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Alephnor

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Tout ce qui a été posté par Alephnor

  1. Bien entendu ! Ce n'est pas moi qui irait te dire le contraire ! Pour ma part, j'ai particulièrement aimé l'épisode 6 : la réaction du père y est hilarante, bien que hautement prévisible. Mais ce sont vraiment les évolutions des personnages qui se font un peu trop rapidement à mon goût. Ayase, en particulier. J'ai encore du mal à cerner à partir de quel moment elle a accordé suffisamment de confiance à Kyousuke pour venir lui demander aide et conseil de manière aussi fréquente. En même temps, Ayase est une yandere. Faut pas trop chercher avec ces gens là...
  2. Parlons-en un peu, d'ailleurs, de la saison 2. Je ne sais pas pourquoi, mais il y a quelque chose qui me dérange. Attention, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dis : l'anime est toujours aussi agréable à regarder, l'humour est toujours de qualité et les personnages toujours aussi sympathiques. Pourtant, j'ai l'impression de faire face à un subtil soucis de rythme. J'ai l'impression que tout va trop vite : on te balance une intrigue en début d'épisode (ou à la toute fin de l'épisode précédent) et on la boucle rapidement en un seul épisode avant de passer à autre chose. Je n'avais pas du tout cette sensation dans la première saison. Bon, il faut aussi prendre en compte que le studio a décidé de rattraper le roman en une seule saison. Mais là, je trouve qu'ils en ont peut-être trop fait. Dans le même temps, je n'ai pas (encore) lu le roman. Les événements s'y déroule peut-être aussi vite. Pourtant, c'est typiquement le genre de petit détail qui m'empêche d'apprécier la saison 2 autant que j'avais aimé la saison 1. Je suis le seul à qui ça a fait cet effet ? [En même temps, il n'y a que 6 épisodes de sortis. Il est peut-être un peu tôt pour juger.]
  3. Attention : pense bien à regarder les OAV avant d'attaquer la saison 2 ! Contrairement aux habitudes dans les animes, il ne s'agit pas d'épisodes bonus, mais d'épisodes qui font beaucoup avancer l'histoire !
  4. Bon, comme la dernière fois c'était un peu trop facile, voilà qui devrait un peu remonter le niveau :
  5. Oh, quand même : c'est FarCry 3. Plus précisément l'expansion Blood Dragon. Faudra que je me le prenne, celui-là !
  6. Bon, il semblerait que c'était connu, finalement. Ce sera pour une prochaine fois, spiro !
  7. Alephnor

    Presentation Jeyzer !

    Il est si sensible que ça, ton contenu sensible ? Tu sais que tu vas attiser notre curiosité, là ? Maintenant, on ne veut plus seulement savoir où tu les planques, mais également de quoi il s'agit ! Petit coquin, va ! Bon, on te pardonnera parce que tu as bon goût en matière d'anime. Et bienvenue !
  8. Bien, allons-y : je n'ai aucune idée de la popularité de ce jeu et donc de la difficulté qu'il y aura à le retrouver. Good Luck !
  9. Continuer la série, c'est vite dit : les nouveaux chapitres ne sortent pas souvent, car l'auteur prend beaucoup de temps entre chacun d'entre eux. Si je ne me trompe pas, l'anime s'est fini au chapitre 15 du manga. Le dernier chapitre à être sorti est le 30. Je te laisse faire le compte : 30 chapitres depuis septembre 2006 (date de première parution du manga), ça ne fait pas une fréquence de publication bien importante. C'est pour ça que je ne suis pas la série pour le moment : trop de tension et d'attente entre chaque chapitre !
  10. Il ne s'agirait pas de Game Dev Tycoon ? On a pas mal parlé de lui et de ses mesures anti-piratage !
  11. Alephnor

    [Licencié] Shingeki no Kyojin

    Ça y est ! L'épisode 5 vient de me rappeler pourquoi j'avais tellement accroché au manga ! C'est pour la bonne et simple raison que l'auteur n'a aucune notion d'armure scénaristique ! Les chances de survies sont les mêmes pour tout le monde : infiniment basses ! Bon Dieu, je n'imaginais quand même pas qu'ils parviendraient à faire une aussi bonne adaptation. Dans l'immédiat, je n'ai rien à reprocher : l'animation est nickel (en particulier les phases aériennes), la musique est juste parfaite et on se prends vraiment au jeu émotionnel qu'ils mettent en place. Au final, on s'attache aux personnages, même si on sait qu'ils sont dans un monde à la survie n'est qu'une hypothèse fantasque. Surtout quand on sait que l'auteur n'hésite pas à offrir ces persos en chair à Titans dès qu'il le faut : la popularité n'aura aucune influence, dans cet anime. Au contraire, à chaque nouvel épisode que vous lancerez, il vaudrait mieux vous préparer à voir votre perso préféré se faire bouffer tout cru. Approbation totale, donc. Et croyez-moi, vous êtes loin d'avoir tout vu avec ce scénar' !
  12. On est dans les H, il me semble... Alors place à : Saigusa Haruka (Little Busters, pour ceux qui se poserait la question)
  13. Alephnor

    Light Novels

    Je veux une version animée d'Heavy Object... Le contraste entre le caractère des personnages et la situation dans laquelle ils se trouvent est absolument hilarant. Au début, je n'étais pourtant pas partant. Mais une fois passé le premier tome (un peu répétitif), on sent que Maître Kamachi s'essaye à de nouvelles choses. Et ça marche ! Et puis, pour une fois qu'on a des héros qui ont pour seul objectif la réussite personnelle, je ne peux qu'approuver. La seule un peu laissée pour compte dans le casting est la princesse. Encore qu'une Rei Ayanami capable d'être jalouse, ça peut aussi avoir son charme. Bon, plus que 3 semaines avant NT7 (oui, il ne faut pas oublier le temps de traduction). C'est long.
  14. Les lézards, c'est sympa. Et puis, Blazblue et Melty Blood, quoi ! Je me demande bien qui sont tes persos de prédilections (Hazama/Nanaya, en ce qui me concerne) Par contre, je remarque que malgré 400 animes à ton actif, tu ne nous as pas dit quels étaient tes favoris. Je compte sur toi pour combler cet oubli. Et bienvenu sur le forum !
  15. Alephnor

    Tronche de Cake II

    Oh mon Dieu ! On a retrouvé Gendou Ikari ! Manque plus que les lunettes...
  16. Alephnor

    salut! x3

    Je crois que beaucoup de monde se serait passé de Yosuga no Sora... Et dire que j'étais confiant quand je l'ai commencé... En tout cas, ça fait plaisir de voir un nouvel arrivant qui a lui aussi pénétré tardivement dans le monde Otaku. Je me sens moins seul, d'un coup. En tout cas, je note qu'il y a de la qualité dans tes références. GTO, c'est le bien. High School of the Dead, c'est la classe (pour peu qu'on fasse abstraction du ecchi à outrance), Kiss x Sis, c'est... Hem... C'est quand même spécial, tu ne trouve pas ? Même si j'admet que le père est le charisme incarné ! Cela étant, bienvenu dans notre petite communauté. En espérant que tu t'y plairas !
  17. Soit pas si agressif, Az' : tu vas lui faire peur ! Blague à part, bienvenue dans notre petit royaume de la culture Otaku (oui, j'aime voir les choses en grand !). On espère que tu t'y plairas. En attendant... Ben... Enjoy ! Sinon, les mangas et les animes, c'est bien. Mais t'es-tu déjà aventurée dans des recoins un peu plus obscurs et éloignés du monde Otaku ? Les romans ? Les dramas ? Les jeux ? La musique ? Ou autre, que sais-je ?
  18. Pour les images manquantes, c'est parfaitement normal : Kyousuke est le personnage incarné par le joueur, donc tout se déroule à travers ses yeux. Les rares fois où on voit à quoi il ressemble sont assez loin dans le jeu et risquerait de gâcher certaines scènes. Quant à Maou, sa force absolue est son anonymat et son invisibilité. Il serait odieux de spoiler le jeu en révélant son apparence. Mais je peux peut-être essayer de trouver un moyen détourné pour ces deux personnages. Ça demandera un peu d'édition de CG, mais on arrivera peut-être à quelque chose.
  19. Etre un méchant n'a jamais été aussi héroïque. Support : PC Date de sortie : 28/05/2008 Genre : Visual Novel Développeur : AkabeiSoft2 Limite d’âge : 18 ans et plus Maître-chanteur, terroriste, kidnappeur, manipulateur et dénué de tout scrupule : Maou a toutes les qualités ! Histoire : Vous incarnez le rôle d’Azai Kyousuke. Pour beaucoup, vous n’êtes rien de plus qu’un étudiant comme les autres : studieux, pragmatique et bon orateur, mais un quidam comme les autres, en fin de compte. La vérité, c’est que vous êtes le fils adoptif d’Azai Gonzou, le parrain de la mafia locale, et que vous prenez activement part aux activités de votre paternel. Et même si vous vous occupez davantage de collecte d’information et de relation publique, vous n’en êtes pas moins un Yakuza tout ce qu’il y a de plus criminel. Mais les choses ne sont pas toujours simples pour quelqu’un dans votre situation. Entre l’arrivée dans votre classe d’une détective amatrice, bien décidée à percer vos secrets à jour, et l’arrivée en ville de Maou, un criminel énigmatique et prêt à tout pour asseoir sa domination sur la pègre locale, vous risquez de vous retrouver à vous battre contre des choses qui vous dépasse. Sans oublier qu’il conviendra de maintenir les affaires familiales en bonne ordre de marche. Ce qu’il y a dans l’assiette n’est que l’accompagnement. Vous pouvez voir un bout du petit-déjeuner de Gonzou sur la gauche. Personnages : Si certains des personnages de l’aventure remplissent les archétypes classiques de tout scénario japonais, il y en a quelques-uns qui tirent leur épingle du jeu en proposant un caractère vraiment atypique. Azai Kyousuke : Il n’en a pas l’air, mais il est le fils d’un baron du crime et occupe une place importante au sein de la pègre. Cependant, contrairement à certains membres qui ne s’en cachent que très peu, il prend un soin tout particulier à dissimuler la position qu’il occupe parmi les ténors du crime organisé. Voilà pourquoi il mène une double vie dans laquelle il n’est rien de plus qu’un simple étudiant tout ce qu’il y a de plus sympathique et agréable. Réfléchi, organisé et très bien informé, Kyousuke est prêt au pire pour pouvoir accomplir ses objectifs et récupérer toujours plus d’argent. C’est du moins ce dont il a toujours été persuadé… Usami Haru : C’est une fille énigmatique qui vient tout juste d’être transférée dans la classe de Kyousuke. Bien que maladroite en ce qui concerne les relations humaines, elle se déclare être une défenseuse de la justice et souhaite plus que tout au monde arrêter Maou. Maou : On ne sait que peu de choses de ce nouveau venu au sein de la pègre. Nul ne connait son nom ou son visage, mais il semble prendre un malin plaisir à perturber les affaires d’Azai Gonzou et semble ne pas hésiter à s’en prendre à tous les proches de Kyousuke. Manipulateur, persuasif et sans la moindre scrupule, il sera probablement le plus farouche adversaire que Kyousuke aura affronté jusqu’à présent. Azai Gonzou : Baron du crime local et père adoptif de Kyousuke, Azai Gonzou est l’exemple type de la personne avec qui on ne veut pas être en froid. Il n’a pas obtenu son surnom du « Fauve » pour rien : il est absolument sans pitié et n’a jamais fait preuve du moindre sentiment. Il n’est intéressé par rien d’autre que par son empire du crime et les quantités d’argent qu’il peut en tirer. C’est bien simple : il ne voit son fils que comme l’un de ses hommes de mains et sa fille comme une valeur marchande dont il pourra tirer un bon prix. Un monstre de cruauté et de puissance qui est littéralement intouchable ! Aiazawa Eiichi : Probablement la chose la plus proche de ce qu’on pourrait appeler un ami pour Kyousuke. Même si Eiichi n’a aucune idée de la vie de criminel de ce dernier. Il faut dire que l’individu est déjà un drôle de phénomène. A première vue, il est le genre de garçon adorable, mignon et fragile qui fait craquer toutes les filles qu’il croise. Sauf qu’en vérité, ce n’est qu’une façade qu’il se donne pour faciliter ses envies de conquêtes auprès de la gente féminine. Miwa Tsubaki : une camarade de classe de Kyousuke. L’exemple type de la fille toujours souriante et chaleureuse qui se lie très facilement avec les gens. Mais elle a le gros défaut de ne pas voir le mal chez ses derniers, ce qui risque de lui causer bien des déceptions. Azai Kanon : vous l’aurez deviné au nom, il s’agit de la sœur de Kyousuke. Elle est la fille d’Azai Gonzou, mais elle n’a pas la moindre idée des activités de son père et de son frère. Kanon est une hyperactive : sportive et patineuse de haut niveau. Mais derrière son talent se cache de gros problèmes familiaux avec un père qui la voit comme valeur marchande et une mère qui la considère comme un moyen de prendre une revanche sur la vie. Shiratori Mizuha : une autre camarade de classe et la fille du directeur de l’école. Mizuha est un archétype de la fille raffiné et distingué ayant une fâcheuse tendance à ignorer voire mépriser ceux qu’elle ne peut supporter. Inutile de préciser qu’elle n’apprécie pas Kyousuke. Tokita Yuki : une amie très proche d’Haru et une étudiante en criminologie. Elle connaît le monde du crime et s’est révélé être une prodige en négociations. Une autre adversaire de poids pour la double vie de Kyousuke. Si une justicière veut obtenir l'aide d'un malfrat, elle doit être prête à quelques concessions. Gameplay : Il ne sert à rien de se mentir. Il s’agit d’un Visual Novel : le gameplay est donc tout ce qu’il y a de plus minimaliste. Il suffit de cliquer avec sa souris pour faire progresser l’histoire et les dialogues. Le reste n’est rien de plus que de la lecture. Il faudra cependant, en certains points de l’histoire, effectuer des choix qui décideront de l’orientation que prendra le scénario. Il y a un total de quatre route que le joueur est susceptible d’emprunter et contrairement à d’autre jeux, elles sont toutes accessibles dès le début. Parmi ces routes, 3 disposent d'une mauvaise fin peu difficile à éviter. Pour le reste, il n’y a que du très classique. Finir une des routes vous permettra de débloquer des menus supplémentaires afin de visualiser les images (CG) que vous aurez débloqués, de réécouter les musiques du jeu ou de prendre un raccourci jusqu’à un chapitre précis de l’histoire. Inutile de préciser que seuls les chapitres déjà parcourus sont accessibles. Et ceci est la raison pour laquelle il ne faut jamais se fier aux premières impressions. Graphismes : Une fois de plus, il s’agit d’un Visual Novel. Inutile de faire la moindre comparaison avec le dernier opus de Final Fantasy : ça n’aurait aucun sens. En revanche, si on se limite à l’univers des autres VN, on se retrouve face à un titre qui se défend très bien graphiquement. Les couleurs sont claires et parviennent à s'adapter sans difficultés à la double atmosphère du jeu. Les personnages sont expressifs et bien détaillés. A tel point que même les réactions parfois extrèmes de Gonzou ou d'Eiichi n'ont jamais l'air déplacé. J'en profite d'ailleurs pour évoquer le fait qu'AkabeiSoft2 a choisi d'utiliser une miniature des personnages plutôt que leurs noms afin de les identifier dans la fenêtre de dialogue. Si ce détail peut sembler obsolète, il se révèle très pratique au début du jeu, lorsque le joueur ne s'est pas encore habitué aux différents personnages. Parlons enfin des décors, nombreux et variés, qui sauront parfaitement vous mettre dans les différentes ambiances que le jeu parvient à créer. Pour terminer, il convient d'évoquer les CGs (Computer Graphics : il s’agit des images illustrant une scène spécifique et n’utilisant pas le schéma classique personnage + décor), ils offrent une excellente qualité : ils sont dynamiques et de très bonne facture. Même s'ils ont tendance à être davantage présent vers la fin du jeu (ce qui, soit dit en passant, s'explique facilement, quant on prend en compte les événements qui s'y déroulent). Rêgle de survie n°1 : ne dérangez jamais une femme lorsqu'elle est occupée. Bande-Son : C’est une norme, mais il convient quand même de le préciser. Le doublage est de très haute qualité et une oreille attentive saura reconnaître certains doubleurs talentueux. Citons en vrac : - Koorogi Satomi : Okazaki Ushio dans CLANNAD, May dans Guilty Gear et également Togepi. Oui, le Pokémon. - Hitomi : Primura dans SHUFFLE ! et Akiha dans MELTY BLOOD. - Fukuyama Jun : Ayasegawa Yumichika dans Bleach, Kishitani Shinra dans DURARARA, Kimihiro Watanuki dans xxxHolic. Oh, et il semblerait qu’il ait été le doubleur d’un certain Lelouch, dans Code Geass. Les musiques à présent. Impossible de dire quoi que ce soit d’autre que des éloges. On retrouve ici de grands morceaux de la musique classique remaniés pour coller au jeu. Et quand je parle de grands morceaux, je parle Hymne à la Joie de Beethoven, Clair de Lune de Debussy, Etude Révolutionnaire de Chopin ou Chevauchée des Valkyrie de Wagner. On pourrait craindre que de telles œuvres s’introduisent assez mal dans le jeu. Il n’en est rien. Chaque musique correspond parfaitement à la scène dans laquelle elle est jouée et ne rendra cette dernière qu’encore plus épique ou tragique, selon le cas. A titre personnel, je trouve que la plus réussie est la Marche Slave de Tchaikovsky. Il s’agit du thème d’Azai Gonzou et cette musique ne rend le personnage que plus menaçant qu’il ne l’est déjà ! Vos sentiments et votre personnalité n'ont jamais vraiment importé, au bout compte. Scénario : Malgré ce qu’on pourrait croire, le scenario de G-Senjou no Maou est très inégal. Celui-ci se construit autour d’une route principale (celle de Haru) et à certain moment précis, un choix vous permettra de vous engager sur la route d’une des trois autres héroïnes (Tsubaki, Kanon et Mizuha). Si la route de Haru est irréprochable (l’épilogue est probablement une des choses les plus émouvantes que j’ai jamais vu), les autres sont d’une qualité bien inférieure. Celle de Tsubaki reste correcte avec un véritable engagement émotionnel et une bonne maîtrise du rythme, mais la route de Kanon a tendance à traîner en longueur. Quant à celle de Mizuha, elle ne semble juste pas parvenir au niveau de ses consœurs : on a beau faire tous les efforts du monde, il est difficile de se sentir impliqué. Cette qualité inférieure peut probablement être expliqué par le fait que ces trois routes, parce qu'elles sont alternatives, mettent l'intrigue liée à Maou de côté pour se concentrer sur les héroïnes. L'idée est louable, mais ces routes ne peuvent tenir la comparaison avec la route de Haru qui voit se révéler l'ensemble des mystères relatifs à notre mystérieux criminel. Malgré tout, l’histoire vaut le détour. Ne serait-ce que pour la route principale qui ne manquera pas de vous surprendre avec ses nombreuses interrogations et rebondissements et pour l’humour distillé habilement au cour de l’aventure. Au total, il ne vous faudra pas moins d’une trentaine d’heure pour venir à bout de ce jeu. Et de Maou. Il ne pourra en rester qu'un... Bilan : Que dire de ce jeu sinon vous le conseiller ? Il n’est pas parfait, loin de là, mais il a le mérite de proposer un concept original et une aventure immersive pour la majeure partie. Avec sa durée de vie sensiblement plus faible que la moyenne, ses embranchements scénaristiques peu difficile à appréhender et sa galerie de personnages attachants sans être trop complexes à cerner, G-Senjou no Maou est un très bon choix pour celui qui souhaite découvrir le genre du Visual Novel. Avec sa bande-son irréprochable et ses rebondissements scénaristiques, il s’agit d’un jeu qui saura vous marquer. Pas comme le meilleur Visual Novel qui soit, mais tout simplement comme étant une expérience agréable et différente et ce à quoi vous étiez habitué. Geek is chic !
  20. Alephnor

    présentation

    Je remarques qu'il prend le soin de s'inscrire et de se présenter juste pour bien appuyer le fait que lui part au Japon pendant que nous, nous ne pouvons que rester à nous morfondre en priant pour y aller un jour. On appelle ça du sadisme. Et dans mon jargon, il s'agit d'une qualité ! Tout ça pour dire que malgré le sentiment de jalousie évident que tu m'inspires, je te souhaite la bienvenue dans notre petite communauté.
  21. Alephnor

    Vos expressions

    On me dit souvent que je ne suis pas né à la bonne époque, je me demande pourquoi. "Certes, certes..." (à la fois mon "Je suis d'accord" et mon "Causes toujours, tu m'intéresse") "Bigre" "Diantre" "Scheisse" (oui, je jure en allemand) "Qué ?" (oui, je questionne en espagnol) "De l'érotisme culinaire !" (il faut vraiment que j'aime ce que je mange pour la sortir, celle-là) "Très classe !" (version sincère ou sarcastique, au choix) "C'est d'un raffiné..." (uniquement la version sarcastique, ce coup-ci) "WUT ?" "Hérétique !" (Car on ne peut pas ne pas être d'accord avec quoi) "Blasphème !" (Car il y a des choses qui ne devrait même pas être pensée) "Kézako ?" (ne me demandez pas de quelle langue il s'agit...) "Tout en finesse, quoi." (Souvent quand quelqu'un fait preuve d'une grande "douceur", si vous voyez ce que je veux dire)
  22. Houlà... Fais gaffe à pas trop te faire spoiler, Kazu' ! C'est typiquement le genre de jeux où tu peux te ruiner le plaisir de la découverte, à vouloir trop en savoir. J'espère qu'il n'y aura pas trop de monde qui regardera ton spoiler. Ça a l'air assez anodin, mais le découvrir en plein jeu a un petit côté déboussolant.
  23. Vous n'imaginez pas dans quoi vous êtes sur le point de vous plonger. Support : PC (existe aussi sur Playstation 2, Dreamcast, PSP et XBox 360) Date de sortie : 29/08/2002 au Japon, 20/12/2005 aux Etats-Unis Genre(s) : Visual Novel Développeur : KID Limite d'âge : : 15 ans et plus Sous l'océan, personne ne vous entendra pleurer. Histoire : LeMU n'est pas un parc d'attraction comme les autres. En plus de disposer d'une technologie de pointe, il est situé à 150 pieds sous l'océan. Un endroit de rêve qui tourne pourtant au cauchemar. Le 1er Mai 2017, une grave avarie cause une défaillance au niveau de l'intégrité du parc. Malgré l'évacuation, six personnes se retrouvent prises au piège dans cette prison d'acier sans aucun moyen de remonter à la surface. Heures après heures, la pression de l'eau sur les parois de LeMU se fait de plus en plus puissante. Il ne reste que trois jours avant que l'endroit ne soit irrémédiablement détruit. Avec tout ceux qui seront encore à l'intérieur lorsque cela se produira. Combien de personnes resteront piégées dans les profondeurs de LeMU ? Personnages : Comme dans n'importe quel Visual Novel, ce sont les personnages qui font la plus grande force du jeu. Ils vont permettre tout le développement émotionnel et scénaristique et vous n'aurez aucune difficulté à vous prendre d'affection pour chacun d'entre eux. Kuranari Takeshi : Même s'il ne s'agit pas de la personne la plus fine du groupe, il sait faire preuve d'initiative et de courage quand il s'agit de protéger tout le monde du danger. Il est prêt à n'importe quoi pour permettre à ses compagnons d'infortune de sortir vivant de LeMU. Kid : Suite au choc de l'accident, ce jeune garçon d'une quinzaine d'année souffre d'une violente amnésie. Incapable de se rappeler jusqu'à son nom, il lutte sans cesse pour tenter de retrouver ses souvenirs. Bien que parfois sujet à la panique, il reste quelqu'un sur qui le groupe peut compter pour maintenir un esprit positif. Komachi Tsugumi : Une solitaire qui n'a vraisemblablement besoin de personne. Elle fera souvent bande à part, ne se mélant aux autres que si elle n'a pas d'autre possibilité. Prompte à la colère et en connaissant visiblement plus sur LeMU qu'un visiteur régulier, nulle doute que la jeune femme a des choses à cacher. Akanegasaki Sora : Une guide au sein de LeMU, elle dispose d'une excellente connaissance des lieux et du fonctionnement des installations. En tant qu'employé du parc, elle considère comme un devoir de faire en sorte d'évacuer tout ceux encore piégés sous la surface. Faisant toujours preuve d'un calme et d'une tendresse déconcertante, il s'agit d'une personne capable de rassurer n'importe qui, même dans une situation aussi désespérée. Tanaka You : Une autre employé du parc, mais beaucoup plus désinvolte. Elle a tendance a toujours tout prendre du bon côté et n'affiche jamais autre chose qu'un sourire sur son visage. A coup sûr une des moins sérieuse du groupe, elle connait suffisamment LeMU pour se révéler être un élément indispensable. Et sa bonne humeur communicative sera sans aucun doute essentiel dans cette lutte pour la survie. Matsunaga Sara : Bien que jeune, Sara fait preuve d'une redoutable intelligence et d'un talent inné pour le piratage informatique. Mais en dehors de ça, elle reste une enfant avec tout ce que ça implique. Yagami Coco : Collégienne, Coco est une hyperactive. Toujours à courir de-ci de-là, elle ne laisse pas une seconde de répis à qui que ce soit. Son innocence et sa bonne humeur font d'elle la mascotte du groupe. Ce choix, que vous devrez faire au début du jeu, est beaucoup plus important que vous ne croyez. Gameplay : Il s'agit d'un Visual Novel, le gameplay est donc minimaliste. Pas besoin de quoi que ce soit d'autre qu'une souris pour pouvoir progresser dans le jeu. Le principe est on ne peut plus simple : l'écran se divise en deux parties, l'une représentant la scène avec les différents personnages et l'autre contenant le texte et les dialogues des différents protagonistes. Vous serez plongé dans la peau d'un des survivants et devrez laisser défiler l'histoire en effectuant des choix plus ou moins cruciaux à des moments clés de l'intrigue. Ces choix influeront sur la direction que le scénario prendra et sont susceptibles de vous amener vers des histoires et des fins très différentes. Il y a un total de cinq scénarios dont l'un ne sera débloqué qu'une fois les quatre autres visionnés. Précisons également que si vous vous escrimez à prendre de mauvaises décisions, le jeu est susceptible de vous amener vers l'une des mauvaises fins qui ne pourra que vous faire regretter de ne pas avoir mieux fait vos choix. Vous devez vous en douter, le jeu est uniquement solo. En revanche, le nombre de possibilités et de fins à atteindre est tel que vous vous retrouverez fréquemment à recommencer le jeu depuis le début, juste pour pouvoir saisir l'ampleur du scénario. Mais soyez rassuré, une option existe pour pouvoir passer les parties de l'histoire que vous aurez déjà visionné, vous permettant de ne pas revivre cinq fois la même scène. Mais malgré cette option, il vous faudra facilement plus d'une cinquantaine d'heure pour compléter l'ensemble du jeu. J'ignore ce que vous avez à leur annoncer, mais elles semblent inquiètes. Graphismes : A cause du format du jeu, il ne faudra pas vous attendre à un titre pouvant rivaliser avec les blockbusters du marché. Les graphismes sont minimalistes : un décor statique et les personnages participant à la scène, statiques également. Bon, reconnaissons qu'il y a quelques changements en fonction de l'humeur des personnages, mais il ne s'agit pas d'une animation légendaire. Notons que la version XBox 360 est mieux loti à ce niveau, avec des personnages présentant un rendu 3D du plus bel effet. Mais là encore, nous ne sommes pas au niveau d'un Crysis. On pourrait reprocher un certain manque de couleur, l'ensemble étant définitivement assez sombre. Cependant, ces graphismes minimalistes ne sont pas forcément un défaut et ne poseront pas le moindre problème pour s'immerger dans l'intrigue. Ou disons plutôt que si les graphismes vous empêchent d'y jouer, c'est que vous n'êtes fait pour le genre du Visual Novel. C'est une très mauvaise idée... Bande-Son : La musique est discrète et n'a rien de sensationnel à première vue. Pourtant, elle réussit à être toujours adapté aux circonstances et saura jouez son rôle durant l'aventure. Osez me dire que la musique ne vous a pas fait froid dans le dos durant la partie de Kick-the-can. Pour ce qui du doublage, on entre dans une toute autre catégorie. Dans la plus pure tradition des doubleurs japonnais, le travail réalisé est sensationnel et les émotions sont véritablement présentes dans n'importe quelles paroles des personnages. Je vais me permettre un petit listing de certains doubleurs et de leurs autre réalisations : Sōichirō Hoshi : Kira Yamato, dans Gundam SEED Noriko Shitaya : Sakura, dans Fate/Stay Night Kana Ueda : Rin, dans Fate/Stay Night Yu Asakawa : c'est tout simplement sur sa voix qu'est basée Megurine Luka Vivre en groupe est tout sauf facile. Imaginez ce que doit être de survivre en groupe... Scénario : Comme dans tout Visual Novel, c'est le scénario qui permet de vraiment se démarquer. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que les scénaristes de KID ont réalisé un vrai travail d'orfèvre. Rien, absolument rien n'est laissé au hasard. Je ne peux bien évidemment pas trop en révéler, car cela signifierait ruiner la conclusion du jeu. Mais il est important de savoir que le moindre détail, la moindre ligne dialogue est réfléchie et apporte quelque chose à l'ensemble du jeu. Ne vous attendez pas à une histoire romantique sur fond de scénario catastrophe. Ne vous attendez pas non plus à un déferlement de scènes d'action toutes plus épiques les unes que les autres. Ever 17 est un jeu réflexif. Il a pour objectif de vous faire penser différemment, de vous entraîner dans des théories et des hypothèses que vous ne vous imaginiez même pas capable de formuler. Le jeu est parsemé d'informations liées aussi bien aux sciences dures qu'à la psychologie et la philosophie. Et même si un bon nombre d'éléments ne sont issus que de l'imagination sans limites des scénaristes, l'ensemble reste terriblement crédible. La science, mes amis ! La science ! Mais n'oublions pas que nous sommes dans un Visual Novel. Tradition oblige, une partie non négligeable du scénario tournera autour de vos relations avec les personnages féminins du jeu. 5 personnages féminins, 5 scénarios. Je crois que je n'ai pas besoin de vous faire un dessin. Pour progresser, il faudra se rapprocher d'elles. Et au fur et à mesure que les jour s'écouleront dans votre prison d'acier, des sentiments apparaîtront. Pour peu que vous ne multipliez pas les mauvais choix. Ces romances sont assez inégales entre elles. Si les histoires de Sora et et Tsumugi sont prenantes et promptes aux débordements émotionnels (en d'autres termes, préparez les mouchoirs), celles de You et de Sara ont un peu plus de mal à nous faire accrocher. Quant à celle de Koko, elle est tellement particulière que je vais vous laisser le plaisir de la découvrir par vous-même. Enfin, en ce qui concerne le déroulement de l'histoire en elle-même, chaque scénario est une petite aventure qui vous fera explorer les différentes facettes de LeMU. Selon vos décisions et les personnages avec lesquels vous vous lierez, vos possibilités changeront et vos solutions pour fuir le parc également. A moins qu'il ne s'agisse de la simple possibilité de fuir le parc. Mais dans tout les cas, les enjeux seront de taille et vous n'aurez pas d'autre choix que de lutter pour votre survie ainsi que celle des autres. Et tout repose entre vos mains, même si vous n'en êtes pas encore conscient. Le temps est, malheureusement, quelque chose de terriblement relatif. Bilan : Inutile de le nier, Ever 17 est un chef d'oeuvre. Et pourtant, je ne peux m'empêcher de le déconseiller à ceux qui n'ont encore jamais touché à un Visual Novel. La raison est simple : vous ne pourrez pas profiter du jeu à son maximum. Car Ever 17 joue avec les différents éléments des Visual Novel avec une maestria inégalable. Mieux vaut se faire la main avec des jeux plus classiques avant de s'attaquer à celui-ci. Car jouer à Ever 17, c'est véritablement plonger dans un autre monde. Un monde hostile où tout ce que vous vous imaginiez savoir se réduit progressivement à peau de chagrin. Jusqu'à la conclusion où vous vous apercevrez que tout ce temps, vous n'avez pas joué à un jeu. C'est le jeu qui aura joué avec vous... En 3D, animé et avec des scènes supplémentaires, la version sur XBOX360 a tout pour séduire. Mais pour en profiter, la maîtrise du japonais sera indispensable.
  24. Alephnor

    Image du jour ^^

    Muscles, yeah yeah ! (Et c'est ainsi que les muscles contrôlèrent le monde)
  25. Alephnor

    Musique du moment 3

    Petite découverte récente. Il y a plus joyeux, mais c'est tellement prenant...
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