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duet

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Messages posté(e)s par duet

  1. Bienvenue à toi! Tagazok!

    C'est simple: Si il a un accident avec toutes les mesures de sécurités prises (dont casque) il sera remboursé par la sécu,d'un montant astronomique car un accident d'avion c'est grâve, qui donc fera parti de l'héritage et donc son fils fera ça a son tour, provoquant un ruine des société d'assurances vie une a une, jusqu'à qu'il n'en reste plus. Alors la famille reversera l'argent a un agence de protection des panda et au final on aura une crise du bambou. Et on l'aurais bien profond, ce bambou.

    oO Mais mais.... mais alors c'est à grâce aux questions à la noix de smoke que nous autres pandas sommes arrivés sur oa!! (comment ça un paradoxe temporel??)

  2. "Notre éventuelle appartenance à un groupe, à une communauté, marque alors une filiation plus ou moins heureuse en fonction de la cohérence de l'idéologie sous-jacente avec notre ressenti et nos aspirations."

     

    Si l'on peut prendre le "social" comme objet de désir tel que tu en parles ici, j'ajouterais que l'on fonctionne (peut-être de plus en plus aujourd'hui) par cercles. Là où une situation, de fait, vient nous relier les uns aux autres par le partage d'un contexte, la magie du lien opère plus moins on va dire. Cependant, on peut aujourd'hui se poser la question de la nature de ce qui nous lie les uns aux autres, lorsqu'on n'est plus dans ce partage de contexte. J'aurais pu sympathiser avec mon voisin, même s'il est radicalement différent de moi, ou pas, justement parce qu'il est radicalement différent de moi. Cependant, en venant sur OA par exemple, je sais que j'ai des chances de créer des liens, vu qu'on partage un/des centres d'intérêts, même s'il n'y en a pas deux qui vivent au même endroit. En likant une page facebook je partage des publications avec ceux qui ont liké la même chose que moi. Allons plus loin : l'amour ne se trouve plus au bout du couloir, apporté jusqu'à nous par un délicieux hasard, mais sur un site de rencontre : je veux qu'il soit blond, brun, qu'il fasse du patinage artistique, qu'elle aime le sport et le nougat, et puis tant qu'on y est je vais aller chercher sur un site pour riches, comme ça c'est plus simple, environ un mètre soixante-dix, au fait vous livrez le week-end? Je m'égare, mais au final, le fait de créer des liens par "recherche", voire (au pire) par casting, va faire émerger en nous le concept de l'idéal. Là où cet idéal pouvait relever du fantasme, on est en droit de se demander s'il n'est pas devenu aujourd'hui tout simplement plus accessible (un idéal est-il toujours idéal s'il est accessible d'ailleurs?) grâce aux nouveaux outils de communication. Quittons le social deux minutes. On pourrait alors opposer à cette remarque les concepts de culture de masse, offrant des produits standardisés, et des modes de vie qui s'exportent dans de nombreux pays pour au final nous transformer en individus nous-aussi standardisés un iphone vissé dans la main, regardant la dernière pub pour Opel qui nous chante "vous êtes uniques" grâce la magie des différentes options de couleurs personnalisables à l'intérieur du dit-véhicule… Nos désirs sont peut-être devenus standardisés, et d'ailleurs ils l'ont toujours été car ils héritent de la tradition dont on est issu, mais parallèlement à ça il est assez étrange de voir à quel point il est aisé de choisir sur catalogue un compagnon sur internet… Je ne condamne pas internet (bien au contraire) ni "le monde d'aujourd'hui", d'ailleurs c'est le seul que je connais, mais je pense qu'il est nécéssaire de se rendre compte à quel notre désir d'appartenir à une communauté peut battre la mesure en rythme avec ceux qui tendent à satisfaire le plus grand nombre. Et qu'on ne s'inquète pas, puisqu'on peut de toute manière choisir sur catalogue, changer la couleur des jantes, et ainsi prouver notre authentique unicité en ce monde.

     

    "Si les objets de nos désirs évoluent, ils le peuvent dans la mesure des lumières que nous sommes en capacité de créer." Il est sérieusement raisonnable de vouloir bien plus que ce qu'on nous propose. Ou plutôt autre chose. Mais en a-t-on finalement envie, puisque l'idéal est à portée de google?

  3. Je tique sur un aspect de ton démarrage : ta manière de décrire la pensée...

     

    "Des rêves toujours plus envolés, où notre liberté serait conditionnée à l'ampleur des espaces imaginés, notre cœur y étant seulement limité par nos peurs. Et bien non, car à chaque fois le concret s'est manifesté comme un boomerang sur le retour."

     

     

     

     

    Avec le langage, tu rends ta pensée compréhensible par autrui, déjà, puis tu la publies ici par exemple (ou autre support) donc cette pensée devient un message, qui lui est bien concret, et le resultat de l'échange que tu entretiens avec ceux qui te lisent est egalement quelque chose de bien concret. Au fond, à partir du moment où tu décides d'ouvrir l'enceinte de ton crâne si je puis dire, plusieurs mécanismes plus ou moins modestes se mettent en marche pour faire entrer ta pensée dans une realité concrète factuelle, et la nourrir d'une multitude d'autres faits concrets.

     

     

     

     

    J'ai l'impression que tu opposes la pensée à LA réalité, mais à quel moment la pensée ne fait plus partie de la réalité au juste? Peut-être qu'il faut reconsidérer cette frontière que tu traces entre ces deux mondes, qui à mon sens se croisent bien plus qu'il n'y paraît. "C'est bien là que le bât blesse, comment concilier deux univers si diamétralement différents? " J'ai l'impression que la rupture opère entre une intériorité entière et absolue, et ce qu'on pourrait qualifier "d'univers social" où divers facteurs d'ordres variés viennent empêcher de livrer directement à l'autre ce nous entier et asbolu. Au final, par l'impossibilité ne serait-ce que technique de s'offrir à autrui avec une sincérité absolue jusque dans les moindres nuances, peut naître le sentiment de ne pas être honnête. Rien qu'en observant ce décalage, on finit par le transformer en suprême dichotomie entre pensée et réalité.

     

     

     

     

    Mais rappelons-nous que s'il est impossible de "tout dire" de ce qui se passe derrière nos yeux, cela n'enlève pas pour autant la véracité du peu qu'on a pu avoir l'occasion de livrer. Plus concrètement, on ne se comporte pas de la même manière avec différentes personnes, pourtant sommes-nous en train de mentir à l'une en particulier? Ou de cacher délibéremment une part de nous? Je pense qu'à un moment, il faut pouvoir accepter cette partition dans notre manière de livrer notre pensée, de nous livrer nous-même à autrui. Ces morceaux de nous sont peut-être incomplets, mais ils n'en font pas moins partie de la réalité. Ce qu'on pourrait définir comme "la pensée pure et libre" (quoique…) est-elle moins réelle que goudron sous tes pieds? Elle opère des changements dans notre comportement, influe sur nos souvenirs, notre quotidien, et lorsqu'elle est communiquée elle enclenche toute une série de réactions bien concrètes. Une pensée quitte-t-elle son royaume éthéré lorsqu'elle se lit sur notre visage par la personne en face de nous? Lorsqu'elle y creuse une ride à force d'y réapparaître? Tes deux "univers si diamétralement différents" fonctionnent certes selon différentes règles, mais tu as dû le remarquer, à chaque fois que l'on trace une limite sous mes yeux je la remets en question. Ces deux univers sont extrêmement poreux, et tous deux très concrets d'ailleurs.

  4. Je suis d'accord avec toi, mais j'ai dû mal exprimer mon idée en parlant d'identité basée sur la perception. Je ne faisais pas référence au corps, mais à la perception de sa propre conscience, et c'est pour cela que je mentionnais la mémoire immédiate. Pouvoir percevoir le "je" devant chacune de ses pensées, et faire la connexion entre le "je" que je viens d'observer et le "je" que je constate à présent pour ainsi arriver à définir un "je" qui s'émancipe de la simple perception immédiate, (en gros, reconnaître ses traces de pas) bref une conscience d'identité. Je mets en pj une retranscription des dialogues qui m'intéressaient précisément. Bref, en regardant ça j'ai connu l'illumination :d

    "L'homme n'est individu qu'à cause de sa mémoire intangible. La mémoire ne peut être définie mais elle définit l'humanité. L'informatisation a créé un système de mémoires parallèle au vôtre." [...]

    "En voyageant dans les réseaux, j'ai pris conscience de mon existence." [...]

    "Je me considère comme une forme de vie car je suis sensitif et capable de reconnaître ma propre existence."

    GITS.pdf

  5. "Là où j'aimerai ajouter une nuance c'est sur la nature de cette vérité : pour moi cela à plus trait à la vérité de l'expression, à sa qualité, plutôt qu'à leur personne, car dans ce cas nous ferions d'eux des entités figées en dehors du temps et du potentiel évolutif de l'Homme."

     

    Je dis justement plus loin, grâce à Descartes, que cette vérité est vraie dans l'instant, qu'elle doit être revérifiée souvent, car on ne peut la considérer comme un acquis ni un savoir. Ils ne seraient alors pas figés en dehors du temps, mais plutôt définis uniquement dans l'instant (ce qui quelque part est hors du temps, d'accord...).

     

     

     

     

    "L'expression de l'émotion a valeur ici de "vérité" selon le principe énoncé. Imaginons la possibilité que cette croyance soit basée sur un mensonge..."

     

    Il est peut-être pertinent de préciser tout de suite que je ne crois pas en l'objectivité. Quand je parle de vérité, il s'agit de verité "interne" à l'être. La réalité factuelle extérieure ne prend pas en compte la "valeur" de vérité, qui est à mon sens absurde hors de notre propre subjectivité.

     

     

     

     

    "Rectifies si je fais fausse route : une sorte de photo sensorielle instantanée grand angle ayant l'ambition de tout inclure dans le cliché ?"

     

    Euh, je ne vois pas bien comment tu arrives à cette image, désolée je ne vois pas vraiment le rapport…

     

    "Le truc qui me fais tiquer et pour taquiner c'est : " Cela me conforte". Ta réflexion avait-elle pour unique objectif de renforcer une intuition?..."

     

    Haha! Ça n'étais pas l'ojectif quand j'ai commencé à y réfléchir, mais il se trouve que je suis retombée là-dessus. Disons que c'est ce qui m'empêche de trouver mon raisonnement "creux". Je n'ai jamais aimé la distinction qu'on peut faire entre "le coeur et la raison", j'ai toujours trouvé ça arbitraire et simpliste. Je pense que (c'est l'objet de ce post en fait) une réflexion n'est acceptée que quand elle est validée par notre sentiment, et que parfois on l'a validée sans l'avoir encore clairement formulée. Alors peut-être que ce sentiment a manipulé ma réflexion depuis le début pour m'y faire retomber comme par magie (en fait c'est plus que probable), mais disons que ma toute première conscience ne s'en était pas rendue compte à la base.

     

     

     

     

    "D'accord pour souligner le contact entre la pensée et l'émotion et la primeur de la seconde sur la première pour une raison développementale..."

     

    Je suis d'accord, du point de vue du développement du cerveau, de l'être humain en général. En revanche, je pense que l'émotion n'a pas forcément la primeur sur la pensée ; je ne vois pas vraiment la première comme une force titanesque qui trainerait dans son sillage la seconde. Je ne serais pas vraiment capable de t'expliquer comment exactement, mais il me semble que leur rapport est plus complexe (je vais essayer d'éclaircir ça prochaînement). Je suis à peine d'accord avec la distinction qu'on est habitué de faire entre ces deux.

     

     

     

     

    "Pour l’ego..."

     

    Je suis tout à fait d'accord avec toi là-dessus. L'ego n'est pas un objet, tu l'as bien dit "le sentiment d'identité désigné" : l'identité comme sentiment, pas quelque chose dont on peu aisément tracer le contour ni attribuer des caractéristiques quantifiables. Je dirais même que l'identité se trouve dans la perception pure et simple, avec un soupçon de mémoire immédiate. Là-dessus, je finis sur une digression rapide pour référer au premier film Ghost In The Shell, qui a été une illumination pour moi (le moment où l'on découvre la vérité à propos du Puppet Master… no spoil au cas où tu ne l'aurais pas vu). En ce sens, l'identité est sujette à de nombreux aléas, et la seule constante pour la définir est le sentiment de pouvoir énoncer et ressentir dans l'instant "je".

     

     

     

     

     

     

  6. Bon, un peu plus tôt je parlais de ne pas analyser la colère, eh bien je vais faire exactement l'inverse de ce que j'ai dit —j'ai pas pu m'empêcher, il fallait que je réfléchisse là-dessus, ça m'empêchait de dormir... Ça s'écarte peut-être de la direction que tu voulais donner à cette réflexion, car je ne parle pas de la colère exclusivement, mais du rapport entre sentiment et pensée.

     

    La colère, mais le sentiment en général est autant puissant qu'il porte en nous la valeur de la vérité. Je m'explique : on peut se mentir, se voiler la face, mais une fois qu'on a réalisé un sentiment, il est impossible de le nier sciemment. Je suis une grande cartésienne dans l'âme, et effectivement il m'arrive de douter de tout, même de la nature de ma pensée ou de ma perception (mais pas de la perception de ma pensée) ; pourtant le sentiment, celui qui se manifeste sous forme de pulsion, est lui indubitable. Il est vrai. Dès lors, accepter n'importe quelle idée, lui conférer la valeur de la vérité, celle que tout notre être reconnait, c'est la faire passer par le support du sentiment. De la même façon, réfuter une idée, c'est ressentir cette répulsion envers ce qui nous semble être en tord avec notre être ; à ce point en tord que cette répulsion peut provoquer la colère. Cette colère est alors autant une vérité, car on ne peut nier l'éprouver.

     

    Du discours de Descartes je n'ai jamais retenu que le début du raisonnement : cogito ergo sum, à savoir que l'on peut douter de tout, jusqu'à sa propre existence, même de sa pensée, mais pas du fait qu'il y ait un "je qui pense". Ceci n'est pas une démonstration, car ne répond pas à la logique. On l'utilise certes pour écarter tous les éléments dubitables, mais l'ultime irréductible résistant, le "je qui pense" n'est pas une preuve ni un résultat observable ou calculable. Il implique le "je suis" : une réponse qui est incarnée par l'intuition. Je ne pourrai jamais prouver que je suis, mais j'en aurai toujours l'intuition, le sentiment en quelque sorte. Je parle d'intuition car il ne s'agit pas d'un résultat fixe, d'un savoir acquis, puisqu'il n'est vrai qu'au moment où il est vérifié. C'est cette vérité-là qui m'intéresse ici, celle qui est impossible à définir mais qui est la plus palpable ; elle est à mon sens une pensée et un sentiment à la fois, une perception et une idée. Elle n'est pas un savoir mais une manifestation d'acceptation de tout notre être. J'ai l'impression qu'en atteignant ce type de vérité, on touche du doigt une des pierres angulaires de la structure de notre esprit, celles qui nous définissent. Cela me conforte dans l'intuition que j'ai que les pensées sont toujours comme greffées plus moins directement sur des émotions.

     

    Il leur faudrait inventer un nouveau terme. Selon ce principe, si une "chimère" de colère est une de ces pierres, l'enjeu serait alors de réussir à en ériger d'autres, afin qu'elle ne soit plus indispensable pour supporter la structure. Bref, la mettre au chômage technique. Je disais plus haut que la véracité du "je suis" était vérifiable uniquement dans l'instant. Pour ce qui est des vérités de l'esprit, pierres angulaires de notre être, reste à savoir si elles disposent d'aussi peu de rémanence. J'aurai envie de dire qu'une fois découvertes, elles disposent d'une certaines pérennité, sinon elles ne pourraient nous définir ; mais en aucun cas cette pérennité ne peut nous dispenser de retourner éprouver leur véracité, et jauger si elles ont toujours leur place en tant que pilier de notre être. Cela suppose de souvent se remettre en question, mais également qu'il est possible de faire évoluer notre structure.

     

     

     

     

    Je me demande s'il existe un seul maître capable de confesser en totale honnêteté avec soi-même "Je sais". Pour ma part, si je me mets à penser ça un jour, s'il te plaît fous-moi une baffe, parce que ça signifiera que j'aurais cessé de réfléchir.

  7. Comme on a finit sur la question de la discipline du coeur un peu plus tôt, je me demande de plus en plus s'il est vaiment question de le maîtriser?

     

    Pour appréhender le lot d'émotions dont tu parles là, j'ai envie de répondre que les charges ne s'opposent que si l'esprit ne supporte pas assez de dimensions pour qu'elles cohabitent (je ne dis pas "contenir" parce que ça induirait qu'on les maintient en quelque sorte). Bref, essayer de passer à l'élevage en plein air.

     

    J'imagine qu'il s'agirait, d'une certaine manière, d'élargir l'esprit en même temps qu'on l'enrichit ; au final rajouter plus de place autour de l'objet incriminé, et d'autre part profiter de ce nouvel espace disponible pour accueillir de nouveaux arrivants, qui vont remettre nos bêtes en perspectives pour nous les montrer sous un nouveau jour (grands dieux, ça sonne tellement stupide quand je l'écris comme ça…). Disons que ça part du constat que j'ai fait à ma modeste échelle, que, à défaut de pouvoir être rangé, l'esprit pouvait au contraire se révéler étonnamment extensible, surtout pour du bordel positif (facile, ouais, c'est comme si c'était fait).

     

     

     

     

    Pendant longtemps je suis restée focalisée sur une même tâche au milieu d'une feuille, qui m'a pourri la vie. Je la voyais tout le temps et j'essayais de l'effacer, mais elle bavait sur toute la feuille à force que je la tripote, et au final c'est devenu l'unique truc que j'étais capable de dire à propros de moi avec honnêteté. À ce moment là je voulais juste être plus forte, mais contre une tâche ça rime à rien. Au bout de longues années j'ai fini par comprendre que c'était pas la bonne méthode, et qu'il suffirait d'agrandir la feuille, et d'écrire autre chose à côté. Ça tombe bien, personne n'a, à ma connaissance, mesuré la taille de l'esprit, donc potentiellement il peut s'étendre à l'infini (et au delàààààà), et contenir autant de dimension que ça nous chante, voire s'affranchir joyeusement d'un bon paquets de principes. Je ne prône pas non plus une anarchie totale, mais parfois on voudrait être plus fort, alors qu'il est tout aussi judicieux d'être plus grand. Au final, pour moi il ne s'agit pas frocément d'être maître de son esprit, mais d'en être maître de l'échelle.

     

     

  8. a lire avant de débuter : mon orthographe et quelque chose de désastreux chez moi alors SVP ne me tuer pas ,je suis encore jeune :corde .

    xD en fait tes fautes m'ont plus fait rire qu'autre chose :P

    En tout cas bienvenue à toi, j'aime bien tes goûts, j'espère que tu vas te plaire ici!

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