Kimory 24 Posté(e) le 2 juin 2016 Bon je finis par me motiver à vous partager quelques écrits =D Probablement rien de suivi, au mieux des histoires courtes et pour l'instant surtout des poèmes. Le tout relativement vieux, j'en ai pas vraiment écrit depuis un moment à part des instants d'inspiration ça et là. J'vais essayer de les mettre par ordre chronologique ( y'en à qui datent un peu du coup et encore, je vous épargne des encore plus vieux xD ) mais je garantis rien, la plupart ont perdu leur date au gré de mes fichiers o/ Désolée si ça en fait pas mal d'un coup, j'ai farfouillé pour faire un bilan de ce que j'ai déjà x) Prenez votre temps et bonne lecture o/ ( + Merci de respecter le droit d'auteur et patati et patata ; je perds pas espoir de faire quelque chose de ces textes un jour ... ) A noter que les 5 poèmes suivants ont été écrits dans le cadre de RPs sur fofo, donc on peut dire qu'ils sont du point de vue de mon perso... qui partait très loin de toute x) Janvier 2013 Dans toute ma peur, dans toute ma folieJ'éveille les démons, en dehors de la fin Dans toute leur splendeur, dans toute leur tristesse Le déploiement menaçant, l'étrangleur, la grandeur du dément Des passés qui se heurtent, du lapidaire présent Des gerbes d'écumes et de sangs, des mondes étalés Des étangs dégoûtés, de glace noire et mauve, des Bleuités, comme dirait Rimbaud Et comme tout se décale, on se décale Dans la haine, oh ! Nous sommes Tissés de haine, de dérapages Je me tisse moi même du sang de mes ennemis Je me tisse du sang des amitiés qui pleurent Et des morts qui se rient de Nous. Ridiculement, on attend qu'un autre jour nous offre ses grâces Princes charmant envoûtant d'un baise main une bordée de vierges Ou de putes. Se traîner comme des serpents dans les déchets du ciel Se traîner dans la fange, en faire notre nourriture, notre immen-cité ! L'adorer, la vénérer, s'y rouler comme des fous, comme des adorants Etats de transes métaphysiques, psychosophiques, à l'ode des cratères Des joies parallèles aux mondes dégueulasses. Mars 2013 ( 1 ) Des sciences en mirages, à l'illusion d'optique !Travailleurs infidèles aux théories foireuses ! Formidable, j'aime à distance des monnaies flamboyantes Des palais achetés aux brises sanguinolentes Des murmures dérobés aux montagnes Tout ça je l'ai obtenu. M'appartiennent et le partage. Regardez autour de vous, et dites moi ce que vous voyez. Nous ne sommes rien. C'est l'immen-cité compressée du monde. Des instants. De nous. Les fils du vent ? Va-tu dire ! Es-tu fou ? Nous nous targuons de ce qui nous dépasse. Va, feu follet, oublie qui je suis et ce que nous fûmes. Tuons nous dans l’œuf, incorporons nous à la trame ! Je hais la réalité tangible. Est-tu cruel, es tu un monstre ! Sadique ! Détestable ! Tu me poétises des hommages Et moi je te réponds ceci. Apprend à être. Avant de chercher à savoir les formes que peut adopter la conscience, Cherches le toi qui est ici, et non pas celui que tu amènes. Mars 2013 ( 2 ) Plus de poèmes pour les dissidents !A la flamme vive, l'existence interrompue Et la suite continue des vices Prison d'acide et d'or tiède sous les mânes De tes sons, de tes voix ! Intemporelles ! Il n'y a pas de suite, pas de fuite ! A moins qu'en ré mineur Nous sachions mieux courir, discourir même ! Et se faire troubadours dans des fêtes mentales Où l'on philosophe sur de la connerie empaquetée Avec des rubans fluo et du papier pailleté ! Mars 2013 ( 3 ) D'ailleurs, ces mirages, je vous les sers.Sur un plateau d'argent, ordonné tout bien Ordonnés mes serfs, messires ? Agrémentons D'un méfait, ces assiettes de nacres et des coquilles Vides, de vos existences bienséantes. J'y cracherais, moi, mes folies, mon monde Pour vous le montrer parce que je vous aime. Je salue les futurs moirés, d'une litanie de doigts ! Des mondes timorés auxquels je me noie ! Pour goûter la consistance, résister à l'envie En mon âme et conscience, je vous laisse envahis De péchés sans pardon, Ô mon sacré cœur ! Purgatoire affectif des chérubins en pleurs ! Coucou, au revoir, des rigolades sans merci Me déchirent la gorge et je m'amuse, je crie, TERRIBLE ! Comme ce que je suis, ce monstre de foire ! Qui tourne tourne tourne manège à n'en plus rien voir Vous ? Quoi ? Réfléchissez, que diable ! Je ne veux rien savoir. Mars 2013 ( 4 ) Point d'orgue, négation, mélodies d'enivréeJ'achète mon salut, paye ma caution Attention, dis, ce n'est pas un adieu Je t'aime encore, entité fantasmagorique Ma vie, mon souffle, mon esprit prisonnier Tour sans fin, rocambolesque, je ne suis Qu'un conte de fée. /Fin des poèmes-Rps-fuckés/ Janvier 2014 Les muses dansent avec toi, Quand elles dansent dans tes bras, Avec l'ivresse folâtre d'un murmure, Comme des pleurs de nos cœurs impurs. Elles dansent avec toi ce soir d'automne, Saignant l'encre de tes esprits, Sur les feuilles vertes de l'orme, Simple témoin extraverti. Où sont le ciel et la Mer ? Dans les infinis bleus du destin, Avons nous pris pied sur terre ? Quand sortir menaçait rien ? Avons nous dompté nos travers ? Pendant la marche du festin, Donc nos voix sonnent claires, Lorsque la mort prend son butin. Noble nuit aux grands cimeterres, Ne blesse pas nos coeurs importuns, Et dans l'éclat de l'éphémère, Descend le voile du malin. Comète artificielle des artères, Montre nous ton étroit chemin, Et dans la délivrance de tes mains, La lune ne pourra que se plaire. Février 2014 Et alors,Je pourrais ressembler A tous ces dieux errants Que la terre a portés. Je pourrais graver Mes rêves sur les montagnes Laver les pleurs de l'océan A grands coups de gerbes d'écume Déposer des fleurs sur la tombe céleste De tous ces esprits vagabonds. Je pourrais admirer Une nuée de mirages fumeux Des arc-en-ciel électriques Et des danses fantastiques, Chanter les lunes du haut des falaises Murmurer des étoiles dans le cœur du vent Je pourrais m'échapper, Habillée de toutes les nuances du songe, Sous l'égide d'un milliers de gardes Observant la lumière née des espoirs S'écoulant dans la cascade éternelle Déversée par l'hystérie des cieux. Septembre 2014 Le vent de la ville est tiède ce soirA la grâce de la cité ensommeille Le troubadour fatigué du temps, Marchand de sables travestis Tout parfumés d'or et soleils. S'accentuent l'accord fané, le son D'une décadence calculée et noire Le chaos maraudeur et perçant Passeur de rêves et mis en plis Sous les parures d'une illusion. Saluant une lune pleine et sans nom Jetant aux étoiles les trilles du souvenir Milliers d'oiseaux comme fauves d'argent Ailes jetant roulés en boule Les rejetons avortés de la parade. Portés haut les fanions diaphanes Sur la peau d'une nymphe sélène Une armée de points d'apostrophes Empilant les bribes d'un monde Sur le dos des bienheureux. Octobre 2014 Les premières notes de musique, les premières traces de sonElles brisèrent son âme, laissée à l'horizon, Abandonnée à la chaleur des vents graciles Et c'est lorsque le regard meurt, immobile, Que les yeux vitreux, l'innocent heurte la trahison. Quand le monde s'émerveille, sous la voix des saisons Le chant résonne, appelant de ses forces Toute la puissance évocatrice d'une vision La magicienne, de son timbre, fait naître à l'unisson De rêves en embryons, des circonvolutions de limbes. Le tremblement, aux rêves invalidés Des images de déboires, prédestination de Roi Marchant sur les ruines d'un empire calciné Et de larmes parachevé, tous les sens en émoi L'orage le découpe de sa lame ensanglantée. Ce n'est qu'un énième insensé, se croyant bon pour le Trône, L'univers inversé, effleuré de la poigne Un énième échappé, à genoux demandant l'aumône, A la grâce des temps, enfant décalé, Un énième errant, que la Logique a quitté. Novembre 2014 ( 1 ) De la poudre de tremblementJetée à la face cachée des indigents Dans le noir et la pluie bleue Le tombeau chante, ne sait ce qu'il veut. Perfusion délurée, fil d'Ariane métal tressé Bouchée de nuit, randonnée céleste Pieds nus, peau de lait, lame comète Ecartelée, crocs déchiquetés cherchent interprète. Novembre 2014 ( 2 ) La nuit faisait de la lumièreSemait des douceurs dans les cavités mentales Semait des prières comme du sel sur les plaies Ombre chinoise – artiste à l'agonie C'est comme manquer d'air sous le soleil. Novembre 2014 ( 3 ) ( Sous spoiler car vraiment très long x) ) Et si je te disais que j'avais ma volontéQue j'étais un être libre Que rien ne peut dompter Pas même la brûlure des étoiles Ni la voix sacrée des vents Pouvoir d'un millier de songes. Tous les rêves se pavanent Leurs halos sont faits d'argent Amis les Dieux, à ma merci, Dans la pitié désunie Dans la miséricorde Adresser à la défaite Un millier de nocturnes prières Et tout autant de noyades Dans le sang de la chimère... Quand le matin se lève Champ de bataille calciné Les échos d'âmes en peine doucement s'approchent Et viennent pour me parler Me dire toutes les misères La face cachée des rêves La peau griffée d'agonie Mélodie funeste dessein D'une chair à vif et sans destin Mauvaises augures en parade Sans l'armure blanche de l'oubli Les solitaires descendent D'un piédestal horrible Hurlant le doux amour Mielleuse lie de l'ombre Essémant les grains difformes ; La pluie enfantera les monstres, La nuit les verra n'être Assiégés de jour salvateur Brûlure des cieux alanguis Armée fatale comme une forêt Aux couleurs de tous les étendards Cauchemars passés et à venir Ô Malheur de forme pure ; J'aimerais que tu sois là, Voir le chaos s'autodétruire L'univers se mutiler Les étoiles suppurer ; Ensanglanter la trame céleste Cieux rouges, lame-comète Libère les cris Laisse moi naître Comme entité informe Création sonore assomée Jetée à tous auspices Allégorie bariolée d'éclat Dorures blindées, mensonge aveugle Plaisanterie vaste comme un exode Sur la vallée - peinture nomade Mes sens ne m'appartiennent plus Raison ensorcelée Offerte à d'autres caprices Ô complices de l'insanité Vous que je croyais morts De nouveau je sens gratter Aux portes impies de l'âme Tombeau assourdissant bâti Sur les illusions indécentes Labyrinthe mal famé des dilemmes Où se perdent toutes vertus Où s'évanouissent les honneurs ; Décimée de vide, manque dévorant A l'inconnu adresse les sanglots Déchirant toute trame, traversée aventure Tous mes échos répondent Aux appels incohérents Délitée dans le placenta salvateur La mélasse des apocalypses Emerveillée de sauvagerie Emportée dans les courants Electriques agitations des sommeils Bleuités bienfaitrices, éclairs de génie Sacrifier une essence sur l'autel Dédier les odes à la débâcle Parce que les hurlements s'élèvent Les mondes se réitèrent Cadavres intempérents, voilà vos Mémoires Et quelques pincées de sel Pour édulcorer les plaies suintantes Tracées par l'odieux courroux D'autant de trainées - de - larmes. Tous les Rois dissidents Se prosternent agenouillés A la gloire des brises livides Des créatures de boue noire Autant de princes rejetés Hantant les palais aériens Me voleront toutes les paresses Etalée dans la stupeur Aveuglée par les visions Convulsant comme une danse Implorant un millier de pardons Dont les cieux me feront grâce Crissement strident et éternel De toutes les obsessions divines Tous les malaises du Sage Qui étouffee dans la cage d'or Tressée des fils évanescents Au goût suave, douceur de nuage Répondant aux appels indiscibles Chuchotés par l'existence nécessaire. D'un être libre comme l'infini. Avril 2015 Les peurs nues cherchent leur souffleDans les bras fragiles du gracieux néant Où reposent les chaînes brisées du monde. Les cauchemars errent Drapés dans le voile de l'innocence Des tortures floues suffoquent Entourées des immondices vitales Dont l'âme grande est nourrie. Les aurores sont mes limbes Autant d'enfers sucrés au goût de larmes Dévorés par les crocs avides du destin ; Errances nomades, permanence du vide, Lit de plumes des derniers déclins. Ombre subite et subtile Où se cachent les Saltimbanques d'un dernier soir. Mai 2016 ( 1 ) Le soleilAssommant Le bitume exhale une haleine étouffante Le souffle ténu de la ville Dans l'immobile, dans le chaos Dans le sable chaud de routes de naguère Cherchant de l'air dans la brûlure. Son murmure un chant oublié Déroulant sur la langue ses poussières Ses misères de particules bavardes Elles racontent des histoires, des harmonies Et des milliers de voix dissonantes Au bord des arrêts, des points d'eau Distillent des ribambelles De sens agglutinés. Mai 2016 ( 2 ) Des grillons saluent la lourdeurEt l'orage encombre le ciel De tourments gris pluvieux Ronronne des larmes entre les arbres Cherche le sens du vent Qui souffle Une berceuse se noie dans la rivière Dans le froid Dans les ailes des corbeaux Croassants. Un demi-tour. Voila pour les poèmes o/ pour ce qui est de textes courts, histoires courtes & co, j'en ai pas mal en cours mais rien d'assez fini ni aboutit pour l'instant donc suspense xD Sandy, Dimensio et Khreim ont réagi à ceci 3 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Khreim 19 Posté(e) le 2 juin 2016 Je commencerai pas dire que ces poèmes sont vraiment tous pas mal écrits, moi j'aime bien :) Ensuite, pour rester dans le thème, je répondrai par un poème que vient de m'inspirer la game que je viens de finir. Ôh toi, Alistar déchaîné, Sur le champ de bataille, tous le monde te hais, Du jungler adverse, jusqu'à leur adc, D'un coup de tête, tu envoies tout valser. Ôh toi, mon ami le taureau, Je te pick en jungle, de façon yolo, Car je sais qu'au final, tu tankeras comme il faut, Lorsqu'on divera ensemble, le petit Yasuo. Et c'est alors que vint, presque comme par magie, Un Bard toxic, aux allures d'abrutis, Qui s'exprima en anglais, avec quelque soucis, "Ze game is lost guyz, GG WP izi". Mais tel un héro, qui n'abandonne pas, Tu as fait de ton mieux, en gankant si et là, Et même si évidemment, tu ne fais pas de dégâts, Je vous le donne en mille, la victoire fut pour moi. :hai Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kimory 24 Posté(e) le 2 juin 2016 Merci ^_^ contente que ça t'ait plu Et bravo au passage, ton poème est cool, marrant, les rimes sont nickel et je m'imagine tellement la game du coup xD Je m'attendais pas à ce qu'on puisse faire de la poésie sur LoL, c'est un concept à proposer à Riot xD Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sandy 181 Posté(e) le 3 juin 2016 Tes poèmes sont captivants, j'ai un gros faible pour ceux concernant le cadre RPs. Troublant au point d'en vouloir une histoire. (Oui j'aime la lecture si ça c'est pas encore vu) En espérant que ta créativité ne s'arrête pas là, j'attends dans lire d'autre. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kimory 24 Posté(e) le 3 juin 2016 Thanks =) J'étais sévèrement inspirée pendant ces RPs. Pour la petite anecdote je faisais des posts mélangeant le récit "normal" et les poèmes que j'ai extraits par la suite qui sont "plus ou moins" en rapport avec ce qui se passait du coup. Sachant que c'était un cadre très libre donc sur ce truc là j'avais fait une forme de RP solo mais libre, je n'empêchais personne d'y répondre donc de temps en temps y'avait d'autres personnages qui se prenaient au jeu x) Héhé j'espère avoir des inspirations aussi, et / ou réussir à bosser un peu sur mes histoires courtes qui attendent depuis des mois et des mois x) Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dimensio 73 Posté(e) le 4 juin 2016 Gros +1, j'aime beaucoup, ça a dû te prendre du temps en plus à retranscrire donc merci pour le partage ! ( + Merci de respecter le droit d'auteur et patati et patata ; je perds pas espoir de faire quelque chose de ces textes un jour ... ) Désolé, je viens de poser le copyright *fuis* Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shaft 269 Posté(e) le 4 juin 2016 C'est vraiment étrange, j'ai un peu l'impression lire un énorme kamoulox. En tant qu'être rationnel j'essaie de trouver du sens là où il y en a pas. Et quand je crois l'avoir trouvé, il se défile dans le néant. J'ai l'impression de contempler un miasma assez riches d'univers qui s'entrecroisent, une sorte de matière brute d'inspiration shoutée qui dépasse la personne qui l'a écrite. Or pour moi, la plume devrait dominer ce chaos. Mais paradoxalement, ce chaos a la beauté furieuse d'une liberté débridée voire exaltée. Par conséquent, cette lecture est assez conflictuelle pour mon esprit. C'est vraiment intéressant et fascinant. Je trouve ça inspirant mais je garde la sensation que créer des unités de sens/d'univers ici et là permettrait la création d'un tout baroque mais cependant plus cohérent. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kimory 24 Posté(e) le 4 juin 2016 Merci Dimo et Shaft ! Dimo, la plupart je les ai fait à l'ordi direct donc pas tant de temps à retranscrire que ça au final ^^ Shaft, je note et j'aime bien le concept de "matière brute d'inspiration shoutée qui dépasse la personne qui l'a écrite" ça résume assez bien la chose effectivement par moments x) Les premiers par exemple, ceux "RP" ... je serais incapable de réécrire comme ça maintenant même si je le voulais ou essayais sciemment de refaire quelque chose de cet acabit :/ Y'a de belles phrases dans ton comm aussi, j'aime bien =D (et non, je ne parle pas que de celles qui me font des éloges même si je les apprécie bien sûr xD ) Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shaft 269 Posté(e) le 4 juin 2016 Oui merci, tu m'a fait chercher mes mots, et la lecture a "inspiré" mon com, un peu comme une réaction chimique. J'aime bien écrire autre chose "c bô té trop douée :)" comme réaction il faut dire aussi. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Coatlicue 59 Posté(e) le 4 juin 2016 c bô té trop douée :) ... ... ... (Je déconne je commenterai pour de vrai demain :P) Edit ninja : si elle ne le fait pas, elle sera punie 8D Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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