Alephnor

Parce que je suis un gros bourrin et qu'elle est notre déesse : Suzumiya Haruhi (si cela s'avère être exact, je vous autorise à me vénérer)

W. Parce que Wafu !

Oh Oh Oh ! Parce qu'il faut bien relancer le jeu... Et un O, donc.

Bon, je suis probablement un gros mauvais, mais si tel est le cas, je préférerais qu'on me le signale. Je viens de voir le premier épisode de la saison 3 de The World God Only Knows et j'ai eut envie (comme ça, au pif) d'en discuter un peu sur le forum. Direction la partie Anime pour trouver le sujet qui doit, à coup sûr, parler des deux saisons précédentes. Sauf que le sujet en question est fermé. Alors dans ce cas que faire ? Commencer un nouveau sujet, en ignorant superbement le fait qu'il y en ait déjà un d'existant ? A moins que l'un ou l'autre des grands manitous du forum ne soit capable de remédier au problème en débloquant le sujet déjà existant. ... Ou alors je suis un gros mauvais qui n'a pas vu qu'il existait un autre sujet ?

Quand j'ai été voir ce film, je m'étais préparé à laisser mon cerveau de côté et regarder une sorte de pugilat pseudo-fantastique et très exagéré. Le fait est que c'est exactement ce que j'ai regardé. Mais il s'avère que c'était bien plus élaboré que j'aurais put le croire. Ne vous attendez quand même pas à un miracle : c'est loin d'être le film de l'année et il s'approche davantage du nanard que du grand classique. Mais aussi étrange que ça puisse paraître, on passe un bon moment. Le scénario est minimaliste, mais le film prend quand même le temps de nous en expliquer les tenants et les aboutissements. Les combats sont brutaux et fantaisistes, mais il sont bien chorégraphiés et agréables à regarder. Les personnages sont loin d'être complexe, mais ils disposent de suffisamment de profondeur pour qu'on puisse avoir de la sympathie pour eux. Et surtout, le film sait faire preuve d'un minimum d'originalité dans ses scènes d'action. En particulier en ce qui concerne les différents styles de combats (celui des jumeaux était superbe !) Un film à voir donc. Pas pour la culture, ni pour quoi que ce soit d'autre. Juste pour passer un peu de bon temps avec un film qui ose tenter des choses différentes.

Final Fantasy a toujours été une source de difficultés en ce qui me concerne. Je n'ai pour ainsi dire joué à aucun opus (allez, ne soyons pas vache : j'ai très légèrement touché à FF Tactics). Et ce n'est pourtant pas faute d'avoir du monde autour de moi pour me les conseiller ou pour m'inciter à y jouer. Je suis même certain de disposer du VIII quelque part chez moi, traînant à côté de ma Playstation. Alors pourquoi n'avoir jamais tenté d'y jouer ? Simple : la peur de la déception. Tout le monde présente cette série comme étant tout bonnement mythique. Et au fur et à mesure que j'entendais ce genre d'opinion, j'ai fini par le croire. Mais je me suis aussi posé la question : et si j'essayais et que ça ne me plaisais pas ? Rude déception, pas vrai ? Il faut dire que moi et les RPGs, c'est tout ou rien : soit j'accroche du début à la fin sans une seconde de répits (Shining Force, Persona, Rudora No Hihou), soit je me traîne et abandonne aux alentour du premier tiers du jeu (Fire Emblem, EarthBound, FF Tactics justement). J'ai donc toujours hésité. Pourtant, je ne sais pas pourquoi, mais je sens que cet épisode XV sera mon premier FF. Pourquoi ? Je ne suis pas sûr... Les personnages ont l'air très classes, mais ce n'est pas le premier FF où on voit ça. Le scénario (ou plutôt le peu d'intrigue qu'on a pu entrapercevoir) semble sympathique, mais là encore ce n'est pas nouveau. Graphiquement, même observation. C'est beau. Les autres FF l'étaient aussi. Le sont toujours, d'ailleurs. Peut être s'agit-il de l'ambiance... Peut-être s'agit-il du style de combat, rythmé et frénétique... Peut-être est-ce certain choix de gameplay, comme la téléportation ou les séquences suspendue au dessus du vide... Je ne sais pas ce que c'est, mais je sais une chose : ce jeu me fait envie. Et même si au final je suis déçu, j'ai tout de même envie d'y jouer.

Eureka Seven Miku nous l'avais montré, Eureka nous le confirme : les cheveux azurs, c'est la classe ! C’est quoi ? Eureka Seven (le nom complet est d’ailleurs Psalm of Planets Eureka Seven) est un anime sorti en 2005 et conçu par les studios Bones. Ces derniers sont connus notamment pour avoir réalisé les versions animés de Soul Eater, Fullmetal Alchemist, Darker Than Black ou encore Gossick. Composé de 50 épisodes, il s’agit d’un anime qui appartient résolument au genre Mecha. Suite au succès de la série, un film a vu le jour, narrant une histoire alternative à cella racontée dans la série. De plus, en 2012, une suite est parue : Eureka Seven AO. En France, l'anime est licencié par BEEZ, tandis que le film peut être trouvé aux éditions Kazé. Mon robot à moi, il peut surfer sur des flux d'énergie invisibles présents dans les airs. De quoi ça parle ? Eureka Seven nous propose de suivre l’histoire de Renton, un jeune homme enfermé dans une vie monotone qui rêve de liberté et de pouvoir rejoindre le groupe révolutionnaire Gekkostate, mené par ses idoles. L’occasion se présentera à lui lorsqu’Eureka, une pilote de LFO (le nom des mechas, dans la série) membre de Gekkostate s’écrase à proximité de chez lui et que son grand-père profite de l’occasion pour l’envoyer faire une livraison auprès des rebelles. Nous aurons donc l’occasion de suivre son intégration parmi les rebelles ainsi, la lutte de ces derniers contre le gouvernement totalitaire et très militarisé qui contrôle la majeure partie du monde ainsi que la révélation des mystères entourant Eureka et les Coraliens. Que ne ferait-on pas pour protéger celle à qui on tient ? Et ça vaut le coup ? Si l’histoire peut paraître de prime abord simple et basique, on se rend rapidement compte de la volonté d’originalité et de subtilité dont ont voulu faire preuve les créateurs de l’anime. La thématique et la symbolique ont une place importante dans Eureka Seven, à l’instar d’un Evangelion. Et comme Evangelion, il est assez difficile d’appréhender l’ensemble des concepts qu’on essaie de nous transmettre. Pourtant, l’information est distribuée petit à petit. On commence par nous présenter un monde qui pourrait être similaire au notre avant d’y introduire les LFOs, sorte de mechas ayant la capacité de surfer sur des flux de particules en suspension dans les airs. Puis la série prend le temps de nous présenter les différents personnages qui feront partie du quotidien de Renton en intégrant progressivement la situation politique actuelle. Il faut ensuite plusieurs épisodes avant qu’on ne commence à s’intéresser au Coraliens et à ce qui les entoure. Concrètement, si l’anime dans sa globalité peut être assez délicat à cerner, les différents arcs scénaristiques sont très bien découpés et peu confus. Esthétiquement, il n’y a pas de réels reproches à faire. Le dessin est beau, les scènes de combat rythmées et détaillées et les paysages grandioses. Même traitement pour ce qui est de la musique qui n’a aucune difficulté à s’adapter aux différentes scènes et aux différents thèmes de l’anime. En ce qui concerne la galerie de personnage, on a droit à quelque chose de beaucoup plus épars. Si certain sont absolument mémorable, un grand nombre risque fort de ne pas vous laisser de fortes impressions. Au moins parviennent-ils à être attachants… La bonne nouvelle, c'est que c'est de la confiture. La mauvaise nouvelle, c'est que connaissant la fille, ça pourrait tout aussi bien être votre sang. Et toi, tu en penses quoi ? J’avais entendu beaucoup de bien d’Eureka Seven et avait commencé l’anime en étant relativement confiant. Au final, je dois reconnaître avoir été déçu. Je peux comprends la volonté du studio d’avoir voulu faire preuve d’originalité. Je comprends également qu’ils aient désiré faire passer un message. Mais ils n’ont malheureusement pas choisi la meilleure façon de le faire. Entre les événements évoqués lors d’un épisode et qui ne sont expliqués que beaucoup plus tard, les séries d’épisodes qui, sous couvert de s’intéresser à un personnage, nous coupent complétement de la situation globale (qui continue bien entendu à évoluer) et le personnage de Renton qui passe davantage de temps à se lamenter sur son sort plutôt que de faire face à la situation dans laquelle il se trouve, on a du mal à rester accroché à l’anime du début à la fin. Pourtant, Eureka Seven est loin d’être mauvais. Certain aspect de l’anime sont mêmes tout bonnement excellent : le personnage d’Anemone par exemple. Elle a beau être détestable en tout point, on ne peut s’empêcher de l’apprécier. A plus forte raison quand on inclut la relation (singulière) qu’elle entretient avec Dominic Sorel. Même traitement pour Eureka : si au début, on l’imagine comme un ersatz de Rei Ayanami, on se retrouve vite en présence de quelqu’un de chaleureux et de bougrement sympathique. Et cet état des choses ne fait que se renforcer au fur et à mesure de la série. Je ne vais pas commettre l’affront de spoiler certains épisodes de l’anime, mais là encore on a deux poids deux mesures. D’un côté, les passages confus et ne faisant pas avancer le scénario, de l’autre les épisodes faisant preuve d’une véritable originalité et d’une force émotionnelle non négligeable. Au final, je dirais que l’anime a voulu en faire trop. Trop de messages, trop de concepts abstraits, trop d’événements, trop d’histoires parallèles. Et en général pas assez d’explications. Je ne dis pas qu’il faut l’éviter, bien au contraire. Mais il vous faudra probablement au moins deux visionnages pour effacer le gros des doutes et des confusions.

Et les autres suivront bientôt, nous rapprochant toujours plus de la domination mondiale !

J'approuve ce membre Au moins, on est d'accord sur le fait que GTO, c'est une série fantastique. En plus, je vois que nous avons un connaisseur de Miku et de Half-Life. Tout pour me plaire, quoi ! En gros, bienvenu au club !

Moi... J'aime bien. A mi-chemin entre la Trance et la Lounge, on trouve de la mélodie tout en gardant un ensemble un minimum rythmé. Et surtout, il y a une ambiance qui s'en dégage. Typiquement le style de musique que j'apprécie. Et une nouvelle musique sur mon baladeur. Une ! Du moins, quand j'aurais trouvé comment la récupérer... Comme conseil pour la suite, je serais assez bref. D'abord parce que mes connaissances en matière de créations musicales ne permettent pas une critique élaboré et ensuite parce qu'au final, la musique est quand même bien. Primo, peut-être viser des durées un peu plus longue : on commence à se plonger dedans au moment où ça s'arrête. C'est triste. Secondo, ne pas hésiter à varier les tonalités. Tu restes cantonné dans une gamme de son restreinte. Si c'est un parti pris, alors je ne peux que le respecter. Mais un peu de variété et d'audace pourrait amplifier les émotions engendrées. Du beau boulot, mon Raiton !

Fate/kaleid liner Prisma Illya Je me moque des difficultés d'inclusion de ce spinoff dans la mythologie Fate. Je me moque de l'orientation humoristique de l'anime. Je me moque de l'aspect Magical Girl. Il me faut plus d'Illya. Toujours plus d'Illya ! Et Tohsaka, ne l'oublions pas... Par contre, je ne sais pas si c'est une bonne nouvelle que la première apparition de Dark Saber se fasse dans un tel contexte...

The World God Only Knows, tout à fait. Bon, ben, la suite pour qui le voudra.

Etant donné mon fanatisme pour la série, ta suggestion était logique. Mais non, cette bibliothèque ne vient pas de l'univers To Aru.

Pour la lettre L, rien de mieux que le Vampire de Britannia, j'ai nommé Luciano Bradley

Dans quel anime peut-on se rendre dans cette superbe bibliothèque ?

Ben... C'est Papa no Iu Koto o Kikinasai! Mais avec tout ces indices, je ne sais même pas si on peut considérer ça comme une réussite de ma part...

Hard-core !

Quant on M, le reste ne compte plus vraiment...

Bonjour, vous ! Et bienvenu sur O-A ! Dago' a raison : on a envie d'en savoir plus. En particulier, tes mangas/animes préférés, les jeux vidéos que tu adulent, quelques échantillons de tes œuvres... Tout ça, quoi !

Tu Trouve Ta Tirade Tordante, Toi ? Vous l'aurez deviné : c'est l'heure du T !

Ahah... Ahah... Ah... Ahahahahaha ! Mwahahahaha ! MWAHAHAHAHAHAHAHAHA ! Hum... Désolé... Un A, s'il te plait...

Bon, une série de bouclée supplémentaire ! J'ai terminé les Heavy Object ce matin. Et c'est sympathique de voir que maître Kamachi fait l'effort de ne pas toujours répéter le même schéma scénaristique. Faut attendre le volume 5 pour qu'il y ait du changement, mais l'effort est là. La qualité, aussi. Au sujet de NT7, j'avoue avoir bien aimé ce tome. Même si la troisième partie est très bordélique. Au moins, on peut revoir des têtes connues, c'est déjà ça.

Poursuivons avec un P !

Yep, yep ! Il s'agit effectivement de Kawakami Momoyo, de l'anime Maji de Watashi ni Koi Shinasai ! Kazugaya : 3 points Alephnor: 3 points Hancock : 1 point

Houlà... Un peu de plus et je passais à côté ! Ça aurait été malheureux ! Bon anniversaire mon Kazu' ! Et tout plein de bonheur !