de combat à tout moment en consultant le menu et en appuyant sur [R].

Par conséquent, il faudra adapter votre stratégie dans les combats suivant ces phases lunaires qui rendent la plupart des commandes malléables. Un principe fort louable dans la mesure où il accentue le challenge de The After Years. La difficulté générale est légèrement plus élevée que dans FFIV, notamment à certaines périodes ou zones où l'on affronte un type particulier d'ennemi.

 

Autre spécificité dans les combats, la commande "Coopération" (elle apparaît dans le sous-menu entre les commandes Défense et Position). Il suffit d'appuyer sur la touche [Carré] et le personnage contrôlé a accès à une petite fenêtre de sélection des alliés pour choisir celui avec lequel il va "créer" une attaque spéciale, généralement puissante. Mais il faut attendre que les barres de chargement des deux combattants se remplissent pour exécuter cette action (l'attente est un peu longue soit dit en passant). Certaines combinaisons fonctionnent avec des personnages particuliers mais bien souvent, il ne se passe rien car il n'y a que peu de personnages compatibles pour une attaque spéciale avec la commande Coopération. De plus, il arrive souvent que l'on perde un tour durant ces tentatives. Soulignons d'ailleurs que certaines attaques de type Coopération s'apprennent automatiquement en progressant dans l'histoire. Si l'idée semble à première vue intéressante, la coopération est loin d'être indispensable et on ne songera que rarement à s'en servir.

 

Si l'histoire de The Afters Years ressemble un peu à celle de FFIV sur de nombreux points, le gameplay, lui, apporte tout de même son petit lot de nouveautés, et ce n'est pas pour nous déplaire.

Il vous sera demandé de sauvegarder à chaque chapitre terminé. Une fois parvenu au dernier chapitre du jeu, vous pourrez transférer toutes vos données de progression (expérience, compétences, objets, équipement, Gils...) de tous les autres chapitres terminés (une étoile jaune s'affiche à coté) que vous aurez pris soin d'enregistrer sur des fichiers séparés dans le dernier chapitre pour finalement composer votre propre équipe de personnages.

 

Au final, le jeu Les Années Suivantes est un peu plus long que FFIV sur la durée de vie, comptez environ une quarantaine d'heures pour en voir le bout.

 

 

Bilan

 

Final Fantasy IV: The Complete Collection nous propose de redécouvrir cet opus FF devenu aujourd'hui une pépite d'or du RPG. Cet énième remake de FFIV sur PSP reste fidèle à l'original avec une histoire toujours aussi palpitante, une 2D toute refaite et de bonne qualité, des musiques toujours aussi épiques et passionnantes (arrangées ou classiques, le choix vous appartient) et un gameplay certes classique mais efficace et incluant de petites innovations fort sympathiques.

 

Ensuite, Interlude est un petit passage historique imposé et pas très captivant mais qui permet de comprendre certaines ficelles du scénario dans Les Années Suivantes qui conclut en apothéose l'aventure de Cécil et de ses compagnons. Un sentiment de déjà vu certes, mais en même temps, nous avons là une bonne histoire et un gameplay améliorés.

 

Cette compilation reste une perle indispensable pour les personnes qui ont apprécié Final Fantasy IV. Cela dit, même les novices y trouveront leur compte du fait que le jeu soit devenu plus accessible. Pour le prix d'un jeu standard, ce jeu en édition collector est tout simplement une bonne affaire pour tout inconditionnel de FF qui se respecte, et à plus forte raison, pour les amoureux de Final Fantasy IV.

Modifié par Byakko

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Comme je m'en doutais, c'est très complet... peut-être trop xD

Je te l'avais déjà dit, l'article a déjà été proposé par Yomigues, donc je ne vais pas faire de doublon.

Cependant, je verrais pour mettre ton bilan... (dans un premier temps)

 

 

Si on modifie un peu les doubles avis, on pourra peut-être proposer deux articles (même si c'est regrettable).

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Oui je sais. Mais si ça se trouve, l'avis de Yomigues est différent.

D'autre part, je pense que ça peut être une bonne idée d'avoir deux reviews et donc deux avis distincts. J'ai déjà vu certains sites avec deux critiques d'une même oeuvre.

 

Ici sur OA, ça n'a, apparemment, jamais encore été le cas. Mais si je puis faire une suggestion, ce serait de permettre au maximum deux avis pour les articles à mettre en ligne si tant est qu'ils sont différents et qu'ils ne se ressemblent pas trop, car s'ils se ressemblaient, il n'y a pas trop d'intérêt à faire doublon d'un même jeu.

 

À vous de voir mais l'idée me semble intéressante, personnellement ^^

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J'ai à peu près le même avis, cependant mon article est beaucoup plus court.

Je pense que ce que tu as fait s'adresse plus aux connaisseurs du jeu qu'aux néophytes (raison pour laquelle mon article est plus condensé).

Il serait intéressant d'incorporer le bilan dans un premier temps comme le dit Spiro, après il faut voir si la V3 permet les doublons.

Bon article en tout cas !

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Byakko vue que je suis un fan de la saga des FF, la lecture fut un pure régal !

 

Complet, rien à redire même si dans tous les FF mes favoris sont LE VI et le X.

 

Ca ma donner envie d'aller faire un tour sur mon émulateur !

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Ravi de l'entendre. FFIV reste une valeur sûre de la série des FF et du J-RPG. Mais même si mon article te donne envie de jouer sur émulateur, la version PSP de FFIV est assurément la meilleure de toutes les versions existantes à ce jour. Une version très complète et qui s'adresse aussi bien à la nouvelle génération de gamers qu'aux vétérans de la saga FF car le jeu est désormais plus accessible que ses homologues. C'est la version FFIV la plus facile à prendre en main à mon sens :)

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