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Alephnor

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Tout ce qui a été posté par Alephnor

  1. Si on peut se retrouver, ça peut être sympa : Alephnor (non, je n'ai pas cherché l'originalité) >> Duelliste level 24 (pour le moment) Connexion assez irrégulière, par contre.
  2. Alephnor

    Okaerinasai !

    Oh, un informaticien ? C'est toujours agréable de retrouver un confrère ! Comme Kirito, faudra que tu m'explique comment tu réussis à suivre 18 animes en même temps, mais on ne va pas (trop) t'en vouloir pour ça. Par contre, je ne suis pas sûr que ressemble à ce cher Kyosuke (ou Brosuke, comme je me plais à l’appeler) soit si bien que ça. Avoir autant de filles qui te courent après et être incapable de s'en apercevoir... Tiens, tant qu'on est dans Oreimo, tu ne suis que le manga ou également l'anime et/ou le Light Novel ? Et pour les eroges (Visual Novel, c'est plus joli), n'hésite pas à nous faire partager tes préférés ! Tu remarqueras qu'on est quelques-uns sur le forum à en raffoler. Oh, et bienvenue !
  3. Alephnor

    Jeu du pendu version Jap

    Non, franchement... J'ai honte. On est sur un forum d'otakus ! Comment ça se fait que personne ne parvienne à trouver ça ? L'indice (énorme) de tarask n'a pas suffit ? En voilà un autre : Si après ça, ce n'est toujours pas suffisant, je ne sais plus quoi faire.
  4. Watashi no Messiah-sama Titre original : 私の救世主さま Année de parution : 2002 Genre : Aventure, Fantastique, Romance, Drame Auteur et Artiste : Minazaki Suu Éditeur : Square Enix Nombre de volume : 13 [série Terminée] Introduction : Sora no Otoshimono, ça vous dit quelque chose ? Pas forcément… Pourtant il s’agit d’un manga à succès qui a déjà connu deux adaptations en anime et un film. Mais avant de pondre cette réussite commerciale, Minazaki Suu avait déjà effectué des tentatives dans des univers fantastiques. C’est justement de sa toute première œuvre dont cet article va traiter. Watashi no Messiah-sama, donc. Il s’agit d’un Shonen scindé en deux saisons. L’originale, Watashi no Messiah-sama, qui a été publié dans le Monthly Shonen Gangan entre 2002 et 2004 (6 tomes) et sa suite, Watashi no Messiah-sama ~lacrima~, publié dans le Monthly GFantasy entre 2004 et 2007 (7 tomes). Histoire : L’histoire tourne autour de Shinya Yumiki, un adolescent sans talents particulier ne se distinguant ni par son intelligence, ni par sa force, ni par quoi que ce soit d’autre. Jusqu’au jour où il rencontre Haruna sur le toit de son école. La jeune fille lui apprend alors qu’il est le Messie, le seul être au monde capable de lire le ‘Guide du Salut’ et donc le seul pouvant sauver Celestia, le monde d’où vient Haruna. Elle-même est la prêtresse du Salut et son rôle est de servir de bouclier au Messie, le protégeant de tout danger. Cependant un second livre, le ‘Guide de la Domination’, évoque un tout autre destin pour Celestia et pour le Messie. Et au final, un seul des deux livres pourra avoir raison. Shinya devra à présent déterminer s’il est vraiment le Messie, s’il sera capable de sauver tout un monde et surtout s'il pourra protéger celle qu’il aime. Il est certaines choses qu'il vaudrait mieux ignorer. Personnages : Shinya Yumiki : Personnage principal de l’histoire et considéré comme le Messie destiné à sauver le monde de Celestia, Shinya n’a pourtant rien d’un héros. Il est faible, lâche et n’a pas la moindre confiance en lui. Pourtant, au fur et à mesure qu’il passera du temps avec Haruna, il va se découvrir un courage qu’il n’aurait jamais imaginé avoir et se révèlera prêt à tous les sacrifices pour la protéger. Haruna : Prêtresse du Salut et Bouclier du Messie, elle a recherché pendant de nombreuses années celui qui serait capable de lire le ‘Guide du Salut’ et pense l’avoir enfin trouvé en la personne de Shinya. Bien que disposant de puissantes aptitudes magiques, elle est avant tout une jeune fille douce et attentionnée qui ne recherche que le bonheur de tous. Hime : Amie d’Haruna et Epée du Messie, elle est une combattante hors pair. Froide et agressive, elle n’a pas la moindre confiance envers Shinya qu’elle ne reconnait pas comme le Messie. Ryohei Sakakiyama : le meilleur ami de Shinya et celui qui le tire de la plupart des mauvaises situations dans lesquelles il peut se fourrer. Il est tout le contraire de Shinya : fort et admiré de tous. Il reste pourtant avant tout un être au grand cœur cherchant à protéger ceux à qui il tient. Lilu : Prêtresse de la Domination, elle considère Haruna comme son ennemie jurée. C’est à elle qu’incombe le rôle de retrouver l’Empereur, celui qui saura appliquer les écrits du ‘Guide de la Domination’. Hautaine et prête à tout pour accomplir sa mission, elle n’en reste pas moins une jeune fille prise dans l’engrenage du destin. Critique : Watashi no Messiah-sama est une expérience très particulière. On serait en droit de s’attendre à une histoire déjà vue et revue tant le scénario de départ semble être classique (un héros, une fille venue d’on ne sait où et un monde fantastique à sauver), mais l’auteur nous entraîne dans une direction complétement différente. Les quelques scènes humoristiques qu’on peut trouver au début du manga disparaissent très rapidement pour faire place à une ambiance plus lourde. Plus pesante. C’est d’ailleurs parfaitement illustré la première fois que Shinya se rends sur Celestia. Au lieu d’un paysage onirique ou champêtre comme on pourrait l’imaginer, on tombe directement sur un lieu désertique remplis des corps des dernières victimes d'une attaque de monstres. Ça va être très douloureux... Et l’ensemble du manga tourne autour de ce genre d’ambiguïté. On est plus proche d’une tragédie dans le sens original du terme : un destin implacable qui renvoie toujours les héros dans les profondeurs du désespoir. Shinya et Haruna ont beau faire partie des personnages les plus adorables du monde, on jurerait qu’une instance supérieure a décidé de rendre leurs vies la plus misérable possible. Et c’est justement ce point qui donne tout son intérêt au manga : plus on le lit, plus on a de la peine pour ses personnages. Mais il est difficile de s’arrêter avant de savoir si, au bout du compte, le destin finira par leur sourire. Au fur et à mesure que l’histoire avance, les enjeux deviennent rapidement de plus en plus importants. Si le début peut sembler assez mollasson, on entre très vite dans le vif du sujet. C’est d’autant plus marquant dans la seconde partie de l’histoire (Lacrima) où l’intrigue atteint rapidement son apogée pour dégringoler de révélations en scènes d’action jusqu’à la conclusion finale sans vous laisser le temps de reprendre votre souffle. Et sans lésiner sur la souffrance des personnages ! Ce genre de scène va rapidement vous manquer Parlons en d’ailleurs, des personnages ! Le casting est extrêmement réussi ! Une fois n’est pas coutume, on a l’impression de retrouver les clichés habituels des mangas. Pourtant, au fur et à mesure qu’on apprend à les connaître, on se rend compte de la profondeur qu’ils ont et de l’évolution qu’ils subissent. Lilu en est probablement le meilleur exemple, tant sa personnalité et ses circonstances sont complexes. Au bout du compte, on a beau savoir que son rôle est de causer la perte de Shinya et d’Haruna, pas une seule fois n’a-t-on envie de la détester ou de lui en vouloir. Au contraire, on en vient même à la soutenir malgré son rôle on ne peut plus clair d'antagoniste. Même observation concernant le personnage d’Haruna. Il a été fabriqué de bout en bout pour nous faire éprouver de la peine. Il s’agit d’une fille absolument parfaite sous tous les angles : pure, serviable, amicale, douce, attentionnée, protectrice… On lui donnerait le bon Dieu sans confession et elle ne ferait que l’offrir à quelqu’un en ayant plus besoin qu’elle. Mais quand on voit ce qu’elle subit, on ne peut qu’éprouver de la tristesse à son égard. Les plus sensibles d’entre vous verseront probablement quelques larmes durant certain passages la mettant en scène. Le personnage de Shinya, lui, subit un processus assez particulier. S’il dispose d’une évolution très rapide au début du manga, celle-ci va rapidement se bloquer dans la suite du récit. Il s'agira alors pour lui de faire s’opposer ses convictions à la réalité des choses et le résultat ne sera malheureusement pas toujours heureux. S’il est loin d’être particulièrement charismatique ou appréciable, le personnage de Shinya n’en reste pas moins terriblement crédible dans ses réactions et dégage une véritable sincérité. Rien ne sera épargné aux personnages. Rien. Graphiquement, nous avons affaire à quelque chose d’assez surprenant. On note deux styles distincts (correspondant aux deux parties du récits) et aucun d'entre eux ne nous donne l'impression d'être dans un Shonen. La première partie de l'histoire présente des traits assez simple et doux, à la manière d'un Negima ou d'un Love Hina. Mais rapidement, le dessin évolue pour devenir plus travaillé et collant davantage à un Shoujo (avec des personnages féminins adorables et des personnages masculins faisant davantage penser à des princes charmants qu'à des guerriers ou des aventuriers). Ça demande un petit temps d’adaptation, mais on s’y habitue assez vite. Et ça n’empêche pas les scènes d’actions d’être très dynamiques, quoique parfois un peu fouillis. S'agissait-il pour l'auteur d'une manière de marquer l'évolution de l'histoire ? En tout cas, le rendu final est réussi ! Beaux gosses avant d'être héros. Un des gros défauts de ce manga vient de la gestion de son rythme. Par plusieurs endroits, l’auteur effectue des ellipses temporelles très maladroites, survenant parfois en plein milieu de l’action et avançant beaucoup plus loin dans le récit sans jamais vraiment revenir en arrière. C’est bien simple, il arrive qu’on se demande si on n’a pas sauté un chapitre tellement la transition est rude. Si ce genre de choses n’arrivait qu’une seule fois, ce serait passable, mais cela se produit en de nombreux moment du récit (le passage entre les deux séries illustre parfaitement cela). Et la plupart du temps, la période manquante n’est comblée que grâce à quelques dialogues bien plus tard dans l'histoire. Pas toujours facile pour la compréhension. On pourrait également reprocher une tendance à la dramatisation à outrance. Si ça ne m’a personnellement pas gêné outre mesure, je comprendrais parfaitement quelqu’un se lassant de devoir en permanence éprouver de la pitié pour les personnages. Tout dépend bien sûr du lecteur, mais il est vrai qu’il y a davantage de scènes dramatiques que de scènes d’action. Et de loin. Les scènes d'action restent présentes. Et elles valent le coup ! Bilan : Ce manga ne plaira pas à tout le monde, c’est une certitude. Il a néanmoins le mérite de se baser sur autre chose que l’humour, l’action ou le mystère pour construire la majeure partie de son contenu. Sa principale qualité vient assurément de sa galerie de personnage très travaillés et pour qui on se retrouve à éprouver une réelle sympathie. Si l’action est parfois confuse, on se recentre rapidement sur le point important du récit : le destin finira-t-il par sourire aux différents personnages ? Au bout du compte, l’aspect tragique l’emporte sur l’aspect scénaristique et l’histoire devient secondaire face aux protagonistes. Ce qui n’est pas sans rappeler un thème principal de l’histoire : que choisiriez-vous entre sauver le monde et sauver ceux à qui vous tenez ? Lilu... On n'a jamais eut autant envie de consoler quelqu'un...
  5. Question : pourquoi n'entendons-nous jamais parler de ce genre de jeu plutôt que des énièmes rééditions de Battle Of Duty : Modern WarField 2 ? [Je trolle un peu, j'espère que les aficionado me pardonnerons...] Je n'ai véritablement jamais entendu parler de cette série de jeu. Pourtant, d'après ta description, il mérite d'être évoqué. Parce que Skyrim, c'est gentil cinq minutes, mais niveau RolePlay, c'est pas tout à fait ça. Alors merci. Merci de me faire découvrir ce jeu. J'ignore si j'aurais le temps de le parcourir de long en large, mais au minimum je l'essaierais. En ce qui concerne l'article en lui-même, je reprocherais un tendance un peu trop forte à complexifier les choses. Oui, la mécanique du jeu est probablement délicate à appréhender, mais tu rentre un peu trop souvent dans le technique et dans les explications un peu trop pointues pour ceux n'ayant pas la chance de connaître l'univers du jeu de rôle plateau. Et pour conclure : Deutsche Qualität !
  6. Alephnor

    Des GIF Animé !

    You spin me right round, baby right round like a record, baby Right round round round Oui, je sais... Mais je me soigne...
  7. Ouah... Pas si simple, celui-ci. Il y a beaucoup d'anime qui apparaissent plusieurs fois et certain font de courtes apparitions pendant les séquences d'un autre anime. Voici un premier jet, mais c'est fortement perfectible. 0:09 > Redline 0:21 > Panty & Stocking with Garterbelt 0:33 > On a Redline qui revient 0:36 > 0:53 > Sekirei 1:02 > Encore une fois Redline 1:18 > Bakemonogatari (mais contrairement au deuxième, je suis pas certain) 1:26 > Bakemonogatari 1:39 > Air Gear (mais pas sûr) 1:43 1:52 > Mirai Nikki 2:14 > Re-Redline 2:38 > Sekirei revient entrecoupé de HighSchool of the Dead 2:46 2:53 > HighSchool of the Dead 2:58 > Le même que 1:43, mais aucune idée de ce que c'est...
  8. En même temps, ça fait un petit bout de temps que je n'ai pas revu la première saison. Mes souvenirs ne sont probablement pas la meilleure référence qui soit. Mais je crois me souvenir que le contexte (nouvel étudiant fraîchement débarqué qui rejoint le conseil des élèves) et la qualité graphique n'avaient rien qui se démarquait de la majorité des autres. Quant à l'humour et aux thèmes abordées... Le sexe doit être l'un des ressorts comiques les plus (sur)utilisés dans l'animation japonaise. Je ne me souviens plus si Seitokai tirait vraiment son épingle du jeu dans ce domaine. Je le répète, ça fait longtemps. Mais je pense que j'en aurais eut de plus vifs souvenirs si c'était vraiment aussi mémorable. Ouais... Faudrait peut-être que je recommence la première saison histoire d'être sûr...
  9. Chu2koi 2, c'est oui ! Avec ce qu'avait donné la première saison, ça n'annonce que du bon. Même si d'instinct, j'aurais laissé l'histoire se terminer avec la première saison. On verra bien. Nisekoi a l'air bien marrant d'après le scénario. Et puis, ça fait plaisir de voir un peu de Yakuzas dans un anime, même si celui-ci est comique. Je vais sans doute aussi me laisser tenrer par Seitokai Yakuindomo (qui est en fait la saison 2 si je ne me trompe pas). La première saison était sympathique, même si très clichée. Probablement pas un anime que je recommanderais, mais toujours sympa pour passer un peu de bon temps. Du côté des OAV, celui de Sword Art Online peut être sympa. Et puis, ça nous fera patienter en attendant la suite (Je veux GGO !). Peut-être également Fate/Kaleid Lyner. Ne rigolez pas : j'ai regardé la première saison, autant le faire jusqu'au bout. En revanche, pas de Little Busters EX. J'attendrais d'avoir fini le VN avant de passer à la version animée. Rien de très intéressant du côté des films...
  10. Ouais, je crois que le concept d'articles demande encore quelques explications supplémentaires. Concours mis à part, les articles seront publiés sur le site afin de faire découvrir une œuvre particulière au visiteur. http://www.otaku-attitude.net/liste-articles-mangas.html Ce lien t’emmène à la liste des articles sur les Mangas. Il y a la même chose pour les Animes, les Films, les Jeux Vidéos et la Musique. Et chaque article traite d'une œuvre spécifique. Bien sûr, dans le cas d'un anime qui est en plusieurs saisons, il est possible de traiter l'ensemble en un seul article. Mais les exemples que tu as donné risquent de ne pouvoir rentrer dans aucune des catégories, puisqu'ils ne présentent pas une œuvre aux lecteurs. Maintenant, les admins pourront peut-être trouver une place pour ce genre d'article, mais de mon point de vue je ne vois pas comment on pourrait les intégrer. Et ne t'en fais pas pour tes talents et ton passif d'écriture. Nous aussi, on aime la compétition !
  11. Étant donné que Index et Railgun utilisent deux points de vue différents (Touma pour le premier, Mikoto pour le second), l'ordre de visionnage n'a pas de réelle importance. Tu peux avoir des clins d'oeil, mais les deux série racontent des histoires totalement différentes (à une exception prêt) Tu peux donc choisir de regarder dans l'ordre de parution : Index - Railgun - Index II - Index : le film - Railgun S Chronologiquement, on a normalement : Railgun - Index (jusqu'à l'épisode 14) - Railgun S (la première moitié raconte à nouveau les épisodes 10-14 d'Index) - Index (épisode 15 et suivant) - Index II (jusqu'à l'épisode 15) - Index : le film - Index II (épisode 16 et suivant) Pour le film, il me semble qu'il se situe chronologiquement entre les épisodes 15 et 16 d'Index II. Mais je peux me tromper. Et puis, il peux bien être regardé n'importe quand tant que c'est après Index II. Mais au bout du compte, c'est vraiment comme tu l'entends. Tu peux faire tout les Railgun, puis tout les Index. Ou l'inverse. Ou dans l'ordre de parution. Ça n'a vraiment aucune incidence sur ton expérience. A titre personnel, je recommanderais tout de même l'ordre de parution. Juste parce que ça te permet parfois de pouvoir repérer des petits détails que tu ne pourras pas remarquer autrement. ... ... Attends, je viens de me rendre compte d'un truc. Matata ? Tu n'as jamais regardé les To Aru ?
  12. Alephnor

    Des conseils ?

    Haruhi, c'est un sucre d'orge en matière d'humour. Particulièrement la première saison (la deuxième est un peu décevante par moment) et le film. Pour Shakugan no Shana, c'est un cas un peu particulier. Il y a un peu d'humour, impossible de dire le contraire, mais cet humour laisse vite la place à la trame narrative, à l'action et aux sentiments. Je sais que la première saison m'avait ennuyé à tel point que j'avais laissé tombé l'anime. Heureusement que j'ai changé d'avis, car les deux suivantes sont épiques. Les deux autres, je ne sais pas du tout ce qu'ils valent, même si j'ai entendu de très bon retours au sujet de Maou-sama! Zero no Tsukaima, ça se jouera dans les extrêmes. Soit tu adoreras, soit tu détesteras. Pas mal de ecchi, une ambiance harem et un humour très particulier. Maintenant, si ces points ne te gène pas et que tu arrives à supporter le caractère de Louise, c'est du tout bon.
  13. Alephnor

    Des conseils ?

    En même temps... Toradora, quoi ! Tout ou presque dans cet anime est géré de main de maître. Dans le même concept, avec un peu plus d'humour et un peu moins de relationnel, j'aurais envie de placer Love Hina. Le problème, c'est qu'après avoir lu le manga, j'ai surtout des souvenirs de ce dernier. Je sais que la fin de l'histoire fait la part belle aux sentiments, mais je ne me souviens plus si l'adaptation animé va jusque là et si c'est aussi bien retranscrit. A prendre avec des pincettes, donc. Sinon, Zero no Tsukaima. Même si dans ce dernier l'aspect romantique ne se retrouve que dans une poignée d'épisode, ceux-ci sont diablement bien fait (la fin de la saison 2 ! Mon Dieu, la fin de la saison 2 !). L'avantage, c'est que tu retrouveras un peu de Taiga dans Louise (l'héroïne principale), qui illustre à la perfection le concept de "L'Amour fait mal !". Mais là encore, ça reste majoritairement comique. Pour finir, je t'orienterais en direction de Chuunibyou demo Koi ga Shitai! Une fois de plus, on commence avec quelque chose de résolument comique, mais on arrive assez rapidement à quelque chose de bien plus émotionnel. Et le couple principal est mignon. En revanche, le concept scénaristique ne plaira sans doute pas à tout le monde. A toi de voir.
  14. Alephnor

    [Licencié] Psycho-Pass

    Remontage sauvage, mais en même temps je n'ai fini (et commencé) cet anime que récemment. Et au final ? Une bonne claque comme on les aime ! Car même si au niveau du scénario on retrouve des éléments souvent vue dans la plupart des œuvres traitant d'univers dystopiques, on n'a aucun mal à s'y faire. Le système sociale y est terriblement crédible même si non dénué de défaut. Visuellement, c'est du tout bon. On se sent dans une sorte de Blade Runner des familles avec une technologie qui, Dominator et Sybil mis à part, est tout à fait plausible. Les environnements sont assez sombres, mais pas désagréable à regarder. C'est dynamique, détaillé. Beau, quoi ! Même commentaire au niveau de la bande-son. Bien que majoritairement discrètement, il y a quelques passages où elles s'emballent pour notre plus grand plaisir. Mention spéciale pour le dernier opening de la série qui est très très entraînant. Les thèmes abordés sont nombreux et les pistes de réflexions ne manquent pas. Surtout que les dialogues ont le mérite d'être intelligent. Point de One-Liner générique digne d'un blockbuster américain : à la place, nous avons droit à des citations de Pascal ou de Nietzsche. Terminons avec les personnages. Sur ce point, je m'avoue avoir été un peu plus déçu. S'il sont tout assez sympathique, ils ne subissent pas de réelle évolution et on ne parvient pas à comprendre en détail leurs raisonnements (à quelques exceptions prêt bien sûr). Ils ne sont pas désagréables, mais auraient mérités à être un peu plus travaillés afin que le spectateurs puissent vraiment éprouver de l'empathie à leur sujet. Malgré tout, cela reste un anime que je conseille. Le suspense vaut le coup et les questions posées nous font parfois véritablement réfléchir.
  15. Je ne pense pas qu'il y ait beaucoup de risques, mais si quelqu'un envisage de faire un article sur une des œuvres de Minazuki Suu, on risque de ne pas être copain.
  16. Les articles sont à poster directement dans ce sujet ou dans la partie (Manga, Anime...) correspondante ?
  17. 0:10 > Kore wa Zombie Desuka 0:22 > 0:34 > Inu x Boku : Secret Service 0:48 > Yosuga no Sora 1:00 > Ore no Imouto ga Konnani Kawaii Wake ga Nai 1:12 > 1:14 > 1:26 > To Love-Ru (celui-là est pour tarask) 1:38 > Boku wa Tomodachi ga Sukunai 1:51 > 2:04 > 2:16 > Tonari no Kaibutsu-kun (ou My Little Monster chez les anglais) 2:29 > 2:37 > 2:47 > 3:00 > Fin
  18. Et bien voilà. J'avais une idée d'article manga qui traînait depuis un temps. Voilà l'occasion idéale de passer à la partie rédaction ! Il est temps de remplir la lettre W !
  19. J'en profite pour faire une petite précision : une série peut être licenciée sans jamais avoir été diffusée. Donc elle peut ne jamais être sortie en VHS/DVD/Blu-Ray/VOD et ne jamais être passé à la télévision, mais quand même appartenir à un éditeur français qui a alors tout les droits de la faire retirer de sites comme O-A (faut juste qu'ils communiquent sur le fait qu'ils possède la licence en question, mais c'est un autre débat).
  20. Alephnor

    Yume Yayoi

    Comment ça, il y a des gens qui n'aiment pas mon anime ? Malgré quelques problèmes évidents au niveau de tes goûts, je vais tout de même te souhaiter la bienvenue au sein de notre petite communauté. Parce que zut : tu as quand même l'air sympathique et tu es une artiste. Moi, je respecte. En espérant que nous aurons la chance de profiter de quelques-unes de tes créations !
  21. Ah oui. Ah oui ! Oui ! Oui ! Golgo 13, ça te fait passer du petit nouveau sympathique à l'être prometteur et doté d'un grand potentiel. Non, franchement, il n'y a pas assez de monde qui connaît ce personnage en Occident. Alors le simple fait de citer son nom te fait gagner mon approbation. Comme ça, c'est tout. Dans tout les cas, bienvenu sur le forum, être de bon goût !
  22. Alephnor

    Little Busters

    Ah, c'est quand même dommage que l'action se déroule trop vite. Même s'il raconte bien les choses, l'épisode 7 ne laisse pas le temps au spectateur d'être suffisamment déprimé par les événements. C'est pour ça que j'aurais préféré une saison de 26 épisodes. La fin de l'épisode 6 méritait son épisode complet et la première partie de l'épisode 7 au moins deux épisodes. Mais bon, le studio a des impératifs à respecter, on va donc se contenter de ce qu'on a. De toute façon, c'est à partir de maintenant que les non-initiés vont commencer à ne plus rien comprendre. J'ai hâte de voir ça ! Et la semaine prochaine, ce qui sera probablement mon épisode préféré. Je compte sur vous, JC Staff ! PS : si un admin passe par là, il faudrait déplacer le sujet vers les animes licenciés.
  23. Alephnor

    Baleine a tribord

    Souviens-toi que le Temps est un joueur avide Qui gagne sans tricher, à tout coup! c'est la loi. Le jour décroît; la nuit augmente; Souviens-toi! Le gouffre a toujours soif; la clepsydre se vide. Ne va pas t'imaginer des choses. Si les Fleurs du Mal m'ont fait beaucoup d'effet, ce n'est quand même pas au point de vouer un culte à Mr Baudelaire. Comment ça, les réseaux de neurones n'intéressent personne ? Mais c'est passionnant les réseaux de neurones ! Pas le plus simple des concepts, mais passionnant malgré tout. Ne te formalise pas trop en ce qui concerne les classifications d'anime. En général, ce n'est pas la catégorie qui définie la qualité. Tant que ça plaît, c'est l'essentiel (encore que le yaoi...) Un type sympathique, donc. En même temps, il faut au moins ça pour apprécier Code Geass et Cowboy Bebop. C'est donc avec grand plaisir que je te souhaite la bienvenue sur le forum ! See you, Space Cowboy ! PS : Si je te dis Light Novel, ça déclenche une réaction ? Et si je te dis Visual Novel ?
  24. Gah ! Mais pourquoi faut-il que j'arrive en retard ? Bon, au moins je suis capable de combler les trous qui manquent. Mais zut, quoi ! 0:12 Sword Art Online 0:26 Rock black shooter 0:43 Blue exorcist 0:57 Full metal alchimist 1:13 Guilty Crown 1:29 Inu x Boku Secret Service 1:43 Hyouka 1:59 Nisemonogatari 2:14 Shinsekai Yori 2:30 Chuunibyou demo Koi ga shitai 2:45 Zetsuen no Tempest
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